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TOPIC DE GROUPE ✱ Manifestation

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Tu discutais sagement avec Swan, Olive, Jade et Léo et d'autres de la vie, et de ce coup d'poing que t'avais foutu à Calypso, qui le méritait, et tout ça, lorsque tu entends non loin de toi deux mecs qui semblent s'provoquer, en face à face. Andrew dos à ton visage, tu n'le reconnais pas tout de suite ; après tout, ça fait bien longtemps que tu l'as vu. Le mec face à lui semble en colère, il semble se tortiller pour s'retenir de je ne sais quoi, et il engueule l'autre face à lui, il lui dit ses 4 vérités, que tu entends plus ou moins, à cause de cette distance et de tout ce bruit autour de vous. Putain, dans des manifs, y'a toujours des bastons dans le genre, ou quoi? Des engueulades? Des gens qui crient de la merde partout? Des gens qui savent pas où s'mettre? Des gens qui sont là pour rien foutre. Le Doyen était intervenu à l'aide de ses gardes de sécurité ou policier, mais ça ne semblait pas s'achever de si tôt, hein. C'est ainsi que tu l'remarques en voyant ce mec face à cet autre mec (Darnell) lui sauter carrément dessus et lui faire des prises grave pas sécuritaires, jusqu'à ce que tu comprennes qu'il s'agit... d'Andrew. Sans rien dire aux filles, sans réfléchir, tu t'précipites presque en courant parmi tout les gens qu'il y a pour tenter de les séparer. Mais avec deux mecs de leur carrure, c'est loin d'être chose facile. Tu vas avoir besoin de d'autres bras, si tu veux y parvenir. "Quelqu'un veut bien m'aider?", dis-tu en forçant pour dégager Darnell de l'emprise d'Andrew "Putain Andrew, c'est quoi ton problème!? Tu veux l'tuer ou j'sais pas?!" Tu lui donnes un coup sur le torse pour le forcer à s'enlever de là, puisqu'il bloque le cou du jeune homme au sol avec son genou. "Qu'est-ce qui t'prend d'agir stupidement comme ça? Tu sais plus réfléchir ou c'est quoi encore? Il t'a rien fait, à ce que je sache, arrête de faire le con, putain." Tu t'sens mal de lui parler ainsi, mais merde, c'est quoi son problème?
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J'avais un don pour énerver les gens. Je n'avais qu'à claquer des doigts et ils montaient en pression à une allure folle. Aaliyah venait carrément de demander à Darnell de me tenir en laisse. Mais de nous deux, sérieusement, qui était la vraie chienne enragée ? Ce n'était certainement pas moi. Moi, j'étais calme, je souriais, riais même et puis, je filmais aussi, ne l'oublions pas. Disons que je voulais garder un souvenir de cette manifestation pour mes chers associés adoré et pour moi aussi, par la même occasion. Et c'est moi la conne qu'il faut tenir en laisse ? Je riais en posant ma question. Puis là s'amenait le prince d'Aaliyah sur son cheval blanc inexistant. Andrew, l'homme fragile par excellence. Il nous sortait son petit speech, celui qu'il devait pondre à tout le monde, pour faire croire qu'ils soutenaient les étudiants dans la difficultés et qu'il était là pour eux, contrairement à nous. Mais est-ce qu'il allait vraiment faire quelque chose pour les étudiants dans le besoin ? J'en croyais pas un mot. Et là, Darnell se mit à lui parler franchement. C'était beau, émouvant, avec une pointe d'insultes tout de même. Il ne le portait pas dans son coeur et il devait le faire savoir à son nouvel ennemi juré. Le Winthrop reprit la parole avant de s'en prendre physiquement à l'homme que j'aimais. Je filmais toute la scène, sans bouger un doigt jusqu'à tout avoir. Les mots, la prise, le moment au sol. Enfoiré de merde. T'allais tellement me le payer. Lui avoir fait ça. C'était fini pour toi ! C'était tout ce que je me disais intérieurement. Ce duc de mes deux n'était plus rien, vraiment rien qu'un ramassis de conneries, de puanteurs et encore, je mâchais mes mots. Une fois le tout dans la boîte, j'éteignais ma caméra et la rangeais, Rosebury t'es fini, lâche le ! Je m'approchais de lui pendant qu'une autre fille, une blonde (Dixie) lui hurlait dessus et le frappait à la poitrine histoire de lui faire mal, qu'il lâche sa prise. Il tenait Darnell, ses mains étaient prises ? Alors pas de soucis, j'attrapais ses cheveux, les tirant aussi fort que possible, comme si je voulais le rendre chauve, lui arracher le peu de poil qu'il avait sur le cailloux, Lâche-le ou s'en est fini de toi et ta petite vie familiale bien rangée ! Je lançais un regard noir à Aaliyah car je la visais en disant ça. Je ne comptais pas lui faire du mal physiquement. Jamais je ne ferai ça, mais mentalement oui. Je l'avais déjà fait et j'étais prête à le refaire.
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Après un voyage plutôt agréable au Canada, je devais m'envoler tout de suite pour Paris avec Dinah et les Dunsters mais j'avais retardé mon arrivée en sol français pour aller récupérer quelques trucs à la Eliot House. En même temps, le message était tombé pour tout le monde: la fermeture des confréries était évidente. J'en croyais pas mes oreilles, sûrement à cause de ces tarés de Mathers, eux qui aimait foutre la merde dès qu'il le pouvait. Je voulais appuyer ma confrérie et surtout May avant de repartir. Il y a avait déjà un paquet de monde et j'étais fier que malgré nos différences, tout le monde se ralliait pour une cause commune: défendre ses couleurs. Je voulais bien sûr que les Eliots soit épargner. C'était certainement pas de notre faute, on se tenait plutôt tranquille...J'arrivais donc à la manifestation et tentait de trouver May et le reste des Eliots. Je m'attendais à voir mes bizuts venir manifester au Yard, j'étais bien content de voir Rome mais j'attendais toujours de voir Alessandra et Téo. Je parcourais les étudiants et saluait Alek qui gueulait toujours pour défendre les oranges. Je réussisais à repérer ma présidente de confrérie quand j'entendis des propos qui était pas trop élogieux. Un certain Darnell semblait vouloir foutre la merde et bien sûr mon meilleur ami Andrew était sa victime avec Aaliyah. Je savais que ca allait mal tourné quand je vis Andrew bondir sur Darnell et merde. Je changeais de chemin et poussait les gens pour aller rejoindre mon pote. Dixie tirait Darnell et malgré ma stature moins imposante que celle de Drew, je me foutais au milieu et tirait Andrew de mon côté pour le séparer de Darnell et tassa la fille (Nolween). Je tentais de maîtriser Andrew et lui dit: -''Calme toi Drew. C'est ce qu'il veut, que tu pètes les plombs...Ils partagent pas les mêmes idées que nous, il en vaut pas la peine, allons plus loin''[size=18] C'était vrai, je voulais qu'Andrew lâche prise parce que ca ne servait simplement à rien car ils pensaient pas comme nous, les students voulaient simplement que les confréries ferme pour pu confrontrer les différentes maisons mais les maisons instauraient un certain équilibre ou tout le monde pouvait trouver sa place justement.
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w/ Tout le monde

Cette manifestation devait un grand bazar sans nom. Je n'avais pas le temps de parler, d'agir, de réagir. Tout partait en live total et je ne maîtrisais plus rien. Darnell et Nolwenn s'exprimaient et ils avaient une part de raison et une part de tord. Enfin, surtout Darnell. Nolwenn ne faisait que me provoquer, comme à son habitude et j'en connaissais la raison. Jade qui ne lui adressait plus du tout la parole. Grâce à moi d'ailleurs. J'en étais fière. Et qu'elle me pourrisse la vie, j'en avais rien à faire. Ca prouverait juste à Jade que j'avais raison au sujet de sa meilleure amie. Mais le pire était encore à venir. Andrew fit son apparition, d'on ne sait où et tenta tant bien que mal de prendre ma défense, mais il s'enfonçait en ouvrant la bouche. Il ne réfléchissait pas. Tu ne pouvais pas dire à un gars des rues que tu connaissais la misère bien mieux que lui alors que tu es un duc. C'est stupide. Il la connaîtra toujours mieux que toi, quoique tu fasses pour les gens qui sont aujourd'hui dans le cas où il se trouvait il y a peu, tu ne pourras jamais comprendre ce qu'ils endurent. Darnell l'avait subi dans son enfance mais également quand nous avions rompu lui et moi, par la faute d'Andrew et moi. Il avait toute les raisons d'être en colère contre nous, contre tout ce qui se passait. Chacun son opinion, on était tous là pour défendre nos opinions, nos convictions. Et ca me mit hors de moi. Voir Andrew s'en prendre à Darnell. Je restais pétrifiée. Je ne savais pas quoi faire, quoi dire. Il savait pourtant que j'avais horreur que l'on m'affiche publiquement comme il venait de le faire. J'allai encore une fois apparaître dans l'article de Cambridge's Secrets et j'en avais vraiment ras le cul. Quand des filles vinrent séparer les garçons, Tate en plus, je retrouva rapidement mes esprits. Je repensais à Aliénor et les jumeaux et au fond, je me disais, tant pis. Tant pis pour Andrew... Je savais bien que tout ce qui m'arrivait récemment était trop beau pour être vrai. Je retira ma bague lentement, m'approchant du Winthrop. J'avais envie de régurgiter, de pleurer, d'hurler, mais ma voix sortait à peine. Bravo et... merci d'avoir tout gâché Andrew ! La bague retirée de mon doigt, je la posais dans la main d'Andrew avant de lui tourner le dos et de m'en aller. Jade avait raison. Je n'aurai peut-être pas du venir. Mais bon, j'avais l'essentiel pour mon article. Des étudiants qui ne savent pas communiquer, des revendications bidons. Un Doyen trop peureux pour sortir lui-même et affronter ses étudiants, même avec des gardes à côté. Un ex-fiancé trop stupide... J'avais tout...

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J'étais fichu... En effet, bien avant que je n'accomplisse cette horreur, je savais que j'allais merder et que ça allait avoir des répercussions qui ne me plairaient pas mais j'allais tomber dedans facilement. En effet, je me suis jeté dans la gueule du loup là... J'avais répondu à la provocation de Darnell sans réfléchir, sans prendre en considération ce qui pourrait s'en suivre donc voilà ! A la suite de mes mots, j'avais mis mon adversaire hors d'état de nuire et j'étais tellement aveugle que j'en ressentais même l'envie de le tuer. Oui c'était ça qui m'obligeait à le tenir toujours aussi fortement alors que je savais que cette prise était interdite hormis en intervention et surtout sous l'égide de la légitime défense. Malheureusement, c'était moi qui l'avais attaqué en premier et ce parce que je refusais maintenant de laisser les gens me parler de la sorte... Mais très vite, on venait tenter de m'arrêter ! Cependant, je ne lâchais pas prise du tout et ce même si Dixie me frappait le torse. Dans la foulée, la connasse de Nolwenn essayait de libérer ma victime de mon emprise en me tirant par les cheveux mais je tenais toujours bon: j'avais l'impression d'être un monstre mais finalement je relâchais tout lorsque mon meilleur ami Tate me sortit de là en me disant qu'il fallait que je cesse parce que mon adversaire n'en valait pas la peine. Je me relevais tremblant littéralement, j'avais perdu l'esprit, mon sang-froid mais mon regard était vide... Je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait et c'était pour cela que je restais juste à côté, cependant je revenais rapidement à la réalité, lorsque ma petite amie s'était approchée de moi. A son expression, je sus de suite que c'était fichu pour moi... En effet, elle venait déposer dans ma main la bague de fiançailles avant de s'en aller... J'étais pétrifié par la détresse mais aucune larme ne venait souiller mon visage. Je n'y arrivais pas... J'étais sous le choc absolu: Je venais de tout perdre... Ma raison de vivre... L'amour de ma vie... J'avais envie de hurler mais ça m'était tout autant impossible... Je ne bronchais même pas quand les flics arrivèrent. On me mit les menottes et un policier me lisait mes droits. Vous avez le droit de garder le silence... etc. Ainsi menotté et transporté par les flics, moi Andrew Rosebury, Prince du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, je créais une sale réputation et je venais d'humilier ma copine en public, je venais également de la perdre... La totale... 2015 commençait bien !

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La tête contre l'oreiller, j'avais qu'une envie, continuer de dormir et ce, jusqu'à ce que la température reprenne du mieux! J'étais prête à tout pour profiter de ce petit moment de répits, blottit contre le dos de Nathan. Après tout, je revenais d'une folle nuit de travail et j'espérais pouvoir profiter de ma journée de congé pour me ressourcer un peu avec celui qui habitait maintenant mon cœur. Malheureusement pour moi, je n'eu pas la longue nuit de sommeil que j'espérais. Nathan avait reçu un sms lui annonçant la fermeture des maisons de confréries. La tête encore dans les vapes, je ne compris pas trop, mais je n’argumentais pas, me levant. J'enfilais mes vêtements, essayant de calmer mon amoureux... C'était sans succès, tout au long du trajet, on pouvait l'entendre jurer contre la situation. Une fois sur place, il s'exclama assez fort pour prouver son mécontentement. Je posais une main rassurante sur le bras de Nathan. « Calme toi mon cœur, ça ne sert à rien de crier au feu avant de savoir ce qui se passe vraiment… » J’avais toujours été ainsi et ça ne changerait pas. Je souris et regardais autour de nous, voyant d’autres Quincy (Neva, Alek, Abby et cie) Je bloquais ma bouche avec ma main, cachant un baillement et regarda l’homme qui remplissait ma vie. « C’est mieux d’être vraiment important… Tu sais comment j’aime me lever tôt… » Je m’étirais un peu, avant de me coller à lui, passant mes bras autour de sa taille.
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Mon dieu , c'est le bordel. Je voyais que des embrouilles avaient était créer, pourtant nous sommes tous là pour la même chose quoi , rien ne sert de se battre... Là tout basculait dans ma tête , que faire ? J'étais au milieu de tout ce beau monde et le brouhaha complet. Je n'avais jamais pu voir une tel chose , quoi. J'entendais les paroles du doyen. Ca commençait mal l'année 2015 finalement. J'étais perplexe. Soudain , j'entendais au loin une violent bagarre , il s'agissait d'Andrew mon ex petit ami et Darnell mon ancien colocataire et l'ex petit ami de Aaliyah. J n'en crut pas mes yeux , surtout lorsque les flics sont apparus pour menotter Andrew. Que se passait-il ? Pourquoi faire une tel chose ? Je ne pu m'empêcher de m'inquiéter pour lui. J'allais vers Tate , Jade , Darnell , Nolwenn et Dixie. « Que s'est-il passé ? » Ce n'est pas pour faire ma comère bien entendu.
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Si on t'avait dit que la quincy et toutes les autres maisons allaient fermer leurs portes un jour, tu n'y aurais jamais cru et pourtant ce n'était pas une blague. Le doyen rigolait pas mais il semblait être tombé sur la tête à vouloir mettre fin au système des confréries. Tu n'avais rien contre les autres maisons au contraire tu les appréciais toutes en digne Quincy que tu es mais visiblement tout le monde ne semblait pas être de cette avis vu comment les étudiants se montaient les uns contre les autres. C'était un gros bordel et tu ne savais pas où donner de la tête, tu ne savais pas non plus quoi faire. T'étais pas certaine que ta présence ainsi que celle des autres allait permettre d'annuler cette décision de fermeture des maisons. T'étais défaitiste, en colère, anéantie à l'idée de dire au revoir aux oranges même si au fond cela n'aurait jamais vraiment lieu. Il commençait à y avoir du grabuge autour de toi, ce qui ne te rassurait guère car ce n'est pas comme ça que vous alliez prouver au Doyen qu'il avait tort." On est d'accord, ça va trop loin. On avait déjà un taré qui se promenait dans la nature, maintenant, on met les étudiants à la porte... On est là pour que ça n'arrive pas justement. Je sais pas si le rassemblement va donner quelque chose mais il faut leur montrer que les confréries font partie de nos études, de notre identité ! " Tu n'aurais pas dis mieux que Thomas Il avait raison sur toute la ligne." Quincy un jour, Quincy toujours. Je vous jure qu'il faudra me passer sur le corps pour fermer notre maison. " On est peut être gentils mais il vaut mieux pas se mettre les oranges sur le dos et surtout toi au risque de découvrir ton tempérament de tigresse.
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Je n'étais plus présidente des Eliots cette année, je n'y passais presque plus, disons que ce n'étais plus qu'une image sur mon dossier scolaire, un badge de plus à ma réputation et juste j'y tenais. Les Eliots n'ont peut être pas bonne presse dans Harvard et alors ? Ils ont été là pour moi à mon arrivée et quoiqu'ils puissent tous penser, je n'avais pas fait une croix sur cette maison qui est toujours aussi chère à mon coeur. Alors bien évidemment, je n'allais pas faire main basse sur cette manifestation. J'avais entendu parlé de la folle rumeur qui cours, comme quoi, les présidents de trois confrérie étaient suspect d'avoir commis ces viols en séries. Foutaise, je n'y croyais pas et quoi de plus meurtrier que de lancer des rumeurs sur n'importe qui ? J'en étais consciente, je le faisais moi même.  Les yeux un peu partout, j'avançai sans me soucier du monde qui m'entourait jusqu'à ce qu'une tête, voir deux se détachent du lot. Premièrement celle de Briony, je levais les yeux au ciel, passant tout prêt d'elle, laissant ma cigarette rencontrer quelques un de ses cheveux. Pas assez pour qu'elle devienne une torche humaine mais bien assez pour qu'une légère odeur de cochonne n'arrive à son nez .... puis là, devant moi, comme le meilleur présent que le père Noël puisse me faire : Marloes, elle étai de retour. Je me mettais à côté d'elle, prenant une aspiration de ma cigarette, allant même jusqu'à m'appuyer contre son épaule pour ensuite lui souffler ma fumée dessus. Le calme avant la tempête ... oui, ce qu'il se passait ici, n'était qu'un calme olympien avant que la tempête Anastasiya ne revienne s'abattre contre elle (aa) J'espère que t'es d'attaque après ton .. séjour en cure je suppose ? Peut être la prison ?
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• Je voyais les esprits s'échauffer, les gens commencer à s'énerver. Certains gueulaient, d'autres étaient tout simplement passif, ils accusaient le coup, puis, t'as une folle qui est monté sur un banc et qui a commencé à rammener sa bouche. Non mais elle, elle sait pas trop dans quoi elle se lance en fait. J'veux dire, c'est comme si t'allais au milieu d'un rassemblement de fan de Johnny Haliday et que tu gueulais que ces sons c'étaient juste de la grosse merde et qu'il serait mieux entre quatre planches. Tu te fais tuer direct en fait. Du coup, je préféra ne pas porter attention à tout ça, et juste... Observer, voir jusqu'à où les gens peuvent aller. J'savais bien que manifester n'allait servir à rien, dans l'histoire du monde, à quel moment une manifestation faites par des étudiants à changer quelque chose ? La décision est prise, on peu pas faire autrement, on peu juste faire la chose qu'on fait le mieux... Gueuler, montrer qu'on est pas d'accord, et voila... J'sais pas combien de temps ça va durer, j'sais pas combien de temps les gens vont rester ici, mais, tant qu'il y a de l'ambiance, je reste, et, au final, si il y a un espoir de changer la chose, autant attendre... •
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