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Maman allait de plus en plus mal. Les médecins n'étaient pas très optimistes, et même derrière leur blabla ton père et toi n'étiez pas dupes. T'essayais de ne pas y penser, de rester droit et fort et de faire comme si rien ne risquait d'arriver. Mais c'était pas la joie. Fallait que t'oublie à quel point t'étais loin d'elle, et que tu n'étais même pas à ses cotés pour l'encourager, lui tenir la main. T'étais un  mauvais fils, tu te sentais honteux, maladroit, absent. Tu l'appelais tous les jours, même plusieurs fois, matin et soir, mais c'était comme pour ne pas qu'elle t'en veuille, et ça te donnait pas l'impression d'être moins honteux. T'allais mal, psychologiquement t'étais instable, et t'avais beau être à Havard, dans un cadre magnifique avec les meilleurs cours de la planète... Qu'est-ce que ça pouvait te foutre, si la personne que tu aimais le plus au monde risquait de te claquer entre les doigts ? T'étais impuissant, absent, trop loin, trop con.

Il te fallait ton café du matin, celui avec un peu de miel au fond, pour la gorge et pour l'esprit. Fallait que tu e réveilles, que tu te remettes à bosser et que t'arrêtes de penser à tout ça. Tu commandais ta boisson, payant avec un billet vert dont tu ne réclamas pas la monnaie, et la serveuse t'en remercias, et tu pris ta boisson à la main te retournant. Mais aussitôt tu retrais dans un con avec son plateau. « PUTAIN MAIS REGARDEZ OU VOUS ALLEZ.  » Tu hurlais, à cran. «C'est pas possible bordel, vous savez combien ça coûte un pull pareil ?!  »
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Il fallait que tu commences à préparer ton voyage pour Jersey. Tes parents avaient été assez content que votre confrérie parte en voyage maintenant, juste après les prises d'otages, comme si ça les rassurait plus de te savoir loin d'Harvard. Le mieux pour vous aurait surement été de partir avant que tous ces fous décident de tirer sur des camarades, mais bon, au moins tu t'en étais sorti sain et sauf. T'avais tes valises ouvertes un peu partout dans la chambre, des habits trainant plus ou moins pliés ci et là, et t'essayais d'analyser ce que tu pouvais prendre et ce qu'il fallait mieux laisser. Oh, tu pouvais bien évidement commencer ça dans trois jours, mais t'étais certain qu'en le faisant à la dernière minute t'allais encore oublié la moitié de ce que tu voulais prendre ou que tu aurais trop la flemme tout simplement. Après avoir commencé à remplir de quelques habits d'été – car par chance, il allait faire chaud là-bas – ta plus grosse valise, tu soupirais, décidant que tu nous pouvais plus rien faire tant que tu n'avais pas mangé un bout ni bu ton café.

C'est comme ça que tu te retrouvais au stabucks, comme souvent. Tu commandais un petit café avec un muffin, et t'étais dans tes pensées quand t'attendais sur le côté qu'on te le fasse. Tu finissais par payer, attrapant ton plateau, et tu te retournais afin de voir s'il restait des places assises à l'intérieur. Tu 'avais pas vraiment fait attention, mais ton plateau tapa violemment contre le torse d'un homme, et voilà que ça faisait giclé ton café que t'avais demandé sans petit couvercle sur le dessus. Merde merde meeeerde. Et comme si tu n'étais déjà pas assez désolé comme ça, l'autre mec beuglait comme une vache enragée.« Putain ça va, calme-toi ! » Tu criais à ton tour parce qu'il te saoulait avec sa voix. Putain c'était le matin, t'avais pas envie de te retrouver face à ça. Tu essayais de vite rattraper ton café afin de le stabilisé sur le plateau, mais plus de la moitié s'étaient déjà déversé. « Pas la peine de gueuler, on a compris ! » Tu levais ton visage et t'y voyais Oscar. Évidement. Le mec tu ne le croisais pas pendant quatre ans, mais depuis ce voyage au Canada, t'avais l'impression de le voir partout. « Il va aller bien ton pull, tu feras une machine et il sera comme neuf. » Tu lui disais en levant les yeux au ciel. T'avais même pas eu le temps de t'excuser, mais il l'avait tellement mal pris depuis le début que tu n'en avais plus envie.

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Ouais t'étais désagréable, et alors ? T'étais déjà assez à cran comme ça, t'avais pas besoin qu'on vienne te renverser un café brûlant dessus. Avec tout ça il allait falloir que tu retournes jusque chez toi te changer avant de repartir en cours, et t'allais sûrement jamais ravoir ce pull. Putain, t'avais vraiment pas besoin de ça. Sans même jeter un oeil au type, tu te mettais à hurler et lui répondais sur le même ton qu'il fallait que tu te calmes. Tu roulas les yeux et baissais enfin les yeux vers lui, reconnaissant Nemo. Oh non putain.  « Je gueule si je veux, excuse toi plutôt que râler, petit con.  » Tu roulais les yeux, serrant les dents en soupirant, reposant ton café sur une table non loin en attrapant une serviette. Tu t'étais brulé, même si tu essayais de ne rien laisser paraître, comme toujours.  « Khh, putain...  » Tu roulais les yeux en l'entendant, bien sûr rien de grave allez, t'avais plus qu'à faire huit lessives pour faire passer la tâche, il était drôle lui. « Oh prend pas ce ton là avec moi, pitié.  » tu le connaissais bien, ce petit ton d'emmerdeur qu'il prenait lorsque quelqu'un le faisait chier, à ce niveau là, ça n'avait pas changer. Tu soupiras finalement, alors que la caissière te demandait si tu t'étais brûlé. « Je vous ai pas sonné vous.  » Tu répondais d'un ton désagréable, soupirant en grimçant légèrement de douleur.
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T'étais pas doué, t'étais vraiment pas doué Nemo. « J'ai pas vraiment envie de m'excuser quand on me gueule dessus. » Tu lui répondais, haussant tes épaules. Il était sérieux là, il voulait que tu t'excuses ? Certes, tu n'avais pas fait attention en te tournant, mais t'étais pratiquement sûr que lui non plus n'avait pas vu qu'il y avait une personne derrière lui. Mais comme lui n'avait pas fait tomber son café c'était toi le fautif, bien voyons. Il posait son café sur une table, essayant de s'essuyer avec une serviette en papier toute sèche, et  il grognait quand – très gentiment – tu lui donnais des conseils pour laver son linge. Tu soupirais. « Putain, t'es encore plus chiant qu'hier, comment c'est possible, sérieusement... » Tu te plaignais à mi-voix, totalement fatigué par ses changements d'humeur jour après jour. La caissière qui avait vu votre échange puisqu'il se passait juste devant son nez demandait si Oscar s'était brûlé, et monsieur voulait surement faire le fort, et lui répondait mal. Tu lançais un regard d'excuse à la jeune employée, et tu prenais la parole afin de faire au mieux pour arranger cette histoire. « Faites pas attention à lui. Possible d'avoir un nouveau café avec un couvercle, et une serviette humide pour l'grincheux ? » Tu lui demandais, lui faisant un petit sourire charmeur afin qu'elle accepte. C'était sûr que si tu lui parlais comme de la merde comme le faisait Oscar, elle risquait plutôt de vous envoyer chier et de vous laisser vous débrouiller tout seul. Elle te souriait, un peu amusée par le surnom que tu avais donné à Oscar mais également désolée, avant de commencer à faire ton nouveau café, demandant à une collègue pour la serviette. Tu payais à nouveau, le posais à côté de celui d'Oscar, puis on te passais une vrai serviette humide et tu les remerciais, venant essuyer un peu mieux le pull d'Oscar. « Aller, cesse de faire ton grognon. »

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Pff, autant dire qu'il était trop fier pour s'excuser. Il aurait au moins pu le faire, même ça lui arrachait la gueule, parce que c'était vraiment pas top. Mais bon au fond, qu'il ne s'excuse ou pas - et tu savais qu'il ne le ferais pas - ça ne changerait pas grand chose. Ce qui était fait, était fait. « Le mec épouse une fille qu'il connaît pas sans rien dire, par contre il boude quand on lui demande de s'excuser parce qu'on lui "crie dessus."  » Tu roulas les yeux, trouvant ça un peu ironique. Il avait un sens des priorités un peu spéciales Nemo, et puis bon, c'était normal non que tu sois en colère ? Bon, c'est vrai que pour les autres ton emportements étaient un peu moins évidents, mais s'ils savaient tous, alors ils ne regarderaient pas tous la scène avec des yeux ébahis, l'air de rien. T'étais fatigué, épuisé, triste, et maintenant t'avais mal et t'en avais juste marre, alors merde à la fin. Oui tu t'emportais, mais t'avais toujours été un peu grincheux de toute façon alors hein ? Il le savait mieux que quiconque, ça ne devrait pas l'étonner... Et puis il parla d'hier. Tu fronças les sourcils, ta colère retombant pour laisser place à de l'incompréhension. Hier ? Quoi hier ? Vous ne vous étiez pas vu depuis deux semaines. Tu fronçais les sourcils. « Hier ? Comment ça hier ?  » Tu ne comprenais pas à quoi il faisait référence, il avait rêvé de toi ou quoi ? Ahah.

Il fit son débile à la serveuse, qui cruche comme elle avait l'air joua avec une mèche de ses cheveux et repartit faire ce qu'il demandait, riant en entendant le surnom qu'il venait de te donner. Tu réalisais tristement à quel point tu pouvais haïr les femmes, et leurs gloussements crétin. Plus jeune c'était une drôle de sensation, maintenant c'était juste de la haine, tout bêtement, et un agacement très poussé pour la plupart, sauf exception. Marley par exemple, et Eâ, elles étaient parfaites, sans parler d'Amen. « Oh fais pas chier.  » Tu soupiras en l'entendant te demander de cesser de faire ton grognon, renonçant finalement à frotter la tâche, vu que cela n'avait aucun effet. Tu soupiras et t'assis à la table où tu avais posé ton café, mettant ton écharpe pour cacher la tâche. Tu levas les yeux vers lui, lui faisant signe de s'asseoir en face de toi. « Qu'est-ce que c'est que cette histoire d'hier ?  » Tu fronças les sourcils, insistant pour qu'il s'asseye, avant de soupirer. « Okay, S'IL TE PLAIT, Nemo, peux-tu t'asseoir ?  » Tu fis des yeux doux un peu exagérés, soupirant doucement, épuisé.
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Qu'il aille se faire voir avec ses excuses. Lui il n'allait pas pour autant s'excuser d'être désagréable avec tout le monde, alors pourquoi tu devrais le faire ? Tout au plus, c'était la faute au verre qui sautait d'enthousiasme à l'idée de s'étaler sur Oscar, mais pas de toi. Puis lui qui adorait taaant le café, il pourrait être un peu erreur, t'aurais pu lui faire tomber un truc moins cool sur lui comme du thé ou du jus de fruit. « Oh ta gueule avec ça. T'en rêve les nuits ou quoi ? J'allais m'excuser mais quand on commence par être malpoli pour une simple petite erreur, j'ai plus envie de le faire, normal. » Non mais c'était une vrai question. Il en rêvait pour te sortir ça à chaque fois, ce n'était pas possible autrement. T'avais rien fait, tu n'avais même pas tenté de faire ton numéro de mec fou amoureux de sa femme, mais lui apparemment voulait te lancer à la gueule la connerie que t'as faite à chaque petites erreurs que tu feraient et qui n'avaient rien à voir avec cela. Genre on parle de café là, d'où tu m'sors ça Oscar ? Tu eues le malheur de te plaindre sur le fait qu'il était encore plus insupportable qu'hier, et comme par hasard, ça n'était pas tombé dans les oreilles d'un sourd. Tu levais tes yeux sur lui et il avait l'air totalement perdu – et au moins, moins énervé qu'auparavant. Voilà la technique pour faire baisser Oscar d'un ton : lui dire des trucs qu'il ne comprend pas. Vu que monsieur le génie aime tout savoir... « Rien hier. » Tu répondais seulement, puisque s'il ne s'en souvenait pas, c'était que ce n'était pas si important non ?

Tu fus content d'arriver à rattraper un minimum les choses avec la serveuse, juste assez pour qu'elle ne prenne pas tout ce que venait de lui dire Oscar personnellement. Tu n'avais vraiment pas envie d'être banni du Starbucks de Harvard juste parce que monsieur ne savait pas se comporter en société. Tu lui demandais de cesser de faire son grognon, et encore une fois il parlait mal, et tu levais tes yeux au ciel devant son comportement, avant de le regarder et de lui faire un grand sourire faux cul. « T'es mignon quand tu t'énerves. » Tu lui disais simplement - et d'accord, tu le pensais peut-être réellement dans ta tête, mais là, c'était juste pour le faire chier, pour l'énerver. Tu finissais de frotter sa tâche avec la serviette humide, et même si elle était loin d'être parti, l'eau rendait la chose moins pire et c'était déjà plus efficace qu'avec la serviette en papier. Tu posais la serviette sur le rebord de la table, et tu attrapais ton nouveau café, comme pour partir chercher une autre table avec ton plateau, mais Oscar t'interrompait en te montrant la place devant lui, remettant hier sur le tapis. Tu haussais un sourcil en le regardant, mais il insistait, te faisant les yeux doux. Tu riais en le voyant faire, soupirant, puis tu prenais place, posant ton plateau. « Voilà voilà, je suis assis Monsieur le Roi. » Tu disais, avant de commencer à manger ton muffin au chocolat.« Pourquoi tu veux tant savoir ? T'as pas des potes pour te raconter quand t'es trop bourré ? » Tu demandais, haussant tes épaules.

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Oh, on dirait que tu n’aurais pas le droit aux mêmes excuses que lors de votre petit séjour à la neige, c’était bien dommage. Il ne fallait pas trop abuser non plus, mais ça t’aurais fais sourire. Tans pis, une seule excuse à la fois, mais ce n’était pas pour ça que t’allais arrêter de le faire chier, maintenant que t’avais la moitié de son café renversé sur le bide. « Rêve la nuit de quoi ? De ton mariage ? Arf non, quelle horreur. Jamais vu un truc aussi triste et ennuyeux. J'ai cru revoir le mariage de Kate et William, mais y'avait pas le joli cul de Pippa à mater. » T’imaginais pas les nuits de sueur froide si c’était le cas. Ta vie avait quand même plus de sens que ça. Non, en vérité la nuit, tu ne dormais pas, t’angoissais pour ta mère et t’appelait mille fois pour avoir des nouvelles. Non Nemo, la nuit, c’était beaucoup moins joyeux. Eh, mais fallait rien laisser paraître, surtout devant lui. De toute façon ce n’était pas la peine d’insister, il ne le ferait pas. Il était têtu comme une mule ce prince de malheur.

Et puis il parlait d’hier. Quoi hier ? T’avais aucun souvenir d’hier. A vrai dire, t’avais passé une soirée en boîte avec tes potes et t’avais tellement picolé que tu ne te souvenais pas de grands choses. Boire ce n’était pas trop ton fort, tu tenais très mal l’alcool et ce dernier effaçait chaque soirée trop arrosée de ta mémoire. En tout cas, tu t’étais réveillé avec un mal de crane chronique et des envies de dégueuler, mais bien chez toi, et dans ton lit. Et puis après, tous les appels s’étaient enchainés… Alors de quoi est-ce qu’il parlait ? Tu plissas les yeux pour insister mais la serveuse t’interrompit, et tu te contentas de lever les yeux au ciel devant tant de niaiseries. T’étais exacerbé de tout, et tout t’épuisait. Il fallait que tu rentres, prendre un café ici était une mauvaise idée. Il fallait que tu te calmes, t’énerver ne changerais rien. Personne ne pouvait comprendre, plus rien n’avait d’importance. Cependant, ce con là te sortis une nouvelle connerie qui te fis marmonner d’autant plus. « Pfff. » Tu grognais en l’entendant. « Et toi t’es mignon quand tu la ferme. » Tu tiquas, marmonnant. Il le pensait vraiment ou.. ? Mais non, bien sur que non, t’étais stupide ou quoi Oscar ? Il se foutait de ta gueule.

Tu voulais qu’il s’asseye et qu’il t’en dise plus au sujet de la soirée d’hier, de ce dont il parlait et que tu ne comprenais pas. Il avait raison, tu ne supportais pas de ne pas tout contrôler, de ne pas avoir toutes les cartes en main. Alors c’était quoi cette histoire. « Si je suis Roi et que tu es prince, alors tu dois m’obéir non ? » Tu souris en coin, levant un sourcil en l’interrogeant du regard, avant d’écouter ce qu’il avait à te dire. « J’ai simplement repris les cours ce matin, je ne les ai pas vu. » Tu fronças les sourcils, ne relevant pas sa pique, déjà trop épuisé pour t’énerver d’avantage. « Qu’est-ce qui s’est passé ? Qu’est-ce que j’ai fais ? Qu’est-ce que j’ai dis ? » Tu grimaçais, portant ton café au miel à tes lèvres avant de soupirer, le prénom de ta mère écrit dessus.

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C'était vrai que ça avait été ennuyeux. Pour certains ça avait été le mariage de rêve, le vrai mariage de princesse avec dix mille invités de toute la planète et un panel de familles royales et de personnalités importantes présentes. Il y avait des costumes fabuleux, et la robe de mariée avait sérieusement été magnifique et une copie unique que personne ne pourra jamais retrouvé à l'identique nulle part. T'avais du changé toi-même de tenue entre la cérémonie et la fête, l'un blanc comme ton père quand il s'était marié, l'autre gris pour danser, et vous aviez dû faire le couple parfait durant toute la soirée. Ça avait été épuisant, et savoir que c'était retransmit sur les chaines du monde entier n'aidait en rien le stress qui était présent en toi ce jour-là. Un remake de Kate et William ? Pourquoi pas. Il te parlait des fesses de Pippa, et là ça te faisait rire. « Non, y avait le mien, il est mieux. » Tu répondais en souriant en coin, lui faisant un clin d'oeil. Allons donc Oscar, ne nous dit pas que tu avais déjà oublié ? Tu étais devenu un homme en plus, un vrai, et la natation t'aidait extrêmement bien à rester un minimum musclé et à avoir des fesses... fermes.

Il te laissait faire, il ne gueulait, même s'il était facile de voir à quel point il avait du mal avec la serveuse qui voulait seulement aider. Apparemment, il prenait des gens en grippes, comme ça, et ça le faisait kiffer le petit bonhomme. Il n'était vraiment pas le genre de client qu'on rêverait d'avoir tous les jours, c'était certain. Tu lui lançais une petite vanne, et ça marchait, puisque tu le voyais grogner – alors que c'était plutôt gentil ce que t'avais dit non ? Non ? Et il te répondait, marmonnant mais de manière à ce que tu l'entendes bien, et t'éclatais de rire – il fallait dire que t'étais peut-être moins susceptible ou de meilleure humeur que lui habituellement – quand il te disait que t'étais mignon quand tu la fermais. « C'est dommage pour toi, je n'dois plus être mignon très souvent. » Tu répondais, haussant tes épaules de manière désinvolte, tout en accompagnant ce geste d'une expression du visage faussement déçue. La vérité, c'est que tu commençais tellement à t'éclater à l'énerver, à le titillé par ta simple présence, qu'il risquait de ne plus jamais te trouver un minimum beau car t'avais pas du tout envie de la fermer.

Tu t'asseyais en suite en face de lui, un peu par obligation et beaucoup car tu n'avais rien d'autre de plus intéressant à faire avec personne de toutes manières, et tu faisais référence à lui comme à un Roi, histoire de montrer à quel point il pouvait être autoritaire et limite dictateur quand il le décidait. Tu riais devant sa réponse, levant tes yeux au ciel pour bonne mesure. « Mh non, faisons comme si j'étais un prince libre de mes choix. Faudrait pas trop que tu prennes tes rêves pour la réalité. » Oui, puisque là tu avais le droit de décider ce que tu pouvais faire, être libre venait en haut de la liste. Ce qui n'était plus vrai dans ton monde à toi. Tu soupirais ensuite, haussant tes sourcils. « Rien, il ne s'est pas passé grand-chose. T'avais juste une incroyable envie de bouger ton corps. » Tu répondais en haussant tes épaules, comme si ce n'était pas grand-chose – parce que tu ne comptais pas vraiment lui parler de ce que vous vous étiez dit. Enfin, plutôt de ce qu'il t'avais dit. Tu le regardais prendre une gorgée de son café, et ton regard se portait sur l'objet, avant d'y remarquer le nom qu'ils écrivaient toujours pour savoir à qui le donner – sauf que ce n'était pas Oscar qu'il était écrit. Lou. Tu restais quelques secondes bloqué sur le nom, ton regard passant au travers de ces lettres écrites à l'encre noire sans vraiment les voir, et tu te remémorais la rencontre avec sa mère, quand t'avais dix-sept ans, et qu'elle était déjà allongée dans son lit d'hôpital. Le souvenir était doux, et d'une manière douloureux, car tu ne l'avais jamais vu depuis et qu'à l'époque déjà, elle était malade. Tu finissais par baisser les yeux, un peu perturbé, ne préférant pas poser de question à un Oscar qui se braquerait trop facilement.

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Le mariage de Kate et William avait été le premier exemple qui t’étais venu, vu tout le bordel qu’il y avait eu autour de cet évènement, et ô combien – puisque c’était après ta rupture avec Nemo – ça avait pu t’agacer. La vérité, c’est que t’avais été – et tu l’étais peut-être encore – pendant bien longtemps à vif, après cette histoire. C’était comme si on t’avais enfoncé un pieu, très profondément dans la poitrine, et qu’après des années d’efforts tu étais parvenu à le retirer ; seulement il te restait ce trou béant au milieu du torse, comme une cicatrice de guerre que le fait de revoir Nemo avait ravivée, et qui désormais te brûlait et te rendais fou. Ton cœur était un trou, tout bêtement, une trou béant et fragile, dont on s’était trop foutu, parce qu’on se fiait sans doute trop à ton air de battant, à ton grand sourire d’emmerdeur, et qu’on ne voyait pas derrière. Mais bon au fond, tu ne leur en voulais pas à William et Kate, ils avaient un beau bébé, et eu un beau mariage. Nemo te sortait d’ailleurs que son propre cul était plus appêtissant que celui de Pippa, et tu pris bizarrement la chose très au sérieux, réfléchissant un moment, avant de sourire légèrement en coin, plissant les yeux. « Mmh peut-être. » Tu disais, parce que son cul ouais, tu l’avais particulièrement bien maté lorsque tu l’avais vu entrer dans l’église, en gros plan sur ton téléviseur haute définition. Eh, t’étais un mec quand même, et puis bon, ton ex n’était pas moche non plus… Quand même.

Il avait cette face d’emmerdeur très sûr de lui, que t’aurais bien voulu lui rendre si tu n’étais pas si fatigué et exaspéré par ce qu’il venait de se passer, mais bon, passons. Tu répliquais avec soin à son injure que lui était plutôt mignon lorsqu’il la fermait, et ça sembla le faire beaucoup rire. Il répliqua à son tour qu’il ne devait plus être mignon très souvent, et tu roulais les yeux. « Ça non, c’est bien dommage. » Tu soufflais sans trop réfléchir au second degré que pouvais prendre cette phrase, et sans vraiment de toute façon te rendre compte de ce que tu sous-entendais par là. Tu te contentais de t’assoir à la table et tenter de le questionner à propos de cette fameuse soirée d’hier. « Je pense être beaucoup plus réaliste que toi, mais là encore, je ne voudrais pas évoquer ton idylle complètement vouée à l’échec avec la miss cup of tea. » Tu taclais, avalant une gorgée de ton café, dont le miel apaisa ta gorge endolorie par le froid de l’hiver. Ca c’était le bonheur. « Comment ça bouger mon corps ? Ne tourne pas autour du pot, Nemo, ça me stresse. » Tu grognais, serrant les dents. T’étais tellement sur les nerfs en ce moment qu’un rien te mettait dans des états pas possibles. « M’enfin, à partir du moment où je ne me réveille ni dans tes draps, ni dans une ruelle sombre avec le pantalon baissé, je m’en contrefous. » Tu concluais, trop agacé qu’il ait l’avantage sur ce coup là, et voulant mettre les choses à plat, presque rageusement. Tu reposas lentement et doucement ton gobelet, suivant le regard de Nemo sur le prénom s’y trouvant. Tu inspiras, détournant le regard, avant de faire pivoter vers toi le pseudo, pour ne pas qu’il soit plus longtemps exposé aux yeux de ton ex-petit-ami, qui en connaissait que trop bien le sens. C’était la partie la plus intime de toi, ça ne le regardait plus désormais.
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T'avais dû mal à te dire qu'il faudrait que tu restes surement avec Chrissy pour toute ta vie. C'était comme inconcevable, ça ne voulait pas s'imprimer dans ta tête. Et d'une autre manière il allait peut-être falloir que tu en prennes conscience, car on ne rigolait pas avec les mariages entre famille royales. C'était beau, c'était important, c'était l'union sacrée de deux pays, mais toi t'étais peut-être trop égoïste pour voir ça de cette manière et pour comprendre la signification de la chose. Est-ce que... Est-ce que tu ne pourrais retrouver ta liberté qu'une fois veuf ? Est-ce qu'il te faudrait attendre la mort de ta femme afin de pouvoir te remarier avec quelqu'un d'autres ? Putain, tu commençais tellement à comprendre pourquoi il y avait tant d'histoires et de mystères et de meurtres et de trahisons dans ce genre de choses. C'était si limpide maintenant, si on obligeait les gens à ne pas pouvoir divorcer afin de respecter précieusement les vœux prononcés devant Dieu comme témoin. Et merde.  Tu haussais un petit sourcil étonné quand il te répondait peut-être par rapport aux fesses de Pippa étant moins bien que les tiennes, et c'est qu'en plus il disait ça totalement sérieusement le con. Tu souriais en coin en mode « je le savais ! » et encore, t'avais trouvé que les écrans de télévision ne faisaient pas du tout justice à ton beau fessier.

Tu aurais peut-être dû parler différent, te comporter différemment avec lui. Après tout, c'était un ex que tu n'avais pas revu depuis des années, et même s'il t'avait pardonné la dernière fois, ça ne voulait pas dire que tu avais le droit de lui sortir des trucs comme quoi il était mignon, comme si tu flirtais avec lui. Mais il te répondait alors ce n'était pas si mal non ? Et même si c'était toujours assez difficile de savoir sur quel pied danser quand il était devant toi, tu te disais qu'il fallait pas que t'y penses, et que tu verrais bien dans l'état dans lequel tu le trouverais quand ça arrivera – même si depuis le début, il était beaucoup grognon à chaque fois. « Pourquoi c'est bien dommage ? » Tu demandais en l'entendant dire, plissant un peu tes yeux en le regardant comme si t'essayais de lire la réponse dans son esprit. Ça marchait pas. Tu t'asseyais ensuite, et tu t'attendais déjà à son questionnement. « Je vois pas pourquoi elle serait vouée à l'échec. » Tu disais simplement en haussant tes épaules, attendant de voir s'il allait t'énumérer les raisons. Après tout, l'Oscar bourré en avait parlé avec toi, mais pour le sobre, c'était la toute première fois. Il recommençait à grogner en te demandant des détails, parce qu'apparemment t'avais laissé trop de mystères pour lui et son petit cerveau brouillé. Et t'allais essayer de mieux expliquer, et t'ouvrais déjà la bouche, mais il parlait une nouvelle fois, et tu n'avais pas pu arrêter l'intense regard noir que tu lui lançais quand il finissait de prononcer ses mots. « Va te faire foutre. » Tu lançais durement, le regard haineux. Alors c'était comme ça hein ? Bah tiens, t'avais même plus envie de dire la vérité ou de lui lancer à la gueule qu'il avait passé la soirée à essayer de danser avec toi et qu'il t'avait même embrassé – et accessoirement aurait presque pu te vomir à la gueule, mais ça tu n'allais certainement pas lui dire maintenant, ça lui ferait bien trop plaisir. On voudrait pas que le pauvre Oscar meurt d'une crise cardiaque hein ? Puisque t'étais tellement pas à son niveau pour te retrouver à nouveau dans son lit. Connard, connard, connard. Ça te saoulait ses gamineries – et peut-être que c'était vrai, peut-être que t'étais devenu si dégoûtant pour lui qu'il frissonnait d'horreur rien qu'à penser coucher à nouveau avec toi, mais dans ce cas-là, il serait temps qu'il se mette en accord avec le côté bourré de lui car ils avaient l'air deux avis bien distincts pour une même personne. « Puisque ça t'intéresse tellement pas de savoir à quel point t'as fais le tapin devant tous les mecs que t'as croisé dans le club et que t'es reparti seul parce que t'intéressait personne malgré que tu mettes à moitié à poil, je vais m'en aller. » Et t'avais toujours la voix dure et déçue de son comportement – et tu racontais des merde, ce qui te passait à la tête, mais ça avait été presque ça non ? Sauf que les mecs de la boîte n'avaient vraiment été que toi. T'avais une furieuse envie de lui faire mal, de lui sortir un espèce de « et tu passeras le bonjour à ta mère » à cet instant, mais tu savais mieux que de parler d'elle qui avait été si mignonne et gentille avec toi. Après tout c'était Oscar le gros connard, pas elle. Tu te levais donc – noooon, ne lui jette paaaaas ton café à la gueule – et t'allais vers le comptoir rendre la serviette aux employées.

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