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DWIRYA ✤ La vérité est amère, ses fruits sont doux.

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Tu te trouvais dans ton lit, allongée sur le dos, tu n'avais envie de rien faire. Tu étais ce genre de femme à rester au lit, à contempler le plafond pendant des heures sans même sourcilier. Tu étais souvent incomprise par un grand nombre de personnes, mais ça ne te touchait pas. Ce genre de chose te passait au-dessus, tu n'y prêtais même plus attention. Tu étais si bien dans ton lit que tu n'avais pas envie de te lever, si tu pouvais tu resterais dans ce lit pendant des jours et des jours sans te lever. Non, tu n'étais pas folle, tu étais juste une grande flemmarde. Tu n'avais rien à faire et tu avais encore du mal à te remettre de cette petite soirée, tu avais un peu trop bu et fumé. Tu avais un mal de crâne impressionnant, tu avais l'impression de sentir ton cœur battre dans ta propre tête, tu commençais à angoisser pour un rien. Tu avais l'impression de revivre, le moment ou tu te trouvais dans ce couloir lors de la bombe. Ton cœur commençait à s'emballer, quand ton réveil te ramena directement au présent. Tu te relevas directement de ton lit, tu étais assise et ton cœur continuait de battre rapidement. Tu essayais de te calmer, tu respirais doucement et longuement. Tu devais bouger et faire quelque chose pour oublier ce stress permanent qui te collait à la peau. Tu te décidais enfin à te lever de ton lit et de traverser ta chambre pour aller directement vers ton dressing. Tu ne savais pas ce que tu allais mettre, mais une chose était sûre, tu ne pouvais pas trop tarder. Tu avais reçu un message sur ton portable de ton meilleur ami. Cela faisait longtemps que tu ne l'avais pas vu et il commençait vraiment à te manquer. Du moins, tu ne voulais pas lui dire, tu n'étais pas une personne qui montrait ses sentiments. Tu décidais de prendre un simple legging noir en simili-cuir et un top en dentelle et une veste en cuir avec des talons. Tu n'avais pas envie de passer pour une bimbo, ce que tu n'étais pas forcément. Tu prenais tes sous-vêtements ainsi que tes habits et tu te précipitais sous la douche. Tu étais déjà en retard sur ton planning, tu allais vite te dépêcher dans ta douche. Du moins, tu ne savais pas prendre une douche rapide, tu enlevais tes vêtements et tu te glissais sous l'eau chaude de la douche. Tu avais mis plus d'une heure et demie à te préparer. Mais, maintenant tu étais prête, du moins pratiquement prête. Tu enfilais donc ta veste en cuir et déposais une écharpe autour de ton cou. Tes cheveux retombaient sur ton épaule droite et tu descendais rapidement les escaliers. Tu prenais ton sac à main et la clé de ta voiture et tu sortais de ta villa pour te rendre chez ton ami. Tu roulais pendant un petit moment, rapidement comme à chaque fois. Tu ne te rendais pas compte de ta vitesse, et tu arrivais en seulement vingt minutes. Tu garais ta voiture devant chez lui, et tu te rendais devant sa porte et tu toquais plusieurs fois. Tu espérais qu'il soit encore là, tu n'avais pas envie d'attendre plusieurs minutes devant une porte close. Tu sortais ton téléphone en attendant que Dwight vienne t'ouvrir, il n'était décidément pas pressé loin de là.
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Je faisais enfin mon grand retour dans la meilleure université du monde, plus connue sous le nom d'Harvard. Je ne pensais que j'allais si tôt retrouver les chemins de salles de cours mais également des professeurs si barbants de droit et de relations internationales. Heureusement que j'avais poursuivi mes études malgré mon absence, en effet même lorsqu'on m'avait envoyé dans ce fameux centre spécialisé pour les jeunes drogués et alcooliques mais appartenant à la Haute Société... En effet, comment le monde réagirait en découvrant que le filleul du Président des USA lui-même mais également le descendant direct de l'un des Pères fondateurs de notre belle Nation Américaine, se droguait plus que de raison et se retrouvait dans un centre de dégrisement... Cela ne faisait guère très bons effets et encore moins une très bonne image de la famille Hoover. Fin bref, mon retour je l'avais légèrement appréhendé mais ma classe des neiges avait être très physique tout de même, je ne l'aurais pas cru au départ ! Néanmoins je me retrouvais en mode Don Juan, surtout que mon épouse se retrouvait je ne sais où. Quoique je m'en foutais un peu de ce qu'elle pouvait faire tant qu'elle ne mourrait pas quoi ! Fin bref, je me faisais chier tout seul dans ma grande baraque que mes parents avaient osé m'offrir en guise de cadeaux de mariage alors j'envoyais un sms à Apo pour qu'elle vienne passer un peu de temps avec moi... Ma meilleure amie me manquait tellement et j'avais hâte de la voir pour lui faire un gros câlinou ! On pourra boire un coup ensemble etc ! Je l'attendais tranquillement tout en faisant des longueurs dans la piscine intérieure de la villa jusqu'à ce qu'on vienne me chercher pour me dire que ma meilleure amie était finalement arrivée, alors je sortais de l'eau et je m'essuyai sommairement avant d'enfiler une chemise blanche, puis je courrais jusqu'à la porte d'entrée. " Coucou mon p'tit coeur ! Tu m'as manqué ! Tu vas bien ? Viens entre ! " J'étais en mode excité comme une puce !
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Tu n'étais pas motivée pour bouger le cul de ton lit, mais pourtant tu n'avais pas vraiment le choix. Quelqu'un t'attendait et tu ne pouvais pas le faire attendre bien longtemps. Tu étais déjà assez longue comme ça, tu n'allais pas en rajouter une couche. Tu te levais de ton lit avec difficulté et tu mettais plus de dix minutes pour choisir ta tenue. Et au final, tu optais pour des vêtements assez simples, tu n'avais pas envie de ressembler à une poupée aujourd'hui. Tu t'étais déjà fait assez belle pour la veille, tu n'avais pas envie de passer quatre heures dans la salle de bain avec ton amie. Tu avais les cheveux longs et tu avais décidé de les faire boucler pour cette soirée. Tu avais mis plus de trois heures pour les faire boucler avec l'aide de ton amie. Seulement deux friseurs, une bouteille de laque et le tour était joué. D'ailleurs, ce matin tu voyais encore le reste de la soirée, tes cheveux étaient encore ondulés. Tu sentais encore l'alcool et tu avais donc pris une bonne douche pour atténuer cette odeur qui te collait à la bouche. Tu avais mis longtemps, comme à chaque fois. Tu ne pouvais pas négliger ta coiffure et ton maquillage, tu étais très maniaque par rapport à ton apparence. Tu étais enfin prête et tu allais te rendre chez lui, dans sa magnifique villa ? Il avait les moyens de se payer n'importe quelle maison, tu le savais parfaitement. Tu avais de l'argent, mais comparé à lui, ce n'était pratiquement rien. Tu montais dans ta petite voiture bleue et tu roulais rapidement, tu croisais plusieurs personnes que tu connaissais en chemin, mais ce n'était pas pour autant que tu t'arrêtais. Tu avais un rendez-vous et tu ne voulais pas arriver des heures après. Une fois dans la bonne rue, tu descendais, attrapant au passage ton sac à main que tu glissas sur ton épaule et tu fermais ta voiture. Tu marchais tranquillement le long du trottoir pour aller sur le terrain de monsieur J-Hoover. Tu marchais tranquillement et tu toquais à la porte. Il n'y avait personne, du moins, personne ne venait t'ouvrir et tu prenais une mine agacée. Tu savais que tu étais remarquée, il y avait toujours quelqu'un dans cette baraque. Tu levais les yeux au ciel, pour soupirer par la suite. Tu n'étais pas patiente, un de tes merveilleux défauts, tu regardais ton téléphone puis ta montre. Tu allais frapper une deuxième fois à la porte, quand celle-ci s'ouvrit sur le jeune homme. Tu glissais un grand sourire sur tes lèvres et tu t'avançais doucement. « Salut. C'est moi qui devrais dire que tu m'as manqué. » lançais-tu froidement. Après tout, il t'avait lâché et il avait disparu pendant un moment. Tu ne savais pas vraiment les causes, et tu ne voulais pas les connaître. « Je vais bien et toi ? » soufflais-tu doucement. Tu avançais et posais tes pieds dans la demeure.
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Je savais bien que beaucoup de personnes m'en voulaient d'être partis ainsi sans raison apparente même si en réalité, il y en avait une mais je n'en parlerais qu'aux personnes de confiance. Or il se trouvait que je n'avais nulle confiance, les étudiants d'Harvard ne cessaient de se tirer entre les pattes depuis quelques temps. Je suivais les péripéties qui subsistaient dans la Meilleure Université de la planète qui était souillée par les conneries et les récents événements de viols et j'en passe... Ces récentes agressions devraient être le principal sujet mais en fin de compte, cet idiot de Doyen préférait supprimer toutes les confréries de l'université, ce qui n'était pas trop de mon goût tout de même... Mais ce n'était pas grave quoi et ce même si j'adorais les Eliots ! Fin bref, mon retour s'était fait dans une ambiance assez étrange quand même puisque je n'avais pas cessé de faire usage de ce qui me servait de cerveau et qui se trouvait à l'entrejambe, mais à la rentrée, j'avais finalement pris la ferme décision de ne plus faire ce genre de choses. A moins que je ne sois complètement en manque... Bref, j'avais demandé à ma meilleure amie de venir me rejoindre et ce qu'elle fit bien entendu, ce qui me réjouissait malgré le fait qu'elle se montrait légèrement froide lorsqu'elle répondit à mes dires. " Mieux maintenant que tu es là ! " je m'effaçais pour la laisser pénétrer dans ma demeure que ma femme avait déserté depuis quelques temps... " Tu veux quelque chose à boire ? "
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Qu'est-ce que tu pouvais être chiante quand tu commençais à faire ta boudeuse. Oui, tu n'appréciais pas être lâchée comme une grosse merde par ton meilleur ami et tu allais vite lui faire comprendre. Tu avais besoin de lui, tu avais besoin de ses conseils, de le sentir près de toi. Il avait disparu du jour au lendemain, te laissant seulement pour adieu une longue lettre écrite par sa propre main. D'ailleurs, cette lettre, tu l'avais toujours, tu l'avais pris avec toi. Tu la prenais toujours avec toi, il était hors de question que tu la laisses en pleine vue dans ta villa. Tu savais que tes femmes de ménage étaient plus que des fouines, elles fouillaient dans chaque partie de ta villa et cela avait le don de t'agacer. D'ailleurs, tu pensais fortement à les envoyer chier et à les virer, tu trouverais certainement d'autres personnes vues le prix que tu mettais dans leurs salaires. Tu chassais ces pensées, tu n'avais pas envie de plomber ton moral pour des choses aussi petites et inutiles. Tu avais pris ta décision, dès que tu rentrais chez toi, tu les virais et tu serais mieux seule qu'avec ces deux pimbêches. Elles faisaient le ménage chez toi en échange d'argent pour pouvoir payer leurs études, qu'elles ne suivaient pas, bien sûr. Tu entrais tranquillement dans sa maison, tu n'allais pas attendre une minute de plus sur le trottoir, de plus il ne faisait pas vingt-cinq degrés. Tu n'avais pas prévu une veste chaude, loin de là. Tu étais froide, et tu l'avais bien remarqué, tu n’ajoutais rien à tes paroles. Tu te stoppais une fois dans le hall d'entrée, sa réponse te faisait sourire, après tout tu aimais quand il te disait des choses dans ce genre. Tu ne lui avais même pas fait la bise ou un câlin, depuis le temps, tu aurais pu. Tu t'approchais de lui et tu déposais tes douches lèvres sur sa joue gauche et tu soufflais doucement « Alors elle est ou ta femme ? » Cette demoiselle, tu ne la supportais pas, tu l'as détestée et tu n'avais qu'une envie : qu'elle dégage. Tu t'éloignais de nouveau de lui, observant les différents objets sur les meubles. « Huum, ce que tu veux tant que ce n'est pas de l'alcool. » laissais-tu glisser entre très lèvres.
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Je m'ennuyais dans cette gigantesque baraque surtout que depuis quelques temps, je me retrouvais tout seul puisque ma femme s'en était allée je ne sais où. Je ne l'avais pas vu ni à la Classe des Neiges au Canada, ni ici à Cambridge. Je savais bien qu'elle s'en foutait royalement de ce qui avait pu m'arriver pendant mon absence mais tout de même, cela commençait à m'inquiéter parce que même si je ne l'aimais pas comme devrait le faire un véritable mari, elle restait tout de même l'une de mes meilleures amies d'enfance alors oui je me devais de la retrouver. D'une part, je me disais qu'il était grand temps que je la quitte, que je demande le divorce parce que je n'en pouvais plus de ce mariage arrangé et ce quitte à perdre la confiance de mes parents... Cela m'était complètement égal de toute façon ! J'étais une nouvelle personne maintenant, ces quelques semaines loin de tout m'avaient transformé ! Mon argent j'allais l'utiliser à bon escient désormais ! Fin bref, afin de combattre cet ennui qui s'était installé en moi depuis notre retour de la classe des neiges, j'avais invité ma meilleure amie Apolinarya pour qu'elle passe un peu de temps avec moi. Nous y étions désormais et malgré la froideur qu'elle faisait preuve à mon égard, j'étais tout de même heureux de la retrouver. Elle m'avait profondément manqué, j'étais terriblement honteux de l'avoir abandonnée tout de même ! Même si je n'avais pas eu véritablement le choix mais voilà, j'avais abandonné la personne que j'appréciais le plus au monde ! Elle venait me faire enfin la bise ce qui me rendit encore plus heureux, alors je lui rendais doucement sa bise tandis qu'elle me demandait par la suite où se trouvait ma femme. " Je l'ignore ! Depuis mon retour, je n'ai pas eu un seul signe de vie... " dis-je d'un ton sérieux tout en me grattant le menton mais je ne voulais pas parler d'elle, sachant qu'Apo était totalement contre ce foutu mariage. J'avais donc changé de sujet en lui demandant si elle voulait boire quelque chose; sa réponse me fit sourire d'un air espiègle. " Il est trop tôt pour servir les bonnes bouteilles mon p'tit coeur ! Café, cappuccino, thé ? Ou boissons? "
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Tu ne savais pas si tu devais t'en réjouir ou si tu devais prendre dans l'autre sens cette nouvelle. Après tout, tu avais détesté ce jour, tu avais décidé d'en vouloir à la Terre entière pour ce mariage. Tu ne voulais pas voir ton meilleur ami au bras d'une autre qu'il n'aimait pas, tu voulais le voir heureux et non obligé à épouser une femme de passage. Tu avais du t'y faire et tu devais donc partager l'homme que tu aimais le plus avec une autre, chose compliquée. Tu avais mis parfois des barrières pour ne pas t'accrocher de trop, tu n'avais réussi à te retenir et tu avais de nouveau perdu. Tu étais retournée près de lui, tu ne pouvais pas te passer de lui, il était le seul à ne pas te juger, et à t'écouter. Il était le seul homme que tu considérais comme ami et non pas seulement comme une conquête. Il était le seul qui avait réussi à s'incruster dans ton cœur et à y rester. Il était bien plus qu'un ami à tes yeux, il était toute ta vie, même si j'ai un jour tu trouverais un homme, tu ne pourras jamais l'oublier et le laisser. Il restera toujours le premier dans ton cœur, jusqu'à la fin de ta vie. Jusqu'au dernier battement de ton cœur, tu ne pensais jamais dire ça un jour et pourtant, en ce moment même tu le pensais. Tu enroulais une mèche autour de ton doigt et tu regardais cette maison avec des grands yeux. Tu aimais faire ta curieuse et tu n'attendais même pas qu'il t'invite à avancer, tu le faisais toi-même. Après tout, il te connaissait suffisamment pour avoir confiance en toi, tu te promenais dans le grand salon, que tu trouvais magnifique. Tu lâchais doucement « C'est embêtant pour toi, mais moi, ça m'arrange. » Tu savais qu'il allait comprendre, tu ne la portais pas dans ton cœur et ça n'allait pas changer aussi rapidement. Tu te pinçais doucement les lèvres, tu avais cette petite manie depuis toute petite. Tu avais les yeux qui brillaient devant cette somptueuse décoration. Tu te retournais de nouveau dans sa direction, plongeant ton regard dans le sien. « J'ai déjà assez de mal pour me remettre de cette soirée. Va pour un café, ça sera bien. » un léger sourire sur les lèvres, tu le fixais du regard.
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Lorsque je lui avais annoncée qu'Ariana n'était pas présente à la maison depuis mon retour, je savais bien quelle serait la réaction de ma meilleure amie. En effet, elle avait été plus que contre à cette union entre Ariana Kennedy, petite fille du défunt président Kennedy et moi, Dwight Jefferson-Hoover, héritier du Père Fondateur et troisième président des USA Thomas Jefferson mais aussi arrière-petit fils du Président Hoover ! Fin bref mon mariage avait été plus qu'arrangé par mes très chers parents ainsi que ceux d'Ariana, et ce dans le but de perpétuer la lignée pure présidentielle ! C'était juste horrible dit comme ça mais tout de même, je n'étais pas d'accord cependant je n'avais nullement le choix donc oui cela faisait des mois maintenant que j'étais marié au gré de mes envies ! Et pourtant Apo s'était battue pour que je refuse ce mariage mais malheureusement il avait bel et bien eu lieu ! Heureusement que je ne l'avais pas perdue ma Apo parce que je ne m'en serais jamais remis je crois ! Elle était la femme que j'aimais dans tous les sens du terme, quoique je n'étais pas encore amoureux d'elle mais je n'aimais vraiment pas qu'un autre s'approche d'elle ! J'ignorais en fait que c'était pareil de son côté ! J'aurais vraiment pété une durite si jamais je l'avais perdue à cause de ce foutu mariage mais nous avions gardé notre complicité, je crois même qu'elle s'était plus que jamais renforcée sauf que j'avais été obligé de partir... Et vu qu'elle était venue aujourd'hui, elle semblait être prête à me pardonner. " Moi aussi ça m'arrange mon p'tit coeur ! Nous serons que tous les deux ! Personne ne nous embêtera ! " dis-je avec un petit sourire avant de lui proposer à boire. Elle opta finalement pour le café que je proposais alors je me suis activé sur la machine pour préparer deux tasses avant de revenir auprès d'elle. " Alors tu as passé de bonnes vacances mon chou ? "
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Tu avais l'impression d'être une sacrée garce, mais tu aimais être comme ça, tu ne partageais pas tes amis avec n'importe qui. Tu ne la connaissais pas et tu n'avais pas envie de la connaître, elle ne rendait pas celui que tu appréciais et qui occupait toutes tes pensées heureuses. Elle ne méritait pas que tu t'occupes d'elle, elle pouvait disparaître du jour au lendemain, tu n'allais pas être triste, loin de là. Tu soupirais doucement, enlevant tranquillement ta veste, dévoilant ton corps, mais il avait l'habitude de le voir à force. Ce n'était pas la première fois que tu t'habillais comme ça. Tu enlevais ce foulard que tu avais soigneusement placé autour de ton cou, tu déposais tes vêtements sur le dossier d'une chaise. Tu t'amusais avec tes chevaux et tu posais ton regard sur le jeune homme, tu ne pouvais pas le lâcher du regard. Tu posais tes fesses sur une chaise haute et tu attendais, tu attendais sa réponse. Tu ne savais pas ce qu'il allait te répondre, allait-il prendre mal ce que tu avais dit ou pensé la même chose que toi ? Tu en avais marre d'attendre, là, à rien faire. Tu te promenais dans sa maison pour arriver près de la cuisine, là, où il se trouvait. Tu marchais doucement, promenant ta main sur le carrelage. Tu allais près de lui, venant par-derrière et posant tes bras autour de son cou, pour poser ta tête sur son épaule. Tu promenais ta main sur le haut de son torse. Tu le faisais souvent auparavant avant qu'il soit marié, mais rien n'allait t'empêcher de le faire encore et encore. « J'espère, sinon je repars. » soufflais-tu doucement à son oreille, tu aimais être en sa compagnie, tu aimais sentir sa chaleur près de toi. Tu ne savais pas pourquoi, mais ce changement que tu avais eu lors du mariage t'avait troublé. Tu avais été blessée, tu avais senti une peine immense dans ton cœur. Tu préférais ne plus y penser, mais à chaque mouvement que tu avais envers Dwight, te rappelait qu'il ne t'appartenait pas et qu'il n'allait jamais t'appartenir. Tu t'éclipsas de nouveau dans le salon, sans faire de bruit, il n'y avait plus que le bruit de tes talons sur le sol. Tu te plantais devant cette grande vitre, tu admirais le paysage. Jusqu'à ce qu'il revienne avec les tasses, tu en prenais une entre tes mains et tu posais de nouveau ton regard sur lui. « Comment dire. Mes vacances étaient longues et sans intérêt. Du moins les journées, les soirées étaient bien plus intéressantes. » Tu souriais doucement, et tu portais à tes lèvres la tasse pour boire son contenu. « Il fallait bien que je me réconforte avec d'autres hommes, vu que tu n'étais pas là. » tu tournais de nouveau le regard. Tu n'avais pas envie de voir sa réaction après tes paroles.
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Je la regardais longuement alors qu'elle retirait tranquillement sa veste pour se mettre à l'aise comme à son habitude et je n'en perdais pas une miette de ce spectacle que j'adorais toujours autant aujourd'hui alors qu'on avait eu tant de semaines de séparation... Elle m'avait tellement manqué lorsque je me suis retrouvé dans ce foutu centre de désintoxication pour les gens riches et il était grand temps que je lui raconte ce qu'il s'était réellement passé là-bas sans pour autant lui faire peur quoi ! Qu'importe, je la laissais se promener dans la maison tandis que je préparais les cafés puis elle revenait quelques temps après pour se pendre à mon cou afin de pouvoir poser sa tête sur mon épaule. Cette proximité me faisait l'effet d'une putain de décharge électrique mais je me laissais faire tendrement, la regardant avec douceur tandis qu'elle venait promener sa main douce sur mon torse tout en me murmurant des petits mots à l'oreille... " Même les femmes de ménage et cuisinières ne sont pas là donc nous sommes vraiment seuls... " Puis elle se détachait de nouveau de moi pour aller admirer le paysage qu'offrait ma baie vitrée. Je l'avais vite rejointe avec les tasses de café avant de lui demander comment si elle avait passé de bonnes vacances. Sa réponse ne me plaisait guère, surtout ce qu'elle avait rajouté sur le fait qu'elle avait du se réconforter avec d'autres types pendant mon absence... J'en tremblais presque parce que je me sentais ivre de jalousie mais je ne disais rien, je ne faisais rien me contentant de me rapprocher d'elle doucement et de poser ma main dans la sienne. " Je ne t'abandonnerais plus mon p'tit coeur, j'ai eu si peur de te perdre. Quand j'étais dans cet horrible endroit, je n'arrêtais pas de penser à toi. Je voulais te sms, t'écrire une lettre ou autre mais ça m'était impossible... " dis-je évitant soigneusement de la regarder alors que je lui racontais ce que j'avais pu vivre là-bas dans ce fameux centre de désintox !
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