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UPTOWN FUNK ( foxhound )

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Il était drôle lui, à te regarder de cette manière, à te parler de cette manière, comme si tu étais devenu un extraterrestre. Euh désolé de faire ma  vie de mon côté peut-être ? C'était vraiment un hypocrite parce que lui aussi avait avancé dans sa vie, lui aussi avait du tomber amoureux de son côté et tu ne préférais même pas y penser par peur de dégueuler le peu de champagne que t'avais bu. Il fallait que tu fasses quoi alors ? Rester le bon Nemo, et attendre que le destin vous fasse vous rejoindre gentillement après toutes ses années, comme un signe que vous étiez fait l'un pour l'autre ? Il n'avait pas eu l'air de se priver lui, de son côté. « Et alors, c'est pas bon le changement ? T'es le premier à m'avoir dit à quel point t'avais tant changé. » Et ça t'énervait tellement. Il était sans cesse sur le fait ce que je dis, ne fait pas ce que je fais comme si lui pouvait faire ce que bon lui semblait, comme si lui pouvait baiser avec des filles et des garçons, tomber amoureux, faire des projets avec d'autres, se marier, acheter une maison, avoir des enfants, mais que juste parce que toi t'as été son ex petit-ami et premier amour, tu devais rester sur le bas côté et l'attendre, si un jour il décidait que tu lui manquais. Ne comprenait-il pas que ça ne marchait pas comme ça la vie ?

Ce qui était chiant quand on a été intensément avec quelqu'un, c'est qu'il avait l'air - même des années après sans vous voir – pouvoir vous lire comme dans un livre ouvert. Et ça tapait quand même assez sur les nerfs. T'avais déjà à devoir jouer la comédie presque vingt-quatre heure sur vingt-quatre, et ça commençant à s'avérer difficile si tout le monde trouvait que tu ne te comportais pas assez amoureusement ou que tes yeux d'amoureux avaient l'air trop faux pour être vrai. A vrai dire, il avait faux. Tu le savais, tu ne t'étais pas voilé la face sur quoi que ce soit concernant ton mariage. Tu savais que tu l'aimais pas, que c'était réciproque, mais que peut-être si vous appreniez à vous connaître vous apprendriez à vivre en semi-harmonie, dans un semblant de bonheur amical. N'était-ce pas mieux que rien ? C'était tout ce dont tu espérais, afin de pouvoir continuer à faire plaisir à tes parents, et en même temps ne pas perdre la tête après un an de mariage. « Oh, Monsieur a fait des études de psychologie c'est ça ? Sexy. » Tu demandais d'une voix moqueuse, parce que toi aussi tu savais l'utiliser quand tu le semblait nécessaire. Finalement t'en venais même à te demander si ce n'était pas mieux que vous vous mettiez à danser, même dans les toilettes, comme il le voulait depuis qu'il était venu te parler, plutôt que de continuer à parler afin qu'il découvre le moindre de tes secrets.

Il s'ouvrait à toi. Peut-être qu'à présent, le seul Oscar qui voudrait encore te parler, qui voudrait encore se confier à toi était celui quand il était totalement ivre mort, et qu'il ne semblait pas vraiment savoir ce qu'il disait, entre quelques instants de clarté. Génial, t'avais réussi à attirer son côté bourré, et tu n'étais pas forcément sûr que ce soit mieux que rien. Parce qu'il ne savait pas comment tu pouvais l'aider, et peut-être qu'un Oscar totalement sobre le saurait lui – après tout, c'était lui le petit génie – sauf que demain, quand il aura dé-saoulé, il ne se souviendra surement que de quelques brides brumeuses dans son esprit. Rien qui puisse t'aider dans la nouvelle mission Sauver Oscar D'une Source Inconnue. Tu soupirais, un peu déçu qu'il ne puisse pas en dire plus, avant qu'enfin vos lèvres se rejoignent, fiévreuses, ivres de l'autre. Et quand tu t'imaginais déjà parti loin avec lui, c'est là qu'il brisait ta bulle et qu'il allait dégueuler. Décidément, c'était vraiment très glamour de boire trop, tu comprenais parfaitement pourquoi tu ne faisais pas parti des Mathers pour qui finir la tête dans la cuvette était le quotidien, et tu ne parlais même pas de leurs putains de drogues toxiques qui attaqueraient leurs cerveaux dans quelques petites années. Tu finissais par lui demander s'il était vivant quand après cinq bonnes minutes il semblait moins dégueuler, et il te répondait, avant de tirer la chasse d'eau, d'ouvrir la porte, et d'aller se rincer la bouche. Il riait ensuite en regardant ton entre-jambe, et tu levais tes yeux au ciel, avant d'hausser tes épaules nonchalamment. « J'suis assez facile à exciter. » Et s'il pouvait prendre cette phrase en mode t'es pas le seul qui à ce pouvoir de me donner envie aussi vite, te fais pas trop d'illusion ce serait encore mieux. Quand il te demandait lui-même si tu voulais qu'il te branle, tu finissais par rire doucement avec lui, secouant ton visage. « Non merci, tu viens de vomir tes tripes en plus. J'me ferais ça ou je demanderai à quelqu'un d'autre. » Tu répondais en remettant en place ton pantalon, et tu grimaçais un peu à cause de la friction que cela causait sur ton membre. Bon, c'était quoi cette nouvelle facette qu'il nous sortait ? Il devenait différent à chaque nouvelle phrase où l'ivresse l'emmenait, du sexy séducteur, au mignon et rieur pour rien adolescent. « C'est très gentil, tu commençais par répondre au compliment, tapotant doucement l'une de ses joues. Ça y est, tu t'es calmé là ? » Tu demandais, haussant un sourcil interrogateur.

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Il s’indignait totalement de ce que tu disais. C’est vrai, après tout, pourquoi lui n’aurait-il pas le droit de changer ? Tu l’avais bien fais toi, et pas qu’un peu, alors pourquoi pas lui ? Pourquoi n’avait-il pas le droit de se marier, de se poser, d’être heureux, alors que si toi t’en avais eu la chance tu l’aurais saisis. T’avais choisis de ne plus croire en l’amour, soit, ce n’était peut-être pas réciproque pour lui. Et pourtant ça te paraissait faux cette histoire. Tu n’aimais ni cette fille, ni ce mariage. De toute façon, tu ne comprenais même plus ce qui te poussais à lire les journeaux français tels que Paris Match, qu’est-ce que t’en avais à foutre de la vie des bourges et des aristots ? Ouais, le prince de Monaco s’est marié, bien, en quoi ça va guérir le cancer de ma mère ? Voilà que tu devenais mauvais maintenant. « J’sais pas. » Tu disais d’un ton vague de celui qui a perdu l’intérêt de cette conversation. Être bourré ça rendait con, mais ça rendait méchant aussi. « T’as raison, vous êtes tous beaux, tous parfaits. Fais lui de beaux enfants, mec. » T’en revenais pas quoi, vise le beau prince bien soumis, qui accepte un mariage arrangé. Tu t’attendais à mieux, voilà tout, de la part de l’insolent Nemo, indomptable, qui avait fait vrombir ton cœur auparavant.

Le moins que l’on puisse dire c’était que le vomi te faisais réfléchir, hein. T’étais pas non plus tout à fait sobre, mais t’étais déjà bien moins ivre que tu ne l’étais. En vérité, t’étais en pleine transition entre deux stades, et t’avais encore la chance de ne subir aucun mal de tête pour le moment, mais ça ne saurait tarder. Tu ressortais des toilettes avec le peu que t’avais dans l’estomac vidé, et l’impression d’être un mannequin qui fait un régime. Tu t’essuyas et te rinças la bouche pour te débarrasser de ce goût acide, remarquant d’un sourire en coin que ton interlocuteur était plutôt à l’étroit dans son pantalon. Il répliqua non sans sous entendus qu’il était assez facile à exciter, et tu roulas les épaules. « Tant mieux pour toi. » Tu tiquas, comprenant parfaitement ce qu’il sous entendait, t’arrachant un roulement des yeux. Il refusa tout aussi poliment que tu le soulages, et tu soupiras, trouvant l’ambiance beaucoup moins drôle d’un coup. « Oh, j’ai jeté un froid avec mon vomi ? Meeeeerde. » Tu te remis à rire, soupirant, avant de tituber, ayant du mal à marcher avec tout l’alcool que tu devais avoir dans le sang. « Rah putain… » Il tapota l’une des tes joues en te soufflant que t’étais gentil , et te demandant si tu t’étais calmé. Tu roulas à nouveau les yeux et dégagea sa main. « Pfeuuuuh. » Tu fis quelques pas vers la porte. « Moi oui, c'est pas moi qui bande. » Tu lui rétorquais, répondant à sa petite pique de toute à l’heure, avant d’éclater de rire et de tenter d’atteindre la porte, pour partir. En vain, tu manquas la poignée au moins trois fois.
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Il ne savait pas. Génial. Il changeait sans cesse d'humeur et il commençait à ne même plus s'intéresser à votre sorte de conversation. Dis de suite que je suis plus assez bien pour toi mec. Déjà qu'il n'avait l'air facile à parler quand il était sobre, puisqu'il avait tant changé, tu voyais maintenant le résultat de son ivresse, et ce n'était pas non plus très joli. Tu lui lançais un regard noir quand il continuait avec son ironie, et tu lâchais froidement. « Ouais. Peut-être que j'le ferais. » Bon, tu ne comptais pas le faire mais c'est qu'il t'agaçait avec son attitude là. Puis Chrissy restait presque une inconnue encore aujourd'hui pour toi, car tu n'avais pas encore eu le temps de vraiment apprendre à la connaître. Devenir amis, pourquoi pas, mais lui faire des enfants... On repassera.

Il semblait un peu mieux après avoir vomi, mais t'imaginais que c'était toujours comme ça avec ce genre de choses. C'était comme quand on trouvait qu'on était barbouillé et pas très bien dans l'estomac, ou qu'on avait mal au ventre à s'en faire pleurer : on vomissait, c'était super désagréable et pouvait encore plus avoir mal au ventre sur le coup, mais après, qu'est-ce qu'on se sentait mieux. Par contre ouais, ça t'ôtait toute la passion du moment précédent. Savoir que la bouche que t'avait embrassé avec envie s'est retrouvée à dégueuler au dessus d'une cuvette quelques secondes après, ça te donnait plus envie de grimacer qu'autre chose – et encore, tu t'estimais heureux qu'il ai senti le haut le coeur le prendre et qu'il ne t'ai pas dégueulé dessus. Tu lui en aurais voulu à mort là. « Ouais, j'suis sûr que tu pus maintenant. » Tu disais d'un ton faussement désolé, alors que lui reprenais ses rires toutes les deux secondes pour chaque petites remarques qu'il sortait lui-même. T'essayais de voir s'il allait un peu mieux, car il t'était difficile de juger vu l'état dans lequel il était. Il te répondait que ça allait très bien, qu'il n'était pas celui de vous deux qui bandait, mais finalement, tu l'observais tituber et avoir du mal à attraper la poignet de la porte. Bien qu'il disait ? Ouais, à d'autres. Tu passais derrière lui, l'accompagnant avec toi en posant une main sur son dos, et ouvrant la poignet afin de vous retrouver au plein coeur du club. Tu continuais de le diriger, regardant de tous les côtés, avant de te repérer. « Bonsooooir. » Tu chantonnais en le poussant une nouvelle fois vers ses amis, puis tu t'éclipsais, partant chez toi. Ouais t'avais un petit problème dont t'allais devoir prendre soin tout seul.

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Ce n'était même pas la peine d'essayer d'avoir une conversation stable avec toi. Si c'était ce qu'il voulait, il ferait mieux d'attendre le lendemain parce que t'étais pas en état : partagé entre mal de cœur et mal de tête, mais aussi agacement extrême à l'idée que ce crétin poursuivait son délire, allant même jusqu'à acquiescer cette histoire d'enfants. C'est ça oui, connard, je te souhaite d'être stérile. Mais toute cette jalousie ne serait pas à grand chose, elle était vaine, votre histoire était de toute manière terminée depuis que t'avais refusé de mettre ton égo de coté, bravo Oscar. Bravo à tous les deux, dans le couple du je suis un con avec mon petit ami, je demande les deux gugus qui se prennent pour des personnages de dessins animés.

« C'est toi qui pue, j'te déteste.  » Tu râlais en marmonnant, le pointant du doigt avant de le baisser, ne tenant pas bien l'équilibre. Il le remarqua d'ailleurs puisqu'il eut la bonne idée de te ramener pronto vers tes amis, que tu saluais d'un geste de la main, tandis qu'hilares ils regardaient Nemo s'éloigner. Tu te tournas vers lui pour le regarder partir toi aussi, mais constatas qu'il avait simplement disparu, trop rapidement. Tu grimaças, ayant l'espace d'un instant la lueur du Oscar sobre, qui disparu bien vite. De toute façon, demain tu aurais tout oublié.

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Terminé. UPTOWN FUNK ( foxhound ) - Page 2 2109348208
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