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CHARZUS + I don't know what to be without him around.

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Il était presque vingt-deux heure. Plutôt dans l'après-midi Amen t'avais annoncé la mort d'Augustus. Elle t'avais tout expliqué, tout, et tu t'étais écroulée. T'étais déjà sous le choque de la prise d'otage et à ça venait s'ajouter la nouvelle de l'identité secrète de ton copain et de son décès... c'était bien plus que tu ne pouvais le supporter. Tu comprenais maintenant pourquoi il ne répondait plus à son téléphone et pourquoi il lui arrivait de se comporter bizarrement. Amen avait fini par partir, te laissant seule dans ce grand appartement. T'étais resté un moment dans la salle de bain à pleurer recroquevillée dans un coin, les fesses sur le carrelage froid, avant de te traîner sous la douche. T'avais enfilé un de ces pulls larges en laine que tu mettais pour traîner à la maison l'hiver, et un short, puis t'étais partie te réfugier dans ta chambre, sous ta couette, avec plusieurs paquets de mouchoirs. Pendant près de cinq heures tu avais pleuré, hurlé de colère, donné des coups de poings dans tes oreillers, dans les murs, puis quand tu t'arrêtais enfin de pleurer, tu te mettais à lire des vieux textos et tu pleurais de plus belle avant de lancer ton portable contre le mur. T'étais au bout du rouleau et si tu ne vivais pas au troisième étage : t'aurais certainement sauté. Tu n'avais rien avalé depuis ce matin et tu n'avais de toute façon pas faim. Tu broyais du noir, comme jamais auparavant.
Alors que tu te calmais enfin, ton portable, se mis à vibrer à l'autre bout de ta chambre. Tu te tirais hors de ta couette pour le ramasser, constatant que l'écran était à présent tout fissuré. C'était un texto de Beezus qui te proposait de passer. Après l'avoir lu tu te remis à pleurer et te laissais de nouveau tombé sur ton lit. Habituellement elle ne demandait même pas pour passer, elle passait un point c'est tout. Mais là elle prenait des pincettes et ça suffisait pour te faire pleurer une nouvelle fois. Tu finis par lui répondre, marchandant au passage un milk-shake à la vanille, avant de poser ton portable sur ta table de chevet et de te remettre sous ta couverture. La porte n'était pas fermée à clef et puis Bee devait certainement avoir un double de tes clefs, en cas d'urgence.

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Tu ne savais pas vraiment ce qu'il fallait que tu fasses. Il y avait trop de nouvelles à prendre en compte d'un coup, après une journée particulièrement éprouvante, et tu retrouvais un petit paumée entre tout cela. Tu étais encore un peu sonné de ce qu'il s'était passé plus tôt, de la prise d'otage au McDonalds. Tu avais eu de la chance, mais certains de tes amis les plus proches s'étaient retrouvés touchés et t'avais pas pu retenir tes larmes en voyant ça. T'avais eu de la chance que Manu soit avec toi, et soit venue derrière le comptoir en guise de soutient, car ça t'avais énormément éprouvé moralement. Mais tu savais que tu n'avais été celle qui avait vécu le pire, alors tu essayais de relativiser. Charlie par contre... Tu ne savais pas dans quel état elle était moralement. Tu avais appris le nom des violeurs, de ceux qui avaient également pris en otage, et t'avais été choquée en apprenant que parmi eux se trouvait Augustus. Augustus, aka le petit-ami de Charlie. Tu avais une forte envie de la voir, de lui parler, de constater dans quel état elle était, mais tu n'osais pas. Tu ne savais tout simplement pas dans quel état d'esprit elle était, et ce dont elle avait besoin pour aller mieux. Tu lui envoyais en sms, et tu accourus pour aller vous chercher quelques milk-shakes à la vanille – accompagnés de quelques glaces que tu trouvais dans le magasin et qui avaient l'air bonnes – avant d'enfin arriver chez elle, avec le couffin où dormait ta fille dans l'une de tes mains. Tu tentais d'ouvrir la porte, qui n'était pas fermée, et tu marchais dans l'appartement, regardant à droit et à gauche pour essayer de voir où elle était. Tu finissais par entrer dans sa chambre, et tu voyais sa silhouette sous les couvertures – elle n'allait définitivement pas bien. Tu posais les milk-shakes sur la table de chevet, tu mettais le couffin de ta fille juste à côté du lit, afin que tu la remarques facilement si jamais quelque chose n'allait pas, et tu venais sous les couvertures à ton tour, posant ton sac plastiques avec les glaces au bout du lit. « Hey ma puce. Tu tiens le coup ? » Tu demandais, attendant qu'elle se tourne vers toi, n'osant pas réellement lui poser la fameuse question du comment ça va ?

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De dessous ta couverture tu entendis la porte d'entrée s'ouvrir. Tu priais pour que ce ne soit pas l'un de tes colocataires. Tu n'avais envie de voir personne, si ce n'est Beezus … et Augustus. La porte de ta chambre s'ouvrir dans un petit grincement et les bruits de pas se rapprochèrent. Tu savais pertinemment que c'était Beezus, mais l'espace d'un instant tu imaginais que c'était Gus qui venait pour te consoler et tes yeux commencèrent à se remplir une nouvelle fois de l'armes. Un bruit de sac plastique attira ton attention. Elle avait apporté de quoi te remonter le moral, même si ça ne serait certainement pas suffisant pour te faire sortir de cette déprime. Elle se glissa sous ta couverture et c'était bien la seule autorisée à le faire. T'étais soulagée de la savoir ici. Soulagée qu'elle soit saine et sauve après cette horrible journée. Mais aussi soulagée qu'elle n'arrive que maintenant et qu'elle ne t'ais pas vu t'écorcher les poings contre les murs de ta chambre, lancer ton portable à travers la pièce ou hurler la tête enfoncée dans un oreiller... « Hey ma puce. Tu tiens le coup ? » Tu te retournais lentement pour lui faire face. T'es yeux normalement d'un joli bleu étaient rouges et cachés par ta frange décoiffée. Tu plongeais ton regard dans le sien et tu retenais tes larmes en secouant un peu la tête. Tu reniflais bruyamment avant de dire, la voix nouée par des sanglots : « Pas vraiment... » Tu te redressais doucement et poussais ta couverture pour t’asseoir dans ton lit. « J'ai cassé l'écran de mon portable... » Ajoutais-tu, le regard dans le vide, avant de fondre en larme. Tu te blottis contre elle, posant ton front brûlant contre son épaule. T'avais un peu honte qu'elle te voit comme ça. Pourtant depuis le temps que vous vous connaissiez, elle t'avait déjà vu avec le cœur brisé plus d'une fois. Mais cette fois ci, c'était bien plus qu'un simple chagrin d'amour.
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Elle se retournait vers toi, et même si tu ne voyais pas bien ses yeux, il n'était pas difficile de comprendre qu'elle était au bout du rouleau. Et ça te brisait un petit plus, quand t'entendait sa voix tremblante, quand tu l'entendais renifler, te dire que ça n'allait pas bien. Tu l'avais déjà vu mal, comme quand vous vous énerviez l'une sur l'autre, mais là c'était pire que tout. Elle se redressait ensuite en parlant de son portable et tu fis de même, avant de lui répondre. « C'est pas grave, on en achètera un autre. » Parce que ouais, ce n'était pas la chose la plus grave du monde pour le coup. Pour certain c'était ce qui pouvait se passer de plus horrible dans leurs vies, de casser leur portable ou de le rayer, et puis après, t'avais Charlie, qui avait vécu plus d'horreurs que n'importe qui en quelques heures. Elle finissait par fondre en larme sur ton épaule, et tu serrais son petit corps fragile contre toi, essayant de lui apporter le peu de confort que tu pouvais. « Je suis contente que tu n'aies rien déjà, j'ai eu tellement peur... » Tu murmurais doucement, parlant de la prise d'otage au McDonald's. Tu l'avais vu entrer, mais t'avais même pas eu le temps de lui parler ni de lui faire un petit signe avant qu'Avalon arrive et fasse sa loi. Quand tu disais que tu étais contente qu'elle n'ai rien, tu parlais évidement de l'aspect physique de la personne. Elle n'avait pas été touchée par une balle, et tu ne savais pas ce que tu aurais fais si Avalon lui aurait tirée dessus. Évidement, moralement, tu savais que c'était une toute autre histoire. « Tu veux en parler maintenant ? » Tu demandais, parlant de la prise d'otage, d'Augustus, de tout ce qu'elle voulait.

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Tu pensais ne jamais réussir à stopper tes larmes, pourtant tu finis par y parvenir. Reniflant bruyamment, toujours blottis contre Bee, la respiration entre coupé par quelques sanglots.  « Je suis contente que tu n'aies rien déjà, j'ai eu tellement peur...  » Tu te décollais d'elle lentement, essuyant tes larmes avec ta manche, puis observant quelques instants tes mains qui étaient couvertes de sang quelques heures plus tôt. Le choque de la prise d'otage avait trop rapidement était remplacé par l'annonce de la mort d'Augustus et tu n'avais pas vraiment eu le temps de procéder à tout ça, ou de te remémorer ces longues heures passées, assise dans le sang, à maintenir en vie Maxym. Tu relevais les yeux vers Beezus. Elle était là quand tu étais entrée dans le fast-food, mais une fois les premiers coups de feux partis tu ne te souvenais pas l'avoir vu.  « Tu n'as rien … ? »  Demandais-tu soudain, la voix tremblante, attrapant ses mains et les tirant vers toi pour observer ses bras, vérifiant maladroitement qu'elle ne soit pas blessée. Tu te souvenais t'être retournée pour la chercher du regard avant que les ambulanciers ne t’escortent à l'extérieur, puis après ça c'était le trou noir, jusqu'à ce que tu te retrouves face à ce psychologue et ses questions ennuyeuses. Et alors que tu reprenais tes esprits en arrivant chez toi et que tu voulais l'appeler pour prendre de ses nouvelles, Amen c'était chargée de  t’assommer une nouvelle fois avec le suicide de ton copain. Tu te sentais égoïste de ne pas avoir pris le temps de l'appeler. Elle aurait pu être morte elle aussi que tu ne l'aurais pas su avant de le lire dans les journaux. T'étais une fois de plus la pire des meilleures amies et tu te sentais bête. T'aurais voulu mettre tout tes soucis de coté pour qu'elle te parle de la prise d'otage, qu'elle partage avec toi ses sentiments, son traumatisme... mais c'était trop difficile d'oublier tout ce qui t'étais arrivée en l'espace de vingt-quatre heures. « Tu veux en parler maintenant ?   » Tu secouais la tête.   « J'ai les yeux tout gonflés...et je vais encore pleurer... »  À ces mots quelques larmes roulèrent le long de tes joues. T'étais tellement faible. T'aurais voulu faire parti de ces personnes qui disent « ça passera ! » mais t'en était incapable. Tu pouvais éviter le sujet, ça tu savais faire, fuir c'était dans tes cordes, mais en parler, mettre des mots sur tout tes sentiments : c'était impossible. Tu préférais milles fois boire les milk-shakes que Bee avait posé sur ta table de chevet plutôt que de t’effondrer une nouvelle fois devant ta meilleure amie.

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Tu la serrais contre toi, et tant pis si t'avais l'impression de l'étouffer, c'était que de l'amour après tout. Elle se décollait doucement de toi quand tu lui disais à quel point t'étais rassurée qu'elle n'ai rien eu, et elle avait l'air de ne réaliser que maintenant que tu étais toi aussi dans ce McDonald's quand tout est arrivé. Elle prenait tes mains, regardant si tu avais quelconque marque qui pouvait prouver les sévisses que tu aurais pu recevoir, mais heureusement elle ne pouvait en trouver aucune. « Hey, j'ai rien, j'ai rien... » Tu murmurais, parce que tu ne serais définitivement pas là si tu étais sévèrement blessée. Quoi que, ça dépendait de si tu t'étais échappée, comme tu l'avais un peu fait après la naissance de ta fille, mais pour le coup, t'avais été l'une des personnes qui avait eu le plus de chance, même si ça ne voulait pas dire que tu n'aurais pas toi aussi des cauchemars qui te réveilleront la nuit durant plusieurs mois. Mais t'avais pas eue de balles, tu n'avais pas eue à essayer de sauver une personne, tu ne t'étais pas retrouvé les mains ensanglantées, en fait t'avais clairement servi à rien durant cette prise d'otage, mais on ne pouvait pas tous se trouver une âme de héros hein ? Tu n'en étais définitivement pas une. « Je n'ai rien, pas une égratignure, rien... » Tu disais une nouvelle fois d'une voix douce, tes mains glissants de part et d'autres de ses joues afin de lui relever son visage et qu'elle voit dans tes yeux que tout allait bien pour toi et que tu ne mentais pas. Tu lui demandais ensuite si elle voulait en parler, et elle secouait sa tête. Elle te parlait de ses yeux gonflés, qu'elle allait une nouvelle fois pleurer, mais t'étais là pour ça aussi toi. T'étais là quand elle n'allait pas bien et qu'elle avait besoin de vider son sac, t'étais là quand elle avait tellement mal qu'elle pouvait pleurer pendant des heures sur ton épaule, t'essayais juste de faire ton devoir de meilleure amie sans qu'elle se sente honteuse ou mal à l'aise de ta simple présence. « C'est tout à fait normal ça, après une journée pareil. » T'avais déjà passé ton temps à pleurer lors de la prise d'otage, et tu recommencerais surement durant des semaines si tu étais à la place de Charlie. T'avais jamais passé de journée si stressante, si fatigante que celle-ci avant. Même les fois où t'étais épuisée à cause des cours et des révisions pour les partiels ne pouvaient se comparer à cette journée. Enfin, celle-là, et aussi durant le moment où t'as accouchée, ça faisait tellement mal et t'étais tellement à bout de force que t'avais cru tomber dans les paumes. Mais le résultat était tout à fait différent, entre la joie d'avoir un enfant, et l'enfer de savoir ses amis à l'hôpital. « Puis on s'en fout des larmes. C'est mieux que tu pleures maintenant plutôt de tout garder pour toi pendant des mois. » Jusqu'à ce que ça lâche. Que ça pète, que ça explose, et que ça sorte en dix mille fois pire. Elle pleurait, elle avait des émotions, c'était tout à humain. Il n'y avait rien de bizarre ou d'étrange à sa réaction. C'était juste Charlie, qui avait peur et qui était désespérée, déçue de la vie. Déçue des secrets qu'on pouvait y apprendre quand on s'y attendait le moins.

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 « Je n'ai rien, pas une égratignure, rien... » T'échappais un soupire de soulagement. Tu t'en serais voulu toute ta vie si elle avait été blessé alors que  tu te morfondais égoïstement dans ton coin. Sans Gus t'étais pas grand chose, mais sans Bee t'étais rien. T'avais pourtant réussis à vivre une bonne vingtaine d'année sans elle, mais depuis qu'elle était rentrée dans ta vie, tu ne l'imaginais plus sans elle. Vos disputes incessantes, ses beaux yeux bleus, son accent British, et son coté maman, toutes ces choses t'étais devenue indispensable. Elle te dis que c'était normal d'avoir les yeux gonflés et de pleuré après une journée comme celle-ci. Qu'on s'en foutait des larmes. C'est vrai. Il n'y avait pas de honte à pleurer, surtout après ce que tu venais de vivre, et surtout en présence de Beezus qui était certainement la seule personne à pouvoir te réconforter après être tomber si bas. Ce n'était pas bon de garder tout ça pour toi. Ça allait te détruire de l'intérieur si tu ne partageais le partageais pas. Tu passais ta main dans tes cheveux ébouriffés en hochant la tête, reniflant une nouvelle fois. « Je me sens bête.» Dis-tu enfin, tes yeux se remplissant de larmes dès que tu ouvris la bouche. « J'ai rien vu venir...  » Ajoutais-tu en passant la manche de ton pull sous tes yeux. « Il était pas comme ça. » Ta voix se brisa une nouvelle fois. C'était difficile d'en parler et tes sanglots ne faisaient que compliquer la tâche. T'étais encore sous le choque. Tu n'arrivais pas à comprendre comme un garçon aussi gentil que Gus soit capable de ça. Oui il avait toujours été un peu mystérieux, c'est vrai, et d'ailleurs quand tu y réfléchissais tu te rendais rapidement compte que tu ne connaissais que très peu de chose sur lui. Il était du genre réservé et parlait peu, c'est tout. Il ne t'avais jamais paru menaçant... Enfin si, peut-être quelque fois quand il s'énervait et que son regard te faisais presque reculer, comme par peur qu'il ne te frappe. Mais il n'en était jamais venu aux mains, jamais. Tu restais persuadée qu'il n'était pas un garçon violent et que c'était juste un genre qu'il se donnait. Mais  voilà, depuis l'annonce du la prise d'otage, tu avais le sentiment que tout ce que tu avais toujours su n'étais enfaîte que mensonge...
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Elle était soulagée que tu n'aies rien, et t'étais contente toi aussi. Elle avait déjà assez de choses à penser depuis l'arrêt des prises d'otages, et ça n'aurait fait que rajouter du stresse et de la tension en elle pour rien si tu t'étais retrouvée avec une balle quelque part, clouée à l'hôpital pendant des jours. Peut-être que ça lui aurait fait penser à autre chose qu'Augustus, mais t'en était vraiment pas certaine. « Je me sens bête. » Elle te disait, et malgré que rien ne soit de sa faute, et malgré qu'elle ne pouvait pas savoir, tu te disais que si tu étais dans une situation semblable à la sienne, tu te sentirai très bête aussi. Comme si tout s'était déroulé devant tes yeux depuis des mois et que tu n'avais pas fait attention, étant trop dans ta petite bulle avec ton amoureux. Comme si, si tu avais un peu plus fouiné, si tu avais eut quelques doutes, tu aurais peut-être pu comprendre à l'avance et prévenir et sauver ses gens qui ont été touchés. T'étais pas sûr que ce soit réellement possible, mais tu pouvais comprendre qu'elle puisse être dans cet état d'esprit. Peut-être à se remémorer chaque paroles, chaque actions qu'il avait bien pu faire devant elle, et qui aurait pu la mettre sur la voie. Malheureusement, il avait été très intelligent Augustus, et tu savais qu'à la place de Charlie, tu n'aurais rien compris non plus. « T'es pas bête. Il avait un plan, il l'a exécuté. Ce n'était pas comme s'il t'en avait parlé et que tu avais tout gardé pour toi. » Tu la voyais essayer de se frotter les yeux, comme pour faire disparaître une fois pour toutes ces vilaines larmes, mais qui recommençaient de tomber, à chaque nouvelle pensée, ou à chaque nouveau mot prononcé. Tu attrapais un mouchoir dans ta poche, et tu lui tendais, parce que même si tu n'étais pas doué pour réconforter dans des moments pareils, ça tu savais faire. Elle te disait qu'il n'était pas comme ça, ce que tu comprenais à il n'était pas comme ça avec moi, et encore heureux, qu'il ne l'avait pas été. T'irais le réveiller d'entre les morts pour l'exterminer une nouvelle fois de tes propres mains s'il avait ne serait-ce que fait subir des sévices physiques ou morales à Charlie pendant qu'ils sortaient ensemble, profitant qu'elle soit peut-être trop faible ou trop amoureuse ou qu'elle ai trop peur pour se séparer de lui. « Heureusement qu'il ne l'était pas. J'aurais aimé savoir ce qu'il se passait dans sa tête, connaître les si gros problèmes qu'il à pu avoir pour en venir à faire ça. » Tu disais doucement, réfléchissant. Pourquoi on ne pouvait pas tous lire dans les pensées comme Edward Cullen hein ? Ça nous aurait sauvé de bien des dégâts.

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 « T'es pas bête. Il avait un plan, il l'a exécuté. Ce n'était pas comme s'il t'en avait parlé et que tu avais tout gardé pour toi.   » Elle savait toujours quoi dire Bee, elle savait quoi faire, elle était forte pour ça. Elle mettait rarement les pieds dans le plat, contrairement à toi. T'avais vraiment bien choisi ta meilleure amie. Même si ces mots faisaient un peu mal à entendre, tu savais qu'elle avait raison. Il avait un plan et sortir avec toi en faisait certainement parti. Ça faisait mal de l'admettre, mais c'était probablement la vérité. Il c'était servi de toi. Qu'il ait eu de vrai sentiment pour toi ? Possible. Mais une chose était sûr: votre rencontre n'était pas anodine. Tu hochais la tête comme pour approuver ce qu'elle disait. Au fond, tu le remerciais de ne t'avoir rien dit. T'aurais bien été embêtée en apprenant, de sa bouche, qu'il avait violé des étudiantes et qu'il comptait en prendre d'autre en otage. T'aurais certainement fait la connerie de ne rien dire à la police, devenant complice de sa folie. Beezus te tendit un mouchoir, que tu attrapais sans dire un mot, le pressant sous tes yeux avant de te moucher bruyamment dedans. C'était pas glamour, mais bon, Bee avait l'habitude, tu pouvais bien te curer le nez devant elle, qu'elle trouverait ça normal... ou presque. « Heureusement qu'il ne l'était pas. J'aurais aimé savoir ce qu'il se passait dans sa tête, connaître les si gros problèmes qu'il à pu avoir pour en venir à faire ça. » Dit-elle.  « Je sais pas si j'aurais voulu savoir ... » Répliquais-tu en te levant pour aller jeter ton mouchoir dans la corbeille près de ton bureau.  « Je me serais sentis mal pour lui... j'aurais pas su quoi faire et j'aurais finis en prison par sa faute. » Ajoutais-tu en attrapant le sac plastique rempli de crème-glacées que Bee avait posé sur le lit en arrivant. C'était d'ailleurs surprenant que la police ne t'ait pas encore contacté pour t'interroger. Tu devais pourtant être une suspecte de choix. Qu'est ce qu'ils leur prouvaient que ce réseau de fou ne s'arrêtait qu'à ces trois étudiants ?  « Si ça se trouve je vais devenir folle aussi... » Lâchais-tu en te réinstallant sur le lit.

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Il était difficile de comprendre les actions d'Augustus quand finalement, on se rendait compte qu'on ne le connaissait pas. T'avais pas vraiment eu le temps de te retrouver avec lui en face ni d'apprendre à le connaître – et maintenant c'était sûr, t'allais saouler ta meilleure amie pour qu'elle te fasse rencontrer ses nouveaux mecs genre tout le temps, juste pour que tu puisses essayer de déceler s'ils étaient normaux ou cachaient des choses. T'allais vouloir les passer aux radars maintenant, afin d'avoir un minimum confiance. Mais Augustus, pour le coup, t'aimerai comprendre. T'aimerais connaître les pensées qui traversaient son esprits chaque jours et les décortiquer, t'aimerais trouver la vraie raison qui l'a poussé à s'allier à ces gens et à violer d'autres étudiants puis en prendre en otages. T'avais même pas compris ces prises d'otages, à quoi avaient-elles servit si ce n'était vous effrayer tous ? Au final, ils n'avaient même pas de revendications ou d'explications du pourquoi ils avaient fait cela – à part peut-être Gaëtan dont des témoins avaient dit qu'il avait parlé de sa copine que personne n'avait aidé lors de l'incident de la bombe. Est-ce que c'était une raison suffisante pour se mettre à violer des gens ? Tu pensais pas. Charlie de son côté ne semblait ne pas être très sûre de vouloir savoir. Mais même s'il ne lui avait pas dit au moment des faits, tu aurais toi préféré qu'Augustus se suicide plus tard, afin que Charlie aient au moins quelques explications pour continuer sa vie et avancer. Il aurait dû lui expliquer, lui laisser une lettre, un message vocal, n'importe quoi. Mais qu'elle ne soit pas la sans rien comprendre. Tu te levais un instant afin d'aller chercher deux grandes cuillères pour les glaces, et tu te remettais dans le lit, l'écoutant parler de prison. Ouais, t'aurais peut-être pas su quoi faire toi non plus si ton petit-copain t'expliquait sa vie difficile et ses agissements horribles. « Pourquoi, parce que t'es sorti avec ce mec ? La folie n'est pas contagieuse hein. » Tu lui disais quand elle lâchait qu'elle allait peut-être devenir folle aussi. Mal, dépressive, paumée peut-être, mais folle ? Elle ne le serait jamais autant qu'eux. « Je ne te laisserais pas croupir dans un asile, promis promis. » Tu lui disais en la serrant un instant contre toi, dans un demi câlin comme tu étais sur le côté, lui faisant un tout petit sourire.

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