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« Si tu ne veux rien admettre c'est parce que j'ai tout simplement raison. Non je n'ai pas de pouvoirs mais je te connais bien même si ça fait longtemps. » Le mec pas du tout prétentieux vous voyez. Non sérieusement, Matthis n'avait rien perdu de son sex-appeal, mais ce n'est pas pour cela que je voulais toute suite lui sauter dessus. On va dire que je suis encore surprise de le revoir c'est tout et ça m'a renvoyé quatre ans en arrière. « C'est ta technique pour faire passer toutes les femmes dans ton lit ? D'ailleurs, je suis certaine que beaucoup ont dû y passer. » Dis-je toute souriante avant de reprendre. « La Sharon d'avant aurait peut-être vite cédé à tes bras, mais la Sharon de maintenant est beaucoup plus coriace, disons que je me protège du mieux que j'peux des tombeurs sexy de ton genre. » Affirmais-je en lui lançant un clin d’œil. Depuis mes histoires catastrophiques, j'essaie de ne plus me laisser berner, de ne plus m'attacher. Et voilà que monsieur s'invitait tout seul chez moi tandis qu'un malicieux sourire prenait place au coin de mes lèvres. « J'kiff comment tu t'invites sur-le-champ toi !. » Mon petit rire résonna quelques secondes avant de l'écouter à nouveau. « Si toi t'étais devenu sage, ça aurait été la fin du monde youhouu !. » Je vous jure, ce n'était pas possible. Anyway, j'avais doucement glissé de la neige sous son tee-shirt et ce dernier se vengea en me plaquant au sol pour éparpiller de la neige sur tout mon corps. « Oh god c'est FROID, FROID, FROID ! Stoppppp itttttt Matt !. » Grognais-je alors que finalement, je trouvais une belle excuse. « J'ai un début de pneumonie, le froid est interdit à ma poitrine ! Mon dieuuu je vais mourirrrrrrr ! » Finalement, le jeune homme se dégagea et je profitais de l'occasion pour me lever et grimper sur son dos. « Alors on y va ? Chez moi. Par contre ouai, tu vas devoir me garder sur ton dos pour te faire pardonner. » La meuf non seulement qui venait de faire une blague de fausse pneumonie, mais ensuite qui s'invite toute seule dans son dos. Bah ouich, même après quatre ans, certaines habitudes ne changeaient pas. « Je vais te guider. » Ma maison n'était pas loin d'ici de toute façon et ma sœur devait être avec ses potes.
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