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Tu voles libre comme l'air dans ce décor enchanteur. Jamais tu n'aurais imaginé que la nature pouvait être si belle vue de cet angle-là. Cette étendue verte à à perte de vue était couper de le souffle. Malgré le fait de vivre en plein nature depuis quelques jours, ce paysage rattrapait ton mal de dos. C'était magnifique. Mais ce moment de pur bonheur prend bien trop vite fin à ton gout. Tu retrouves la terre ferme, ça te fait bizarre pendant quelques instants, t'avais aimé cette sensation de voler. Un moniteur t'aide à enlever ton équipement, tu le remercie et va attendre Antwan qui ne devrait pas tarder. Effectivement quelques minutes plus tard tu vois tarzan arriver sur sa liane. Toujours aussi beau en toutes circonstances. Tu ne bouges pas, le regardant du coin de l'oeil en attendant qu'il te rejoigne. Il ne se fait pas désirer bien longtemps car il est de nouveau proche de toi. Il te remercie. Tu lui souris avant de dire Ca valait le coup de montée ses trois kilomètres, n'est-ce pas ? ta main se glisse dans la sienne et tu lui demandes T'as envie de te baigner ? bawé après l'effort le réconfort.
(Invité)
Un rêve éveillé. C'est bien ça. Rien qu'à voir l'ensemble de la flore amazonienne. C'est un paysage unique rapidement balayé par la vitesse de la descente. C'est bien trop court, mais retrouver Lizie sur la terre ferme n'est pas plus mal. C'est grâce à elle que je suis ici et que mes yeux ne cessent de briller. Sourire béat sur le visage, je remercie la rouquine, principale organisatrice de ce voyage. Ca valait le coup de montée ses trois kilomètres, n'est-ce pas ? Evidemment. Les marques de mécontentement du début paraissent ridicules après une telle expérience. « Ouais. Heureusement que tu m'as pas abandonné en bas. » Je ris en regardant la main de Lizie prendre la mienne. C'est devenu un réflexe. Si elle n'aurait pas céder, j'aurais fini par faire ce petit geste tout simple, mais significatif. T'as envie de te baigner ? J'acquiesce doucement. « Je meurs de chaud. » Quand on voit les températures du lieu, on se demande comment on peut survivre plusieurs jours. Heureusement que le corps s'adapte. Main dans la main, on retrouve le chemin de la liberté. Cette fois-ci aucun panneau n'indique les cascades. Reste à se fier à l'ouie et à la vue. « C'est par ici, j'pense. » Finalement, une voie étroite mène à l'eau. La fameuse eau rafraîchissante que j'attends depuis de longues minutes. « J'ai toujours pas de maillot. » dis-je d'un air joueur à la lowell.
« Ouais. Heureusement que tu m'as pas abandonné en bas. » Jamais. tu réponds en un sourire. Bah oui sans un Antwan à embêter, tu trouverais le monde bien triste sans lui. Finalement, tu remerciais le ciel, d'avoir fait en sorte que l'eliot t'es poussé à bout, que tu l'es poussé à bout, que vous vous êtes poussés à bout. Pour finalement détruire le mur qui vous séparez à cause de la rancœur lowel-eliot. T'avais découvert un autre homme qui te plaisait de plus en plus avec les jours, les mois, passés auprès de lui. Avant t'aurais tout fait pour l'éviter, mais à présent, tu ne désirais qu'une chose : être avec lui. L'amour parfois était totalement imprévisible, incompréhensible, mais pourtant tu aimais découvrir ce qu'il te réservait quand tu étais avec le beau brun. Pendant longtemps, très longtemps, tu avais eu peur de ce sentiment, que tu repoussais sans cesse. Mais aujourd'hui cela semblait différent. Tu respirais de nouveau, tu étais heureuse. Finalement, avec Antwan, vous vous faufilez à travers cette forêt et vous rencontrez de nouveau ces cascades. Heureusement qu'il y avait au moins un de vous deux qui avait le sens de l'orientation, car depuis que tu étais ici, tu t'étais perdue, tu ne sais combien de fois dans cette forêt. « J'ai toujours pas de maillot. » un petit rire s'échappe d'entre tes lèvres, tu marches toujours vers l'eau qui ruisselle, vous êtes à présent près de celle-ci et tu finis par te tourner vers l'eliot. Moi aussi j'ai bien peur de l'avoir oublié... tu dis avec un air faussement déçu. Ton regarde fixe toujours celui du beau brun J'suis vraiment tête en l'air parfois, c'est pas possible ! tu dis en riant.