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GRARYS ► And I need you to know that I never gave up on you.

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Les rumeurs courraient qu'on soit à Cambridge ou non alors forcément, mon retour ne resterait pas silencieux bien longtemps alors je me devais de voir au plus vite les personnes qui m'étaient ou que je devais respecter. D'ailleurs, je dois bien dire que les rumeurs, ça nous touche tous puisqu'à peine arrivé, j'ai déjà entendu dans quelques brouhaha de groupes que ma copine, ex-copine, enfin je ne sais pas, avait complètement déconné ; on l’appelle de nouveau "la droguée" et qu'en plus, elle a eu un accident mais qu'elle est là alors ni une ni deux, j'ai su que je devais aller la soutenir et la retrouver. Je ne sais pas comment m'y prendre mais je sais une chose ; je dois la voir alors j'ai guetté et j'ai cherché avec difficulté sa chambre pour pouvoir la trouver vu qu'elle ne va nulle part de toute évidence. Je marche dans les couloirs sans vraiment savoir si je ne devrais pas attendre un peu mais il faut que je sois sincère, plus je vais attendre, plus ce sera dur et au fond, j'y peux rien ce qui m'est arrivé ! J'ai, en plus, besoin de savoir si c'est vrai parce que je pense pas qu'elle est perdu notre bébé, je ne veux pas y croire pourtant au vu de mon visage marqué, on peut sentir l’appréhension et la tristesse que la peur que ce soit vrai m'inflige. J'arrive devant cette porte et je flippe. Je recule mais j'avance par pur besoin de savoir, de la voir. Je frappe et j'inspire, affligé.
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Le voyage semblait toucher à sa fin et toi tu passais quasiment tes journées enfermée dans ta chambre avec Timoteï. Il passait ses nuits avec toi depuis ce qui t’étais arrivée. Il était vraiment adorable avec toi, tu avais vraiment de la chance d’avoir un colocataire et un ami comme lui. Sauf que là, il avait décidé d’aller se promenait, peut-être d’aller voir Alexys. Il t’avait proposé de venir mais tu préférais rester ici à te défoncer la gueule seule, tu n’avais pas envie de sortir. Tu étais apeurée par l’extérieur de ta chambre et tu n’aimais pas le froid alors comme ça le problème était réglé. Tu étais donc dans ta chambre à fumer un joint en jogging et soutien-gorge en mode au calme je suis chez moi quoi. Quand quelqu’un toquait à la porte. Pensant que c’était Timoteï tu te levais toute contente pour ouvrir la porte mais là surprise ce n’était pas Timoteï c’était Emrys. Mais qu’est-ce qu’il foutait ici ? Il était revenu ? Mais pourquoi ? Pour qui ? Pour le bébé ? Pour toi ? Pour lui ? Il n’y avait plus rien de tout ça. Tu laissais la porte ouverte et retournais t’asseoir sur ton lit sans lui adresser un mot. Tu prenais le débardeur qui traînait sur le sol et tu l’enfilais. Tirant une ou deux latte sur ton joint, tu levais les yeux vers Emrys qui avait passé le seuil de la porte. « Qu’est-ce que tu fous là ? » Tu n’avais pas envie d’être gentille alors qu’il t’avait laissée sans nouvelle pendant plusieurs mois.
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Soudain; une jeune femme à la chevelure blonde passait la tete avant de se placer dans l'embrasure de la porte d'une allure nonchalante, joint à la main et je secouais la tete, mécontent. Un joint alors qu'elle est ... était enceinte ; c'était donc surement vrai ? Quoique aurait-elle recommencé malgré le fait qu'elle était enceinte comme j'entendais, je ne savais plus quoi croire et j'avais un plus gros problème à régler avant de savoir tout ; la calmer parce que au vue de sa phrase d'entrée, elle n'était pas heureuse. Je ne voulais pas qu'elle puisse me clore la porte au nez et ne voulait pas qu'elle fasse frais de plus de rumeurs alors je tirais son poignet et entrais en fermant la porte. Et bien, maintenant que je sais qui je suis, je ne suis pas un connard, je vais pas rester loin alors que je sais d'où je viens ! J'avais dit ça avec un peu d'énervement, ça me rendait fou de savoir qu'elle fumait quoique je me disais que si tout était vrai de ce qu'il y avait eu avant, surement que ma disparition n'avait pas aidé alors je repris mes esprits et plus calme, je reprenais : Notre bébé ... où est-il ? enfin, je veux dire... dis-moi que tu l'as toujours et surtout que c'est la première fois qu'tu craques avec ce truc dans ta bouche ? Je serrais les dents, attristé.
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Emrys était là. C’était incompréhensible. Tu avais perdu votre bébé, tu le détestais de ne pas t’avoir donné de nouvelles et tu étais retombée dans la drogue. Au moins, Emrys allait t’en vouloir et il allait te laisser tranquille, tu le connaissais. La drogue était le sujet tabou entre vous, c’était ce sujet qui faisait qu’il pouvait te détester comme pas possible. Tu l’avais donc laissé entrer puis tu l’avais agressé. Tu voulais savoir ce qu’il foutais là toi qui pensait qu’il avait refait sa vie ailleurs loin de toi, loin de vous. Le voilà maintenant ici comme une fleur. Il attrapait ton poignet pour te dire que ce n’était pas un connard et tu fronçais les sourcils en récupérant ton poignet. Tu ne comprenais pas ce qui lui prenait et voilà qu’il se mettait à parler du bébé. Tu prenais une grande inspiration. « Je l’ai perdu Emrys. » Il faisait ensuite référence à la drogue et là tu rigolais. « Le joint ? Ouais, c’est le deuxième ou troisième parce qu’après que tu ne m’es plus donnée de nouvelles j’ai directement repris de l’héro histoire de m’apaiser mais j’ai pris ma putain de bagnole, j’ai eu un accident, j’ai perdu ma bagnole et mon enfant. Et pour couronner le tout j’avais perdu mon mec alors s’il-te-plait pas de morale sur la drogue ce n’est vraiment pas le moment. Cette classe de neige est merdique donc allez tous vous faire foutre et laisser moi tranquille avec ma merde de toute façon y’a que ça qui pourra me faire crever même un accident j’y survie ! » Tu tournais les talons pour aller t’allonger une bonne fois pour toute sur ton lit, dos à Emrys. Il pouvait bien faire ce qu’il voulait tu n’en avais rien à foutre. Tu voulais être seule pour pleurer encore et encore comme d’habitude. Tu tirais sur ton joint pour ensuite en laissait ressortir la fumée.
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Je voulais comprendre mais je sentais déjà que ça n'allait pas me plaire alors forcément, quand elle commença à parler, je me mis presque à trembler. Je souriais en espérant que ça ferait venir une bonne nouvelle mais le soucis, c'est que ce n'était pas bon : elle avait perdu le bébé alors mes mains vinrent cacher mon visage et je soupirais, énervé, hors de moi. Elle n'y était pour rien et je me sentais mal de l'avoir agressé directement comme ça mais ce qui suit me plut encore moins, si c'était une partie de sa faute et moi aussi, mais en fait, c'était compliqué parce que j'avais pas voulu avoir d'accident mais si j'étais pas parti pour le boulot, elle n'aurait pas cru que je l'abandonnais ou quoi. Et elle m'apprit qu'après mon départ, pensant que j'étais parti pour de bon, l'abandonner, elle s'était remis à la drogue et en voiture avait perdu le bébé. J'ouvrais les yeux, sous le choc. Trop d'informations, je reste choquée. Je ne sais pas quoi penser et je sers les poings alors que ces derniers mots semble un appel au secours. Je suis partagée entre la haine de savoir qu'on peut se détruire, détruire nos efforts, ce qu'on a et l'envie de la protéger alors je la regarde s'allonger dans son lit puis je me met assis dans son dos en caressant sa taille. Je t'avais prévenu que c'était un voyage pour le travail, je n'avais aucun intérêt à mentir et puis, je ne suis pas revenue parce que j'ai eu un accident ... j'ai été gravement blessé au point de perdre toute mémoire ! Je me sens obligé de montrer l'énervement en moi alors a ma voix, on le comprend et je ne peux résister à monter sur mes grands chevaux comme on dit. Comment tu as pu etre aussi inconsciente et par la meme occasion croire à ça putain ?
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Emrys était restais là. Tu lui avais tout dit, tu étais redevenue cette fille qu’il déteste alors qu’il se casse maintenant. De toute façon, tu avais autre chose à gérer que son retour. Tu étais brisée, salit par un putain de fils de pute qui avait osé abuser de toi alors le retour d’Emrys paraissait bien minime finalement à côté de tout ça. Tu t’étais allongée sur ton lit dos au jeune homme mais ce dernier ne semblait pas en avoir finit avec toi. Il venait s’asseoir près de toi et se mettais à caresser ta taille. Tu eûs un petit mouvement de recul. « Ne me touche pas s’il-te-plait. » Tu t’étais retournée pour lui faire face, des larmes coulaient sur tes joues. Cette classe de neige était bien trop riche en malheur pour toi. Ton viol, le retour d’Emrys qui te disait qu’il ne t’avait pas abandonnée mais qu’il avait eu un accident. Tu prenais une longue inspiration, fermant doucement les yeux. Tu l’écoutais te racontais qu’il avait perdu la mémoire et tu avais mal parce que finalement sans ce foutu accident à lui, tu serais heureuse et presque maman aujourd’hui mais c’était sans doute le destin. « Ecoute Emrys, je suis désolée pour toi mais ce n’est vraiment pas le moment pour venir me parler, je… j’ai envie de rentrer chez moi, je ne me sens pas bien. Cette classe est merdique donc on sera mieux pour parler mais à Cambridge. »Tu ne voulais pas lui dire la vérité, car sinon il allait s’inquiéter ou t’insulter tu ne savais pas vraiment. Mais il continuait et il s’énervait même. « Inconsciente ? J’ai été inconsciente ? Je me suis sentie abandonnée Emrys, c’était encore un échec pour moi mais là j’étais enceinte. J’étais enceinte et seule sans nouvelle de toi. Je pensais qu’une fois de plus je n’avais pas réussi à garder un mec que j’aimais auprès de moi. Alors j’ai perdue pied et quand je perds pied je dérape. Alors je me suis piquée une fois, deux fois et puis j’ai voulu m’amuser alors j’ai pris la voiture Léonora me criait après parce que je ne devais pas le faire. Je roulais vite, trop vite et j’ai fait des tonneaux. J’ai perdu connaissance et quand je me suis réveillée, je saignais et les pompiers disait que j’avais perdu le bébé et j’ai eu mal. Je n’ai même pas sut protéger mon enfant de moi-même. J’ai eu mal, très mal et j’ai encore mal donc s’il-te-plait laisse-moi. De toute manière, je n’étais pas faites pour être mère, je suis bien trop dangereuse et inconsciente comme tu le dis ! » Tu t’écartais de lui, le contact physique avec un homme était impossible pour toi à l’heure actuelle sauf avec Timoteï mais lui c’était différent.
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Soudain, je ne compris pas sa réaction. Elle me fit reculer, me demanda brutalement de ne pas la toucher comme si j'étais un parasite alors que pour moi, au final, je me souvenais d'une dernière image : notre baiser avant mon départ. Mais ce n'était pas grave, je me prenais encore une raclure dans la gueule pour mieux avancer, je suppose et puis au vue de sa facilité à ne pas se battre contre son envie de drogue et tout, j'avais surement rien perdu alors et j'en avais marre de laisser des chances ou je ne sais quoi. J'étais retombé dans le panneau en pensant qu'elle se stopperait vraiment là dessus et qu'elle serait assez forte pour ne pas faire n'importe quoi mais au moindre moment d'absence, elle n'y arrive pas et je ne veux pas assister à son auto destruction par contre j'abandonnerai pas mes petits coups par instant pour qu'elle revive. Alors quand elle me parle plus doucement, gentiment, ça ne m'apaise pas parce que je la trouve injuste dans la mesure où je ne peu qu'avoir besoin d'en parler vu tous ce qui m'arrive dans la gueule d'un coup mais non, j'ai tord encore je suis sur ! Alors forcément, je me sens vraiment bouillir mais je sens son mal etre alors au vu des récents événements de ma vie, j'ai compris que là, je vais pas plus l'achever, enfin pas trop méchamment alors je me retiens mais quand elle prend son petit ton miss je sais tout, je te donne une leçon alors là, je deviens presque rouge de colère. Elle me raconte la scène et j'ai juste envie de craquer, tout péter en me disant qu'elle a pu faire autant de choses anormal, qu'on ne fait pas quand on est normal et pas inconsciente. Je veux bien excuser, ou comprendre qu'elle aurait été mal mais là, c'est trop loin ... ce n'est pas comme si elle avait personne alors je frappe du poing sur le lit avant de me reculer pour ne pas aller trop loin et faire n'importe quoi. Je vais près de la fenêtre et regarde dehors tout en répondant ; Tu es égoïste ... tu peux aller mal mais moi aussi, je ne vais pas bien ... je me réveille sans souvenir, vide, complètement vide et quand j'arrive après m’être battu, avoir fait des merdes mais qui contrairement à toi ne touchait que ma personne et non, couter la vie a une autre personne ... je trouve la mémoire, je reviens pour apprendre que ce que je connaissais, qui me réjouissait à été détruit parce que tu as pas su avoir confiance en moi alors que je t'avais promi que maintenant nous étions ensemble ? Merde mais a quoi tu pensais Grace ! Je cris presque, ce n'est plus possible de rester calme, je ne sais plus faire.
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Tu l’avais fait reculer et c’était peut-être mieux ainsi. De toute manière, vous n’aviez plus aucune raison d’être ensemble. Tu n’avais pas changé, il le voyait, il ne t’aimait donc plus. Toi tu l’aimais, tu avais toujours des sentiments pour lui, car ça ne s’oublie pas comme ça mais tu ne pouvais pas lui infliger ça une nouvelle fois. Toute cette merde qui remplissait ta vie, tu ne pouvais pas lui infliger ça à lui en réalité tu ne pouvais l’infliger à personne alors tu t’éloignais de tout le monde petit à petit. La seule personne qui tenait encore le coup c’était Timoteï et tu ne comprenais pas comment il faisait. Tu essayais donc d’éloigner Emrys de toi mais il tenait le coup sauf qu’il s’énervait et son excès de colère te fit bondir du lit. Tu allais te mettre dans un coin de la pièce en le regardant. A cet instant même il avait le même regard que ton agresseur et tu déconnectais totalement de la réalité. Tu revivais ton agression en live. Tout se brouillait dans ta tête, Emrys avait les yeux de ton agresseur et toi tu étais au sol dans cette neige, dans ce froid. « Me fait pas de mal je t’en supplie. » Des larmes coulaient sur tes joues et tu te laissais tomber au sol. « Je ne crierais pas, je ne dirais rien à personne mais me fait pas de mal. J’ai déjà mal partout. » Tu soulevais ton t-shirt pour montrer à ton agresseur enfin à Emrys que tu prenais pour ton agresseur ce qu’il t’avait déjà fait précédemment. « Regarde, les coups de pied que tu m’as foutu ! » Tu regardais tout autour de toi et tu ne voyais que des arbres. « Je veux sortir de cette putain de forêt, j’ai froid, il fait nuit, recommence pas. Me viole pas une nouvelle fois je t’en supplie. » Tu te mettais en boule dans ton coin. Tu étais devenue complètement folle. Tu revivais ton agression c’était un cauchemar éveillé mais inconscient.
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Et bien que je voulais me dominer, j'ai presque réussi à trop m'énerver, à retrouver ce coté violent dans la colère mais j'ai grandi, j'ai évolué, j'ai avancé alors je prend directement mes distances vers la fenêtre pour ne pas aller trop loin, éviter la peur, la peur que je pourrais croiser dans la lueur profonde de ces yeux. Pourtant, je l'entend sauter du lit et partir se réfugier à mon opposé, elle ne ne me regarde, se laisse tomber au sol, se recroquevillant, se fermant et on parle presque au meme instant : Je ne voulais ... Maais je suis choqué de ces paroles et je ne peux poursuivre, je ne peux pas, je suis trop mal. Je comprend rien. Je fais volte-face découvrant alors ses yeux embrumés par des larmes et je ne comprend pas ses mots. Je n'ai jamais voulu et jamais rien fait pour qu'elle imagine que je puisse lui faire du mal alors sur mon visage, on peut voir a quel point, je me sens désemparé voir bafoué mais intelligent surement, je comprend qu'un truc ne va pas et que ce n'est pas forcément exprès qu'elle imagine ça surtout qu'elle poursuit comme me prenant pour une personne que je ne suis pas, ça devient apeurant et j'ai limite la goutte qui monte tant ça m'attriste d'entendre ces mots venant de ma copine, mon ex copine, l'ex potentiel mère de mon enfant. Je me ferme peu à peu bien trop mal ! J'ai l'impression que je vais la tuer, que je l'ai agressé au vue de ces mots, pourtant je n'ai rien dit, je porte mes mains à mon crane commençant à ressentir un mal de tete incessant. Grace... dis-je dans le désespoir alors qu'elle soulève son t-shirt me faisant reculer et me cogner contre le mur tant je suis choqué et j'imagine le pire en voyant les trace sur son corps. Elle a été battu ? Je ne sais pas et tout devient si irréaliste que je ne vais pas aller lui demander. Je ne peux l'approcher, je ne sais quoi faire et je tombe peu à peu dans une peur folle en entendant qu'elle m'imagine mauvais, si mauvais. Ce n'est pas moi qui ait fait et dans la réalité de sa voix, je semble devenir fou, avoir l'impression que c'est moi ou qu'elle est désespérée, trop mal mais que surement elle veut me faire passer pour le salop par vengeance enfin je ne sais plus. A mon tour, je glisse doucement, désespéré contre ce mur blanc tout en la regardant. Je n'ai rien fait ... dis-je tel un cas psychiatrique, le répétant en boucle, surement séquelle de mon traumatisme et d'une remise en question que je faisais avant de partir, d'avoir cette merde d'accident. J'ai rien fait ! Et à mon tour, comme une merde, je chiale alors que j’apprends de sa bouche, lorsque ses lèvres bougent à nouveau, qu'elle a été violent mais dans toutes ces perturbations, j'ai l'impression presque de devenir son violeur et je me perd, je tombe, je tombe et pourtant, je sais que je perd juste la boule parce que je souffre pour elle et que je suis pommé, que je vis trop de truc depuis ces derniers mois. Je reste coincé contre son mur et je prend mes mains pour tenir ma tete, cacher mes yeux. J'aurai jamais fait ça... je t'aurai pas fait ça Grace ! C'est pas réel ! pas possible, je te promet c'est pas moi ! Je chiale comme une merde, je crois que je fais un putain d'amalgame et du coup, je suis trop en crise alors je frappe contre le mur doucement mais tout de meme, assez frénétiquement comme une pendule, constamment, partant en crise.
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Tu avais croisé le regard noir et agressif d’Emrys et là dans ta tête c’était projet X. Un voile s’était mis en face de tes yeux et tu ne voyais que ton agresseur, tu voyais ton agresseur en Emrys et tu avais peur. Tu te blottissais dans un coin et tu pleurais, tu avais peur qu’il te tombe dessus à nouveau. Tu perdais totalement la raison ainsi que les notions de temps et de lieux. Tu ressemblais à ta mère dans l’une de ses crises et c’est ce qui l’a conduit en hôpital psychiatrique. Tu déversais tout ce que tu avais sur le cœur et tu fermais les yeux en pleurant jusqu’à ce qu’un bruit te fasse réagir. Tu ouvrais tes grands yeux marrons et tu regardais droit devant toi. Tu étais dans une chambre, dans ta chambre pour ce voyage au Canada. En face de toi, il y avait un homme en pleurs on aurait dit un petit garçon qui te suppliais d’arrêter. Mais arrêter quoi ? C’était Emrys mais que voulait-il que tu arrêtes. Il répétait qu’il ne t’avait pas fait ça et là dernière chose dont tu te souvenais réellement c’était d’avoir croisé son regard aussi noir que celui de ton agresseur. Ta tête était embrouillée mais tu cogitais et vite. Tu te redressais pour te mettre sur tes jambes et tu traversais la pièce. Il semblait si faible, si vulnérable. Tu t’asseyais à côté de lui et tu prenais sa tête contre ton buste, caressant doucement ses cheveux tu le berçais comme un enfant. « Chuuuuut… » Tu déposais ton visage dans ses cheveux. « Je m’excuses Emrys, j’ai débloquée, tu n’y ai pour rien je te le jure mais c’est tellement emmêlais dans ma tête, j’ai totalement débloquée. » Tu embrassais son crâne en le berçant toujours. « Calme-toi Emrys je t’en supplie. » Tu étais douce, tu n’avais peut-être jamais été aussi douce de ta vie. Tu approchais tes lèvres de son oreille et tu lui chuchotais. « Maintenant, tu vas te calmer, rentrer dans ta chambre et te reposer. Je te suis néfaste Emrys et je l’ai toujours été. J’ai perdu ton bébé, tu as eu un accident parce que j’étais près de toi. Je ne suis pas bonne pour ta santé alors n’essaie pas de comprendre et fais ce que je te dis. » Tu relevais doucement son visage, caressant sa joue pour essuyer les quelques larmes qui coulaient encore. « Sois heureux Emrys. » Tu déposais un baiser sur sa joue, avant de te redresser et de lui tendre la main pour qu’il en fasse de même.
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