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Même à l'autre bout du monde, ses sentiments ne changeaient pas. Assise près du feu de camp, ses yeux ne quittaient pas Ashton qui se tenait à une dizaine de mètres d'elle en train de boire avec Darnell et Jacey. Faisant semblant de prêter attention aux conversations qui se déroulait à côté d'elle, riant distraitement elle dégustait sa bière en regardant celui qu'elle aimait si fort. Plus elle passait du temps avec lui, plus elle se sentait proche de lui. Elle avait l'impression que leurs débuts incertains étaient loin et qu'ils avaient trouvé une sorte de sérénité assumée dans leur relation, ce n'était pas non plus l'amour tranquille mais depuis Thanksgiving ils ne s'étaient pas disputés une seule fois, sans doute que la peur de se perdre les avaient fais relativiser sur leurs problèmes quotidiens. Aujourd'hui Naomi n'avait plus envie de se prendre la tête pour des futilités et désirait réellement passer de bon moment avec l'homme qu'elle aimait, elle s'auto-congratulait d'avoir décidé de l'emmener avec les Cabot. Ce voyage était parfait, elle en garderait certainement un très bon souvenir et sa présence n'y était pas pour rien bien évidemment tout était plus agréable à vivre en sa compagnie. Le regarder quand il ne le savait pas ne faisait que renforcer ses sentiments, sa manière de parler de rire, Naomi était comme subjuguée lorsque soudainement Ashton tourna la tête vers elle et leurs regards se croisèrent provoquant une nuée de papillons dans le ventre de la jeune amérindienne, son coeur eut un raté de battement et un grand sourire se dessina sur son visage. Il lui fit alors signe du menton d'aller un peu plus loin près du petit lac qui'l y avait non loin du campement et la jeune femme en prit le chemin pendant qu'il terminait sa conversation avec ses amis. Elle était presque arrivée au bord du lac lorsque soudainement elle sentit deux mains puissantes l'attraper par la taille et la retournait, elle n'eût même pas besoin de lever la tête elle reconnut sa bouche sur la sienne immédiatement. Entourant sa nuque de ses bras, Naomi appuya ce long baiser avant de le regarder avec amour. "Je te regardais depuis au moins une demi-heure et je me disais bordel qu'est-ce que j'aime ce mec..." murmura t-elle en souriant. Le campement était assez loin à présent et ce petit coin de paradis n'était qu'à eux. Personne ne remarquerait leur petite éclipse et ce soir ils pouvaient goûter à l'infinité de ce moment privilégié à deux.
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Tout s’était enchainé si vite entre eux. Ashton avait l’impression que ça faisait une éternité qu’il était avec Naomi, une éternité qu’il était comblé de bonheur. Mais ça ne faisait qu’un peu plus d’un mois qu’ils étaient ensemble. Et c’était déjà sensiblement une belle victoire pour eux. Qui aurait cru qu’Ashton en vienne à se comporter en parfait petit-ami lui dont le seul hobby autre que le basketball était de s’envoyer en l’air avec une fille différente tous les soirs ? Naomi, elle s’était emparée de son cœur à une vitesse déconcertante. Il avait douté, mais elle avait eu gain de cause, parce qu’il n’avait qu’à poser les yeux sur elle pour que le monde s’arrête de tourner et que toutes les galères disparaissent. Il avait l’impression de vivre ce que jamais personne ne vivrait, parce que leur amour était sans limite. Il était capable de se projeter avec elle. Il n’avait que vingt ans, mais il imaginait déjà ce à quoi ressemblerait leur maison, elle mettrait au monde deux magnifiques enfants : un garçon puis une fille, et malgré la NBA, leur couple serait du solide. Il rêvait de cette vie parfaite à laquelle tous les gamins de son quartier aspiraient, mais il mentirait s’il disait qu’elle ne serait parfaite que grâce à son job. Elle serait parfaite parce que la belle et piquante amérindienne serait à ses côtés. Ce soir Ashton était en grande conversation avec Jacey et Darnell. Ca parlait basketball, ça parlait musique, mais Ashton ne pouvait s’empêcher de jeter des regards furtifs à sa dulcinée. Pas qu’ils l’ennuient avec leurs débats, mais il avait envie de se retrouver seul avec elle, comme d’habitude. Parce que si Ashton et Naomi faisaient de gros efforts pour se mélanger aux autres, Ashton préférait de loin leurs moments d’intimité, car ils n’appartenaient qu’à eux. Il suffit d’un bon moment, où la belle brune accrocha son regard, pour qu’il lui fasse signe de s’éloigner, pour être tranquilles tous les deux. Ashton s’excusa aux gars qui ne cherchèrent même pas à comprendre et se rapprocha du lac, enlaçant sa petite-amie dans le dos et collant immédiatement ses lèvres aux siennes. Il ne lui en fallait pas plus pour être heureux. Il laissait glisser ses mains lentement jusqu’à ses hanches tandis que le baiser se prolongeait toujours plus. Lorsqu’elle décolla ses lèvres des siennes, elle répétait ces mots qu’elle avait eu tant de mal à prononcer l’autre fois, et le jeune homme eut un hoquet de rire. « C’est parce que je suis trop parfait ! » Fanfaronna-t-il en ponctuant sa phrase d’un nouveau baiser. Descendant lentement ses lèvres dans le cou de la jeune femme, il les laissa glisser sur sa peau sensible au possible déposant des baisers brûlants jusqu’à son épaule, avant de lui souffler contre ses lèvres : « Je préfère quand on est que tous les deux. » Il avait envie d’elle, c’était indéniable. Il était dingue d’elle, il l’aimait à en crever, et elle le transportait une nouvelle fois dans une nouvelle dimension, où l’amour est le seul maitre mot, où ce sentiment puissant qui n’a pas d’égal, prend possession de leurs corps et les anime avec une puissance inqualifiable.
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La nuit était tombée depuis un petit moment maintenant sur Santo Antao et le paysage était magnifique. Le lac n'appartenait qu'à eux, tous les harvadiens festoyaient assez loin pour laisser un peu d'intimité aux amants qui se retrouvaient enfin seuls au clair de lune après une journée mêlée à la communauté universitaire. Naomi n'appréciait que plus ces doux moments avec le bel Irving, elle était avide de lui comme jamais, le voir évoluer parmi les autres ne faisait qu'accroître son envie de ne le garder que pour elle sans jamais le partager, leur couple avait basculé dans une fusion si intense qu'ils étaient obligé de faire attention de ne pas tomber dans l'excès. Savourant le baiser donné par son amant, elle lui fila quand même une petite tape sur le torse lorsqu'il prétendit être trop parfait. "Non tu es loin d'être parfait Ashton Irving, tellement loin !" Et elle non plus, d'ailleurs. Chacun avait ses défauts et ses qualités et aucun des deux ne pouvait prétendre à la perfection même si lorsqu'ils étaient réunis c'était le septième ciel. "Moi aussi, ça me soûlait de faire semblant de m'intéresser à ce que les autres me disaient alors qu'en réalité je ne pensais qu'au moment où on serait enfin tous les deux... Sans aucun témoin." susurra la jeune amérindienne. Elle se dégagea alors de son étreinte et se dirigea vers le lac avec un sourire plein de malice. Tournant le dos à Ashton, la jeune femme glissa les mains de son corps jusqu'à saisir son t-shirt et le retira délicatement, une sorte d'effeuillage improvisé qui avait pour but d'émoustiller le jeune homme qui se trouvait derrière elle. Cela faisait peut-être déjà un mois et demi qu'ils étaient ensemble, la passion était plus que jamais là, à chaque fois qu'ils s'adonnaient au plaisir charnel, c'était mieux que toutes les fois précédentes Naomi qui pourtant se lassait vite en général, en demandait toujours plus. Et Ashton subvenait parfaitement à ses besoins... Elle fit glisser son boxer en dentelle sur ses chevilles et le jeta d'un petit coup de pied dans le sable. "Que dirais-tu d'un bain de minuit africain ?" proposa t-elle tout sourire toujours de dos, laissant tout le le loisir à Ashton d'admirer sa cambrure de rêve. Naomi avait beau être surnommée la reine des glaces lorsqu'il s'agissait de séduction et de sensualité elle était plus chaude qu'un volcan. Pénétrant doucement dans l'eau, elle frémît à son contact et s'enfonça dans les abysses noires, parfaitement consciente de la scène alléchante qu'elle offrait à son petit-ami. "T'es bien lent pour me rejoindre..." lui lança la jeune femme en riant, il avait l'air tout confus.
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« Comment ça je suis pas parfait ?! T’as besoin de lunettes, bébé ? » Elle aurait au moins pu lui dire qu’il l’était à ses yeux, plutôt que de le frustrer et de le vexer. Si lui n’était pas parfait, personne ne l’était. Il était bien plus à l’aise avec elle seule qu’entouré de monde. Au fond, il n’aimait pas trop s’afficher devant tout le monde, il préférait la tranquillité, la discrétion, lui qui adorait pourtant en faire des caisses quand il jouait au basket ou quand il se faisait remarquer en classe, exprimer ses sentiments c’était bien différent. Les gens n’avaient pas à savoir ce qu’il se passait entre eux, ils n’avaient pas à être spectateurs de leur bonheur, il préférait réserver l’effluve de sentiments à la seule concernée, en l’occurrence Naomi. D’ailleurs, la jeune femme lui avoua qu’elle était contente de se retrouver enfin seuls, rien que tous les deux, et cette évidence nicha un sourire princier, malicieux sur les lèvres du jeune Irving qui se rapprocha encore plus de la belle amérindienne et qui l’enlaça en minaudant presque complètement amusé : « Ahhh mademoiselle Braxton-Scott avait de la suite dans les idées ? » Il lui fit un petit regard charmeur avant qu’elle ne se dégage de son étreinte et qu’elle s’amuse à essayer de provoquer une réaction particulière chez lui. Elle n’avait pas besoin de plus pour le séduire. La jeune femme se dénudait petit à petit proposant à son petit-ami un bain de minuit parfaitement improvisé, et Ashton ne parvenait pas à détacher son regard curieux de la silhouette qu’il connaissait toujours par cœur mais qui l’enchantait toujours autant, lui procurant le même effet à chaque fois. Il la suivait du regard, finissant par se mettre en tenue d’Eve et de fondre dans l’eau noire. Ashton n’en perdait pas une miette. Elle savait se faire désirer, et il n’avait plus qu’une envie, la rejoindre. Mais il préféra se hasarder à une question stupide pour se donner du temps. « Il est différent du bain de minuit habituel le bain de minuit africain ? » Elle trouverait surement quelque chose pour lui convenir, elle réussissait toujours son coup. Naomi le perturbait, et il ne voulait pas être le seul à subir ce genre de sensations, alors quand elle s’impatienta, Ashton, fier de lui, répondit en souriant avec malice : « C’est pour te faire languir ! » Rétorqua-t-il. Et puis, il leva son t-shirt, envoya valdinguer ses chaussures, ses chaussettes, son bermuda et marcha en direction de l’eau, jusqu’à ce qu’il retire la dernière barrière qu’était son boxer et plongea à l’eau, la tête première. Retrouvant Naomi, il secoua la tête et se rapprocha de la belle métisse pour amener son corps non loin du sien et capturer ses lèvres dans un baiser chaud et suggestif. Ils avaient toujours mille et une façons de se réinventer, et ce soir, ils écrivaient un nouveau chapitre.

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Il existait des couples qui s'enlisaient dans la routine, qui laissaient doucement l'amertume du quotidien grignoter lentement leur passion au point de l'étouffer. Clairement, Naomi & Ashton ne faisaient pas partis de ces gens là, ils étaient bien au dessus : leur motto était de profiter de chaque instant qui leur été donné de vivre tous les deux, et c'était ce qu'ils faisaient. Malgré leur différence d'âge, ils s'amusaient de la même manière. Il n'y avait qu'à voir toutes les opportunités qu'ils saisissaient de se créer des souvenirs : comme par exemple leur petit quickie dans les toilettes de l'avion, toutes les excuses étaient bonnes. Il existait des couples qui, une fois ensemble, voyait le rythme de leur libido considérablement diminuer Naomi, elle, avait l'impression que c'était l'inverse. Même un mois après elle était toujours parfaitement insatiable, ils se réveillaient même au beau milieu de la nuit pour s'unir à corps et encore jusqu'au petit matin. Leur relation charnelle était aussi forte que leur relation tout court, ils étaient en totale symbiose. Pourtant, Naomi en avait connu des hommes ; et à la pelle. Le dernier en date à avoir marqué son esprit n'était autre que Konrad qui avait réussis à la combler pendant des années durant mais une nuit avec Ashton avait effacé cent autres et désormais elle avait l'impression que son corps ne pourrait plus jamais appartenir à quelqu'un d'autre que lui, et c'était une sensation dangereuse, qui lui faisait peur parfois. Du haut de ses vingt-quatre ans, même si elle avait bien profité de son célibat, elle avait peur d'avoir trouvé en Ashton l'homme de sa vie. Elle qui n'avait jamais véritablement envisagé avoir d'enfant, elle se surprenait à y penser désormais : après tout pourquoi pas ? Elle l'aurait suivi à l'autre bout du monde, aurait donné sa vie pour lui alors avoir un enfant n'était-il pas la suite logique des choses dans un futur qui paraissait lointain mais qui, au final, n'était que la porte à côté ? Bientôt ils se réveilleraient à 30 et 26 ans et les choses sérieuses allaient les rattraper.

Mais pour le moment, ils étaient à des milliers de kilomètres de chez eux, et profitait de la chaleur africaine pour s'adonner aux joies du plaisir charnel. Ce scénario parfait, Naomi l'avait plus ou moins manigancé toute la soirée. Ici, loin d'Harvard, il n'y avait plus de basket, plus de médecine, plus d'obligations ni de couvre-feu : la nuit leur appartenait. Elle éclata de rire lorsque son homme lui demanda la différence entre un bain de minuit américain et un bain de minuit africain. Elle encercla son cou de ses mains, collant son corps contre lui, sentant déjà la température nettement montée. "Et bien... Il n'y a aucune différence à vrai dire. La différence c'est toi qui l'a fait bébé, parce que c'est toi... Parce que c'est moi.. Parce que c'est nous, en somme." Puis elle coupa court à toute discussion en l'embrassant à son tour et en laissant ses mains divaguer dans son dos, son souffle commençait à se saccader au fur et à mesure qu'elle sentait les mains du bel Irving explorer des parties de son corps d'une manière dont il avait le secret. Ne serait-ce que le jeu de regard auquel ils s'adonnaient constituait des préliminaires, son corps irradiait auprès celui de son amant, ils détenaient le secret de cette nuit, de leur amour et Naomi ne s'était jamais sentie aussi comblée de bonheur qu'à cet instant précis. L'éternité leur appartenait et vous pouviez être sûrs qu'ils allaient en faire bon usage coûte que coûte..
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La réponse de Naomi arracha un sourire malicieux au garçon de Detroit. C’était eux qui faisaient la différence en Afrique. Elle était toute à lui et vice versa. L’eau du lac avait beau être plus fraiche que la température de leurs deux corps qui s’embrasaient, il ne semblait pas dérangé outre mesure, trop captivé par la créature, la nymphe qui se trouvait entre ses bras. Eux. C’était un conte de fées qui avait pourtant mal commencé. Leur histoire elle s’était écrite au fil de l’eau, sans que l’un et l’autre ne soient convaincus du chemin à emprunter, et puis tout s’était assemblé avec grâce, avec passion, pour que leurs deux prénoms soient maintenant considérés comme inséparables. A l’abri des regards, ils se comprenaient, s’évadaient dans leur monde qu’ils avaient confectionné avec passion, dont la luxure était le lien non négligeable, la clé, la réponse à tous leurs maux. Une relation en parfait équilibre sur le plan charnel comme sur le plan sentimental. Elle était sienne, il était sien. Les regards qu’ils échangeaient voulaient tout dire. Elle était pendue à son coup et Ashton se laissait porter par l’eau qui l’entourait, accroché aux lèvres de la belle amérindienne, profitant de leur moment de liberté. Ce soir, les étoiles ne seraient tournées que vers une seule chose : leurs deux corps s’irradiant de plaisir dans une danse endiablée d’une union certaine qui leur procurait amour et plus encore, des sentiments dont personne ne peut avoir conscience tant qu’ils n’ont pas atteint le paroxysme que les deux jeunes gens ont atteint. C’est comme s’ils parvenaient à développer de nouveaux sens, un état brûlant les transcendant pour donner le meilleur d’eux-mêmes. Il connaissait le corps de la belle par cœur, il pouvait aisément le détailler comme le dessiner et en faire une œuvre d’art. Ses mains expertes recherchaient inlassablement les zones les plus érogènes pour transporter Naomi au septième ciel si elle n’était pas déjà allée plus haut. Le fil conducteur de leur relation c’était leurs ébats. Il était rare qu’une journée ne se passe sans qu’ils s’unissent au moins une fois, parce qu’ils ressentaient ce besoin inexplicable de se retrouver, de partager ces sensations intenses que seule l’autre moitié leur apportait. Avec fougue et une transe intense, Ashton prit possession du corps de la belle amérindienne, perdus tous les deux dans l’immensité de l’eau, il se cramponnait à elle pour que ses mouvements lui insuffle cette sensation grisante dont elle était toujours avide. La respiration du jeune homme était de plus en plus saccadée, il ne parvenait pas à s’empêcher de laisser aller des râles et des gémissements qui venaient en rythme ajouter une musicalité à leurs ébats. Il était conquis. Et puis après de longues minutes d’étreinte, il s’écarta légèrement d’elle, scellant leur nouvel ébat d’un baiser aimant. Et il reprit la parole après avoir repris son souffle. « Je t’aime. T’es pire qu’une drogue, je peux plus me passer de toi bébé. » Si bien que de nombreuses questions lui trottaient dans la tête par rapport à la fin de l’année, à ce qu’il se passerait s’il devait partir à de longs kilomètres d’elle, il n’était pas sûr de supporter la séparation, alors il fallait qu’elle le suive coute que coute. Quoi qu’il en soit, il souriait de bonheur, et il n’hésita pas à lui souffler : « Le bain de minuit africain il est juste divin ! » Là où d’autres forgeaient des souvenirs des plus banals, lui, pour sa première sortie hors du territoire américain figeait des images éternelles dont il n’oublierait jamais la teneur. Il n’aurait pas pu rêver mieux.
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Depuis qu'elle avait rencontré Ashton, Naomi se demandait souvent comment elle avait fait pour vivre sans connaître cette sensation grisante qu'elle ressentait lorsqu'il la prenait pour sienne. C'était comme si toute sa vie elle avait attendue qu'il la rencontre pour enfin lui offrir ce bonheur serein et incomparable à tout ce qu'elle avait pu vivre dans sa vie. Comme si lorsqu'il était arrivé, toute la grisaille s'était enfuie pour lui laisser découvrir qu'un monde plein de couleurs et de joie existait quelque part et qu'il avait été créé juste pour eux. Depuis la mort de sa mère, Naomi avait perdu en foi en la vie, elle ne vivait que pour ses études et l'amour était un sentiment qu'elle ne comprenait pas et ne parvenait pas à concevoir. Les jours s'écoulaient les uns après les autres, se ressemblant toujours et Naomi pensait pouvoir s'en contenter. Mais maintenant qu'elle avait goûté au paradis, c'est comme si les souvenirs de sa vie d'avant s'était complètement effacé. On aurait pu qualifier ça de malsain, cette dépendance l'un à l'autre, ce besoin de l'approbation de l'autre pour faire tout et n'importe quoi, cette nécessité de respirer l'oxygène de l'autre sans jamais penser à ce qu'il y a autour. On dit que l'amour est aveugle, mais en réalité il est seulement égoïste. Aimer, c'est refuser que l'autre puisse respirer sans nous, nier qu'un bonheur pourrait exister ailleurs. C'était l'exclusivité d'un sentiment enivrant, pire qu'une drogue en effet... Ce soir d'ailleurs, l'amour était partout. Au rythme de leurs ébats, Naomi était béate d'admiration, emplie de passion à l'égard de son homme qui comme toujours l'emmenait au septième ciel. S'accrochant à son torse, enfonçant ses ongles sans ménagement dans sa peau, la tête en arrière sa crinière blonde caressait la surface de l'autre alors qu'elle gémissait de plaisir en regardant les étoiles. Alternant sourire et soupir, baiser et caresse, la jeune femme avait l'impression d'être sur le point de mourir de plaisir et de bonheur lorsqu'ils atteignirent en même temps le nirvana. Elle ne put s'empêcher de rire lorsqu'il lui déclara qu'elle était comme une drogue parce qu'elle voyait exactement de quoi il parlait, puisqu'elle ressentait la même chose. "Et pourtant il va falloir apprendre car le jour où tu es pris dans une équipe on aura pas d'autre choix que de se contenter d'un skype ou d'un coup de fil !" Nao n'avait pas envie de penser d'ores et déjà à cette future situation mais elle ne pouvait pas non plus faire comme si ça n'allait pas arriver puisque finalement il était bien à Harvard dans cet objectif : se faire repérer et décoller.

Se détachant de son amant pour effectuer quelques brasses, elle lui décrocha son plus beau sourire lorsqu'il déclara que les bains de minuits africains étaient divins. "J'étais sûre que ça te plairait, j'en avais eu envie toute la soirée durant et quand j'ai sentis que ça devenait vraiment insupportable j'ai pas résisté bien longtemps." C'était un voyage dont elle se souviendrait sans doute toute sa vie, c'était des passions qu'il était impossible d'oublier, ou du moins Naomi se plaisait à le croire. Elle ne pouvait envisager qu'un jour Ashton soit qu'un visage aux contours flous et un prénom qu'elle aurait du mal à se remémorer ils vivaient trop de choses magiques. "Bon peut-être qu'on devrait rejoindre les autres à un moment donné ça me dérangerait qu'ils nous voient comme ça tout les deux. J'ai pas envie que les mêmes rumeurs circulent que celles sur toi et l'autre connasse." À comprendre Mickaela. Les choses ne s'étaient toujours pas arrangées entre elle et Naomi avait encore la rancune tenace à son égard, elle n'imaginait d'ailleurs pas qu'elle puisse un jour s'arranger.
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Elle avait fini par aborder le sujet. Ce sujet qu’Ashton refusait de mentionner ne serait-ce qu’une fois pour ne pas se porter malheur, oui, mais également pour une autre raison. La NBA, ce doux rêve enfantin était presque une réalité, il touchait au but, pouvait presque le toucher du bout des doigts. Et pendant toute sa vie, il n’avait pensé qu’à ça, comme si sa vie s’était résumée à sa mère et le basketball, à cette porte de sortie qui menait aussi bien à la gloire, qu’à l’argent, à la réussite sociale. Quel beau tableau pour un gamin de Detroit. Oui mais ça c’était avant. Maintenant, un autre paramètre était venu jouer les troubles fêtes : Naomi. Naomi et sa belle crinière, sa silhouette, sa plastique, sa beauté, son intelligence, son dévouement. Elle était entrée dans sa vie comme une bombe, et c’était la raison pour laquelle le sujet de la NBA était devenu un sujet sensible. Il se souvenait que lors d’une dispute il lui avait crié qu’il n’abandonnerait pas son rêve pour elle. S’il devait partir à l’autre bout du pays, il le ferait sans aucun scrupule. Sauf qu’il ne le pensait absolument pas. Ashton n’imaginait pas sa vie sans elle, et selon où il atterrissait, il trouverait bien un moyen de le suivre. Il ne voulait pas s’en séparer, et il ne voulait pas d’une histoire à distance. Ils se déchireraient plutôt que de se rapprocher, car quand le manque d’elle se ferait sentir, il pourrait en venir à commettre l’irréparable, et il n’avait pas envie de lui faire du mal. Il voulait qu’elle vienne vivre avec lui dans son futur palace, accrochée aux bras d’un basketteur de talent, médiatisée, elle ferait la une des journaux tant elle était splendide. Mais ils n’en étaient malheureusement pas là et Naomi avait lancé les hostilités. Là, l’un contre l’autre, il fallait qu’ils pensent à la séparation. Skype, un coup de fil. C’était maigre. Il prit une profonde inspiration avant de lâcher un profond soupir. « Si je suis drafté loin d’ici Naomi, je veux que tu me suives. Je pourrais pas supporter de te savoir là, et moi ailleurs à des milliers de kilomètres. En NBA on joue tous les deux jours parfois même tous les jours, c’est un rythme effréné, et si je t’ai pas avec moi en rentrant à la maison bébé, j’y arriverais pas. » Parce qu’il craindrait qu’elle le remplace. Parce qu’il s’imaginerait le pire. Mais surtout, parce qu’il ne pourrait plus l’étreindre comme il le faisait si souvent, il ne pourrait plus s’endormir à ses côtés, se réveiller plus tôt qu’elle pour la regarder dormir. Ca serait comme l’avant Naomi, sauf qu’il ne veut pas connaitre l’après. Ca n’est pas envisageable.
La belle amérindienne se détache de lui pour nager autour de lui, comme épanouie. Ils ne veulent pas penser au futur, le présent est bien trop appréciable pour faire des plans sur la comète. Ashton ne croyait pas en l’amour, mais aujourd’hui c’est ce qu’il ressent. Rien que de poser le regard sur elle insuffle un vent de joie au sein de son être. Elle est la réponse à toutes les galères, elle est sa raison d’être. Les paroles de la femme qu’il aime sont amusantes, et saisissent Ashton qui ne peut réprimer un sourire de satisfaction. Elle l’attirait autant que ce qu’il l’attirait. C’était drôle, il avait presque l’impression d’être plus actif sexuellement depuis qu’elle était rentrée dans sa vie, alors qu’on le considérait avant comme un coureur de jupons. Ashton avait bien évolué depuis ce premier novembre. Les choses avançaient à grande vitesse. Naomi suggéra de retourner voir les autres, appuyant sur un sujet visiblement encore très sensible. Les choses n’étaient pas encore réglées entre les deux femmes, mais Ashton ne s’en mêlait absolument pas. Il avait déjà subi suffisamment pour ne pas tendre l’autre joue. Aussi, il se mit à nager jusqu’à elle, haussant les épaules : « Si tu veux. » Plutôt que de lui gâcher la soirée, il préférait aller dans son sens .Cela dit, alors qu’il commençait à sortir de l’eau, il se retourna vers elle pour mettre les points sur les i : « Je m’en fous de comment ils nous voient, Naomi. Il y a une différence entre le Summer Camp et maintenant. T’es ma copine. Si j’ai envie de prendre un bain de minuit avec toi je le fais. Et qu’ils disent quelque chose, je me charge personnellement de leur cas. » Il s’empara de son boxer qu’il remit alors que sa peau était encore humide, et il prit son t-shirt pour le montrer à Naomi : « Tiens, vu qu’on a pas de serviette, tu t’essuies avec ça. » Elle ne lui reprocherait pas de se découvrir, il ne faisait pas la même température ici qu’à Cambridge.

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Le problème lorsqu'une relation se précise, lorsque l'on tombe amoureux éperdument comme c'est le cas d'Ashton et Naomi c'est que soudainement il faut tout ré-envisager afin que le couple puisse perdurer. Chacun avait un avenir prometteur, l'un comme l'autre s'étaient battu pour en arriver là et n'avait pensé qu'à leur carrière toute leur vie dans le but de passer à autre chose de se sortir de leur enfance pour enfin devenir quelqu'un. Sauf qu'aucun des deux n'avait envisagé qu'un jour ils se rencontreraient et deviendraient tout l'un pour l'autre, remettant en question leurs projets personnels et professionnels. Ce n'était ni le moment ni le lieu pour parler de ça mais inévitablement les deux amants revenaient sur les problèmes que posaient l'avenir. Naomi qui n'avait jamais eu de relation stable, pour la première fois de sa vie, devait réfléchir à ce qu'elle voulait faire vraiment et à ce qu'elle désirait pour la suite... Mais sans se voiler la face les projets d'Ashton et ceux de Naomi étaient complètement, diamétralement opposés. Tout était incompatible, la carrière d'Ashton était caractérisée par son instabilité, son changement incessant, celle de Naomi devait s'inscrire dans la durée et la stabilité si elle voulait apprivoiser une certaine clientèle et se faire un nom dans le milieu médical. Très objectivement, même si ils se persuadaient qu'ils trouveraient forcément une solution pour ne pas avoir à vivre loin de l'autre la vérité était bien là. Naomi baissa les yeux alors que Ashton lui disait qu'il n'arriverait pas à s'en sortir s'il ne la trouvait pas chez eux en rentrant le soir. "Ashton... Je pense qu'on devrait vivre au jour le jour, même si on aimerait que ça se passe autrement toi et moi on sait que ça durera pas éternellement..." Se rendant compte de l'énormité qu'elle venait de dire, elle se rattrapa rapidement. "Ce que je veux dire c'est que nos projets sont complètement incompatibles je pourrais pas te suivre partout où tu vas même si c'est ce que je veux de tout coeur, je suis venue à Harvard pour devenir cancérologue j'ai besoin d'avoir mon cabinet, une bonne réputation donc changer d'hôpital tous les six mois c'est juste mission impossible..." Elle fuyait ce regard, le coeur lourd de devoir lui remettre les idées en place et de lui faire affronter la réalité en face mais ce monde utopique dans lequel il vivait depuis deux mois ne pouvait pas durer. Elle se séchait en se frottant les bras, appréhendant la réaction d'Ashton elle prit son t-shirt et le remercia puis enfila ses vêtements à la hâte sentant que la discussion n'allait pas tarder à prendre une toute autre tournure malgré qu'elle ait envie de prolonger cette soirée parfaites après ces ébats passionnés. Elle appréhendait qu'il la regarde avec un autre oeil à présent, elle avait peur qu'il pense qu'elle ne croyait pas en leur histoire mais si il y avait bien quelque chose qui avait sauvé Naomi tout ce temps c'était justement son côté terre à terre qui l'empêchait de se bercer d'illusions et par conséquent de souffrir. Vivre au jour le jour, elle n'en avait pas envie avec Ashton elle voulait se projeter et avancer des projets mais pour le moment ils étaient tellement jeunes qu'ils étaient coincés. Ils avaient tout de même quatre ans d'écart et il y avait bien un moment où le fossé allait se creuser car Naomi allait prendre son envol plus tôt que lui. C'était le genre de pensée qu'elle n'avait pas envie d'y avoir mais qui bien malgré elle hantait son esprit, l'empêchant sans doute de profiter de l'insouciance de la jeunesse. Peut-être était-ce une discussion trop sérieuse vu la relative nouveauté de leur relation mais ils n'avaient jamais été raisonnable dans quoique ce soit les concernant.
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Ashton croyait que Naomi et lui étaient sur la même longueur d’onde. Qu’ils partageaient cette même passion, que leur lien était indestructible. Il avait mis du temps à se rendre compte qu’il était tombé raide dingue de cette femme pourtant si froide en apparence mais qui savait le rendre heureux, et le combler alors qu’il avait toujours cru que seul son ancien mode de vie de coureur de jupons lui conviendrait et serait le seul comportement en mesure de le satisfaire. Mais il s’était trompé, car la belle amérindienne avait su conquérir son cœur et l’atteindre au point de lui en être presque dépendant. Il ne faisait plus rien sans elle, il s’enchainait à elle comme s’il n’avait pas d’autre choix pour survivre. Et il croyait que c’était réciproque. A travers leur échange, leur nouvel ébat sensuel, partagé avec extase, sentant toujours plus leurs corps entrer en harmonie, il avait cru percevoir la même chose, comme lors de tous leurs ébats sexuels endiablés. Mais Naomi ne semblait pas du même avis. Ashton avait ouvert son cœur, il lui avait exprimé son désir de confectionner leur avenir ensemble, de lui demander de le suivre une fois qu’il connaitrait sa destination pour le pays du basketball. Sauf que comme une surprise, Naomi pourfendit l’air d’une réplique qu’il était loin d’attendre. Elle semblait renoncer, vouloir quitter leur petit nuage pour retrouver les pieds sur terre et lui faire comprendre que ce à quoi il aspirait n’était pas possible. Il en tomba des nues et son visage s’ouvrit d’une expression de surprise sans nom, la bouche entrouverte. Il mit quelques secondes à pouvoir émettre un son. « Quoi ?! Pourquoi tu dis ça d’un coup Naomi ?! » Il ne comprenait pas. Ashton se braqua, il ne chercha même pas à comprendre, et s’emporta en écarquillant les yeux. Il s’agissait du plus gros blasphème pour lui. « Tu crois pas en nous c’est ça ?! Tu te lasses déjà ? » Il n’était pas lucide, parce qu’avec ce qu’ils venaient de vivre là dans l’eau du lac, il était impossible qu’elle se lasse. Mais il lui semblait que la discussion sérieuse n’était pas souhaitable avec Naomi. A chaque fois qu’ils l’abordaient, ils se disputaient et ça faisait probablement trop de temps qu’ils ne s’étaient pas engueulés. Il fallait en passer par là. Surtout qu’ils avaient tous les deux des rêves et qu’il était bien difficile de ne pas les prendre en compte. Elle rêvait d’être cancérologue autant que ce qu’il souhaitait devenir basketteur professionnel. Ni l’un ni l’autre ne voulait renoncer et c’était bien normal, mais Ashton ne comprenait pas son raisonnement. « Je te demande pas de changer de cabinet tous les six mois Naomi. Une fois drafté, j’ai le choix de rester dans le club dans lequel je vais débuter ma carrière, et les équipes qui ont l’œil sur moi veulent construire quelque chose. Un projet sur le long terme. Et je pensais que nous deux c’était aussi du long terme. J’ai dû me tromper quelque part. » Il arborait cet air grave qu’il n’avait plus employé depuis des années, et c’était incroyable de voir sa maturité refaire son retour à ce moment-là. Ashton ce n’était pas le crétin qu’il laissait croire qu’il était. Certes il serait absent presque tous les soirs à la maison, certes il serait souvent en déplacement parce qu’il parcourait une des conférences des Etats-Unis avant de parcourir le pays entier plus tard dans la saison, mais ce gros business lui rapporterait gros et lui ferait toucher les étoiles. Il ne s’imaginait pas faire autre chose. Mais il ne s’imaginait pas non plus vivre au jour le jour avec Naomi. A quoi bon aimer si au final on fonctionne comme avec les autres ? Il se rhabilla, tout comme elle, son t-shirt excepté puisqu’il lui avait prêté, et avant qu’elle puisse dire quelque chose, il tenta d’étouffer le feu en mettant fin à la conversation. « Mais c’est bon ne dis plus rien, j’ai pas envie de me prendre la tête avec toi maintenant. » Il n’avait pas envie de crier, ni de dire des choses qu’il allait regretter. Il préférait nier le problème et faire ce qu’elle avait dit un peu plus tôt, c’est-à-dire à rejoindre les autres en attendant tout de même l’amérindienne.

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