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it's okay baby, it's okay (vanille)

Anonymous

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Jamais je n'avais eu aussi peur de toute ma vie, jamais. Bien que j'ai été agressée la veille de Noël, et que j'ai eu une peur bleue, ce n'est rien comparé à cette prise d'otage. Ça fait deux jours que je ne dors plus, deux jours que je pense à tous mes proches, deux jours que j'essaie d'oublier tout ça. C'est difficile d'effacer ces images de mon esprit, c'était d'une violence extrême et assister à un meurtre sous mes yeux.. c'était comme dans un film. Je croyais faire un cauchemar. Malheureusement, rien de tout cela n'était faux et ma meilleure amie était à l'hôpital après s'être pris une balle dans le ventre. Je n'avais pas eu le temps d'aller voir Vanille avant, il fallait qu'elle fasse un tour au bloc pour qu'ils lui retirent la balle et.. J'espère que tout s'est bien passé, voilà tout. Arrivant dans le hall de l'hôpital, lieu que je déteste plus que tout, je demande à voir Vanille Clayton au standard. Une infirmière me demande de la suivre, et jambes tremblantes, j'avance dans différents couloirs avant d'arriver devant sa porte de chambre. Je respire un bon coup, serrant le bouquet de fleurs que j'avais apporté contre moi, puis ouvre la porte pour découvrir Vanille. Elle a l'air tellement fatiguée.. Mais heureusement, elle est réveillée. « Hey.. » dis-je dans un souffle, m'approchant d'elle en grimaçant. Je dépose le bouquet sur la table de chevet et dépose un baiser sur son front. Instantanément, j'attrape sa main. « Ça va ? » Je ne sais même pas pourquoi je pose cette question.. mais il faut que je parle, sinon je vais pleurer.
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Tu détestais cet endroit. Genre vraiment. T'avais limite l'impression qu'il était en train de te rendre malade. Un hôpital, ça n'avait déjà rien de gay à la base. Même absolument rien d'ailleurs et là, c'était encore pire. Avec toutes les nouvelles que t'avais du encaisser en si peu de temps autant dire que là, t'avais besoin d'un truc qui te remontes le moral sinon, t'allais tout simplement devenir folle. Y avait pas d'autre mot là. L'pire, c'est que t'arrivais même pas à dormir. Le temps passaient à une lenteur extrême et tu pouvais même pas allait faire un tour. Non. Maintenant, t'allais juste rester dans ce lit jusqu'à ce que celui-ci soit troqué pour un fauteuil et que t'apprennes toi même à te débrouiller ce qui risquait de prendre un peu trop de temps. Voilà. T'étais au bout du rouleau clairement et t'avais l'impression que tu te sortirais jamais de cet enfer. C'était impossible. La porte venait s'ouvrir et après un moment d'hésisation, tu tournais la porte reconnaissant ta meilleure amie. Addison. Exactement ce dont tu avais besoin là maintenant tout de suite. Elle posait un bouquet de fleurs pour les formalités avant d'embrasser ton front. Et quand elle saisissait ta main, tu serrais assez fort comme pour réaliser qu'elle était là. « Oui.. » T'avais murmurée ne lâchant pas son regard une seule seconde. En fait non, ça n'allait pas. Ça n'allait pas du tout même. Et tu fondais en larme d'un coup réussissant à prendre la parole entre deux sanglots. « Non, ça va pas du tout. Ça va pas du tout. »
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Je n'aurais pas réalisé que voir Vanille dans cet état me rendrait aussi triste. Cette fille, c'est un ange tombé du ciel, et elle ne mérite certainement pas de finir dans un lit d'hôpital à cause d'une psychopathe. J'ai assisté à la scène, je l'ai vu se faire tirer dessus, sans que je ne puisse rien faire. Encore une fois, elle ne mérite pas une telle sentence, elle voulait seulement protéger son petit ami.. Je suis vraiment effondrée, mais j'essaie de rester forte devant Vanille, je ne veux pas qu'elle ressente toute la tristesse que j'ai en moi. Elle me confie qu'elle va bien, mais à peine quelques secondes après qu'elle est dit cela, elle fond en larmes. Et clairement, c'en est trop pour moi. Je pleure à mon tour, serrant sa main un peu plus fort, comme pour lui montrer que je ne l'abandonnerai jamais. Quoi qu'il arrive. Je m'approche d'elle, sans que mes larmes s'arrêtent de couler, la prenant dans mes bras. Je veux être là pour elle. « Je suis là, t'es pas toute seule. » Et oui, si elle le désire, je pourrais rester là des heures entières. Je ne connais pas les séquelles de son accident, j'espère juste que tout rentrera dans l'ordre, même si psychologiquement, nous avons tous été touchés.
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T'avais craquée en quoi ? Deux seconds chronos à main. Et c'était complètement pathétique de ta part. Mais en même temps, qui pourrais t'en blâmer ? Tu venais de recevoir le genre d'information qui n'aurait pu laisser personne d'indifférent. On t'avais annoncé qu'il était probable que tu ne remarches plus jamais et rien que pour ça, il était logique que tu sois complètement désemparée. Personne ne pouvait te reprocher tes larmes à ce moment là. Et tu risquais de toute façon de craquer pendant pas mal de temps parce que c'était le genre de truc que tu mettrais bien longtemps avant d'assumer. Peut être même que tu n'assumerais jamais au final. C'était totalement possible. Qui pouvait ce faire à cette idée ? Et comme si ça ne suffisait pas, t'avais l'impression d'avoir perdu Max. Ou plus exactement, vous vous étiez perdus pendant cette prise d'otage. Et même si vous étiez toujours ensemble à l'heure d'aujourd'hui, il était évident que plus rien ne serait jamais pareil maintenant. Encore moins depuis votre conversation dans cette même chambre d'hôpital. Conclusion, ta vie était un désastre. Un énorme désastre. Et fallait croire que tes larmes étaient communicatives puisque ta meilleure amie se mettait à pleurer elle aussi avant de t'enserrer dans ses bras. « Comment je vais faire Addi ? Hein ? Comment je vais faire ? »
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Je n'ai jamais supporté de voir les gens malheureux, et le fait de voir ma meilleure amie dans un tel état me rend complètement dingue. S'il y a bien une personne sur terre qui ne mérite pas un tel sort, c'est Vanille, et je ne comprend toujours pas pourquoi c'est à elle qu'on s'en est pris. Cette fille, la psychopathe du McDo, heureusement qu'elle a été tuée, sinon je crois que c'est moi qui aurait pressé la détente. Je ressens une profonde tristesse chez Vanille, et j'essaie de lui en prendre un peu de part ma présence et mes mots. C'est bien connu, je ne suis pas la meilleure personne pour consoler ou donner des conseils, mais là, il faut vraiment que je mette les bouchées doubles. Je desserre mon étreinte pour la regarder fixement dans les yeux, prenant son visage jonché de larmes entre mes mains. Je tente de ne pas fondre en larmes à nouveau, même s'il s'avère que ce n'est pas une tache facile. « Tu vas y arriver. Je le sais, tu vas y arriver. T'es forte et optimiste, et même si après ces événements c'est difficile de positiver, faut jamais arrêter. » Ma voix est un peu tremblante, mais j'essaie d'être la plus ferme possible. Seulement, je ne connais toujours pas la gravité de la blessure de Vanille, et je risque de vraiment tourner de l'oeil quand je l'apprendrai..
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La pauvre ne devait même pas comprendre de quoi tu parlais. Elle devait penser que tu parlais juste de ce traumatisme qui allait rester dans vos têtes pendant des mois et des mois, toujours plus vif, toujours plus présent. Mais non, toi tu parlais des conséquences. Des conséquences que ce coup de feu avait eu sur toi. Des dommages que ça avait provoqués et de toute ta vie qui changeait à cause d'un stupide Macdo. Elle prenait ton visage entre ses mains essayant de trouver les mots alors que tout comme elle, tu savais qu'elle n'était pas douée dans ce domaine. « J'suis pas optimiste Addi'. Ni aujourd'hui, ni demain. » Tu passais tes mains sous tes yeux pour essuyer les larmes misérables qui avaient coulés avant de reprendre. « Je ne marcherais plus Addi. J'vais être dans un fauteuil et j'devrais me débrouiller avec ça parce que j'aurais pas le choix. » La bombe était lancée et tu serrais un peu plus sa main comme pour lui donner du courage à elle. Le courage d'encaisser ce que tu venais de dire. « J'peux plus être positive. » Et comment l'être dans ce genre de situation ? Peut être que ça reviendrais plus tard. Peut être que dans quelques temps, tu retrouverais l'espoir que tu semblais avoir perdue mais pas maintenant, c'était trop tôt.
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Je conçois parfaitement que Vanille soit au fond du gouffre en ce moment, elle a vécu un tel traumatisme qu'elle doit être tout sauf optimiste à l'heure d'aujourd'hui. Mais elle est en vie, et c'est ça qui compte non ? Je fronce les sourcils quand elle commence à me dire qu'elle n'est optimiste en rien du tout. Ce n'est pas la Vanille que je connais, et j'ai envie de lui demander pourquoi elle se laisse aller ainsi, et là.. je comprend. Sa main qui serre davantage la mienne, ses yeux brillants de larmes, ses paroles qui me brisent soudainement le coeur. God, je me rends à peine compte de la situation, et j'ai juste envie de pleurer à nouveau. Comment ça elle ne pourra plus jamais marcher ? C'est une bonne blague j'espère ? « J.. Je.. J'suis désolée. » Ma voix se brise sur la fin, et quelques larmes roulent sur mes joues, sans que je puisse les arrêter. Je n'arrive pas à emmagasiner ce qu'elle est entrain de me dire, et je suis complètement hors de la situation là. Quelle piètre meilleure amie je fais. « Comment ça se fait ? Fin j'veux dire.. ils ont pas enlevé la balle à temps ? » Parler de ça me fend le coeur, mais j'ai envie de comprendre. J'ai envie d'être là pour elle.
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Trop tôt pour rire, pour sourire, pour positiver. Au final, c'était trop tôt pour toi. Tu pouvais pas, t'avais l'impression que t'encaisserais jamais ça. Que tu pourrais jamais te faire à l'idée de rester coincée sur un fauteuil roulant pour le reste de ta vie. Et le pire, c'est que t'avais personne à blâmer pour ça. Tu voulais pas revenir en arrière parce que forcément, tu referais la même chose pour le protéger et même si le fait que Max te déplace dans la pièce avait provoqué le mouvement de la balle, tu comprenais sa détresse. T'aurais peut être fait la même chose dans le cas contraire alors non, tu ne pouvais pas l'accuser. Ce n'était pas de sa faute. Addison bredouillait être désolée alors qu'au final, elle n'avait aucune raison de s'excuser. On s'excusait quand on était fautif, quand on avait quelque chose à se reprocher. Là, elle n'était dans aucune de ces situations. Et ça me déchirait de la voir se remettre à pleurer. On faisait une super équipe de madeleine. « Elle s'est déplacée. Elle a bougée à cause des déplacements et.. » Et j'étais paralysée. Fin de l'histoire.
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Nan mais là, clairement, je suis choquée. Outrée. Le fait qu'elle se prenne une balle pour aucune raison m'avait déjà mise hors de moi, mais cette annonce venait de me briser en mille morceaux. Et je n'imagine même pas dans quel état elle se trouve actuellement. J'essaie de me mettre à sa place le temps d'un instant, et j'ai vraiment du mal à imaginer qu'elle va peut-être rester en fauteuil roulant pour le reste de sa vie. Pourquoi est-ce arrivé à elle ? Pourquoi ? Apparemment, la balle s'est déplacée vers sa colonne vertébrale quand Max la déplaçait pour la mettre à l'abri.. quelle malchance. J'aimerais remonter le temps pour ne jamais avoir mis les pieds dans ce McDo, ce jour-là. Et que Vanille n'y soit pas allé non plus. Qu'elle soit saine et sauve. Mais non, malheureusement, c'est impossible et on doit vivre avec ce traumatisme maintenant. « Je suis tellement désolée.. Dis moi si je peux faire quoi que ce soit. » Je me répète, je le sais, mais je suis vraiment désolée pour elle, c'est vrai. Ce n'est peut-être pas de ma faute, mais je ne peux pas m'empêcher de m'en vouloir.
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Voilà. Maintenant, on pouvait officiellement dire que t'avais une vie de merde parce que c'était la stricte vérité. De pseudo femme totalement banale, t'étais passée aux sponsors quotidien de VDM. Sans déconner, tu pourrais en écrire une avec ce qui t'arrivais maintenant. Bref. Et Addi qui n'arrêtait pas de s'excuser comme si c'était elle qui avait tenu l'arme. Qui cherchait à t'aider comme si elle pouvait te rendre l'usage de tes jambes en un claquement de doigt. T'étais méchante là ? Ouais. Heureusement que c'était dans ta tête tout ça mais t'étais en colère contre tout le monde et ta meilleure amie n'échappait pas à ça. T'étais en colère et t'avais parfaitement le droit, point. « Tu peux rien faire. Qu'est ce que tu veux faire contre ça ? » Y avait pas de solution miracle et c'était pas des longues conversations qui allaient arranger quoi que ce soit. Du moins, pas maintenant. C'était comme si tu ressentais le besoin de te morfondre encore et encore. Qui pouvais t'en empêcher de toute façon ?
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