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Briny (+) Un Noël magique !

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Après un moment de douceur et agréable -Briny embrassait tout de même divinement bien-, Briny retrouvait son attitude d'emmerdeuse en me lançant une pique. Plutôt mignonne pour une fois. « Plus beau ? J'espère que tu te rend compte que le sol est dégueulasse à cause de la pluie, des mégots de cigarettes et de la boue que les gens ont amené ? C'est vraiment pas un compliment. » Répliquais-je en laissant tomber la cigarette que je tenais entre les doigts pour l'écraser sur le sol. Elle m'avait été plutôt bénéfique cette cloque, j'étais un peu plus détendu et d'une humeur joyeuse tout à coup même si Brynn y avait beaucoup plus contribué. Voyant que mon idée lui plaisait plutôt bien, je me laissais porté par son petit bras autour du mien avec calme. Nous n'aurions pas beaucoup de marche à faire puisque la Cabot House n'était pas loin et d'une certaine manière j'en étais pas mécontent. Vu le temps de merde et le froid de canard, plus vite on était rentré, plus vite on se réchaufferait. « Oui, tu pourras l'ouvrir ce soir si tu veux. » Répondis-je en regardant ses yeux légèrement brillant. On aurait dit que Briny retombait en enfance, c'était vraiment mignon. « Et s'il te plaît pas tu pourras toujours le retourner en magasin mais je te jure que je risques d'être déçu. Je l'ai choisi avec tellement d'amour. » Dis-je en haussant un sourcil. Arrivant bientôt devant le palier des Cabots, je plongeais mes mains dans mes poches de smoking. Avec elle accrochée à mon bras, on aurait presque l'air d'un couple. Sortant finalement l'une de mes mains de ma poche bien chaude, je l'a posais sur sa taille, l'a rapprochant de moi. « J'espère que t'as pas trop bu, si tu vomis sur mon smoking je te jure que je vais te tuer.. » Dis-je faussement sérieux avant d'ajouter « ça te fais un vêtement en plus dans ta collection, je vais finir par emménager chez toi.. » Je souriais innocemment alors que j'avais une idée dernière la tête. Après un boxer, un pull, une veste ? Passant la porte d'entrée, je laissais la jeune femme me guider vers sa chambre, bien que je l'a connaisse par coeur puisque j'y avais décidé mon cadeau il y a quelques heures de cela.
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Tu affichais un petit sourire timide, parce que c'est vrai que tu ne savais pas tellement faire des compliments. Néanmoins tu ne rajoutas rien à sa petite remarque, te contentant d'hausser les épaules alors que vous vous frayez le chemin jusqu'à la sortie. "Nan mais tu as cru que j'allais pas l'ouvrir alors que tu me fais poireauter depuis toute à l'heure? Tu es pas net dans ta tête mon gars." Tu roulais les yeux au ciel, apercevant brièvement les étoiles. Le petit incident semblait déjà bien loin alors que la curiosité s’intensifiait de plus en plus. Tu avais vraiment hâte d'ouvrir ce qu'il t'avait préparé/acheté fin tu ne savais pas trop. Tu accélérais même le pas, tes pieds foulant encore plus rapidement le sol. Tu te serais bien mise à courir mais il t'aurait certainement pris pour une folle. Puis avec les talons que tu avais, c'était concrètement mission impossible. Et bizarrement l'entendre dire qu'il l'avait choisi avec amour te faisait chaud au cœur, comme si le fait qu'il puisse prendre du temps pour toi était tout bonnement inconcevable. "Je ne vois pas pourquoi je n'aimerais pas, puis si je n'aime pas tant pis pour moi j'le mettrais quand même." dis-tu gentiment voyant bien qu'il avait fait des efforts. Tu pouvais très bien mettre ton petit coté hautain de coté juste pour lui faire plaisir. D'ailleurs tes paroles et ton comportement te surprenaient encore plus, ne faisant d'habitude pas preuve d'une telle gentillesse à son égard. Tu avais trop bu ou quoi? Fin bref vous étiez enfin arrivés devant la cabot house. Charlie s'était rapproché de toi, à moins que ça soit toi qui t'était rapproché de lui inconsciemment. Mais tu étais bien là, près de lui, enveloppé dans son odeur et ça te dégoûtait aussi dans un sens, enfin tu te dégoûtais toi même pour ta niaiserie sans nom. "Comme si moi je pouvais vomir, j'suis une princesse j'te rappelle donc au pire j'vomirais des paillettes." Tu haussais les sourcils plutôt surprise par ses propos, c'est que tu savais te tenir comme il faut hein. "Je te l'ai jamais dit mais ouai c'est mon rêve, que tu emménages avec moi pour que puisse voir ta tronche tous les jours." ironisais-tu alors qu'il n'avait pas tort, tu commençais carrément à tout avoir, il manquait plus que les chaussettes. "Bon j'te préviens ma chambre est pas rangée, parce que voilà j'avais pas prévu et puis...et puis...voilà pas de jugement." dis-tu en te retournant vers lui, un peu gêné. Nan parce qu'en te connaissant tu avais du laisser trainer tout et n'importe quoi et c'était surtout cette seconde part qui t’inquiétait. Surtout que ça allait être la première fois que le français allait rentré dans ton intimité, qu'il avait voir une partie de toi même que tu montrais bien souvent peu. L’entraînant jusqu'à ta chambre, tu vis un iiimmense cadeau. Tu te jetais dessus en mode mon précieux. "C'est pour moi? genre vraiiiiment?" t'exclamais-tu en sautillant comme une gamine ne sachant pas du coup si tu devais l'ouvrir là ou dans ta chambre ou jamais. Poussant la porte de cette dernière tu lui fis un petit geste l'air de dire toi en premier.
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"Je ne vois pas pourquoi je n'aimerais pas, puis si je n'aime pas tant pis pour moi j'le mettrais quand même." Je commençais à croire que la magie de Noël l'a rendait beaucoup plus avenante et gentille. Qu'arrivait-il à Briny ? Peut être était-ce son âme d'enfant qui s'éveillait soudainement en sachant que je lui avais offert quelque chose. Mignonne. Un trait de caractère que je ne lui connaissais pas. Beauté fatale, emmerdeuse, chiante, jamais contente, étaient en général les mots qui me venaient à l'esprit mais pas à cet instant. Un sourire tendre se dessinait sur mon visage, terriblement attendrit par la jeune femme. Rha, mon coeur se ramollissait comme du chocolat. Dans la Cabot House, nous étions et avancions doucement, me permettant d'en apprendre plus sur cette maison remplit uniquement de femme. Je suis sûr que si j'y habitais j'y serai heureux sans déconner. Rêvassant d'une vie parfaite dans cette maison si grande et.. rose, nous montions rapidement les escaliers afin d'arriver aux chambres. « Et tu chies des confettis ? » Très élégant Charlie, bravo. Mais je n'avais pas pu m'en empêcher, surtout avec son vomis de paillette là. La réplique était sortie toute seule. Malgré moi, vraiment. « Ouais, ouais ironise. Mais me voir sortant de la douche tout les matins, je suis sûr que tu ne dirais pas non. Tu en rêverai même ! » Répliquai-sje n tentant vainement de défendre cette idée. J'avais jamais vécu avec la moindre femme, en couple du moins. La colocation, oui, forcément. Mais quand on se met en ménage, jamais. Je me demandais la sensation que cela pouvait procurer. « Promis. » Dis-je par rapport à sa chambre en bordel. Rentrant alors dans la pièce je remarquais tout de même qu'à côté de la mienne, elle était rangée. Son visage s'illuminait aussitôt en voyant son cadeau me laissant sur le cul pour le coup, surtout quand elle me demandait surexcité si elle pouvait ouvrir le cadeau qui était remplis par un ensemble de sous vêtement violine de bonne taille, un parfum et quelques bouts de papier tout comme elle qui était des bons comme des baisers gratuits et ce genre de connerie. C'est fou que nous avions eu la même idée, parfois nous sommes un peu connecté mine de rien.
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"Mais c'est que tu as de l'humour Wilcox, j'suis morte de rire tu vois."  Bon en vrai tu t'en fichais pas mal de ce qui sortait de sa bouche, soudainement beaucoup plus intéressé par ce que tu tenais dans les mains. Tu observais le cadeau, tentant de deviner ce qu'il pouvait bien contenir. Un peu comme superman avec sa vue à rayon x. Tu étais très impatiente, surtout maintenant que tu avais l'objet de tes désirs juste devant toi, et non tu ne parlais pas de Charlie quoi que. "Tu sais que malgré les apparences, mes fantasmes ne tournent pas tous autour de toi." Tu lui fis un petit clin d’œil, même si dans un sens il n'avait pas tort, surtout que tu avais eu la chance de le voir sortir de sa douche. Oui c'était la fois ou tu avais pris ses fesses en photo, photo qui se trouvait d'ailleurs toujours dans ton portable, mais ça tu préfèrais éviter le préciser. Après il allait vraiment croire qu'il avait une chance avec toi. Bref, le poussant limite dans ta chambre, tu attendis quelques secondes qu'il se mette à l'aise pour enfin commencer à ouvrir ton cadeau avec précaution. Tu déchirais le papier avec une certaine délicatesse de peur de froisser ce qui pourrait bien se trouver derrière. Tes yeux pétillaient de malice, émerveillé. Déjà par le parfum, puis par la lingerie et les petits bouts de papier. Tu avais presque les larmes aux yeux, touché de voir que le jeune homme avait pris du temps pour toi, pour choisir ces cadeaux, se demandant bien si allait te plaire. Ce n'était pas tant le cadeau en lui même qui te touchait, mais l'intention qui se cachait derrière. Tu fus même surprise de voir que vous aviez eu la même idée pour les petits bout de papier, ce qui élargissait encore plus le sourire qui ornait ton visage. "Merci. J'adore vraiment." te contentas tu de lui dire avant de se jeter dans ses bras pour lui faire un câlin. Trop de sentiment vous comprenez.  "Ca ne m'étonne même pas d'y retrouver de la lingerie." chuchotas-tu dans son oreille, comme une promesse non dite, alors que tes bras glissaient dans son dos. Tu aimais le sentir contre toi, sa peau, son odeur. Cet homme t'attirait, plus que tu ne le souhaitait. Tu avais envie de passer ta main dans ses cheveux, de toucher sa poitrine, mais non il ne le fallait pas. Te décollant de lui, parce que sinon ça allait en devenir gênant; tu commençais à t'asperger de parfum pour pouvoir sentir  l'odeur qu'il dégageait. La joie de vivre incarnée.
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J’avais un humour douteux certes mais tout de même, je m'étais trouvé drôle sur ce coup là. Dommage. Briny ne savait juste pas apprécier les bonnes choses comme l'humour d'un français, c'est tout. D'ailleurs, je ne renchérissais pas puisque la jeune femme venait de quitter terre à partir du moment où ses yeux s'étaient posés sur son cadeau. Je ne l'avais jamais vu ainsi. Le regard enfantin, brillant, avide de curiosité, c'était un cadeau pour moi. Elle déballait alors rapidement le coffre, pour y découvrir ce que j'y avais laissé quelques jours avant. Visiblement, cela lui faisait plaisir, et c'était assez agréable à voir. J'étais content de ne pas m'être trompé pour le coup même si j'avais joué la sécurité pour le coup. « De rien.. » Dis-je doucement alors que la jeune femme se retrouvait dans mes bras  sans vraiment comprend quand et comment elle s'y était retrouvée. Écarquillant les yeux par la surprise, j'entourais finalement mes bras autour de son corps tout frêle, profitant de la proximité de son corps et de son odeur si envoûtante près de moi. "Ca ne m'étonne même pas d'y retrouver de la lingerie." C'était un peu ma marque de fabrique en même temps. Ma petite touche sexy à ma manière. Sa voix si délicieuse près de mon oreille m'avait aussi surpris, me demandant si vraiment Briny allait bien. Ou alors l'avais-je touché ? Ne serait-ce qu'un peu ? Elle se décollait alors de moi, utilisant le parfum qui sentait plutôt bon. La caissière du magasin m'avait vraiment bien conseillé finalement. Remarque c'est une femme, c'était facile pour elle de choisir alors que pour moi.. « Briny ? Faut vraiment que je te dise quelque chose. » Dis-je tout en m'asseyant sur son lit. Je ne savais pas si c'était l'alcool qui faisait de l'effet ou alors l'émotion de joie en l'a voyant aussi vive et magnifique mais j'avais envie de lui parler franchement. Lui dire ce que je pensais vraiment. Mettre le point sur une relation qui tanguait, non ? Je ne savais même pas si c'était une relation, j'étais un peu perdu avec elle, et il y a de quoi. Je ne savais sur qu'elle pied danser avec elle, et ça me rendait bien souvent fou. Alors autant en parler.
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C'était étrange de voir avec quelle facilité tes émotions arrivaient à passer d'un extrême à un autre. Tu étais tout simplement heureuse. Heureuse de voir ce que le jeune homme venait de t'offrir, et de l'intention qu'il y avait mis. C'était assez difficile à écrire, mais tu te sentais importante, privilégier. Tu le regardais les yeux émerveillés, comme si on venait de te montrer l'une  des plus belles merveilles du monde. Cela te faisait toujours un peu bizarre de voir et comprendre qu'un individu du sexe opposé pouvait t'aimer, t'apprécier. C'était peut-être pour cette raison que tu t'étais jeté dans ses bras, avec une telle spontanéité que tu en étais toi aussi surprise. Il faut dire que c'était toujours Charlie qui faisait le premier pas et très rarement le contraire. Mais tu aimais bien son odeur, la chaleur qui se dégageait de son corps, c'était plus fort que toi tu étais attiré vers lui. "J'ai un autre cadeau c'est ça?" demandais-tu toute excitée alors que le jeune homme venait de te dire qu'il voulait te parler. Tu n'y pouvais rien, tu étais comme ça un peu naive sur les bords. Tu t'asseyais à coté de lui, sur le lit, ne sachant pas ce que tu étais censé faire d'autre. Tu n'aimais pas spécialement la tournure que venait prendre cette conversation, trouvant le français presque trop sérieux par rapport à toute à l'heure à la soirée. Comme quoi tu n'étais pas la seule à changer d'émotion si rapidement. "J'ai fait un truc qui ne va pas?" demandais-tu d'une petite voix, n'osant pas affronter son regard, préférant ranger les cadeaux qu'ils venaient de t'offrir dans les boites. Oui tu avais l'impression de louper quelque chose. "Si tu veux que je mette tout de suite la lingerie c'est direct non, faut pas pousser mémé dans les orties." ajoutais-tu avec un petit sourire, même si tu savais que pour le coup le winthrop le méritait bien, surtout après t'avoir offert ses petites merveilles.
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Quand elle demandait si elle avait un cadeau en plus, j'avais presque envie de me mettre à rire. Elle en profiterai presque la petit Cabot. Malheureusement pour elle, je ne pouvais pas passer mon temps à la couvrir de cadeau, j'en avais pas les moyens. Même si j'en avais envie. A moins que je gagne au loto. « Non, ce n'est pas un autre cadeau. » Répondis-je toujours assis sur le lit en l'a regardant à son tour faire de même, avant de me demander si elle n'avait pas fait quelque chose de mal. On croirait une enfant, docile et je devais reconnaître, que connaissant Briny toujours sur ses gardes, son attitude me déstabilisait. Comment j'allais pouvoir lui dire ce que j'avais en tête ? « Rien de mal et non j'ai pas envie que tu me montre cette lingerie.. » Oh que si j'en avais grandement envie mais c'était pas le MOMENT. Non, j'avais envie de parler d'autre chose. Plus sérieuse. Importante. Un nous. Je me concentrais donc en soufflant quelques secondes avant de plonger mon regard dans le sien, prenant mon courage à deux mains. « Je me disais que.. » Commençais-je en cherchant les mots justes, par où commencer ? « .. que je.. » Dis-je, en commençant à avoir très chaud, et subitement peur. Mon regard cherchant tout à coup une issue de secours, mes yeux se posèrent sur ses chaussures et mon cerveau pris de cours, ne filtrait même plus mes paroles. « T'as vraiment de jolie chaussure, faut vraiment que tu m'en prêtes.. Que tu prêtes à ma soeur je veux dire. » Dis-je un peu déboussolé par mes propres conneries. La honte. J'étais visiblement pas encore prêt à lui parler de notre relation. Peur de son regard. De son jugement. « Bon, je pense que je vais y aller, je vais pas t'embêter d'avantage. Tu as eu ton cadeau, j'ai vu que ça te faisais plaisir, c'est très bien comme ça. » Dis-je en commençant à me lever, prêt à partir.
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Si jusque là tu avais un peu près réussi à suivre le résonnement du jeune homme, tu commençais vraiment à le perdre. Tu le regardais avec ta petite moue de merlan frit, tentant de mettre une signification à tous les mots qui sortaient de sa magnifique bouche. Bien que tu déçus de ne pas avoir de nouveaux cadeaux, tu t'attendais au pire concernant la suite. Si son regard fuyait le tien, au fond tu en étais beaucoup plus heureuse. Tu te demandais même s'il n'était pas tombé soudainement malade lorsqu'il t'annonça qu'il ne voulait pas te voir dans cette lingerie fine. Le Charlie qui se tenait devant toi était bien loin du personnage charismatique et pervers que tu avais jusque là côtoyer. C'était toujours pareil, ce changement de personnalité était très déconcertant. Il semblait vouloir te dire quelque chose, mais tu ne comprenais pas quoi, et visiblement lui aussi. "Tu veux me dire queeee? " demandais-tu d'une voix toute douce en reprenant ses mots pour connaitre la fin de ses paroles. Franchement ça en était presque aussi gênant pour vous deux, enfin surtout pour lui. Le pire c'est qu'il s'enfonçait te donnant presque envie de lui rire au nez. Alors comme ça le français aimait tes chaussures? et il souhaitait les porter? Tu lui lançais un petit regard inquiet, parce que là ça te faisait limite peur. À tous les coups il était bourré, ayant un peu trop forcé sur l'alcool durant la soirée. "Je te les prête quand tu veux." dis-tu avec un grand sourire amusé sur les lèvres. Malgré tes efforts pour le mettre à nouveau à l'aise, il ne semblait pas vouloir passer plus de temps avec toi, coupant court à la conversation. Tu avais l'impression d'avoir fait quelque chose de mal, l'avoir vexé ou tu ne savais trop. C'était la première fois qu'on te laissait un peu en plan comme ça. "Hein? Mais tu pars déjà?" Toi tu voulais qu'il reste, qu'il dorme avec toi. Pourtant ces mots ne semblaient pas vouloir sortir de ta bouche, comme de peur de l'écorché. Foutue fierté. À chaque fois que tu te sentais plus proche du winthrop, il fallait toujours que vous vous éloignez. C'était un peu sans fin. Alors tu restais là sans un mot, prête à le laisser à partir, parce que s'il ne voulait pas, tu ne voulais pas le forcer. "Bonne soirée alors. Merci encore pour le cadeau." Tu t'approchais tout de même un peu, déposant un bisou sur sa joue pour le remercier.
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