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GRARYS ► And I need you to know that I never gave up on you.

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Et je me sentais apeuré, presque fou de tous ces mots insensés qui ne me paraissaient pas crédible mais qui le devenait par le souvenir de mon amnésie ; surement avais-je oublié a quel point j'avais été un salop ? Surement avais-je complètement occulté que j'étais un putain de violeur ? Mon corps tremblait sous la force de ces mots, je me recroquevillais, tremblant de peur, tremblant sous l'effet de quelques larmes coulant sur mon visage aux airs si lisse d'expression. Je ne comprenais pas que je ne puisse pas me souvenir d'une aussi mauvaise chose et je m'en remerciais pourtant bien que cela me retombait maintenant là dessus et voulant tout nier, n'arrivant pas à y croire tout de meme, dans ma crise folle, je répétais en boucle entre mes genoux : Pas moi... pas moi... pas moi... rien fait ! Incrédule, fou, perdu, pommé. Je ne savais plus comment me sentir et je n'osais pas regarder celle qui devenait mon ancienne victime, j'étais honteux et traumatisé d'apprendre mon vrai visage mais mal de ne pas me souvenir, je ne savais pas en fait si c'était un mal ou un bien car surement qu'au vu de mon excessive gentillesse depuis le retour de ce Emrys, je serais plus mal, plus traumatisé encore si je me souvenais avoir fait cela et puis, ce serait grave. Je tremble encore et tente de sécher mes larmes d'un doigt discrètement passait sous mes yeux mais impossible, je suis trop mal et j'ose un instant la regarder, la fixer, sans aucune expression me rendant uniquement compte de sa beauté mais de la peur dans son regard qui me brise à l'intérieur ; comment j'ai pu lui faire ça ? Je pose une main sur mes lèvres ouvertes. Je suis si seul, si mal. Je me réfugie à nouveau dans mes genoux, telle une boule de nerf. Soudain, je sens qu'on s’approche et qu'on prend ma tete ; va-t-elle me tuer ? Non, sa main vient caresser mes cheveux alors qu'elle me susurre sa demande, je dois me calmer. Je répond en bougeant frénétiquement ; peux pas... je suis mauvais.... Une voix cassée, tremblante, je me sens si affreux comme si le mal vivait en moi et que je cherchais à exulter. Pourtant, elle commence à parler et comme une voix lointaine, une conscience, je l'entend dire qu'elle a débloqué, qu'elle est devenue surement folle, c'est ce que j'y comprend et je sens un espoir revenir mais je ne sais pas quoi croire, si elle fait ça pour me calmer ou me virer de là. Elle me supplie de me calmer et je la regarde, surpris, incrédule, puis soudain, vide de tout, vide d'espoir ou ne serait-ce qu'une émotion. Elle parle encore et encore venant chuchoter quelques mots à mon oreille et je semble retrouver l'espoir encore une fois, une énième fois. Elle touche mon visage, essuie mes larmes et je me sens comme une loque, j'ai l'impression d'avoir trop bu tant je suis épuisé, j'ai mal au crane et je ne sais survivre à la sensation qui m'habite. Elle dépose un baiser sur ma joue m'indiquant qu'il est temps que je sois heureux et je plisse les yeux dans l'incompréhension alors que je dois attraper sa main, fébrile. Je l'attrape, la mienne est moite et je me redresse à sa suite. Je marche dans la salle, mou, perdu. Je vais vers la porte et colle mes deux mains contre la porte comme pour me retenir de tomber. Je me sens si mal, j'en ai presque que le tournis si bien que je tiens mal sur mes jambes. Faible, je reprend ; Pourquoi tu veux qu'on se détruise ainsi ? Je me sens trop mal, je perd mes pensées et ne sait vraiment que dire.
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Cette chambre ressemblait plus à un asile psychiatrique qu’autre chose entre toi qui débloquais et Emrys qui semblait ancré dans un peur et dans un mutisme indescriptible, ça faisait peur à voir. Tu allais calmer ton ex-petit ami en lui parlant, le rassurant sur ce qu’il venait de se passer et tu pouvais voir que peu à peu il reprenait conscience. Peu à peu il se laisser guider par ta voix et par tes gestes. Tu déposais un dernier baiser sur sa joue avant de l’aider à se redresser. Tu lui disais d’être heureux que de toute façon il n’y avait que ça à faire. Pensant qu’il allait quitter les lieux, tu te sentais soulagé mais après avoir fait un tour dans la chambre pour arriver jusqu’à la porte Emrys se retournait pour te demander pourquoi vous vous détruisiez ainsi. Tu ne disais rien, baissant doucement les yeux avant de les remonter vers lui. « Ce n’est pas toi Emrys. » Tu tentais de la rassurer mais en même temps c’était la vérité, tu étais un ouragan qui détruit tout sur son passage. « Dès que je touche quelque chose je le détruit et c’est ce que j’ai fait avec toi une fois de plus et j’en suis désolée. Maintenant, oublie ne cherche même pas à me revoir c’est mieux pour toi. » Tu te sentais mal de dire ça, car toi aussi il t’avait fait souffrir mais tu ne pouvais pas jouer avec lui, tu ne pouvais pas te relancer dans quoique ce soit avec lui. Lâchement peut-être tu préférais couper les ponts définitivement pour ne garder que les bons moments avec cet homme. Tu lui tournais le dos, attendant qu’il parte, préférant ne pas le voir partir, ça te faisait déjà assez de mal comme ça.
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Et c'était comme si on se détruisait à petit feu , enfermés dans cette chambre devenu morbide rien que par le fait que la belle, c'était meurtri à l’intérieur, ça se sentait, ça se vivait ! Incompris, je ne savais comment réagir mais je devais me remettre alors je tentais de m'aider par le positif qu'elle mettait à présent. Je réussissais avec difficulté à me relever, m'avancer dans la pièce pour une éventuelle fuite. Pourtant, ma curiosité était piqué et je ne pus que me retourner, demander pourquoi nous nous détruisions autant. Sourire forcé, bien trop, et inutile en fait, je l'attendais et très vite, elle expliqua que je n'étais pas fautif. Incrédule, je ne savais quelle expression allait avec ce qui me traversait l'esprit alors on aurait dit un zombie. Des mots, les siens vinrent très vite raisonner en moi et je ne savais quoi répondre comprenant juste que tout était fin pour de bon, j'en étais persuadé non par ses conseils mais par le mal effectivement qu'elle faisait, qu'elle nous faisait, qu'on se faisait en fait. Je reculais contre la porte montrant une certaine souffrance sur mon visage mais je me sentais comme incapable de l'ignorer, de redevenir ennemis, je la regardais, dos à moi, n'assumant rien et je ne pus que dire en tenant la poignet, prêt à l'ouvrir ; Je sais pas si en reprenant mes esprits, je vais te détester pour l'enfant, tout ça mais j'arrive pas à nous imaginer redevenir méchant l'un envers l'autre alors s'il te plait, essaie de te donner une chance ... avais-je dit en relevant le regard vers le sien.
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