MAXILLE ❆ I'm not perfect but I keep trying

J'avais pas envie de partir, mais elle me pousse à bout. Sérieux pour elle, j'étais que ça ? Le mec qui s'est tapé pleins de filles ? Non, surtout qu'elle aussi se faisait une putain de mauvaise image de moi, c'était comme Sharon en fait. Et ça me gavait puissance dix mille. Je n'étais pas un coureur de jupons, juste un mec simple qui tentait de trouver une fille qui lui corresponde. Après, oui, j'ai sauté sur certaines occasions mais rien ne justifiait un tel jugement de la part de ma petite amie. Je m'arrêtais quand elle reprit la parole alors que j'étais sur le point de déguerpir. « Me débarrasser de toi c'est la dernière chose que je ferais au monde. Quand est ce que tu comprendras que je suis amoureuse de toi ? Je t'aime Florès. J'suis dingue de toi, j'ai besoin de toi, tout le temps. Quand t'es pas là c'est atroce et ces derniers jours étaient un calvaire. Tu m'énerve, je te jure que là, tu me gonfles. J'ai envie de te frapper parfois et même de t'insulter parce que j'ai la putain d'impression que tu me comprends pas mais je t'aime et personne ne peut t'aimer plus que moi. » Je sentais mon coeur battre à une vitesse affolante et je ne savais pas comment l'arrêter. Je ne savais pas et je flippais encore plus parce que là, tout ce que j'avais envie de lui dire c'était.. « Je t'aime aussi » Sans pour autant me retourner, parce que j'avais pas fini de dire ce que j'avais à dire. Il m'était nécessaire de trouver les bons mots, encore, pour ne pas lui faire comprendre les choses de travers. « C'est parce que je t'aime que j'suis honnête avec toi et que j'te cache pas ce qui s'est passé.. Si ça te blesse trop, j'arrêterai mais j'aime pas te mentir, j'aime juste pas. J'veux juste que tu m'acceptes comme je suis, parce que j'peux rien changer.. » Après tout, ça se saurait si le passé était modifiable non ?

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« Je t'aime aussi » Wait.. WHAT ? Il venait vraiment de dire ça. De dire ces trois mots précisement ? Genre le je suivis du t' terminé par le aime ? Respire Vanille, respire. T'avais l'impression que ton coeur allait lâcher, tout simplement. Que t'allais t'effondrer, tomber dans les pommes et tout un tas d'autre truc aussi. Non mais merde quoi. Il venait de dire qu'il t'aimais. Il venait de le dire. Genre tu croyais que ça arriverais pas avant six mois encore. Tu pensais qu'il le dirait pas avant d'être vraiment sûr de tout ça et là, c'était comme une révélation. « C'est parce que je t'aime que j'suis honnête avec toi et que j'te cache pas ce qui s'est passé.. Si ça te blesse trop, j'arrêterai mais j'aime pas te mentir, j'aime juste pas. J'veux juste que tu m'acceptes comme je suis, parce que j'peux rien changer.. » Et bordel, tu l'acceptais comme il était. C'était juste qu'il comprenait pas. Il comprenait pas ce que ça te faisais. Il pouvait pas comprendre à quel point t'avais peur. Toi, t'étais misérable, facilement remplaçable. T'étais pas le genre de fille que les garçons s'arrachaient et au final, t'étais même pas jolie. Lui, c'était tout le contraire et si tu le perdais, tu perdais tout parce qu'il était comme ton oxygène, t'avais besoin de lui. « Je.. Contrairement à ce que tu penses Max, je t'accepte comme t'es et je t'aime comme ça. J'veux pas te changer ni même que tu te mettes à me mentir pour me préserver mais.. Quand tu parles d'elle ça me rappelle juste à quel point je t'ai fais du mal et j'me sens tellement misérable pour ça que.. » T'inspirais profondément pour ne pas pleurer. Ne surtout pas pleurer. Et tu faisais quelque pas vers lui attrapant sa main sans pour autant le forcer à se tourner. Après tout, c'était son choix. « J'suis désolée que mes doutes se répercutes sur toi et désolée de me croire pas assez bien pour toi mais j'y peux rien. J'réagis excessivement, j'fais des crises pour rien et p'têtre bien que je mérite des gifles pour ce que je dis mais comprend moi.. Je t'aime et j'me lève chaque jour en m'disant que tu mérites tellement mieux. »

Je lui avais enfin dit les quelques mots qu'elle attendait tant et ça me libérait. Ouais, j'étais enfin libre parce qu'elle était au courant des sentiments que j'éprouvais à son égard. J'étais bien conscient que tout ceci était rapide, très rapide, mais j'y arrivais pas.. à contrôler. Tout était devenu hors de contrôle. Elle, moi, nous, les relations qu'on pouvait entretenir avec d'autres personnes. Rien ne pouvait nous arrêter à présent.. sauf nous. C'était ce qui me faisait peur aussi, mais je me faisais violence, tentant de garder pour moi les peurs les plus inavouables. « Je.. Contrairement à ce que tu penses Max, je t'accepte comme t'es et je t'aime comme ça. J'veux pas te changer ni même que tu te mettes à me mentir pour me préserver mais.. Quand tu parles d'elle ça me rappelle juste à quel point je t'ai fais du mal et j'me sens tellement misérable pour ça que.. » Je baissais la tête, me remémorant encore une fois les sms et mon dieu que j'avais souffert. Mais c'était révolu ça et je voulais passer à autre chose, profiter d'elle et de notre relation. Sauf que la dernière entrevue s'était mal finie et maintenant, on en était au point des réconciliations, du moins je crois. « J'suis désolée que mes doutes se répercutes sur toi et désolée de me croire pas assez bien pour toi mais j'y peux rien. J'réagis excessivement, j'fais des crises pour rien et p'têtre bien que je mérite des gifles pour ce que je dis mais comprend moi.. Je t'aime et j'me lève chaque jour en m'disant que tu mérites tellement mieux. » me confiait-elle en ayant attrapé ma main dans la sienne. Doucement, je me retournais pour lui faire face, voulant de nouveau me délecter de chaque parcelle de sa peau que je pouvais voir. Il me fallait la mémoriser, au cas où de nouvelles disputes éclatent et qu'on vienne à ne plus se parler comme on venait de le faire ces derniers jours. « Moi, Max Florès, suis amoureux de toi, Vanille Clayton. Et rien que pour ça, tu devrais cesser de douter, même si c'est compliqué.. Parce que putain, si tu savais à quel point t'es suffisante. Belle, intelligente, gentille et.. » Je venais lever ma main libre pour la poser sur sa joue, la caressant doucement « T'es tout ce que je souhaite, okay ? »

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C'était atroce non ? Atroce de vivre avec ça tout les jours. De se lever en se disant qu'on était pas assez bien et qu'il aurait vite fait de trouver quelqu'un qui lui correspondrait tellement mieux. Et tout ça, c'était pas par manque de confiance en lui mais par manque de confiance en toi. T'avais jamais cru que quelqu'un pourrais vraiment t'aimer, que tu pourrais être la fille alors forcément, quand tu tombais amoureuse d'un des plus beaux mecs du campus, tu flippais. Comme à chaque fois. Parce que t'avais une peur bleue de tout ça et que t'étais pas sûre de réussir à te débarasser de ça un jour. T'avais la trouille tout simplement. Il finissait finalement par se retourner et ton coeur loupait un battement quand tu pouvais de nouveau voir son visage. Comment pouvais tu le blesser ? Ça te déchirais le coeur rien que d'y penser. « Moi, Max Florès, suis amoureux de toi, Vanille Clayton. Et rien que pour ça, tu devrais cesser de douter, même si c'est compliqué.. Parce que putain, si tu savais à quel point t'es suffisante. Belle, intelligente, gentille et.. » Ok, il avait gagné. Tu rougissais à nouveau comme lors de vos premières rencontre baissant les yeux sous l'effet de la gêne. « T'es tout ce que je souhaite, okay ? » Sa main sur ta peau te faisait frissonner mais tu murmurais quand même un « okay » presque inaudible. Et c'était beau. Comme l'histoire d'Hazel et Gus. Un okay qui voulait tout dire. Tu passais à ton tour ta main sur son visage posant doucement tes lèvres sur les siennes. T'étais plus fâchée, bien au contraire. T'étais juste amoureuse de lui.

J'en avais marre des bagarres incessantes entre nous, sérieux. J'en avais vraiment marre et tout ce que je voulais, c'était qu'on arrête pour se concentrer sur notre couple. Après tout, ça fera bientôt un mois que nous sommes ensemble. Un mois, ça peut paraitre pas grand chose pour certains mais pour nous, c'était un cap. Après tout, il suffisait de dépasser les trois jours pour comprendre qu'on était fait pour durer. Mais ouais, un mois... putain, un mois. Finalement face à elle, je lui avouais ce que j'avais sur le coeur dans le but de la conquérir à nouveau, qu'elle arrête de me faire la gueule et qu'on puisse reprendre notre histoire là où on l'avait mise en pause. « okay » me répondait-elle doucement avant de venir chercher mes lèvres pour partager un baiser non pas langoureux mais simple. Un baiser, des plus normaux. Dans le simple but de faire passer le message voulu : elle m'aime et elle m'acceptait comme je suis. Enroulant doucement mes bras autour de son corps, je l'embrassais également, ne voulant vraiment pas qu'on arrête maintenant. D'ailleurs, me détachant simplement de ses lèvres, plongeant mon regard dans le sien, je venais l'interroger « Tu crois qu'on peut reprendre là où on s'était arrêté..? » demandais-je avec un sourire sur les lèvres, attrapant le bout de papier que j'avais dans la poche arrière de mon pantalon. « Je suis clean en tout cas » C'était juste à titre d'information, au cas où elle voulait savoir.

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Mais ça, il le savait. Il savait très bien à quel point tu pouvais l'aimer. Jamais tu te serais mis dans des états pareils si tu ressentais rien et pour le coup, c'était tellement fort ce que t'éprouvais pour lui. Tu le laissais passer ses bras autour de toi continuant à l'embrasser doucement sans ressentir l'envie de lâcher ses lèvres. La hache de guerre était enterré et t'aurais plus besoin de t'faire du mal toute seule parce qu'il n'était pas là. Non, t'allais pouvoir profiter du temps qu'il restait à Lake Louise pour être avec lui. Et tant pis si tu ne voyais personne d'autre, tu voulais juste sa présence de toute façon. T'avais l'impression de te couper du reste du monde pour le coup mais, t'étais tellement bien quand Max était là que tu ne pouvais pas imaginer passer de nouveau plusieurs jour sans avoir ta dose quotidienne de lui. « Tu crois qu'on peut reprendre là où on s'était arrêté..? » Tu souriais à ton tour amusée par son comportement. Ah ouais ? Quoi que, c'était plutôt intéressant comme idée. « Je suis clean en tout cas » « J'ai pas besoin de regarder, je te crois. » Le tirant par la main tu l'entraînais jusqu'au lit le tirant dessus avec toi. Puisqu'il voulait reprendre les choses, autant les reprendres. « Il me semble que ça, je ne l'avais plus » disais tu en enlevant ton tee shirt. « Et toi non plus d'ailleurs » Tu passais doucement tes mains sur son torse faisant remonter le tissu. Il t'avais affreusement manqué tiens. « Et j'ai pris rendez vous au mèdecin. J'ai la pilule. » Bah quoi, c'était cool non ?

Je sais pas ce qui me prenait sérieux, mais il était clair que mon attachement envers Vanille était loin d'être du même ordre que lorsque j'étais avec mes exs. Là, c'était totalement prenant, et j'étais jaloux dès que je voyais quelqu'un s'approcher de trop prêt. Elle était à moi, c'était ma copine et il était hors de question que je la partage avec qui que ce soit. Vanille était à Max et c'est tout. Du coup, je le lui faisais bien comprendre dans le baiser que nous étions en train d'échanger elle et moi avant de la couper pour lui proposer le fait que nous devrions terminer ce que nous avions commencé l'autre fois. Même si bon, là, il y avait très peu de chance que ça se termine mal. « J'ai pas besoin de regarder, je te crois. » me confiait-elle à propos du bout de papier que je tenais dans les mains. La confiance règne, c'est un bon point. Et puis elle m'attirait avec elle jusque vers le lit où elle se mit à prendre les choses en main. Héhé, elle est cool ma copine quand même. « Il me semble que ça, je ne l'avais plus » Je secouais la tête pour approuver ce qu'elle disait, me mordant légèrement la lèvre en la voyant se dénuder un peu plus. Mon dieu qu'elle était sexy. « Et toi non plus d'ailleurs » Je me mis à rire, tout en me laissant faire. Il était hors de question que je bouge, que je fasse quoique ce soit alors qu'elle prenait clairement du plaisir à le faire de ses propres mains. « Et j'ai pris rendez vous au mèdecin. J'ai la pilule. » Je me mis à sourire, me rapprochant une nouvelle fois d'elle pour m'emparer de ses lèvres, nous faisant alors tomber sur le lit de sa chambre. « Donc d'ici.. le mois prochain, ça devrait le faire, c'est ça ? » J'avais déjà eu des copines qui avaient eu la pilule ou qui l'ont débutée pendant la relation. Ouais bon une, mais bon, je connaissais le principe, c'était pas très compliqué. Et puis je commençais à défaire son bouton de pantalon, histoire qu'on se débarasse bien assez vite de nos vêtements. « Par contre, j'ai rien sur moi là.. » disais-je en me stoppant, ne voulant pas trop m'avancer dans cette séance de déshabillage si jamais fallait tout stopper maintenant.

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Bon, ça ne serait effectif que dans un mois mais, c'était pas le sujet du moment. L'essentiel c'est que tout était en ordre maintenant et que bientôt, vous n'auriez plus à vous souciez des préservatifs. Puis pour toi, le fait d'enlever de bout de plastique, ça voulait dire que votre relation prenait une nouvelle tournure. Que c'était encore plus sérieux. Et forcément, ça t'enchantais. Bref, t'avais enlevée ton tee shirt, puis le sien prenant carrément les commandes pour le coup. Et au final, ça te dérangeais pas plus que ça. Surtout quand tu voyais ce sourire sur son visage. Tant que tu lui faisais plaisir, ça t'allais parfaitement. Tu profitais à nouveau de ses lèvres alors qu'il vous faisez tomber sur le lit. « Donc d'ici.. le mois prochain, ça devrait le faire, c'est ça ? » Un sourire venait orner ton visage alors que t'approuvais par un signe de tête. Et il en profitait pour déboutonner ton pantalon alors que tu posais tes lèvres dans son cou puis sur son torse profitant de son corps. C'était cool de se dire que tout ça t'appartenais. « Par contre, j'ai rien sur moi là.. » Tu relevais la tête souriant à nouveau avant de faire glisser tes mains jusqu'à son jean pour le lui retirer à son tour. Peut être que t'allais un brin vite mais l'fait qu'il soit dénudé était plutôt plaisant, fallait l'avouer. Puis tu quittais le lit te dirigeant vers la salle de bain avant de revenir bien assez vite une boîte à la main. « Pour une fois que je suis prévoyante. » Tu faisais glisser ton jean au sol posant la boîte sur la table de chevet avant de revenir sur lui. T'étais pas une dominatrice mais si ça pouvait lui faire plaisir l'espace de quelques minutes, pourquoi pas. Tu retournais l'embrasser beaucoup plus langoureusement qu'avant avant de reprendre. « Je t'aime Florès. Et je promets de ne plus jamais te juger sur quoi que ce soit. »

On prenait quand même un tournant assez important. Bon, on allait devoir attendre quand même un mois mais quand même, on était sur le point d'abandonner la capote alors qu'on était pas encore très fiable sur la durée. On avait couché ensemble quelques fois ouais, mais pas tant que ça. Peut-être qu'il était préférable de bien faire le mois avec les capotes et aviser par la suite. Bonne nouvelle tout du moins et là, on allait pouvoir passer aux choses sérieuses. Sauf que, petit imprévu, je n'étais pas venu avec de quoi nous protéger et ça me bloquait un peu. Si la première fois nous avions rien mis, il était hors de question de le faire à nouveau et en fait, et bien c'était elle qui avait prévu le coup. Me quittant tout d'un coup pour aller dans la salle de bains, elle revenait avec une boite de préservatifs pas encore ouverte, ce qui me fit sourire, quand même un peu. « Pour une fois que je suis prévoyante. » Me mordant la lèvre inférieure, la laissant se déshabiller avant qu'elle ne revienne sur moi et je capturais ses lèvres sans aucune retenue. Putain que je l'aimais sérieux, vraiment. C'était dingue parce que je perdais totalement le contrôle en sa compagnie, en sa présence, et je flippais énormément. Mais ça m'excitait à un tel point que j'en oubliais ma peur. « Je t'aime Florès. Et je promets de ne plus jamais te juger sur quoi que ce soit. » Je me mis à sourire et, enroulant mes bras autour d'elle, je nous fis retourner d'un coup, me retrouvant à présent sur elle tout en lui souriant, heureux comme un con. « Je t'aime Vanille Clayton et je te promets de te rendre la plus heureuse possible, pour pas que tu regrettes ne serait-ce qu'une seconde d'être avec moi » Non pas que j'avais pas confiance en moi mais.. on était si différent. Des fois, je me demandais pourquoi elle n'était pas avec ce Trung. Puis rapidement la jalousie s'emparait de moi et je préférais ne pas y penser.

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Ouais. Parce que t'étais pas comme ça. Et puis t'étais qui pour le juger tout le temps de la sorte ? T'étais amoureuse de lui merde. Et tu l'aimais comme il était. Tu voulais pas le changer même si parfois il manquait de tact. Tu voulais pas le changer et t'aimais être avec lui. Tu supportais pas être en froid avec non, tu ne lui reprocherais plus rien. Du moins, t'allais essayer quoi. « Je t'aime Vanille Clayton et je te promets de te rendre la plus heureuse possible, pour pas que tu regrettes ne serait-ce qu'une seconde d'être avec moi » Mais comment pourrais tu regretter d'être avec lui ? C'était le genre de chose qui n'arriverait jamais. C'était juste impossible. Tu ne pouvais pas regretter d'être avec Max. Parce qu'il te rendait dingue, que tu n'avais jamais été aussi heureuse qu'avec lui et que bordel quoi, tu le voulais tellement que jamais, non jamais tu ne voudrais revenir sur ça. Tu voulais juste être tout le temps avec lui et ne jamais faire une croix sur sa personne. Tu posais doucement tes lèvres sur les siennes caressant sa peau du bout des doigts. « J'suis déjà heureuse et jamais je regretterais. » T'esquissais un petit sourire continuant à passer tes doigts sur sa peau sans le lâcher du regard une seule seconde. Tu comprenais pas pourquoi il t'avais choisit mais t'étais clairement la fille la plus chanceuse de tout Harvard.