Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(flashback) ils ne savaient pas qu'ils venaient de rencontrer la personne qui allait changer leur vie ₪ OLIRREN - Page 2
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(flashback) ils ne savaient pas qu'ils venaient de rencontrer la personne qui allait changer leur vie ₪ OLIRREN

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Elle se sentait tellement idiote et tellement fragile là, entre les mains d’un inconnues. Elle ne voulait pas se donner cette image pourtant, il fallait qu’elle se montre plus forte que ça. Intouchable. Elle devait se montrer intouchable, impénétrable. Elle allait se forger une carapace et ceux dès aujourd’hui. Mais ce sourire qui déchirait ses lèvres montrait bien qu’elle n’abandonnerait pas tout. Elle resterait joyeuse, amicale. Il fallait bien. Warren. J'aime bien ton nom. Olive ne pouvait pas être flattée par son compliment. C’est vrai, elle n’avait pas choisi son prénom. Elle ne se serait jamais appelée Olive Bambi. Non, elle aurait choisi quelque chose de plus sérieux, de moins ridicule. Olive quoi. Une olive. Jorden avait eu un peu plus de chance lui, il avait eu un prénom correct. C’était quoi c’qu’il venait de faire ? Se mordre la lèvre, par les étoiles. La jeune fille avait manqué de défaillir. Pourquoi lui faisait-il tant d’effets ? Elle en avait vu des gars pourtant, elle en avait même vu un ou deux très intimement. Trop intimement. Ah mais oui, Warren était un demi-dieu, c’est pour ça. Et ton nom, c’est quoi ? Il allait trouver sa question étrange, certainement. Mais n’avoir qu’un prénom à mettre sur le visage des gens déplaisait à la demoiselle. Warren lui avait tendu une main pour l’aider à se relever. Elle l’avait attraper sans ronchonner. Tu veux que j'te montre le basket? J'ai perdu mon équipe, comme tu dis. J'aurais bien besoin d'une nouvelle coéquipière. Après les exploits qu’elle avait montrés sur son skate, elle doutait qu’elle pouvait se rendre plus ridicule. Alors finalement, pourquoi pas ? T’as pas besoin d’moi pour y arriver. J’ai vu ton panier tout à l’heure. dit-elle avec un sourire au coin des lèvres. Elle attrapa sa planche à roulettes que le garçon avant toujours dans les bras pour la poser dans un coin, retirant son manteau par la même occasion. J’suis prête. Montre moi. Non, elle n’avait plus du tout peur.
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Et ton nom, c’est quoi ? Ton nom? Mais c'est pas c'que tu venais de lui dire? Ah non, mais t'es con. Un sourire étire les coins de tes lèvres pour former un léger rictus de contentement, de plaisir face à ce que tu comptes lui répondre, d'un ton tout aussi amusé que lorsque tu l'as abordée en la voyant arriver au skate-park. ''Tu ne crois pas que tu en sais déjà un peu trop, petite?'', lui souffles-tu, te mordant l'intérieur de la joue comme un mec trop timide pour parler. Étrangement, ça te plaît de lui répondre de la sorte. Ce que tu ne savais pas à l'instant, ce que vous ne saviez pas tous les deux, c'est qu'avec le fil du temps, tout se concrétiserait, et tu ne la lâcherais pas d'une semelle. Un moment pour la faire chier, la provoquer. L'autre moment, pour avoir son cœur. Le cœur d'une fille sauvage que tu auras bien vite cerné, qui t'aura charmé, mais qui, avec l'empressement, t'échapperas l'instant de quelques temps. ''C'est Cooper, mon nom. Et si tu veux savoir mon nom complet, même si tu t'en fous, j'te le dis. C'est Jay Warren Cooper. Et toi, un nom à mettre sur ce prénom, aussi?'' Tu ne resterais pas là les bras ballants sans avoir eu ton reste, hein. La jeune fille se lève, tu t'électrises presque au contact de sa main. De quoi prouver l'aspect spécial qu'elle dégage à tes yeux. T’as pas besoin d’moi pour y arriver. J’ai vu ton panier tout à l’heure. Vrai. Tu es doué, au basket. Tu joues dans l'équipe de l'université que tu fréquentes, et tu en es même le capitaine. Le sport t'as toujours permis de te libérer, de sortir de ton petit train-train habituel et d'évacuer le stress, les moments de faiblesse, la colère, la pression... Tu ne réponds rien, simplement un rictus s'échappe du fond de ta gorge, alors que tu te penches pour attraper le ballon, maintenant immobile au sol. J’suis prête. Montre moi. Puisque tu venais d'avoir chaud, et que tu aurais toujours chaud si tu rejouais, l'effort physique faisait suer, mais qu'Est-ce que c'était soulageant... tu passas tes mains dans ton dos, tirant sur le tissus de ton chandail, de sorte à le retirer, le passant par-dessus ta tête. Le corps au soleil plombant, c'toujours agréable. Tu tends le ballon à la demoiselle, t'approchant d'elle. ''C'est simple comme tout. Tu t'poses devant le panier, tu lèves les bras, puis tu lances bien haut, en visant le p'tit carré. Tu veux essayer? Me montrer ton talent?'' T'espères que rien qu'en lançant un ballon en l'air, elle ne se blessera pas comme elle s'est blessée en tombant de son skate...
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Tu ne crois pas que tu en sais déjà un peu trop, petite? Elle n’avait rien d’une petite, du moins c’est ce qu’elle se plaisait à penser depuis que son frère était parti. Les rôles s’inversaient, elle était la plus grande désormais. Et non, elle ne croyait pas en savoir trop. C’était même tout le contraire. A la minute où il l’avait aidé, elle avait voulu tout savoir de lui, tout. Elle laisse le silence perdurer, lui faisant comprendre qu’elle attendait qu’il parle. C'est Cooper, mon nom. Et si tu veux savoir mon nom complet, même si tu t'en fous, j'te le dis. C'est Jay Warren Cooper. Et toi, un nom à mettre sur ce prénom, aussi ? Jay Warren Cooper. Ca lui allait bien. N’importe quel nom lui aurait été de toute manière, il était beau. Elle l’avait déjà pensé ça, trop d’ailleurs. Mais il était beau, pourquoi nier l’évidence ? Shark. Olive Bambi Shark. avait-elle dit alors que ses joues s’empourpraient d’un rose délicat. Avec un peu de chance, il penserait que c’est la fraîcheur du début de soirée qui lui donnait des couleurs, et pas lui. Il lui avait proposé de faire un peu de basket. Elle avait banalement accepté après s’être mise à son aise. Olive n’aurait pas plus devenir plus rouge que ce moment où Warren venait d’enlever le pull qui recouvrait son torse. Wow. Plus aucune chance pour qu’il pense que c’est simplement le froid qui empourprait ses joues. C'est simple comme tout. Tu t'poses devant le panier, tu lèves les bras, puis tu lances bien haut, en visant le p'tit carré. Tu veux essayer? Me montrer ton talent? Non. Non, non. Ca n’allait pas être possible, elle le savait, elle allait encore se ridiculiser. Et franchement, comment pouvait-elle se concentrer un minimum sur le panier alors qu’elle avait un putain de demi-dieu à côté d’elle, torse nu s’il vous plait. Tu devrais renfiler ça, tu vas attraper froid. Elle avait aussitôt regretté d’avoir parlé. De un parce que ça faisait trop « maman » et de deux elle n’avait vraiment pas envie qu’il le remette. Il était parfait comme ça. Parfait. Olive s’était mordu l’intérieur des joues pour garder le contrôle, un minimum. Elle attrapa le ballon de ses deux petites mains et se positionna. Lever les bras, lancer bien haut, viser le petit carré. C’était pas bien compliqué tout ça. Elle ne pouvait pas se concentrer sur le petit carré, elle avait son torse nu dans la tête, son sourire aussi, ses yeux, tout en fait. Et ça l’énervait déjà. Le ballon s’envola dans les airs et retomba, complètement à côté. Fait chier. pesta-t-elle en allant récupérer la balle, déçue de s’être laissée déconcentrée deux fois de suite par ce garçon, par ce Warren. Elle retourna se positionner, décidée à ne pas se laisser avoir une troisième fois. Elle n’avait même pas regardé le garçon du coin de l’œil. Le ballon orange s’envola dans les airs une nouvelle fois pour finalement rebondir contre le cerceau et revenir dans ses bras, manquant de l’assomer. Au moins il a touché l’panier.. C’est pas fait pour moi faut croire. Toi, fait un truc Cooper. dit-elle en lui collant le ballon contre son torse nu.
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Shark. Olive Bambi Shark. Olive, Bambi, Shark? Elle avait tout un d'ces noms. Olive, comme le petit truc vert qu'on croque d'une simple bouchée. Bambi, comme le disney, comme le petit animal tout mignon qui a perdu sa mère dans la forêt. Shark, comme un requin.. Il ne te sera pas difficile de le retenir, surtout que tu peux l'associer à un si joli minois. "J'aime. Ouais, j'aime bien ton nom, mais c'est bizarre." Bah quoi? C'vrai, non? Mais tu le kiffes quand même, ça veut rien dire, qu'il soit ou non étrange... Enfin, tu changes bien vite de sujet, car tu lui demandes de t'accompagner vers le minuscule terrain de basket, un peu mal en point, mais que tu rends tout de même vivant chaque fois que tu y mets les pieds. Tu as envie de passer un peu de temps avec cette mystérieuse demoiselle. Peut-être parviendras-tu à déceler des secrets, des mystères qui font d'elle ce qui t'inquiète déjà tant, mais qui t'intrigue tellement, maintenant qu'elle se tient devant toi. Tu as retiré ton pull, et... tu ne pensais pas que tu ferais cet effet à la pauvre fille. Ses joues sont d'un rose vif, presque rouge, et ça te met d'un coup mal à l'aise, alors qu'en temps normal, tu t'en serais réjoui. Tu aurais pu mettre cela sur la faute de l'effort physique, mais... peu crédible. Elle n'avait que donné un coup d'pied au sol pour t'impressionner sur son skate-board, rien de quoi être en fontaine de sueur. Tu devrais renfiler ça, tu vas attraper froid. Automatiquement, tu fronces les sourcils, comme étonné par son presque-ordre. N'es-tu pas agréable à regarder? Ton orgueil en prend un coup, d'un coup. Tu bougonnes un peu de l'intérieur. "Il fait trop chaud pour le remettre.", lui dis-tu, avec un clin d'oeil en prime. Faux. Ce n'était ni trop chaud, ni trop froid. Plutôt frais, disons-le franchement. Assez frais, que si tu restais dehors encore quelques heures, tu pourrais attraper froid. Tu observes la demoiselle faire, après lui avoir expliqué la simplicité de la démarche pour atteindre le panier. Peut-être n'était-ce pas si simple que ça, finalement... Elle semble rater sa cible, chaque fois. Ce qui t'arrache un rictus moqueur ; rien de bien méchant. Trois tentatives. Olive s'essaie trois fois au lancer au panier, en vain. Elle n'y parvient pas. À peine elle touche au bord du panier une fois. Tu te mords l'intérieur de la joue. Au moins il a touché l’panier.. C’est pas fait pour moi faut croire. Toi, fait un truc Cooper. Elle t'donne le ballon, te le collant contre ton torse nu. Elle t'semble tout d'un coup provocatrice. Tu souris en coin, te décidant enfin à parler. "Ok, j'vais faire un truc." Tu t'approches d'elle, le ballon contre le torse, tu l'tiens d'une main. "Retourne-toi." Tu attends qu'elle t'obéisse. Tu te mets derrière elle, te collant à moitié contre son dos, retenant le ballon en l'air, maintenant. Tu l'transportes juste devant elle, le reposant dans ses mains. "Tu m'fais confiance?", demandes-tu, tout près de son oreille. Tu souris en le lui demandant, pliant légèrement les genoux, tenant ses mains d'une exquise douceur, alors que c'est elle tout de même qui tient le ballon, enfin. Tu l'incites à plier aussi les genoux, puis d'un bond, tu la soulèves, l'incitant à le lancer. Et ça y est. Elle a lâché le ballon. Et le ballon atteint le panier. Le ballon tombe en plein centre du filet, et retombe en quelques secondes à peine, au sol. "Tu vois que ça peut être ton truc, si t'en as envie?"
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J'aime. Ouais, j'aime bien ton nom, mais c'est bizarre. Bizarre. Il avait dit que le nom de la jeune fille était bizarre. En même temps, il avait raison. Il fallait avoir un certain grain pour appeler son enfant comme ça. Mais elle aimait, elle s’y était habituée et elle n’en changerait plus pour rien au monde. Par contre, ce qu’elle aimerait beaucoup changer, c’est la façon dont elle dévorait ce Warren des yeux. Il était beau, putain oui, et il se pavanait devant elle sans tee-shirt, alors qu’il faisait froid, alors qu’elle avait un manteau deux minutes plus tôt et même après l’avoir enlevé, elle avait un pull bien épais. C’était l’automne quoi. Il fait trop chaud pour le remettre. Ah, il l’énervait avec son petit air supérieur. Comme s’il pouvait tout contrôler en un claquement de doigts. Il devait être le genre de garçon à avoir des filles à ses pieds à longueur de journée, tout ce qu’Olive détestait. Elle n’aurait pas eu ce caractère bien trempé qu’elle avait déjà avec cette nouvelle rébellion, elle serait déjà entrain de niaiser à ses côtés, comme toutes les autres. C’est ton problème si t’attrapes la mort, Cooper. souffla la jeune femme avant de prendre le ballon et s’essayer à quelques paniers qui furent, sans grand suspense, des échecs. Evidemment. Ok, j'vais faire un truc. Elle était face à lui, attendant qu’il lui balance tout son talent à la figure, qu’il enchaine les paniers et les sauts devant lesquels n’importe quelle fille serait en extase. Olive aussi, d’ailleurs. Mais elle se débrouillerait pour ne pas le montrer. Retourne-toi. Wow, elle s’était attendue à tout sauf à un ordre de sa part. Ca l’avait déstabilisée. Il avait réussi à déstabiliser la jeune femme, une fois encore. Elle se retourna, le cœur battant la chamade. Olive chassait une fois de plus son torse nu de sa tête, c’était chiant putain. Tu m'fais confiance? Le souffle chaud de Warren lui caressa l’oreille. Elle voulait partir en courant mais étrangement, elle se retenait à l’idée qu’elle lui confirait sa vie présentement. C’était étrange comme sensation. Elle avait le ballon dans les mains, Warren tout contre elle, derrière elle. Cet inconnu qui la rendait toute chose, c’était désagréable. Olive plia les genoux, suivant les mouvements de Warren qu’elle sentait dans son dos et sans s’y attendre elle fut poussée dans les airs et lâcha le ballon qui s’en alla tout droit dans le panier. Tu vois que ça peut être ton truc, si t'en as envie? Elle se retourna, le rose aux joues, toujours. C’est l’tient. C’est pas l’mien. L’mien.. c’est tout autre chose. Olive arbora un sourire sur le coin des lèvres avant d’aller rechercher le ballon pour le ranger dans le sac de Warren. Ohio State University ? Attends, t’es un Buckeyer ? lâcha la jeune femme en sortant un maillot de basket aux couleurs de l’université de l’Ohio avec le nom de Cooper imprimé sur le dos. Sans gêne l’Olive.
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C’est ton problème si t’attrapes la mort, Cooper. Immédiatement, ton sourire s'élargit. Tes yeux deviennent pétillants. Ton air de charmeur prend le dessus sur le bon sens de la situation. Il ne fait pas si chaud, c'est vrai. Mais elle, elle te donne chaud. Tu ne la connais pas, mais elle est jolie. Très jolie. Insouciante, mignonne. Peu douée en skate-board et en basket-ball. Pourtant, ça t'amuse. Tout semble t'amuser. Plus tard, c'est toi qui cherchera à l'impressionner, alors que maintenant, c'est plutôt l'inverse. Elle t'impressionne déjà de par son audace, par sa légère naïveté, par son orgueil, ses quelques maladresses. "J'aurai attrapé la mort pour plaire à une jolie fille.", dis-tu, bien banalement, comme s'il n'y avait rien de plus normal à cela. Tu n'es pas subtil. La subtilité, c'est pour ceux qui ne savent pas s'y prendre, avec les femmes. Un homme, un vrai, il sait s'attarder sur les détails, sans en avoir l'air intimidé. Au fond, elle t'intimidait, mais tu préférais passer outre, puisque vous ne vous connaissiez pas, et que tu pouvais encore te contrôler, dans le moment présent. Tu n'aurais jamais cru que montrer un lancer de basket à une fille puisse te sembler si...sensuel et agréable. De sentir une proximité soudaine comme celle-ci te donnait chaud, malgré la fraîcheur de la température, malgré le vent qui fouettait gentiment ton dos, tes muscles, tes bras. Elle avait réussi. Un peu grâce à toi, mais elle avait réussi, après trois tentatives horriblement ratées. Elle rougissait. Tu l'voyais, ce rose qui ornait ses joues. C'était beau à voir. Tu lui souris, cette fois un sourire bien simple, sans arrières-pensées. C’est l’tient. C’est pas l’mien. L’mien.. c’est tout autre chose. Tu penches la tête sur le côté, l'observant un moment, avant de demander, spontanément, sans gêne, avide de la connaître. "Et toi, c'est toi ton truc? Ne me dis pas le skate." Au fond, tu riais intérieurement devant le spectacle de sa chute qui te repassait en tête, mais tu restais de marbre, un air d'ange au visage. Elle prit le ballon qui cognait le sol, puis alla vers ton sac, seul objet se trouvant à côté du panier, sur le terrain. Ohio State University ? Attends, t’es un Buckeyer ? Hein? Tu la fixes, tu regardes ton sac, et le t-shirt qu'elle en ressort. Tu fronces les sourcils. "Ouais. Pourquoi? Tu connais?" Enfin... tout l'monde connaissait les Buckeyers, hein.
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J'aurai attrapé la mort pour plaire à une jolie fille. Plus rentre dedans, on aurait pas fait. Il avait du culot et ça lui plaisait à Olive. Peut-être qu’elle devait faire pareil, qu’elle devait calquer sa manière d’être. N’était-ce pas ce à quoi elle n’arrêtait pas de jouer depuis tout à l’heure ? L’Olive du temps où Jorden était là serait déjà rentrée chez elle à écouter de la musique dans sa chambre. Ou elle serait rentrée pour aller à la piscine. Quoi qu’il en soit, ça ferait bien longtemps qu’elle ne serait plus là. Elle ne l’aurait même pas laissé l’aborder, Jorden l’en aurait dissuadé. C’est débile. avait-elle soufflé, le pensant vraiment. Voilà pourquoi Olive n’aimait pas l’amour, les sentiments et tout le plan drague qui vient avant ça : ça faisait faire des trucs fous. Pourtant, elle ne se plaignait absolument pas d’avoir ce garçon au torse nu tout contre elle pour l’envoyer dans les airs, marquer ce panier. Oh oui, Jorden lui aurait refait le portrait à ce Warren, Olive en était plus que persuadé. Et toi, c'est toi ton truc? Ne me dis pas le skate. Olive riait jaune, intérieurement. Très drôle, très très drôle. Elle sentait que cette chute n’allait pas rester entre eux, qu’il allait en parler à tous ses potes et qu’elle serait la risée de l’université quelques jours après. Il ne suffisait que de quelques jours pour qu’une rumeur ne se propage dans l’Ohio. Et puis Kelly s’en donnait à cœur joie, elle aussi. Cette salope. On a tous nos petits secrets, Warren. lance-t-elle net, faisant comprendre qu’elle n’en dirait pas plus. Pas un mot de plus. Jamais. Olive s’était dirigée vers le sac de sport du garçon afin de ranger le ballon. Après quoi, elle rentrerait chez elle. Elle était déjà restée trop longtemps dehors, la nuit avait commencé à pointer le bout de son nez. Mais merde, dans le sac de Warren, Olive avait vu le maillot de basket d’un Buckeyer. Au nom de Cooper. "Ouais. Pourquoi? Tu connais? Il rigolait où comment ça s’passe ? Tout le monde connaissait l’équipe de basket de l’Ohio State University. C’était l’une des meilleures équipes du coin. Un peu que j’connais. J’comprends pourquoi t’es si doué. Elle laissa tomber le ballon dans le sac et lança le maillot au garçon. Enfile le. Elle venait de lui donner un ordre et au fond d’elle, elle savait qu’elle n’aurait pas du.
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C’est débile. Débile de lui dire ça? Ouais. Elle ne semblait même pas y réagir, alors que n'importe qui aurait fondu à la remarque. Quelle froideur. Quelle bloc de glace. Tant pis, tu la réchaufferais, tu serais son petit rayon de soleil. Il t'semble que c'est bien ce qui lui fallait, à cette fille. Eh, mais pourquoi tu penses à ça, putain? T'es vraiment un mec con, Warren. Tu secoues la tête pour te chasser de ces idées ridicules, débiles comme elle dit, pour ne te concentrer que sur... le soudain silence. Que sur la fraîcheur du vent, qui commençait à s'faire un peu plus prenant, il faut bien dire. Tu avais voulu faire le fier devant cette jolie fille qui restait presque de marbre devant tout ce que tu pouvais faire? Enfin, seules ses joues parlaient à sa place, mais autrement... Difficile à cerner. "Je sais.", dis-tu en haussant les épaules, banalement. Tu lui demandes alors c'est quoi son truc à elle. Si c'pas le skate, pas le basket, qu'est-ce donc, alors? La danse? Le patinage? La gymnastique? La boxe? Le foot? Le sexe? Si elle n'était pas douée là-dedans non plus, loin de là l'idée que ça puisse te déranger de lui montrer ça aussi, hein... Vraiment, t'es un mec, Cooper. On a tous nos petits secrets, Warren. Pourquoi ne veut-elle rien te dire sur son truc, son talent? A-t-elle honte de sa fierté? Tu penches la tête sur le côté, étonné, pantois, d'un coup exaspéré, alors qu'elle vient de te laisser dans un suspense qui te suivra longtemps, même trop longtemps. Ça t'énerve, de ne pas savoir. Ne lui avais-tu pas prouvé qu'elle pouvait te faire confiance? Tu penses à ça, un peu frustré, lorsqu'elle te sors ton chandail avec ton nom gravé d'ssus et l’emblème de l'équipe de basket de l'université à laquelle tu vas depuis deux ans. Un peu que j’connais. J’comprends pourquoi t’es si doué. Pour toi, cette réalisation te paraît bien banale. Tu es doué, c'est tout. Tu fais partie des Buckeyers, c'est tout. Rien à en redire. Rien pour en faire un cas spécial. Jusqu'à ce que... elle te tende ton chandail. Tu hausses un sourcil, étonné par son ordre. Enfile le. Ah ouais, c'comme ça, avec elle? Tu l'glisses entre tes doigts, un sourire provocateur sur les lèvres. "J'croyais avoir compris que t'appréciais la vue de mon torse nu et en sueur, tout à l'heure. Dommage que tu veuilles que j'doive rompre les plaisirs." Tu hausses les épaules, enfilant le maillot par-dessus tes épaules, ta tête. Voilà, t'es recouvert. "Contente, maintenant?", demandes-tu un peu froidement. Il commençait à s'faire nuit. Tu resterais jusqu'à ce qu'elle s'décide à partir, ou à faire un truc, t'sais pas. Enfin, elle était têtue et fragile à la fois. Ça t'impressionnait. "Donc tu veux vraiment pas m'dire c'est quoi ton truc?!"
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J'croyais avoir compris que t'appréciais la vue de mon torse nu et en sueur, tout à l'heure. Dommage que tu veuilles que j'doive rompre les plaisirs. Elle n’avait jamais dit une chose pareille. Jamais. Oh, pourtant elle l’avait pensé, peut-être trop fort. Peut-être que les joues en feu de la jeune fille l’avait trahies. En même temps, il y avait de quoi. Elle le détestait déjà. Elle le détestait aussi fort qu’il l’intriguait. T’as mal compris, tu m’connais pas, Cooper. lâcha Olive en regardant ses pieds. Relève la tête, regarde devant toi. Regarder ses pieds, c’était signe de faiblesse et Olive ne voulait plus se sentir faible. Elle voulait se sentir forte, indétrônable de son pied d’estale qu’elle se forgeait à chaque minute qui passait. Contente, maintenant? Il était beau torse nu, mais encore plus avec le maillot de l’équipe de basket ball. Olive devinait parfaitement sous son maillot chacun de ses traits, chacun de ses muscles. Chacun de ses tatouages. Elle ne les oublierait pas. Elle le détestait. Tu les fais toutes tomber pas vrai ? Le grand Cooper, basketteur dans l’équipe des Buckeyers. C’est l’chouette rôle pas vrai ? dit-elle d’un regard malicieux, tout pétillant. Elle les voyait déjà toutes à ses pieds, hurlant son nom. C’était écœurant. Donc tu veux vraiment pas m'dire c'est quoi ton truc?! Olive haussa les épaules et enfila sa veste qu’elle avait enlevée un peu plus tôt pour jouer au basket. Elle réajusta le col comme il faut avant de zipper la fermeture et passer la capuche. Tu l’sauras peut-être, un jour. répondit-elle avec son sourire en coin avant de filer comme une voleuse jusqu’à chez elle. Sur le chemin du retour, elle avait son image dans la tête, son sourire, son clin d’œil, ses yeux malicieux. Putain, elle le détestait.
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