GABRINA ♨ Je crois que mon coloc veut me serrer

J'avais décidé qu'il était temps que j'ai un vrai chez moi. Du moins d'habiter dans un appartement. Je n'avais aucune idée de ce que je voulais, aucune idée du quartier, c'est pourquoi, lorsque j'avais vu une annonce à Harvard pour une collocation, je m'étais décidé à appeler cette fameuse personne. Je n'avais aucune idée femme ou homme, blonde ou brune, petite ou grande ... et lorsque je m'étais présenté à la porte, j'eu l'agréable satisfaction de voir que ma future colocataire était un canon. Notre petit entretient s'était bien passé, tellement qu'elle m'avait dit que j'avais la chambre. C'est aujourd'hui que j'emménage. J'avais passé ma journée à amener des cartons dans l'appartement, Irina m'avait quelques peu aidé d'ailleurs. Il était 21 heure, j'avais enfin terminé et autant dire que je suis éreinté. Je n'en peux plus. Je me laisse tomber en arrière sur le canapé, les bras derrière la tête. Peu à peu quelques unes de mes affaires faisaient parti du décors, dans les pièces commune, je souriais, j'étais bien ici finalement.   Je vais mourir de faim dis-je en me tenant le ventre et en me tournant un peu vers Irina, comme ci de rien était, comme ci je n'étais pas en train de faire passer un message. Je tente le battement de cil ?  Sauf qu'en fait je ne la voyais pas, je me levais, j'entendais du bruit dans la salle de bain, alors bien rapidement, je me levais pour aller la voir, ouvrant la porte comme ci de rien était. T'as déjà mangé ? lui demandais-je intéressé et c'est à ce moment là, que je m'aperçut que mademoiselle était encore en sous vêtement, la tête penchée, les bras croisés et le dos appuyé contre la chambranle de la porte, j'appréciais la vue, pleinement. Me dis pas que tu sors et que tu me laisses fêter seul, ma première soirée ici ...

OOMMMG je cherchais un titre et je suis tombé sur ça d'où le titre

Cette après-midi, j'avais pas eu cours, j'avais eu un shooting photo de deux heures et demi à Boston, et donc autant dire que j'étais fatiguée, oui c'était fatiguant de poser avec un beaugoss devant des photographes. Donc j'étais rentré rapidement me prélasser, et j'avais filer dans la salle de bain, celle-ci étant grande, belle et tellement spacieuse, ce loft était vraiment cool et au top, c'est pour ça aussi que je voulais quelqu'un pour vivre ici. J'aimais être seule certes, mais tout d'même, je n'étais pas sauvage, comme pourrait dire Calypso ma sorcière qui me servait de demie-soeur. Je sortais de la douche, enfilant des sous-vêtements une fois sèche, tandis que je t'entendais râler dans la pièce principale "Je vais mourir de faim" et ça me faisait sourire, si tu comptais sur moi pour faire à manger c'était mort.. trop la flemme. Je t'entendais t'approcher de la salle de bain, "T'as déjà mangé ?" en ouvrant la porte, tu pouvais me voir en sous-vêtements "Héééé, on t'a jamais appris à toquer avant d'entrer?" j'étais pas pudique, mais bon, c'était pas dans le cadre professionnel là.. "Me dis pas que tu sors et que tu me laisses fêter seul, ma première soirée ici ..." je te fis une petite moue réconfortante, en enfilant un tee shirt ample de pyjama et un bas en coton tout doux, rose. "J'vais te tenir compagnie, t'as trop d'la chance.. Et non j'ai pas mangé, on mange quoi?" je sortais de la salle de bain, après t'avoir regardé de bas en haut, t'étais plutôt pas mal, j'avais de la chance de pouvoir vivre avec toi. Après faut voir si t'étais pas un grand malade ou un psychopate.

hj: haha, les références musicales! :sifle: :laugh:  On va bien s'entendre....

Est-ce qu'on m' appris à toquer avant d'entrer. Théoriquement non, j'ai toujours vécu seul. Cela ferait de moi quelqu'un d'étrange si je me mettais à toquer à chaque porte que je veux ouvrir non ? Ca va, j'ai déjà vu une femme dans son plus simple appareil, faut pas croire, vous êtes toutes pareils dis-je en haussant les épaules comme pour me discréditer. J'ai l'air sincère ?  J'ai l'air innocent ? J'espère en tout cas qu'elle va avaler ma justification, puis autant dire que je ne comptai pas me mettre à toquer. C'est le genre de chose qui m'énerve.  Puis autant dire qu'en entrant à l'improviste, on peut avoir d'agréable surprise. Comme là, ma colocataire en sous vêtements et bien que j'ai pu dire que les femmes étaient toutes pareil, autant dire que la généralité n'était pas toutes comme elle. Elle est divine. En gros t'es en train de me dire que tu m'offres le cadeau d'être là ce soir ? dis-je en sortant de la salle de bain, un sourire aux lèvres, la main dans mes cheveux Je te dirai ça en fin de soirée, ne vendons pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué oui, j'aime bien sortir ce genre d'expression ça donne l'air un brin mystérieux et intelligent, voir énigmatique. Tandis que je lui parlais de nourriture, je m'arrête net dans le salon, sur le bois des lattes ornant le sol. Ben je sais pas, je pensais que t'avais fait à manger ... enfin je sais pas, c'est le genre de chose qui se fait non ? Tu sais, pour me souhaiter la bienvenue puis t'es une femme et je suis un homme non ? J'te signal que j'ai passé toute la journée à porter, déballer des cartons... dis-je, tentant de la faire culpabiliser, mais elle n'avait pas l'air d'être ce genre de femme.


HJ ; Si t'as pas eu peur, tant mieux

"Ca va, j'ai déjà vu une femme dans son plus simple appareil, faut pas croire, vous êtes toutes pareils" ouais, non, on était pas toutes pareilles, et heureusement, ce serait trop triste sinon. C'est comme les animaux ça, y en avait des gros, des minces, des poilus, des musclés.. Bref, je m'attendais pas à ce que tu entres comme ça dans la salle de bain. "En gros t'es en train de me dire que tu m'offres le cadeau d'être là ce soir ?" mon sourire s'emparait d'un beau sourire "C'est exactement ça." mais j'étais pas un cadeau, ça, c'était bien connu.. Enfin, j'en savais trop rien. J'avais un caractère bien à part. "Je te dirai ça enfin de soirée, ne vendons pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué" je sortais de la salle de bain, allant m'affaler sur le canapé "Oh, monsieur est un poète." tu t'arrêtais en plein élan quand je t'avais demandé ce qu'on allait manger "Ben je sais pas, je pensais que t'avais fait à manger ... enfin je sais pas, c'est le genre de chose qui se fait non ? Tu sais, pour me souhaiter la bienvenue. J'te signal que j'ai passé toute la journée à porter, déballer des cartons..." aie, on allait devoir faire une liste de tâches à faire par semaine sinon, on allait manger souvent des pizzas.. Je me levais alors "Bon, comme on est tous les deux fatigués, j'te propose qu'on commande chez un traiteur à côté, et on l'aura d'ici 10 minutes..?" j'attrapais mon téléphone, avec de l'argent, on faisait beaucoup. "Puis, va falloir qu'on se mette d'accord sur qui fait quoi, question d'organisation, pour le repas, ça fait trop longtemps que j'ai pas fais à manger.." limite je ratais des pâtes.

Damn je suis vraiment un petit chanceux alors dis-je en posant mes deux mains sur mes joues, la bouche ouverte, un peu comme lorsqu'un fan rencontre son idole, je faisais même mine d'avoir un malaise. Bon en même temps, j'avoue que ça me plait bien qu'elle s'occupe de moi, qu'elle prenne le temps de rester là ce soir. Après tout, c'était ma première soirée dans cet appartement, on sait jamais ... y'a peut être des fantômes. L'flippe total. Je riais lorsqu'elle me disait que j'étais un poète, j'étais loin de l'être d'ailleurs. Sauf que bien rapidement, mes rires s'arrêtèrent, l'appel du ventre.  Je pensais qu'elle allait me faire à manger, en guise de cadeau de bienvenue mais apparemment non. Je me laissais tomber sur le canapé, posant mes mains contre mon ventre. Un traiteur ? Tu sais pas cuisiné ? Tu sais, c'est le genre d'information que t'aurais dû me préciser hier riais-je un peu mais le traiteur ça m'va ... L'organisation des repas , si tu sais pas cuisiner, implicitement t'es en train de me dire à qu'elle heure je vais devoir le faire je me redressai un peu, un sourcil arqué en la regardant. On s'prend chinois ? je cherchais déjà sur mon téléphone le numéros d'un traiteur avec de bonne critique. en tout cas, je te préviens, je digère pas très bien tout ce qui est grec   Une fois la commande faite, j'allais vers le frigo pour prendre deux bières, j'en tendais une à ma colocataire sans avoir oublié de lui ouvrir. Au fait, tu fais quoi dans la vie ? c'est vrai, j'étais pas tellement au courant et si c'est une mafieuse ? Une dealeuse ?

"Damn je suis vraiment un petit chanceux alors" oui voilà, c'est ça.. J'aimais bien ta remarque. Bon pour le repas, j'avais été occupé aujourd'hui alors j'y avais pas pensé, honte à moi. "Un traiteur ? Tu sais pas cuisiné ? Tu sais, c'est le genre d'information que t'aurais dû me préciser hier mais le traiteur ça m'va ... L'organisation des repas , si tu sais pas cuisiner, implicitement t'es en train de me dire à qu'elle heure je vais devoir le faire.On s'prend chinois ?" pourquoi pas "Oui, mais laisse, j'en connais un pas mal, je commande, c'est moi qui régale." je tapotais sur mon terminal pour une commande et j'appelais un qui avait l'air pas mal et pas loin d'ici en plus. "en tout cas, je te préviens, je digère pas très bien tout ce qui est grec" oh, moi j'aimais bien tout "J'aime beaucoup la nourriture asiatique, t'en fais pas." j'appelais donc le traiteur, et rapidement je commandais "Bonsoir.. Ce serait pour commander pour deux personnes, vos menus asiatiques.. Oui... merci, dans 10 minutes? Parfait." je lui donnais notre adresse pour je raccrocher en t'écoutant me questionner "Au fait, tu fais quoi dans la vie ?" je me levais pour aller dans la cuisine chercher des beaux couverts. "J'suis étudiante en sociologie et danse, puis je fais des séances photos de temps en temps, comme aujourd'hui. En Russie j'vivais de ça, et toi?" je vins poser sur notre table basse des coupe de champagne et une bouteille qui traînait par là, puis je sortais des poufs exprès pour pouvoir manger sur la table basse, j'allumais deux bougies, tout en souriant malicieusement "J'fais les choses bien, tu vois.."

Ce soir, je me fais inviter, je vais pas dire non, c'est gentil de sa part mais je pense qu'elle tente juste de se rattraper. Je suis un homme, j'aime bien qu'une femme s'occupe de moi, quand bien même, il m'arrive aussi de m'occuper de ces magnifiques créatures. J'étais heureux qu'elle aime le chinois, je me sentais pas de manger grec ce soir, ni même un autre jour, je le digère mal et à en voir sa réaction, ça n'avait pas l'air de la gêner. Tant mieux, on serait comme cul et chemise, un vrai pote. Je prenais ma bière, j'avais posé celle d'Irina, décapsulé sur la table et je prenais mes aises. On est bien chez soit quand même.  Jambes allongés sur la table, je la vois ensuite s'afférer rapidement ce qui me force à retirer mes jambes. Elle bougeait me parler, je penchais la tête en arrière, avec un petit sourire sur le coin des lèvres. et j'aurais le droit de voir tes photos ? D'un point de objectif je parle bien entendu  Bah quoi je suis crédible non ? Puis bon, c'était sympa à voir non ? Qui sait peut être qu'un jour elle m'amènerait sur l'une de ses séances ça peut être instructif. Oh moins c'est beaucoup moins intéressant que toi Je fais de l'éco et de la biologie, je sais bien ça n'a rien à voir mais au fond, j'aimerais bien que ça se rejoigne, que le monde capitaliste dans lequel nous vivions puisse prendre en compte cette planète qui nous accueil les bras ouverts. Je continu de la regarder faire et je fus d'autant plus surpris. Je vois ça, tu me sors le grand jeu, je pourrais même penser que t'essayes de me séduire [/b dis-je en riant, après tout c'est notre première soirée et elle tente de me mettre à l'aise dans ce nouvel environnement qui n'est pas encore totalement le mien. [b] tu fais comme ça avec tous tes colocataires ? ou j'ai le droit à un traitement de faveur ? En tout cas ça me va, je la trouve mignonne d'agir ainsi.[/b]

"et j'aurais le droit de voir tes photos ? D'un point de objectif je parle bien entendu" pourquoi tu n'aurais pas le droit? J'avais rien à cacher, j'étais pas pudique puis c'était professionnel "Oui, mais ça va te coûter cher j'pense.." je prenais un air faussement sérieux. C'était fou, j'étais froide à la base, et pas du tout amicale, mais toi, tu m'faisais être moi-même, en quelques sortes. Tu faisais ressortir mes bons côtés. "Je fais de l'éco et de la biologie, je sais bien ça n'a rien à voir " ah oui, rien à voir en effet. J'avais attrapé une bouteille de champagne, deux coupes et on s'était assis sur des poufs, autour de la table basse, pour trinquer à notre première soirée entre colocataires. "Je vois ça, tu me sors le grand jeu, je pourrais même penser que t'essayes de me séduire" je secouais la tête en levant mon verre vers toi "A notre colocation." et une gorgée. "tu fais comme ça avec tous tes colocataires ?" euh comment dire. Je me mis à sourire finement "J'ai jamais vécu avec quelqu'un, même une amie, alors tu vois.." on sonnait à la porte, je te proposais d'y aller, d'un regard rapide, ça devait être notre repas.

Irina me donne l'autorisation de voir ses photos, je me demande bien c'est quoi le genre ? Pull et bottes de ski ? Sous vêtement ? Maillots de bain ? En tout cas, elle a l'allure et la taille élancé pour évoluer dans ce domaine et finalement, c'est tout ce que je lui souhaite, ça à l'air de l'amuser, de lui plaire ? Tout de suite l'argent, tu vois t'es bien une femme ... enfin j'en ai jamais douté, enfin tu ressemble à une femme pas à un homme .. tu ... je ... je me tais et rapidement je scellai mes lèvres avec un geste de main. Je venais clairement de m'embrouiller mais je n'avais pas envie qu'elle le prenne mal. Au fond, j'ai vraiment envie que cette colocation fonctionne. Irina m'a l'air d'une fille vraiment facile à vivre, pleine d'énergie et de gentillesse. Elle a l'air cool. C'est la première fois que je me permet de vivre avec quelqu'un plus d'une nuit depuis que mon ex est morte dans cet attentat. Autant dire que j'appréhendai ce jour avec une angoisse folle, mais elle arrive à la dissiper rien qu'avec le son de sa voix ou son doux sourire. Elle me sort en tout cas le grand jeu pour que sa fonctionne, coupe de champagne et compagnie. Je préfère ma bière, alors je trinque, bouteille contre coupe à notre collocation Uep à notre collocation dis-je avec un petit sourire en coin avant d'apprendre que pour elle c'était une première aussi Je suis pas certaine que t'es misé sur le bon cheval pour commencer je riais un peu avant de me laisser tomber dans le canapé Maintenant qu'on a signé je peux te le dire je riais encore un peu, je la faisais juste marcher, je n'étais pas si compliqué à vivre, d'ailleurs, je n'étais pas souvent dans mon chez moi, même par le passé et maintenant que j'ai quitté mon bateau, je pense que j'irais m'évader dessus si le besoin se fait ressentir En tout cas, je te préviens juste d'une chose, que tu laisses trainer tes affaires, tes sous vêtements et compagnie, vraiment je m'en fou, mais je t'en pris, ne me confronte pas à dame nature et à tes périodes menstruelles j'étais sérieux, ça fait des dégâts ce genre de chose là.

"Tout de suite l'argent, tu vois t'es bien une femme ... enfin j'en ai jamais douté, enfin tu ressemble à une femme pas à un homme .. tu ... je ... je me tais" je te regardais en t'écoutant, puis je grimaçais "Tu t'enfonces là.." et ça me faisait légèrement sourire. On trinquait à notre colocation "Uep à notre collocation" c'était ma première colocation, la première fois que j'allais cohabiter avec quelqu'un et en plus, un homme! Quel horreur.. Quoi que, ça pouvait aller dans le bon sens, si vous voyez ce que j'veux dire "Je suis pas certaine que t'es misé sur le bon cheval pour commencer" je bu une gorgée de champagne en te fixant "Un étalon, qui plus est..." dragueuse que j'étais. "Maintenant qu'on a signé je peux te le dire. En tout cas, je te préviens juste d'une chose, que tu laisses trainer tes affaires, tes sous vêtements et compagnie, vraiment je m'en fou, mais je t'en pris, ne me confronte pas à dame nature et à tes périodes menstruelles" je ne pu m'empêcher de rire aux éclats et de bon coeur, en me levant pour ouvrir au traiteur qui nous apportait nos repas "T'as eu une mauvaise expérience avec ça? Avoues.. t'es devenu gay." je secouais la tête, payant à l'homme à la porte, il devait rien comprendre le pauvre.. Puis je re rentrais, venant tout posant sur notre table basse. "Et toi, évites de laisser des capotes et autre ustensiles dans les pièces communes....."