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(KOLIZIE) + tout explose, et part en poussière.

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Je m’étais carrément mis hors de moi, j’arrivais plus à me contrôler, j’avais besoin que tout ça sorte … j’en pouvais plus de résister. Je m’étais peut-être trop emporter en fait sur le coup, je n’avais pas retenue mes mots, j’avais peut-être été trop dur, trop violent. Mais j’avais eu besoin de ça, j’avais eu besoin de crier un bon coup, de lui dire tout ce qui me passé par la tête. Tout simplement parce que même si ce discours était complétement brouillon que j’avais dit des choses sur le coup de la simple colère ben j’avais surement dit l’essentiel, c’était que oui je l’aimais toujours et je ne cesserai jamais de l’aimais car Liz’ était mon premier amour, l’amour qu’on ne peut jamais oublier quoi qu’il se passe, qu’a chaque fois que je pouvais penser à elle mon cœur faisait carrément un tour sur lui-même … et que je ne pouvais pas non plus l’abandonner, m’éloigner d’elle, c’était plus possible. J’avais essayé et ça n’avait pas marché, alors j’en avais marre de lutter contre mes propres sentiments, mes propres envie … je finissais par être complétement pommé et j’en pouvais carrément plus. « A l’époque je pensais que la meilleure solution à faire c’était justement de m’éloigner de toi … je suis partie aussi loin que j’ai pu, j’ai fait en sorte de t’oublier autant que je pouvais. Mais quand t’as débarqué à Harvard, je me suis rendue compte que tout l’amour que j’avais pour toi, il s’était jamais éteint je l’avais juste mis en vieille. On s’est jamais dit en revoir toi et moi … et quoi qu’il arrive je ne compte pas le faire Liz’ ! J’avoue mes fautes, je t’ai fait souffrir, plus que je n’aurais dû le faire, je me suis éloigné de toi ensuite et tu l’as interprété de la façon dont t’as bien voulu le faire … mais sache que j’ai jamais voulu que ton si beau visage soit remplie de larme par ma faute. » J’avais envie de pleurer, j’avais envie que toute la tristesse en moi sorte une bonne fois pour toute mais ce n’était pas possible, car pendant trop longtemps je m’étais interdit de pleurer. « Je veux me rattraper Liz’ … je veux plus te faire souffrir … » Elle avait bien remarqué à travers tous ses mots que je lui avais dit que je l’aimais, que j’étais fou d’elle, parce que oui c’était toujours le cas. Je n’arrivais tout simplement pas à contrôler tous ses sentiments que j’avais pour elle. Et c’était bien ça le problème, ça avait toujours ça le problème. Pourquoi je n’arrivais décidément pas à faire un trait sur tout ça ? Sur notre histoire ? Pourquoi je continuais à m’acharnais comme un forcené ? Est-ce que c’était vraiment la bonne solution après tout ? Je n’arrêtais pas de me poser pleins de questions dans ma tête, incapable d’avoir les réponses adéquate. « Tu crois que je le fais exprès de t’aimer comme un fou ? Tu crois vraiment que c’est simple pour moi tous ses sentiments que ressent pour toi ? Je suis rongeais à la fois par l’amour et le dégout. A cause de tous ses sentiments que j’ai pour toi j’ai réussi à foutre en l’air ma vie de couple, j’ai blessé à jamais Keyla et je l’ai ensuite perdu. Je ne dis pas que c’est de ta faute, loin de là, ne le comprend pas de cette manière, mais je suis juste en train de dire, que tout ça est en train de me tuer petit à petit parce que justement je n’arrive pas à contrôler tout l’amour que je ressens pour toi. Plus tu t’éloignes de moi, plus mes sentiments à ton égard grandissent et ça ce n’est pas acceptable … dans ses conditions-là, je ne peux pas te perdre … Pas toi Liz’, pas mon Elizabeth. » avais-je dis en la regardant droit dans les yeux. Tout ce que je pouvais dire, c’était sincère, je ne jouais plus un jeu à présent, j’en étais incapable maintenant. « Je ne te demande pas de revenir vers moi pour que notre histoire reparte à zéro, aujourd’hui ce n’est plus possible, on s’est trop fait du mal nous deux pour que ce soit possible à nouveau, même si comme je te le dis je t’aime de tout mon cœur, que j’ai tant d’amour pour toi, je sais que tu ne peux plus me pardonner tout ce que je t’ai fait. Je le comprends, j’ai grillé ma dernière carte. Aujourd’hui, t’en aime un autre … très bien … je vais faire en sorte de l’accepter, j’irais rien lui faire … je ne vais pas me rabaisser à le tabasser … même si c’est dur pour moi, mais pour toi je près à faire ça. Je suis prêt à refouler tous les sentiments de haine que j’ai envers lui. Je suis prêt à accepter votre histoire … aussi longtemps qu’elle pourra durer. Mais … mais … » Je n’arrivais pas à terminer, je réussirais certainement jamais, parce qu’après tout je ne savais pas vraiment moi ce que je voulais … à croire que tous les deux on était arrivé à une impasse … une impasse qui ne se terminé cependant jamais (c’est possible ça ?) Tout ce que je pouvais dire concernant sa nouvelle histoire avec ce certain Antwan ce n’était que mensonge, je n’accepterai jamais réellement qu’elle puisse être heureux avec un autre … un autre que moi. Car pour notre histoire était loin d’être terminé, elle ne venait que de commençait même si cela faisait déjà des années que nous nous bâtions nous deux pour notre amour. « Avec Keyla, notre histoire à commencer à prendre l’eau il y a bien longtemps déjà, notre rupture, notre futur divorce à juste pris du temps à s’installer car on était pas encore capable de se détacher l’un de l’autre, on s’accrochait encore à un espoir de bonheur qui ne pourra jamais arrivé car tous les deux on est maudit, incapable d’être heureux ensemble … ne te sens pas coupable de ça Elizabeth, ne te sens pas couple d’avoir exprimé tout l’amour que tu pouvais encore ressentir pour moi … Tout ça c’était de ma faute, simplement de ma faute … je suis désolé ! » Je savais plus quoi faire, ni quoi dire … dans ma tête, ça explosé de partout, c’était un vrai champ de bataille. Comme construire un discours cohérant avec un champ de mine qui était en train d’exploser petit à petit ? « Tu veux que je te dise quoi au juste Liz’ ? Pour moi j’ai toujours été sincère avec toi … j’ai juste mal fait les choses, j’ai été trop maladroit, trop gourmand, j’ai toujours fais mal les choses avec toi. Mais je ne veux pas que tu penses que nous deux ça n’a été qu’un vulgaire jeu pour moi, tu ne seras jamais un jeu à mes yeux, je n’ai jamais joué avec ton cœur Liz’, je ne peux pas dire des choses qui ne sont pas vrai à mes yeux ! » J’avais envie de tout casser, j’avais envie d’évacuer toute la colère que je pouvais ressentir, que je connaissais en ce moment … ce n’était pas de la faute de Lizie, c’était juste de la mienne, c’était moi qui avait tellement mal fait les choses. « Je veux que tu connaisses le bonheur Liz’, je l’ai toujours voulu … mais y’a quelque chose en moi qui me cris sans cesse, ne la laisse pas partir, retiens là, c’est avec toi qu’elle devrait vivre cet amour et pas avec un autre … mais il y a une autre partie de moi, qui est prête à te laisser partir, qui me cris elle aussi que tu serais bien mieux avec un autre comme que moi, que je ne t’ai fait que souffrir quand on était encore ensemble et que quoi qu’il arrive je serais toujours mauvais pour toi ! Je suis tiraillais entre deux voix et je sais pas laquelle écouter … » Je crois que décidément il n’y avait pas plus pommé que moi sur cette terre … c’était fou à quel point c’était compliqué cette histoire. C’était la qu’elle s’était avancé vers moi pour poser délicatement ses mains sur mes épaules alors que j’étais en train de trembler comme jamais. La colère avait un effet dévastateur sur moi, elle l’avait toujours eu, elle était une part de moi-même que je préférais refouler autant que je pouvais, mais en ce moment elle était tellement présente que c’était impossible. Nos regards étaient l’un dans l’autre, et elle avait le don de m’apaiser, elle avait toujours su le faire. « Je t’aime tellement Liz’ … » lui avais-je dis dans un dernier élan d’espoir déjà perdu d’avance.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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Malgré le froid, tu écoutes le jeune homme t'expliquer le pourquoi du comment de son départ précipité de France. Vue comme ça, tu ne pouvais pas lui en vouloir. T'avais p'être pas réussie à le voir à cause de ta tristesse envahissante de l'époque. Ton premier chagrin d'amour n'avait pas voulu voir cette partie-là la vérité quand Kol était parti de Paris pour ne plus te faire de mal. Il avait totalement raison sur le fait que votre amour c'était de nouveau réveillé quand vous vous étiez revus à Harvard. Toi qui était persuadée à l'époque de ne plus rien ressentir pour lui, tu t'étais royalement mis le doigt dans l'oeil. Je sais que tu es capable de te rattraper Kol car tu es un homme fort, tu l'as toujours été. Si je t'accorde mon pardon, tu me promets que je ne vais pas le regretter ? tu lui demandes hésitante car tu n'en pouvais plus de ce malaise entre vous. Ca devait faire quoi, depuis mai dernier que tu te montrais froide et distante avec Kol, soit plus de huit mois. Ce temps avait été dur et loin mais t'estimais que le jeune homme avait compris la leçon et qu'il avait eu le temps de réfléchir sur tes faits et gestes. Et t'espérais de tout coeur que tu ne te trompais pas en lui accordant de nouveau ta confiance. Qu est ce que tu ne ferais pas pour lui ?  Tu ne sais pas, l'amour pouvait te faire faire des trucs de dingues complètement incompréhensibles par moment. Ca avait été toujours comme ça entre lui et toi. Toujours. Kol je sais pertinemment que ces sentiments n'ont jamais été facile à vivre pour nous deux. Je sais aussi que tu ne le fais pas exprès. L'amour nous rend incontrôlable. L'amour nous rend maladroit. L'amour nous a rendu fort mais aussi faible. J'veux pas que du doute que malgré tout le mal qu'on a pu se faire, j'ai pensé des moments magiques et inoubliables avec toi. Ces moments-là ils resteront à jamais graver là. tu dis en posant délicatement ta main sur son coeur. Mais s'il te plait arrête de te torturer avec ça. Arrête. J'aime pas te voir comme ça, j'aime pas quand je sais que c'est à cause de moi. Tu vas pas m'perdre, regarde on est toujours là en train de se parler ? tu dis avant un fin sourire sur tes lèvres. Je te remercie d'essayer de mettre ta colère de côté pour moi, d'essayer de te contrôler. Ca me touche et je t'en serai vraiment reconnaissante si tu continues ça sur le long terme. Tu sais très bien que la violence à nos problèmes n'est pas la solution. Mais au contraire ça dégrade notre relation déjà fragile que j'aimerai qu'on arrive à reconstruire autant que toi. Je sais qu'on en est capable si on arrive à se contrôler, toi autant que moi. t'écoute ensuite Kol qui te parle de ton mariage avec Keyla qui allait bientôt se finir par un divorce. Malgré le fait que ça n'avait jamais été l'amour fou etre la mather et toi, ça t'attristait de voir leur bonheur réduit à néant. Principalement à cause de toi. Mais tu écoutes Kol qui te dit que ce n'est pas de ta faute. Il t'avoue alors qu'il a été toujours sincère avec toi, franchement tu ne sais plus quoi penser. Ça en faisait trop d'un coup pour ton pauvre petit coeur qui ne savait plus où donner la tête. Tu l'écoute, lui et ses douces paroles qui te faisaient pendant un instant oublier tout le mal qu'il t'avait fait. Cette fois-ci tu ne préfère rien répondre car tu ne voulais plus remuer le couteau dans la plaie à propos de la sincérité de votre histoire. Tu ne pouvais nier que votre amour avait été sincère avant qu'il ne devienne destructeur. Kol t'avoue ensuite qu'il était torturé à l'intérieur de lui. Tu comprenais parfaitement ce sentiment. T'en étais toi même victime et c'était affreux comme sentiment. Et tu finis par lui répondre. Ecoute la mienne de voix Kol. J'suis peut-être pas la voix de la sagesse, j'suis peut-être pas la meilleure en conseil. Moi aussi je suis très maladroite comme fille, encore plus quand j'suis avec toi car t'as le don, t'as toujours eu le don de retourner sans dessus dessous mon coeur, mon corps tout entier même. Tu ris doucement car c'était vrai, Kol avait ce pouvoir incontrôlable sur toi, ce pouvoir auquel tu essayais de lutter jour et nuit. Parfois t'y arrivais, parfois tu échouais et là tu te sentais faiblir car après toute cette colère Kol semblait avoir petit à petit compris ce que tu voulais et tu ne pouvais rester insensible face à cela. Ce que jveux dire par là, c'est qu'on doit apprendre à s'écouter, à se comprendre, à s'accepter. Tu sais pour moi aussi, même si j'le montre pas de manière aussi excessive que toi, ça m'a touché, énormément touché, que j'te vois avec quelqu'un d'autre, que jte vois te marier, vouloir fonder une famille avec une autre personne que moi. Mais j'ai appris à accepter même si j'pleurais de l'intérieur parce que je voulais etre ton bonheur. On doit apprendre à s'écouter, donc je vais faire ce que tu me dis, j'vais essayer de pas culpabiliser même si j'me sens incroyablement coupable pour Keyla et toi. Comme tu dois accepter pour Antwan et moi. C'est important qu'on s'écoute et qu'on accepte la vie de l'autre, pour qu'on puisse se retrouver car on ne peut plus vivre comme ça. On ne peut plus vivre dans le passé avec nos regrets, mais on doit vivre dans le présent.  Tu le vois comment on souffre à cause de nos propres sentiments l'un envers l'autre ? Ils sont passés où les deux ados qui riaient aux éclats d'avoir faire une énorme bêtise ensemble ? Ils sont où les deux ados qui se prenaient pas la tête ? Il me manque eux... Pas à toi aussi ? Tes yeux ne quittent pas les siens, le froid te transperce la peau, tes mains s'étaient posées sur les épaules du jeune homme pour qu'il arrête de trembler, tu savais que d'un simple regard tu arrivais à le calmer. Tu voulais qu'il arrête de se détruire à cause de cette colère envahissante et qu'il respire de nouveau. Cela semblait marcher avant qu'il te sorte ces trois petits mots qui font littéralement chaviré ton coeur. Ton coeur il fait un tour complet avant de tomber à la renverse. Il est en train de se noyer dans ce sur plein de sentiments, il ne s'en sort plus, il ne trouve plus la sortie de ce labyrinthe de l'amour, il est perdue, il est sur le point de devenir fou et d'exploser. Tu sens que tes jambes vont te lâcher et tout ce que tu trouves à faire c'est de t'accrocher au jeune homme pour ne pas tomber. Tu le serres fort, tes bras sont autour de son coup ne veut pas le lâcher, tu le serres fort, tu es blottie contre lui sentant son coeur battre aussi vite que le tien. Tu as froid et tu cherches un peu de sa chaleur humaine, seul moyen pour lutter contre tes frissons. Tu restes là contre lui car t'es incapable de répondre à son je t'aime pour de multiple raisons. Peut-être que la seule réponse que tu peux lui accorder c'est la force de ton étreinte qui témoigne de la force de votre amour. Mais tu ne peux pas lui dire ces trois petits car ce serait une bêtise et lui donner de faux espoirs alors que vous essayez de reconstruire un semblable d'amitié. Tu ne pouvais plus lui dire je t'aime car Kol était ton passé et Antwan ton présent, ton avenir, ton bonheur. Tu ne pouvais pas le lui dire car tu ne voulais pas retomber dans cette spirale infernale de l'amour. Tu te l'interdisais même si l'envie était présente, tu ne pouvais le nier mais c'était un pêché de le dire. T'avais peur de lui répondre quoique ce soit car t'avais peur de ne pas dire les mots justes et blesser son coeur. Kol... J'veux pas te blesser, j'veux pas nous blesser. Je veux pas raviver cette vieille blessure dans mon coeur en te disant ses mots. Tu sais très bien ce que je ressens pour toi, ce que j'ai toujours ressenti, ce que je ressentirai sans doute pour toujours... de l'amour jusqu'à ton dernier souffle Je pense que j'ai pas besoin de te le répéter car tu le sais déjà, n'est-ce pas ? tu relèves ton regard bleu azur vers lui sans cependant te défaire de votre étreinte. Suffisait d'un regard pour vous comprendre de toute façon Mais j'veux que tu comprennes une chose et que tu n'en doutes jamais. Pour que mon bonheur soit complet c'est que tu respectes ma vie sentimentale mais que tu sois là aussi. Car c'est une évidence, t'es mon oxygène dans ce monde, que même quand j'te déteste de tout mon coeur, j'ai besoin de toi pour respirer. J'veux pas que nos conneries, nos erreurs de jeunesse nous séparent. Jamais je l'accepterais. Jamais je n'accepterai comme toi de te perdre. ces mots-là étaient sortis du plus profond de ton être. Tu avais essayer de dire les mots justes pour essayer de reconstruire les choses entre vous, de réparer vos coeur en miettes. Et sous l'émotion, tu sens une larme couler le long de ta joue.
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