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Evidement, il n’avait pas vraiment compris en quoi c’était ‘’dommage’’, et tu te rendais bien compte que tu ne pouvais décidement pas dire ça sans qu’il t’en demande plus. Ah ouais mais non. Tu pouvais pas, t’en avais aucune idée, roh et puis merde, pourquoi il était aussi curieux ? Tu disais ça, mais en vérité tu aurais fais pareil, si ça avait été lui qui aurait dit un truc pareil. Comment l’expliquer ? « Hmpf, parce que t’as du potentiel sans doute. » Ouais « sans doute » hein, parce que t’en étais en vérité complètement sûr de ça, qu’il pouvait faire craquer tous les garçons qu’il voulait, mais fallait pas qu’il prenne la grosse tête, il serait trop fier. Mais du potentiel, ça il en avait, l’Oscar adolescent perdu et rongé par la solitude le savait, parce que ce sourire d’emmerdeur, t’en étais jadis tombé amoureux, et c’était juste le même aujourd’hui. C’était pour ça que ça faisait si mal ? « Sans doute ». Tu poussais un grognement lorsqu’il te disait qu’il ne voyait pas pourquoi c’était voué à l’échec, cette histoire avec Chrissy – ouais parce qu’en vrai tu le connaissais son prénom, mais c’était plus drôle de dire la pétasse blonde, plus facile aussi. Tu soupiras, jouant nerveusement avec ton gobelet. « Parce qu’elle est pas pour toi, parce que même si t’étais mystérieusement passé hétéro, voir bi, je te verrais jamais avec une fille, et parce que vous n’allez pas du tout ensemble. » Tu répondais le plus franchement du monde, levant les yeux vers son visage pour observer sa réaction face à cette soudaine franchise. Il voulait savoir ce que tu pensais, et c’était ça. C’était… De la jalousie ?

Et puis… T’avais sans doute fait ce qu’on pouvait appeler une bourde. A vrai dire, c’était plutôt compliqué de se positionner. Parce qu’en un sens, tu te débarassais simplement de lui, et t’avais plus à te soucier de lui si t’avais réussis à autant le vexer : il partirait et tu n’entendrais plus parler de lui pendant un moment, aussi simplement que ça. D’un autre, tu voulais savoir ce qu’il avait à te dire concernant cette soirée, malgré le contre-foutage que tu donnais l’impression de ressentir. D’un autre, et d’un dernier, plus difficile à avouer, t’avais pas vraiment envie qu’il parte comme ça, pour une connerie que ton égo avait poussé à te faire dire. C’était… Compliqué. Et tu ne savais pas vraiment pourquoi t’avais parlé de ça tout à coup, alors qu’il n’en avais pas été question une seule seconde. Ca t’étais juste venu à l’esprit. Soirée, danse, lui… Tu te voyais déjà, comme des années plutôt, complètement ivre en train de te frotter à lui sur la piste de danse avant de le plaquer contre le mur des toillettes pour qu’il te fasse l’amour passionnément. Ca aussi, eh, c’était bien vieux. Alors merde. Il te sortait en partant, d’un ton cassant que t’avais juste dragué tous les gars de la boite, et que personne n’avait voulu de toi, t’étais simplement partis seul comme un con. Tu savais qu’il mentait, que ce n’était pas ça, qu’il disait ça sous la colère. C’était juste pas possible. Pourquoi tout partait en couille tout à coup ? Pourquoi tout le monde vous regardait à nouveau, en se disant certainement que vous étiez complètement tarés tous les deux… ?

Tu te levais, abandonnant ta boisson pour attraper son bras en grognant. Tu l’attirais en dehors du starbuck, un peu plus loin, à l’abris de tous ses gens qui vous fixaient avec des yeux écarquillés. Il se débatait mais tu ne lâchais pas prise, poussant un grognement, et tu lui attrapais les poignets pour ne pas qu’il te frappe. « Pourquoi tu t’énerves tout à coup ? C’est le fait que j’ai dis ne pas vouloir me retrouver dans ton lit qui te piques au vif ? Pourquoi ? Ça te vexes peut–être ? » Tu le fixais, inspirant. « La vérité Nemo, c’est que tu joues au mec hyper satisfait de son mariage mais que ça colle pas, que ça fait faux. Tu persistes à vouloir continuer à jouer à ça devant moi, alors que tu agis parfois dans le sens contraire de ce qu’il faudrait que tu fasses. Si tu étais amoureux de cette… De Chrissy, qu’est-ce que t’en aurais à foutre que je ne veuille pas me retrouver dans ton lit ? » Tu l’interrogeais, soutenant son regard, avant de serrer les dents. Tu ne l’avais pas rattrapé pour lui faire la leçon, parce que là il risquait simplement de juste te cracher à la gueule, vu à quel point il était ne colère. « J’ai dis ça parce que la dernière fois qu’on a été en boite tous les deux, on a couché ensemble dans les toillettes, parce que je sais pas me tenir quand je suis bourré, contrairement à toi. » Quoi d’autre ? « Je me sais tout à fait capable de venir vers toi bourré et de me frotter à ton bassin jusqu’à ce que tu craques, et c’est d’ailleurs probablement ce que j’ai fais, en vue de ta réaction, je le devine sans mal. Ce que je comprend moins, c’est pourquoi tu es si en colère, Nemo. » Et tes pupilles se plantaient dans les siennes, cernées mais puissantes.
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T'avais envie de partir, de sortir de ce putain de café, d'effacer sa face de connard dans tes souvenirs. Le mec, il t'avait mis de mauvais humeur en deux secondes chrono, nouveau record à battre quoi. Il te saoulait, il te saoulait tellement, surement parce que tu l'avais trop revu d'un coup. Une fois lors du voyage au Canada où c'était un choc de voir comment il avait changé physiquement, et maintenant, deux fois en deux jours, alors que tu n'étais pas tombé sur lui une seule fois durant quatre ans. Ça te faisait ressortir trop de trucs, ça te faisait remémorer trop de trucs, et même si tu t'évertuais à garder en ta mémoire une image intacte et belle de ton premier amour, plus tu le voyais et plus t'avais l'impression qu'il s'était donné comme tâche de la salir avec ses grosses pattes de gay haineux. Tu n'eues même pas le temps de sortir de toi-même qu'il attrapait ton bras derechef et qu'il t'attirait dehors, alors que toi tu balançais tes bras à droite et à gauche en essayant de le lui faire lâcher. Merde alors, on t'avait déjà privé de ta liberté de marier qui tu voulais, maintenant t'avais même plus la liberté de mouvements ? Ça allait être quoi bientôt hein ? T'auras même plus le droit de penser ce que tu voulais. Oh, il te tardait que ce jour arrive tiens. Il attrapait tes poignets – genre ça va là, y a pas trop abus non ? - et il te sortait de ces tirades, dans le genre il n'avait surement jamais parlé autant de sa vie en une seule fois. Et plus il parlait, plus il t'énervait. Qu'est-ce qu'il te faisait chier avec toutes ses questions. Et comment t'allais pouvoir te dépêtrer de cette situation maintenant hein ? Ah, bravo Nemo, à faire le susceptible Oscar avait réussi à inverser la tendance et c'était maintenant à toi de lui rendre des comptes sur ta réactions assez vive. Le gros problème fut probablement le fait que tu n'en avais aucune envie, qu'est-ce que tu pouvais bien lui dire hein ? De toute manière, il se foutait de tout ce mec, et quoi que tu lui racontes ne lui ferait surement ni chaud ni froid. Parce que c'était un dur à cuire comme ça le Oscar, comme Balthazar Picsou lors de ses années au Klondike. Oui, t'étais vexé. Tu avais le droit non ? Putaaain. Et en plus il te regardait avec son putain de regard et t'avais envie de lui arracher les yeux, de les lui crever des tes doigts comme Œdipe avait pu se le faire lui-même, juste pour qu'il arrête de te toiser de son air si supérieur et dominant. Pourquoi ça te vexait d'abord ? Tu pouvais comprendre qu'il ai changé d'avis depuis des années mais... Qu'il soit bourré ou pas, il en restait la même personne, il pouvait être lunatique mais il n'en était pas schizophrène ou bipolaire à ce que tu saches. Sauf qu'à un moment il disait blanc, et l'autre moment il disait noir, et il t'embrouillait la tête et l'esprit. Tu ne savais pas, t'étais passé de t'as du potentiel à je vomirai mes tripes si je me retrouvais dans les mêmes draps que toi et tout cela en moins de trente minutes, mais à lui apparemment, ça lui semblait tout à fait normal. Et pourquoi même il te parlait de Chrissy hein ? Il la ramenait toujours dans l'équation même quand il n'y avait pas besoin. Même si tu étais profondément amoureux d'elle, tu étais presque sûr au fond de toi que tu l'aurais prise pareille sa putain de phrase. Merde, t'étais quand même pas le seul mec qui prenait la mouche quand son ex lui sortait quelque chose comme ça non ? Ou peut-être était-ce que c'était lui qui t'avait sorti ça, comme un gros connard, et que ça changeait tout. En même temps, il voulait des réponses mais t'insultait pratiquement la seconde d'après ? Ouais non, ça passait pas Oscar. « Mais putain mais ça n'a rien avoir avec Chrissy. » Tu disais tout de même parce que décidément il ne comprenait rien de rien. Et il continuait en plus, te rappelant cette dernière nuit où vous étiez allé en boîte et aviez fait l'amour dans les toilettes faute de trouver un meilleur endroit sous l'excitation, et en plus il te disait carrément à quel point il ne pouvait pas se contrôler bourré – et putain, tu plaignais les personnes avec qui il avait pu être en couple car ça n'indiquait pas du tout un Oscar fidèle ça – et qu'il avait surement dû venir se frotter contre toi en dansant. Il se foutait de ta gueule ou..? Meeeec, pourquoi tu me poses cette putain de question si t'en sais déjà la réponse hein ? Sérieusement, il n'était pas un peu débile là ? Ouais, ce devait être ça. « C'est ton irrespect que je déplore. » Et attention, t'essayais de sortir les grands mots là. « D'accord, peut-être que tu me détestes toujours. Peut-être que je dégoûte comme tu le dis, qu'est-ce que j'en sais hein ? » Tu disais, ton regard dans le sien, haussant tes épaules en mode « qu'est-ce que j'y peux faire ? ». Non mais sérieusement, quand t'avais dit qu'il te faudrait les pouvoirs d'Edward Cullen tu ne plaisantais pas, ça te faciliterait tellement la vie quoi. Ou qu'on te fasse une encyclopédie du Oscar, spécialement édité pour toi afin que tu commences en peu à comprendre ce nouveau lui qu'il s'était créé. « Mais ça me fout en colère la manière dont tu parles. Ça y est, on a couché dans le passé ensemble, c'est fini maintenant alors je ne suis que de la merde ? Je mérite pas un peu de respect ? Et puis qu'est-ce que ça peut te foutre que je sois en colère ? Puisque tu t'en contrefous de ma gueule. » Et t'avais toujours tes yeux noirs qui ne semblaient pas vouloir baisser d'intensité. T'avais l'impression de te retrouver dans la cours d'école en fait, et t'avais du mal à expliquer ce sentiment. Tu n'avais jamais compris les gens qui étaient amis entre eux, et qui à la seconde où ils ne s'entendaient pas sur quelque chose – aussi futile cette chose pouvait être – déversait leur énervement en parlant sur le dos de cet ami comme si plus rien existait entre eux alors que ce n'était qu'un petit différend qui ne méritait pas tant de haine et tant d'irrespect pour celui qu'on appelait son ami. T'avais l'impression qu'Oscar faisait pareil. Vous étiez sorti ensemble, vous aviez fait l'amour ensemble, et maintenant que c'était fini il déversait sa haine et devenait méchant juste pour être méchant et pour blesser à chaque occasion qu'il le pouvait. Et c'était peut-être ce que faisaient les exs entre eux, mais t'étais pas comme ça. Tu chérissais les souvenirs et t'étais pas non plus comme ces stars qui parlaient mal sur l'autre après une rupture pour se remettre avec la personne deux semaines après. Tu ne comprenais juste pas ces agissements. Toi t'irais jamais à dire à quel point Oscar est dégueulasse ou que tu aurais envie de lui dégueuler dessus si tu revoyais sa tête ni rien de ce genre. Tu le traiterais surement de connard et tu pestiférerais dans ta tête, mais ça s'arrêterait là. Apparemment, les gens n'étaient pas tous comme toi. « Et lâche-moi, faut que tu perdes cette habitude. » Tu disais en libérant tes poignets de sa poigne, comme il l'avait déjà fait la veille.

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T’arrivais pas pleinement à comprendre ce qui le rendait si mauvais. T’avais pas vraiment fait attention à quelle partie de la phrase l’avait fait le plus tiquer, car tout ce que tu avais pu voir, c’était qu’il t’avais envoyé te faire foutre à la fin de ta tirade. Oui, en fait, oui, ça t’avais surpris. Il fallait croire qu’à force d’être si désagréable, tu ne mesurais même plus la cruauté de tes phrases, et tu blessais sans même t’en rendre compte. Est-ce que c’était ça, que tu étais devenu ? Exactement comme ton père. Tu pouvais être fier, plus tard, tout comme lui sans doute, tu tuerais la personne que tu aimerais, et ton cœur deviendrait de plus en plus froid avec le temps. Tu n’avais plus qu’à étudier sans arrêt, pour devenir banquier ou quelque chose dans le genre, n’est-ce pas ? Non, ça n’avait jamais été ce que tu voulais. Ce n’était pas voulu, ce n’était pas mauvais… Qu’est-ce que tu avais raconté encore ? Et même lorsque tu l’attirais à l’écart, cela ne te paraissait pas plus clair. Vous étiez tous les deux l’un en face de l’autre, et pourtant, vous sembliez comme incapable de vous comprendre. Tu réalisas alors avec fracas à quel point vous étiez éloignés, désormais. Tu te remémorais presque avec douleur cette époque où il ne vous fallait qu’un regard pour éclater de rire, et à quel point aujourd’hui, un fossé s’était creusé, par le manque, la colère, la tristesse, et surtout un passage brutal à l’âge adulte. Du moins, il l’avait été, pour toi. Ton caractère de merde ne facilitait en rien les choses, mais putain, pourquoi tout était si compliqué ? Parce que vous n’étiez plus aussi proches, parce qu’il avait pris l’habitude de lire en toi, parce que tu ne t’ouvrais plus à lui. C’était ça, que tu voulais ? C’était irréversible. Tu l’écoutais parler mais tout cela te semblait bien compliqué, et ce devait être la fatigue, mais certaines de ses syllabes te parvenaient difficilement, comme lourdement. « Je m’en contrefous pas de ta gueule. » Tu disais finalement une fois qu’il eut finit de parler, et t’ai forcé à lâcher sa main. « Si c’était le cas, alors tout serait plus simple. » Tu disais simplement pour commencer, parce que tu trouvais que ça résumais bien la situation, à vrai dire. Le problème dans votre relation, c’est que tu ne l’aimais plus, qu’il ne t’aimait plus, mais que toi, en tout cas, ne parvenais pas à le détester pour autant. Tu t’en convainquais oui, mais tout ça n’était qu’une illusion. « Mais je… » Tu commenças, avant de finalement revenir sur tes pas. Ne lui dis rien, non, il ne fais plus partis de ta vie. Tu soupirais longuement, haussant les épaules. « Déteste-moi, c’est mieux. » Tu concluais. Parce qu’attirer sa haine, c’était le mieux à faire. Il savait tant de choses sur toi, c’était le seul capable de lire en toi, du moins qui le fus jadis. Si tu te sentais si vulnérable, ni grognon en sa présence, c’était bien sûr parce qu’un geste de lui, et tout volerait en éclat. Parce que tu t’étais ouvert comme personne à ce prince qui jadis était le tien, et maintenant qui n’était plus rien. C’était mieux, s’il se détournait de toi, et ne connaissait comme les autres que le Oscar que tu voulais bien montrer. De toute façon, qu’est-ce que ça pouvais te faire hein ? Comme il te l’avait dit, t’étais pas sensé avoir la moindre considération pour lui. Il devait te voir comme un connard, c’était le but. Tu fis demi-tour sur tes pieds, t’allumant une cigarette pour te calmer, et passant une main sur tes yeux endoloris de manque de sommeil, avant de partir vers la sortie. T’allais vraiment partir comme ça ? Le Oscar de façade oui, le ferait. Qui étais-tu vraiment ? Tu n’en étais plus très sûr. Mais ton portable sonna, te coupant dans ton hésitation, et tu répondis de suite, presque soulagé d’entendre la voix tremblante de ta mère au bout du fil. Tu souris doucement, les mains tremblantes, jetant un regard à Nemo en coin. Tu soupiras, secouant la tête. « On avait des projets, maintenant on est plus rien. » Tu soufflas, avant de disparaître, retournant dans l’appartement en écoutant la voix douce de ta mère à l’autre bout du fil, qui même elle, n’arrivait pas à apaiser le trou que tu ressentais au milieu de la poitrine à ce moment là.

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Lui te gueulait bien dessus quand tu mentionnais Chrissy, pourquoi toi tu n'avais pas le droit de le prendre mal quand il te rabaissait hein ? Il disait s'en foutre de tout, que tout serait moins horrible et pénible pour lui que de se retrouver dans tes draps ou d'être dans une ruelle le pantalon baissé. V'là l'image qu'il te donnait, t'étais au même niveau qu'un espèce de rapport non-consentant oublié sur mec bien trop bourré pour se souvenir si on l'a forcé ou pas le lendemain matin. Très très charmant. Et il pensait que tu n'allais pas réagir, que ça te ferait plaisir. Lui il tiquait pour tout et n'importe quoi, et toi c'était pour ça. Point. Puis il te disait qu'il ne s'en contrefoutais pas de ta gueule, et tu reniflais un rire parce que bien sûr, très belle façon de le montrer Oscar. Finalement tu préférais peut-être lui être indifférent plutôt que dans son top deux des pires choses qui pouvait lui  arriver dans la vie. Mais tu levais ses yeux, intéressé, quand il te disait que si c'était le cas, tout serait plus simple. Tu ne savais pas vraiment comment interpréter ça, et il ne s'expliquait pas plus longuement sur la question. Comme si cette phrase se suffisait à elle-même. Mais t'avais besoin de plus toi qu'est-ce qui serait tant plus facile ? Ça ne faisait que peu de temps que tu l'avais revu, tu n'avais pas pu foutre autant le bordel en lui hein ? Tu comprenais que se revoir n'était pas facile à proprement parler parce que toi aussi, ça te faisait ressortir des souvenirs, et des des brides de et si ça avait été différent ? Et si je lui avais écris cette putain de lettre au moment venu ? Et si on e s'était jamais quitté ? Est-ce qu'on se serait déchiré après un an de relation ou est-ce qu'on aurait tenu ? qui ne trouveraient jamais réponses dans ton esprit. Il commençait à parler une nouvelle fois, puis s'arrêtait, avant de te dire que c'était mieux si tu le détestais. Mmmmh quoi ? Tu ne voyais pas en quoi c'était mieux que votre relation soit si pourrie qu'elle repose sur de la haine pure et simple. C'était ça qu'il voulait ? De n'avoir plus rien affaire avec toi ? Tu comprenais pas. « Mais merde, je t'ai pas détesté avant je vais pas l'faire maintenant, non ? » Tu l'appelais, alors qu'il commençait à s'éloigner en mode tranquille je pars faire ma vie et voler de mes propres ailes sans toi. Putain, tu avais du mal à suivre tout ce revirement de situation. Il était censé être bougon et t'étais censé rire, ça s'arrêtait à là. Tu entendais son portable qui sonnait, et tu le voyais prendre l'appel, restant à ta place à une dizaine ou plus de pas vous séparant. Il te regardait une nouvelle fois, sa bouche s'ouvrant comme pour t'achever. Meeerci Oscar, il avait le don d'enfoncer toujours plus le clou lui. Et pourquoi même tu t'accrochais à lui hein ? Tu savais. C'était peut-être parce que tu étais seul dans ta vie – trop seul - et que ça te donnait l'impression de sauver quelque chose qui fut déjà enterré vivant. Ou tu croyais peut-être retrouver cette phase de tranquillité et de bonheur que t'avais vécu avec lui des années auparavant si seulement tu restais dans son sillage. T'étais pas vraiment sûr, mais t'oscillais entre bons moments et agacements constant quand t'étais en sa présence et ça te faisait quelque chose, ok ? Tu enfonçais tes mains dans les poches alors que tu le voyais partir téléphone à la main. Bon, et quoi maintenant ?

TERMINÉE. (foxhound) no more caffeine for you. - Page 2 4046487928

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