DWIRYA ♥ I'm gonna take care of you

Ma meilleure amie avait eu un accident ! Mon sang n'avait fait qu'un tour lorsque j'avais appris la nouvelle et aussitôt je m'étais dit que j'allais tout faire pour aller la voir ! Oh mon dieu que se passerait-il si je la perdais ? Je n'en survivrais pas je pense parce que je l'aimais tellement ! Pas comme un meilleur ami devrait aimer son amie mais plutôt comme un homme aimait une femme qui lui plaisait énormément ! Eh bien oui, je ne pouvais plus nier ce que j'éprouvais là ! Elle m'était bien plus importante qu'une simple meilleure amie quoi mais je savais qu'on ne pouvait avoir une relation pour le moment parce qu'il y avait la complication qu'était mon mariage ! Néanmoins je savais qu'il ne durerait pas longtemps puisqu'Ariana et moi-même voulions divorcer ! Cependant j'ignorais quand est-ce que cela arriverait mais pour l'heure, je prenais ma Ford Shelby et je me rendais illico presto chez ma Apo ! Puisqu'elle avait la jambe dans le platre maintenant, j'étais là pour m'occuper d'elle dès que j'avais du temps ! Or ce temps je le trouvais n'importe quand parce qu'il s'agissait d'elle alors que d'ordinaire, je ne ferais pas ce genre de choses sinon ! Mais ma Cabot était bien trop importante dans ma vie pour que je la laisse tomber dans cette fichue épreuve de la vie ! Fin bref, j'arrivais rapidement chez elle et je m'annonçais aussitôt: " Mon p'tit coeur je suis là ! ". J'avais le double de sa clé le temps que je m'occuperais d'elle pendant son rétablissement.

(Invité)

Tu avais eu un accident et tu t'en voulais, tu n'aurais jamais dû prendre le volant, du moins surtout après cette soirée. Pourtant, tu n'avais pas bu, ni même fumé, mais tu étais fatiguée, bien trop fatiguée pour conduire. Pourtant tu l'avais fait et au final la fatigue avait pris le dessus. Tu t'étais endormi et tu avais finalement fait une sortie de route avec plusieurs tonneaux. Tu avais de la chance, tu n'avais qu'une fracture à ta jambe gauche. Tu allais devoir encore patienter avant de pouvoir reprendre la danse. Tu avais donc passé une bonne partie de ta nuit dans la voiture, tu étais sonnée et tu avais eu du mal à respirer sur le choc. Tu avais passé le reste de ta nuit, sur un lit à l’hôpital, tu ne devais plus bouger ta jambe pendant minimum deux semaines. Une personne t'avait accompagné jusque chez toi et tu avais dû te débrouiller avec tes béquilles. Tu avais l'impression d'être une vraie handicapée, tu ne pouvais plus faire comme d'habitude. Tu te promenais dans ta villa avec deux béquilles, tu basculais en avant et parfois en arrière. Tu manquais de glisser et de tomber et au final les nerfs commençaient réellement à lâcher. Tu n'arrivais pas à dormir, tu souffrais et au moment où tu entendais la voix de ton meilleur ami, du moins celui que tu appréciais plus qu'un ami. Tu voulais te rendre à la porte, mais dans la précipitation, ta béquille glissa sur le carrelage et tu tombais de tout ton long sur le sol. Ta tête tomba sur le sol, laissant juste un bruit sourd résonner dans la villa. Tu posais tes mains sur le visage, comme si cela allait t’empêcher de pleurer. Tu n'en pouvais plus, le sort s'acharnait sur toi.

(Invité)

Je n’arrivais tellement pas à croire que ma meilleure amie ait pu avoir cet accident de voiture, je ne me sentais pas bien du tout là ! Elle était gravement blessée, elle avait un plâtre à la jambe et j’espérais de tout mon cœur que son médecin de cousin l’aidait de son mieux là où moi, je me retrouvais incompétent puisque ça sortait de mon expertise ! J’avais certes des notions de secourisme, je n’étais pas un médecin quoi donc voilà ! Néanmoins aujourd’hui j’avais pris la décision de la voir parce que j’en avais envie et elle me manquait terriblement ! Donc très rapidement j’avais fait le trajet qui séparait ma maison de la sienne et une fois que je fus à destination, je m’étais annoncé ! Cependant j’entendais un bruit sourd comme si une personne chutait ! Et je ne connaissais qu’une seule personne qui pourrait chuter à l’heure actuelle et qui se trouvait être la maitresse de maison ! Alors oui mon sang n’avait fait qu’un tour de nouveau et comme je constatais que la porte était entrebaillée, je me précipitais rapidement à l’intérieur pour la voir et là je tombais presque à la renverse en la voyant au sol ! « Mon p’tit cœur ! » m’écriais-je avant de courir jusqu’à elle pour l’aider délicatement à se relever mais pour la prendre dans mes bras… « Oh mon dieu ! J’ai si peur pour toi Apo ! » dis-je avant de déposer mes lèvres sur son front puis je continuais d’une voix rauque : « Tu veux que je te porte jusqu’à ton lit ? »

(Invité)

Tu avais glissé et ta tête venait de frapper le sol, comme un enfant qui frappait une araignée à l'aide d'un magazine. Tu n'avais pas réussi à te retenir, à te rattraper à quelque chose. Tu étais tombée sur le dos, ta tête avait frappé si fort que sur le coup, tu te demandais si elle était encore attachée à ton cou. Tu avais senti une forte douleur dans ta chambre comme dans ta tête et tu étais restée là, plantée au saule. Tu savais qu'il était juste derrière la porte, mais tu ne pouvais pas te redresser seule, tu avais mal au dos à cause du choc. Tu préférais ne pas bouger, après tout tu étais déjà cassée de partout, tu n'avais pas besoin d'en rajouter une couche. Tu restais donc là, allongée sur le sol, tu venais de poser tes mains sur le visage comme pour t’empêcher de pleurer. Tu n'avais pas le droit de laisser une larme couler, tu étais forte, tu étais sortie de cet accident avec seulement quelques égratignures. Tu n'avais pas besoin de pleurer en ce moment, tu n'étais pas une faiblarde, nombre de fois ou ton père de l'avait répété. La porte s'ouvrait, tes mains glissaient le long de ton corps pour essayer de récupérer ta béquille, chose que tu ne pouvais pas faire. Tu étais encore un peu sonnée, tu avais l'impression de voir les chandelles se balader autour de toi. Mais, très vite il t'avait levé et t'avait pris contre lui dans ses bras. Tu restais sur une jambe, ne devant pas poser ton plâtre au sol. Tu le serrais dans tes bras, posais ta tête contre son torse. Tu respirais plus calmement quand tu étais dans ses bras et tu te laissais totalement aller. Tu t'appuyais contre lui, il te déposait un simple baiser sur le front, quelques frissons parcouraient ton corps. Tu ne disais rien, tu aimais l'entendre parler, et tu souriais. Tu relevais doucement les yeux et tu descendais tes mains au niveau de ses hanches pour pouvoir te maintenir droite et le regarder dans les yeux. « Et tu veux que je dorme ? Mais je n'ai pas envie de dormir. J'ai envie d'une douche, d'un bain, d'un jacuzzi. » Tu baissais les yeux et tu regardais ton plâtre puis ton ami « malheureusement, je ne peux pas. Du moins pas toute seule. » tu tournais la tête pour regarder ailleurs, tu ne voulais pas qu'il te voie aussi faible et démunie.

(Invité)

Je ne pensais tellement pas me retrouver dans une telle situation où j’aurais vraiment la peur de ma vie mais tout de même il s’agissait là de ma meilleure amie quoi donc il était assurément normal que j’ai la trouille pour elle… Quoique c’était bien plus que de la trouille que j’éprouvais à l’heure actuelle ! Je ne savais plus tellement comment me comporter avec elle, c’était comme si elle ne cessait de plus en plus à occuper mes pensées ! Jamais encore je n’avais éprouvé ce tel besoin de l’avoir près de moi, rien qu’à moi ! Non d’habitude, je restais à l’écart de la vie privée de ma Apo mais depuis quelques jours je n’arrivais pas à me faire à l’idée qu’elle était libre ! J’avais ce besoin qu’elle m’appartienne ! C’était étrange non ? Je ne savais pas ce que ça voulait dire mais ça me faisait très peur ! Qu’importe, quand j’avais entendu cet horrible bruit sourd qui ressemblait tant à celui qu’on faisait quand on faisait une chute, je m’étais précipité à l’intérieur de la maison et heureusement parce que je la trouvais au sol… Cette image m’attristait tant mais je courrais pour la récupérer et la prendre dans mes bras. Elle me disait alors qu’elle ne voulait pas dormir mais qu’elle avait envie de prendre une douche ou d’un bain ou encore d’un bon jacuzzi mais elle ne pouvait pas le faire seule. Je ne savais pas pourquoi mais j’eus une petite teinte rosée sur mes joues avant que je ne souris et ne dépose mes lèvres sur son front encore avant de lui dire d’une voix douce : « D’accord je vais t’aider, et je pense que le mieux c’est un bon bain pour toi ! Viens » Je l’aidais alors à se remettre bien sur ses béquilles et délicatement je l’emmenais jusqu’à sa salle de bain où je me mis à préparer l’eau et tout avant de me tourner vers elle : « Tu veux que je t’aide à te déshabiller mon p’tit chou ? »

(Invité)

Tu allais vite regretter ce que tu avais dit, comment allais-tu faire s'il allait t'aider à prendre un bain ou une douche. Tu n'allais tout de même pas te mettre nue devant lui. Tu ne voulais pas qu'il te voie ainsi, il était ton ami, il n'était pas un mec avec qui tu couchais. Non, tu ne voulais pas qu'il te regarde autrement, tu ne voulais pas qu'il te juge, tu venais faire la pire erreur de ta vie. Tu aurais dû fermer ta gueule et dire que tu allais t'allonger sur le canapé avec lui. Rien de plus, rien de moins, maintenant il ne voulait t'accompagner. Tu avais récupéré tes béquilles que tu glissais entre ton bras et ton corps, tu posais tes mains sur la petite barre et tu le suivais. Bien mon rapide, mais pourtant tu te faufilais dans le couloir pour arriver à la salle de bain. Une grande salle de bain, spacieuse et pratique pour une personne en béquille ou même en fauteuil roulant. Tu pouvais poser une jambe en l'air si besoin. Mais, bien sûr tu ne pouvais pas le faire toute seule. Tu aurais préféré te péter le bras au moins, tu n'aurais pas eu besoin de lui demander de l'aide. Non, tu ne serais pas dans cette belle merde, tu serais sous ta douche, ou même dans ton bain ou dans ton jacuzzi. Seule, tu ne serais pas là, face à lui, l'air gênée. C'était bien la première fois que tu avais une boule au ventre, tu rougissais dès qu'il posait son regard sur toi, tu te pinçais les lèvres et tu serrais tellement fort tes béquilles que tu commençais à te faire mal. Il commençait à faire couler l'eau, tu commençais à sentir ton cœur battre rapidement bien trop rapidement. Tu avais du mal à respirer, tu n'étais pas à l'aise, loin de là. Tu déposais tes béquilles contre le mur et tu t’asseyais sur le rebord de ta baignoire. Tu respirais doucement, tu prenais des grosses bouffées d'air comme si tu allais faire un malaise. Tu déboutonnais doucement ta chemise en Jean, tu ne te pressais pas, tu n'avais pas envie que ce moment se produise. Il te demandait si tu avais besoin de son aide et d'un seul coup, tu sentais que tu rougissais. Tu baissais la tête pour que tes cheveux recouvrent ton visage et tu soufflais doucement. « Juste pour le bas. Mais... » tu ne continuais pas ta phrase, tu attrapais rapidement une serviette, que tu posais sur tes jambes. Tu enlevais alors ta chemise, te retrouvant en soutien-gorge devant lui. Tu posais ton regard sur lui et tu laissais glisser « Si tu veux, je peux essayer de me débrouiller toute seule... » Tu passais ta main dans tes cheveux pour les attacher en une natte sur le côté.

(Invité)

Franchement, je n'aurais jamais cru que je me retrouverais dans cette situation assez étrange puisque ma meilleure amie venait tout de même de me demander si je pouvais l'aider à aller à la douche. Je ne pouvais pas refuser parce que c'était ma meilleure amie mais il se trouvait que cela me gênait quand même ! Elle allait se retrouver en petite tenue devant moi, chose qui nous arrivait très rarement surtout à l'heure actuelle même si quand nous étions petits, on était de loin moins pudiques qu'aujourd'hui l'un envers l'autre ! Mais tant pis, elle me l'avait demandé et je ne pouvais plus reculer désormais alors je l'emmenais jusqu'à sa spacieuse salle de bain où aussitôt je m'étais mis à remplir la baignoire d'eau etc puis je mettais retourner vers elle afin de lui demander si elle voulait de l'aide et je distinguais parfaitement qu'elle rougissait à ma demande, ce qui me gêna totalement. Je ne mettais jamais retrouver dans une telle situation embarrassante avec une fille mais là, il ne s'agissait pas d'une simple nana, c'était ma meilleure amie et je l'aimais beaucoup trop pour faire d'elle une simple amante ou autre alors j'évitais tout regard déplacé sur elle ! Elle me disait de l'aider pour le bas, mais avant que je ne puisse répondre elle venait mettre une serviette à ses pattes avant de retirer complètement sa chemise et bim elle se retrouvait en soutien-gorge devant moi ! Le rouge me montait aussitôt sur les joues et je détournais rapidement le regard au même moment où elle disait qu'elle pouvait essayer de se débrouiller seule. " Non je vais t'aider chou ! " dis-je d'une voix étrangement rauque avant de l'aider à retirer délicatement son pantalon évitant de lui faire plus de mal puis une fois qu'elle se retrouvait en sous-vêtements devant moi, je pliais ses vêtements afin de les poser à côté du lavabo. " Je vais te laisser maintenant, si tu as besoin d'aide... Appelles-moi je serais en bas ! "

(Invité)

Tu ne devais pas te louper, car si ton plâtre tombait dans l'eau, tu étais bonne pour retourner en faire un. Tu n'avais pas tellement envie, tu avais déjà tellement souffert pendant qu'il te le posait, tu n'avais pas envie de recommencer. Tu soupirais doucement, tu en avais marre d'être ainsi, de ne pas pouvoir bouger et faire ce que tu désirais. Tu devais demander en permanence de l'aide et quand ce n'était pas à Dwight que tu le demandais, tu appelais ta femme de ménage. Heureusement que tu t'entendais bien avec elle et que tu pouvais tout lui demander, en même temps tu lui glissais toujours de l'argent en douce dans ses poches pendant qu'elle passait l'aspirateur. Tu étais pire qu'une gamine, mais au moins tu pensais aux personnes qui se crevaient au travail pour gagner si peu. Tu faisais bien ce que tu désirais non ? C'était encore ton argent, donc tu avais tous les droits dessus. Tu tournais vite du regard, tu n'arrivais pas même à regarder ton propre ami dans les yeux, c'était bien compliqué. Tu n'avais jamais eu autant de problème à te déshabiller devant d'autres. Au contraire en seulement quelques secondes, tu n'avais plus rien sur ton corps. Ils pouvaient admirer tes formes et tes divers tatouages, alors que là... C'était différent, tu ne voulais pas l'obliger, tu ne voulais pas qu'il te juge et qui pense à quelque chose. Tu voulais faire tout, toute seule, mais tu savais que tu ne pouvais rien faire. La preuve, tu avais fini allongé sur le sol alors que tu te déplaçais seulement. Alors ce n'était même pas la peine d'imaginer pour prendre un bain. Tu savais que tu allais tomber, glisser et finir par te noyer seule dans ta baignoire. À cette pensée, tu te pinçais la lèvre, et c'est seulement lui qui te faisait revenir à la réalité, il t'enlevait doucement ton pantalon. Tu te retrouvais en sous-vêtements devant lui. Tu posais un regard gêné sur lui, il évitait pratiquement chaque regard, il évitait de te regarder. Tu souriais, oui cette situation finissait par te faire rire. Tu ressemblais à toutes les autres qu'il avait certainement dû voir. Tu avais seulement un plâtre en plus ainsi que tous tes tatouages. Tu étais enfin prête enfin il ne te restait plus qu'à enlever tes sous-vêtements pour y aller. Ou tu les gardais pour cette fois-ci, tu ne savais plus quoi faire. Il s'échappait, il partait, il te laissait et si et seulement si tu avais besoin tu l’appelais. Tu te levais, tu t'approchais doucement de lui pour lui déposer au coin de ses lèvres un baiser. « Merci, mais je ne vais pas te lâcher comme ça. » tu souriais, avais-tu une idée derrière la tête ? Après tout, tu n'allais pas prendre un bain seule. Tu commençais à lui enlever sa veste, car oui il n'avait pas pris le temps de l'enlever. Tu l'as déposé près du lavabo, à côté de tes affaires. Tu te rapprochais encore de lui, tu avais l'impression d'avoir oublié totalement le fait que tu étais en sous-vêtement en face de lui. « Viens prendre un bain avec moi. T'façon je peux pas monter dedans toute seule. » tu faisais tes petits yeux, comme une gamine pour obtenir ce que tu désirais.

(Invité)

Il fallait que je sorte d'ici au plus vite bon sang parce que je me retrouvais vraiment dans une situation très embarrassante et de très loin des plus délicates de toute ma vie, parce que là il s'agissait tout de même de ma meilleure amie quoi ! Je me retrouvais dans la salle de bain de la personne la plus importante dans ma vie après ma petite soeur, peut-être même bien plus que ma petite soeur quoi ! C'était dire à quel point j'étais attaché à Apo ! Qu'importe en me retrouvant dans cette situation avec elle, je ne savais tellement plus quoi faire hormis finir rapidement ce que je faisais, c'est-à-dire l'aider à se dévêtir pour qu'elle puisse prendre son bain et me barrer en vitesse avant que la pression ne devienne insoutenable ! Et c'était ce que je faisais alors dès que j'eus terminé, je fuyais clairement là mais avant que je ne puisse m'éclipser, elle s'était délicatement rapprochée de moi avant de me déposer un baiser sur le coin de mes lèvres ! Un baiser qui m'électrisa complètement et me pétrifia sur place ! Je n'arrivais plus du tout à esquisser le moindre mouvement tandis qu'elle me disait qu'elle n'allait pas me lâcher comme ça avant de se mettre à retirer ma veste que j'avais zappé d'enlever d'ailleurs ! Puis après avoir mis la veste avec ses affaires à elle, elle revenait à mes côtés avant de me demandaer de venir prendre un bain avec elle parce que soi-disant, elle ne pouvait pas monter dans la baignoire toute seule. Je déglutis légèrement avant de répondre d'une voix rauque: " D'accord, je vais prendre un bain avec toi... Mais comme je n'ai pas de rechange, je vais devoir tout enlever ! " Je rougis instantanément à mes propres mots ! Ce n'était pas possible ! Moi Dwight Hoover, l'un des mecs les plus sexy du Campus, star en vogue du grand écran et héritier présidentiel, j'étais en train de rougir devant une fille ! C'était le monde à l'envers quoi !

(Invité)

Tu ne savais pas ce que tu faisais, tu invitais ton propre meilleur ami à prendre un bain avec toi. Après tout c'était comme si tu allais dans une piscine, en largement plus petit. Tu savais que si tu prenais un bain avec lui, tu allais être contre lui. Mais, tu continuais ton petit manège, tu continuais d'avancer petit à petit, poussant les limites encore plus loin. A vrai dire, il n'y avait plus de limite, tu ne connaissais plus les limites que tu avais auparavant avec lui. Après tout, tu faisais bien ce que tu voulais avec lui. Tu venais de lui déposer un long baiser au coin de ses lèvres, ton cœur avait fait un bond, tu te laissais totalement aller. Tu ne savais même plus si c'était toi qui désirais ça ou juste les effets des médicaments. Tu ne te contrôlais plus vraiment, tu avais perdu tellement de temps avec Dwight, que tu ne te rappelais plus comment tu étais avant. Tu n'arrivais pas à te souvenir, de ce que tu faisais avec lui, de ce que tu étais. En ce moment tu n'étais qu'une droguée, une personne qui ne faisait que boire, de fumer pour passer ses soirées à oublier. Même s'il était là, tu avais encore du mal à arrêter, tu descendais petit à petit dans les profondeurs, tu allais finir par te perdre. Tu posais la veste du jeune homme sur tes affaires et tu revenais près de lui, posant tes mains sur son torse. Un petit sourire sur tes lèvres, un regard attendrissant, tu savais te faire comprendre et savais surtout faire craquer avec ton petit minois. Tu restais là, planté devant lui. Tu venais de poser ton pied dans le plâtre sur le sol, tu n'en pouvais plus de rester debout, sur une seule jambe. Tu étais fatiguée et pourtant tu restais en face de lui. Tu attendais une réponse, et sa réponse te faisait sourire, il rougissait petit à petit. Tu ne te moquais pas, tu savais ce que ça faisait, ça te touchait. Tu passais ta main sur sa joue et tu plongeais ton regard dans le sien, comme si tu étais envoûtée. « C'est bête dit donc. Tu veux que j'enlève tout pour que tu te sentes moins seul ? » Un petit sourire sur les lèvres, tu gardais toujours tes mains contre lui. Ton visage était seulement à quelques centimètres de lui, à quoi jouais-tu ?

(Invité)

(Contenu sponsorisé)