Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDWIRYA ✤ La vérité est amère, ses fruits sont doux. - Page 2
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DWIRYA ✤ La vérité est amère, ses fruits sont doux.

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Tu te demandais quand tu allais pouvoir reprendre un jour la danse, sans craindre de te déplacer quelque chose ou te fracturer de nouveau cette clavicule. Ton médecin n'était pas pour ce sport, il ne voulait plus que tu danses, il ne voulait plus que tu aies cette passion. Il s'inquiétait pour toi, il s'inquiétait pour ta santé, il savait le mal que tu avais de décrocher de cette passion. Mais tu savais que tu n'allais pas tenir encore bien longtemps, avant de revêtir tes vêtements de danse et partir dans la salle où tu t’entraînais pendant des heures. Tu te perdais dans tes pensées, tu regardais le magnifique paysage, mais au final tu pensais plus à ton passé qu'a autre chose. Ton passé était si bien contrairement à ton présent, tu n'étais plus la même personne et tu le savais parfaitement. Tu passais tes nerfs sur les autres, dès que tu écoutais de la musique tu commençais à te déhancher, à danser et au final cette blessure te rattrapait à chaque fois. Tu avais donc rejoins ton meilleur ami, pour te coller un peu plus contre lui. Tu avais besoin de lui en ce moment, tu ne passais pas des bonnes journées depuis qu'il avait disparu du jour au lendemain. Tu ne voulais pas l'avouer, mais tu avais eu du mal à encaisser tout ça. Tu avais pleuré plus d'une fois, tu avais tapé plus d'une fois dans le mur de ta chambre. Jusqu'à saigner, jusqu'à sentir une immense douleur qui t’empêchait de penser à la douleur de ton cœur. Tu avais fini par boire et fumer pour te calmer et te faire penser à autre chose. Tu n'avais plus ton meilleur ami, pour te réconforter, pour te prendre dans ses bras, pour s'endormir près de toi. Non, il n'était plus là et depuis que Konrad était avec sa copine, plus rien n'était pareil. Tu rigolais légèrement à sa réponse, tu espérais pouvoir passer une journée entière rien qu'avec lui. Tu ne voulais pas être dérangée, sinon tu allais te montrer bien méchante. Tu n'avais plus rien à faire de tous ce que les gens pouvaient penser de toi. Tu avais laissé glisser tes mains sur son torse, avant de repartir tranquillement dans le grand salon. Tu t'étais plantée devant cette grande baie vitrée, tu regardais le paysage, encore. Il t'avait rejoint, t'avait donné une tasse que tu portais doucement à tes lèvres. Sentir sa main en contact avec la tienne, laissait quelques frissons se coller à ta peau. Tu te pinçais les lèvres, ça te faisait une sensation assez étrange. À ses paroles tu te retournais, tu te mettais face à lui, tu posais ta tasse sur la table, et amenais ta main vers son visage et tu caressais doucement sa joue. « Tu m'as manqué aussi, je me suis tellement inquiétée... J'ai faits tellement de choses que je regrette à cause de ton départ. » Tu avais besoin d'être contre lui, tu avais besoin d'être réconfortée. De le sentir contre toi, pour être vraiment sûr qu'il était là, devant toi.
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Ma meilleure amie m'avait énormément manqué et franchement je comprenais maintenant pourquoi j'avais vraiment décidé de revenir à Harvard alors que j'aurais pu m'éclipser à Columbia ou bien dans une autre Université de l'Ivy League, comme par exemple la principe rivale et alliée d'Harvard, l'université de Yale ! Mais non j'avais choisi de revenir à Harvard et ce parce que je voulais retrouver ma complicité avec Apolinarya Walton ! Elle m'était indispensable ma meilleure amie, elle était l'unique personne qui pourrait vraiment me comprendre et surtout elle me donnait souvent la force de me battre pour certaines choses ! Et croyez-moi, j'allais me battre pour la récupérer parce que je ne voulais tellement pas la perdre ! Et alors qu'elle me caressait la joue doucement, et qu'elle me disait ses quelques mots, je la prenais dans mes bras avant d'enfouir mon visage dans son cou tout en la serrant tout contre moi. " Je suis tellement désolé de ne pas avoir pu te donner de nouvelles... Je ne voulais tellement pas partir mais on m'avait forcé à le faire sinon je perdais tout ce que j'avais dont toi... Ne regrette pas ce que tu as pu faire, tout est de ma faute ! Je ferais en sorte de tout réparer, je te le promets ! "

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Tu avais machinalement posé sa ta main sur la joue de ton meilleur ami. Tu le faisais rarement, mais tu le faisais à ceux que tu aimais plus que tout, a ceux qui faisait battre ton cœur et qui te faisait avancer petit à petit dans ta vie. Il était bien le seul maintenant, tu te battrais pour lui, tu ferais tout dans ton possible pour être avec lui. Dans ses bras, sentir sa chaleur, entendre les battements de son cœur. Se sentir protégé et surtout aimé, c'était tout ce que tu voulais, l'amour de ton meilleur ami. Tu ne voulais rien d'autre, tu ne voulais même pas de l'amour de ta mère, non tu ne voulais que lui. Tu avais déjà ton père, il était peut-être l'homme de ta vie, ton âme sœur et il n'y en avait qu'un seul qui lui ressemblait. Il n'y en avait qu'un seul qui te rendait folle en claquant des doigts, il était le seul à réussir à te rendre jalouse, à te faire péter un plomb pour si peu. Il est le seul à pouvoir jouer avec mes sentiments. Tu venais de poser ta tasse sur la table, il te prenait dans ses bras, et tu te laissais faire. Ton cœur s'emballait, il battait tellement fort que tu avais l'impression qu'il allait finir par sortir de ton propre corps. Tu n'arrivais pas à te calmer, tu n'arrivais pas à te remettre de tes émotions. Il t'avait tellement manqué, il t'avait manqué comme s'il était ton homme, ton âme sœur, ton amour. Tu avais eu ce vide d'un seul coup et tu lui en voulais, mais d'un autre côté, tu voulais rattraper tout ce temps perdu. Tu cachais ton visage contre lui, tu ne voulais pas qu'il te voie dans cet état. Tu te sentais mal quand tu repensais à ce que tu avais pu faire. Tu te sentais sale pour le nombre d'hommes qui avait posé leurs mains sur ton corps. Tu laissais couler une larme, puis une deuxième, tu savais que tu n'allais pas pouvoir t'arrêter comme ça. Tu respirais lentement, tu l'écoutais, et tu essayais de te calmer. Tu soufflais doucement avec une voix tremblante « Je ne veux plus jamais te perdre, je ne veux plus être séparé de toi-même seulement quelques secondes. Tu es si important pour moi, comment je ferais sans toi une deuxième fois ? » Tu t'attendais toujours au pire maintenant, tu savais qu'il pouvait repartir une deuxième fois et tu appréhendais ce jour-là.
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