DWIRYA ♥ I'm gonna take care of you

Si je m'attendais à ça en venant aujourd'hui, eh bien je devais vous avouer que j'en avais rêvé depuis ce jour où elle était venue à la maison mais je n'avais pas cessé d'ignorer ce que j'avais ressenti ce jour-là parce que je me disais que je n'avais pas le droit de faire ça ! Je ne pouvais pas avoir ce genre de pensées envers ma meilleure amie... Mais il se trouvait qu'aujourd'hui alors qu'elle avait besoin de prendre son bain et pour cela, elle avait besoin de mon aide, ben au lieu de me laisser repartir dans son salon pour l'attendre sagement comme le ferait tout bon meilleur ami, elle me demandait carrément de partager son bain ! J'étais sur le cul quand même parce que cela voulait dire qu'on allait être très proches, déjà que j'étais chamboulé par son baiser sur le coin de mes lèvres ! Qu'est-ce qu'il se passait réellement là ?! En réalité, je n'avais même plus envie de le savoir, je préférais foncer tête baissée là ! Le pire c'était que j'acceptais de faire ça mais que je devais me mettre nu alors elle me disait que c'était bête avant de me demander si je voulais qu'elle enlève tout pour que je me sente moins seul... J'eus un petit rire nerveux avant de répondre : " D'accord... Et tu veux que je t'aide pour enlever tes sous-vêtements ? " Je ne savais pas ce qu'il se passait mais je fonçais tête baissée !

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Tu délirais, c'était certainement ça le problème. Tu n'étais pas dans ton état normal, du moins c'est ce que tu pensais. Tu mettais tout sur la faute de tes antidouleurs et si ce n'était pas le cas ? Et si au final tu étais bien trop de ton meilleur ami, que tu voulais ça depuis longtemps ? Pourquoi tu t'étais battu pour que ce mariage n'ait pas lieu ? Pourquoi te battre pour ça, alors que tu n'étais qu'une amie ? Tellement de questions, tellement de choses se chamboulaient dans ta tête, que tu ne savais même plus quoi faire. Continuer, ou t'arrêter en si bon chemin ? Tu ne pouvais pas décider, tu savais qu'il allait te suivre, que tu ne pouvais plus marche arrière, c'était bien trop tard. Au lieu de le laisser partir tranquillement dans ta villa, tu le retenais en otage, tu le gardais juste pour toi comme tu l'avais toujours désiré. Tu pouvais te montrer très égoïste et tu en faisais preuve en cet instant. Mais, pourquoi te priver de ce que tu désirais le plus ? Tu restais contre lui pendant un petit moment, tu sentais son cœur battre, tu sentais qu'il était nerveux tout comme tu l'étais avant. Tu souriais toujours, tu avais toujours ce petit sourire malicieux, mais à la fois gracieux sur tes lèvres. Tu aimais caresser sa joue, sa peau, son torse. Tu revenais rapidement à la réalité quand il te demanda si tu avais encore besoin de lui pour enlever les derniers tissus qui se trouvaient sur ton corps. Tu te pinçais doucement la lèvre avec ta dent, et le rouge commençait à te monter aux joues. Pourtant tu ne baissais pas ton regard et tu soufflais. « Juste le bas, comme tout à l'heure. » Tu reposais encore une fois tes lèvres, mais cette fois-ci sur sa joue. Tu passais tes mains dans ton dos pour attraper les agrafes de ton soutien-gorge et tu les défaisais doucement. Avant de le faire tomber au sol, tu plaçais un bras devant ta poitrine pour légèrement te cacher, même si cela ne servait pas à grand-chose.

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Jamais au grand jamais je ne m'étais retrouvé dans une situation des plus embarrassantes quand même mais voilà je ne pouvais plus faire marche arrière parce que je m'étais moi-même entré dans le piège de ce petit jeu créé par ma meilleure amie ! J'ignorais ce que tout cela voulait dire mais toujours est-il que nous étions en train de jouer avec le feu quoi ! Entre meilleurs amis, il n'était pas très courant de partager un bain, encoire moins en tenue d'Adam et Eve ! Nous n'étions pas amants, nous ne l'avions jamais été et ce parce que je ne voulais pas faire subir ça à ma meilleure amie! Je tenais trop à elle pour oser briser notre amitié en couchant avec elle ! Je suis un connard sans coeur qui ne faisait guère attention aux sentiments des filles alors oui je ne voulais pas ça pour Apo... Mais je ne pouvais plus nier aujourd'hui que je ressentais des étranges sensations dès que je me trouvais à ses côtés, c'était comme si je commençais à la voir d'une toute autre manière désormais ! Qu'importe, j'acceptais qu'elle se mette nue aussi pour que je ne me retrouve pas le seul à le faire mais en fin de compte, c'était parce que j'aimerais tant la voir nue... J'étais assez nerveux, ce qui ne m'arrivait jamais d'ordinaire et je venais à lui demander si elle voulait de l'aide pour retirer ses sous-vêtements, elle me disait alors de lui enlever le bas, puis elle m'embrassa de nouveau sur la joue avant de dégrafer son soutien-gorge mais elle cachait sa poitrine avec son bras. Je déglutis légèrement avant de lui enlever délicatement sa petite culotte et au lieu de la mater, j'évitais de regarder son jardin secret parce que je n'avais pas été convié. Et une fois qu'elle fut nue devant moi, je me mettais en tenue d'Adam aussi, tout en essayant de cacher mon intimité. Je rentrais dans l'eau en premier pour la tester... Elle était parfaite puis je me tournais vers elle alors que je m'étais mis assis dans l'eau... " Tu viens ? "

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Tu gardais toujours la même expression sur ton visage, tu ne changeais jamais. Tu avais toujours un grand sourire, même pendant les moments les plus difficiles. Tu ne voulais pas montrer aux autres que tu souffrais, que tu pleurais et que tu déprimais. Tu l'avais prouvé une fois de plus durant le départ du jeune homme. Tu te refermais sur toi-même et tu ne parlais pratiquement à plus personne, du moins, tu disais être malade et ne pas pouvoir venir à l'université, sauf s'ils voulaient tous attraper ta soi-disant gastro. Pourtant, le soir, tu allais parfaitement bien. Quand tu avais quatre ou cinq verres dans lez nez et un joint voire plus. Tu allais mieux quand un homme te prenait dans ses bras, quand il s'endormait à tes côtés, mais, tu ne dormais jamais. Tu gardais toujours les yeux ouverts, ils te permettaient juste de l'oublier pendant quelques heures, mais il revenait en permanence. Tu vas pris la décision de vivre avec lui ou sans lui, et vu qu'il avait disparu, tu avais mis un terme à tout ça. Tu allais reprendre ta vie où tu l'avais arrêté et tu allais retrouver une autre personne, parler de tout et de rien avec elle et c'est tout. Alors que tout allait bien pour le moment, tu avais entendu parler de son retour, non ce n'était pas lui qui te l'avait annoncé, des simples rumeurs. Mais, tu l'avais vu rapidement avec sa voiture et c'était certainement là que tu avais été le plus vexée. Il disparaissait et quand il revenait, il ne prenait même pas la peine de t'envoyer un message. C'était seulement le lendemain matin qui t'invitait à venir chez lui, le rejoindre. Chose étrange, journée étrange comme toutes les autres, comme celle en ce moment. Tu avais laissé tomber ton soutiens-gorge au sol, juste devant lui. Tu plaçais ton bras devant ta poitrine pour essayer de la "cacher". Il t'enlevait à son tour ton bas, tu frissonnais en sentant ses mains le long de ta jambe. Mais tu ne bougeais pas pour autant, tu tournais le regard et tu te déplaçais doucement. Il venait de tout enlever, tu ne le regardais pas, tu ne le fixais pas. Tu le laissais s'installer dans la baignoire, il prenait place, assis dans celle'-ci. Tu posais ton pied dans l'eau et tu t’asseyais près de lui. Laissant ta jambe dans le plâtre sur le bord de ta baignoire, tu posais ta tête contre le torse de ton ami. Qu'est-ce que tu étais bien comme ça, tu enlevais ta main de ta poitrine, après tout il en avait déjà vu plus d'une. Tu attrapais sa main et tu la gardais contre la tienne. Tu aimerais que le temps s'arrête, pour passer toute ta journée près de lui, ici.

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Quelle serait la vie si nous ne prenions pas de risques ? Eh bien elle serait d'autant plus inutile qu'elle n'était déjà actuellement ! Cela je l'avais compris lorsque j'avais été envoyé dans cet institut étrange où j'étais censé me faire désintoxicer mais au lieu de cela, c'était presque une prison où je n'avais tellement pas pu joindre les gens qui avaient de l'importance dans ma vie dont la fille qui se trouvait à mes côtés à l'heure actuelle... Je me demandais de plus en plus maintenant ce que cela voulait dire, pourquoi je me sentais bien plus concerné par sa vie aujourd'hui qu'avant. Pas que je m'en fichais mais plutôt parce que je me refusais de la voir autrement que ma meilleure amie ! Non aujourd'hui, je voyais vraiment la jeune femme qui était en elle, la beauté de ma meilleure amie de toujours me frappait aux yeux sans arrêt ! J'étais un peu embarrassé par la situation actuelle parce que c'était bel et bien la première qu'on faisait ça et pourtant on se connaissait depuis tous petits quoi ! Fin bref, je l'avais vite mise nue avant d'en faire de même puis je rejoignais l'eau avant de lui dire de me rejoindre ce qu'elle fit tout en venant se blottir à moi. Avec ma main libre, je la caressais avec tendresse tout en murmurant doucement: " Je ne sais plus c'est quand mais... Accepterais-tu de venir en Europe avec moi ? Ma Confrérie organise notre voyage semestriel en Europe... " Oui je ne pouvais que lui demander, je ne pouvais pas faire ce voyage avec une autre personne !

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Tu étais gênée, mais avec les minutes qui passaient, tu l'étais de moins en moins. Tu ne regardais pas en dessous de son torse, tu t'étais appuyée contre lui, tes cheveux trempaient doucement dans l'eau chaude comme le reste de ton corps. Tu caressais sa main, tu t'occupais et tu écoutais son cœur battre. Tu fermais doucement les yeux, comme si cela te berçait. Tu étais tellement bien en sa compagnie, ton cœur n'avait jamais autant battu aussi rapidement et fort. Parfois, tu avais même du mal à respirer, tu avais cette boule dans le ventre. Tu étais mal à l'aise, tu ne savais pas quoi faire, tu ne savais même plus ce qu'il était pour toi. Mais, une chose était sûre, tu n'y pensais plus pour l'instant. Il n'était qu'a toi et tu devais en profiter, tu ne devais plus penser à tes autres problèmes. Tu descendais ta main sur son torse, tu t'amusais avec à passer ton doigt sur chaque carré qui se dessinait sur son ventre. Des vrais abdos, et tu aimais ça. Tu te laissais guider jusqu'à ce qu'il te retire de tes pensées. Il te proposait de parti avec lui, du moins avec sa confrérie en Europe. Tu ouvrais les yeux et tu portais ton regard sur ton plâtre, tu savais que tu ne pouvais pas aller bien loin avec ça. Tu soupirais doucement, et tu tournais la tête dans sa direction, tu ne pouvais pas lui refuser ça. Tu ferais vraiment tout pour lui, et tu savais que tu en étais capable. Tu te redressais doucement, posant l'une de tes mains sur sa cuisse et déposant un petit baiser sur sa joue et tu glissais doucement à son oreille « Si tu veux, pour toi je ferais tout. » un petit sourire sur tes lèvres, tu déposais un petit baiser dans le creux de son cou. Tu n'avais plus de limite, tu venais de franchir les barrières que tu t'étais posée. Il t'attirait de plus en plus et ça venait de plus en plus déstabilisant. Tu avais de plus en plus envie de goûter à ses lèvres.

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Jamais je n'aurais cru que je vivrais ce genre de choses avec Apo un jour mais il semblerait que c'était un truc inévitable. J'aurais du me douter qu'en me disant qu'elle avait envie d'un bain, j'allais tomber dans une sorte de piège parce que me voilà maintenant nu dans une baignoire - même si celle-ci était assez grande pour deux personnes voire même une troisième - et je demandais à ma meilleure amie de venir me rejoindre alors qu'elle était elle-même en tenue d'Eve. Je n'arrivais plus du tout à parler une fois qu'elle se soit blottie contre moi alors je la laissais s'amuser à caresser mes pectoraux dignes d'un athlète de haut niveau. N'étais-je pas mannequin et acteur de cinéma ? eh bien oui donc il était totalement normal que je sois aussi bien constitué et en plus je travaillais sans arrêt mon corps pour qu'il demeure parfait comme il l'était déjà ! Mais au bout de quelques petites minutes de silence, j'eus finalement le courage de reprendre la parole et ce afin de lui demander si elle voulait bien m'accompagner lorsque les Eliots feraient leur voyage semestriel en Europe. Elle vint m'embrasser sur la joue tout en me murmurant à l'oreille qu'elle ferait tout pour moi si je le voulais.. " Moi aussi... " eus-je simplement le temps de dire alors qu'elle venait de m'embrasser dans le cou comme le ferait une petite amie... Je la regardais longuement avant de jeter aux oubliettes mes saintes révolutions et je m'approchais d'elle pour capturer ses lèvres avec les miennes... J'embrassais ma meilleure amie et ce n'était pas dans le but de faire d'elle une conquête, c'était parce que j'en avais vraiment envie !

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Ton cœur battait rapidement, bien trop rapidement à ton goût. Tu ne savais jamais pourquoi ton foutu cœur battait autant et tu continuais de rester aussi proche. Tu avais toujours ta tête posée sur son torse et tu passais tranquillement tes fins doigts sur son torse. Tu passais entre chaque trait, chaque petite bosse et tu te pinçais parfois la lèvre. Comme si ça t'aidait à te faire revenir sur terre, mais rien ne faisait. Tu étais comme sur un petit nuage, tu n'avais jamais été aussi bien de ta vie, même un joint ne te faisait pas autant voler. Il te proposait de partir avec lui en voyage, comme s'il avait oublié ce plâtre que tu avais autour de ta jambe. Toi, tu n'arrivais pas à l'oublier et pourtant tu le devais. Tu ne devais pas rester bloqué sur ce foutu plâtre, tu posais ton regard sur lui, tu soufflais doucement à son oreille. Que tu venais, que tu acceptais de partir avec lui, pour quelques jours, même quelques heures, tu l'aurais fait. Il te faisait bouillir de plus en plus, tu avais l'impression d'avoir de la fièvre, il faisait de plus en plus chaud dans cet endroit. Tu ferais tout pour lui, même si tu devais choisir entre lui et Konrad, même si tu devais choisir entre lui et les joints. Tu avais déjà fait tes choix et ça serait lui. Mais, tu savais qu'il ne pouvait pas devenir quelqu'un d'autre que ton meilleur ami. Il était marié, il avait une femme et une vie toute tracée devant lui. À cette pensée, tu déposais juste un baiser dans le creux de son cou. Comme par réflexe, et tu commençais déjà à le regretter. Tu t'éloignais doucement de lui, alors que celui-ci s'approchait de toi, un peu plus et il te déposait un long baiser sur tes lèvres. Tu fermais doucement les yeux et tu prolongeais son baiser. Tu attrapais son visage entre tes mains, ton cœur battait tellement, tu n'avais plus envie de quitter ses lèvres.

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