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Go on let them jeans touch you while you're dancing (ft. Rayane)

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« Dommage, j'repasserais plus tard » Tu pouffes de rire, te passant exprès les mains sur le cul, pour ensuite les enfouir dans tes poches arrières. Tu es certaine qu'il a envie d'toucher, mais qu'il s'retient pour ne pas perdre la face devant toi. L'orgueil masculin, c'qu'il pouvait bien faire lors d'un jeu de séduction.. Oh, mais c'était sans t'oublier, toi aussi. S'il te proposait de voir ses abdos, bien que tu les vois toutes les fois qu'vous vous entraînez ensemble, tu refuserais, évidemment. Pour montrer ta résistance. "T'es con.", dis-tu d'un ton boudeur, sans pour autant dissimuler ce sourire amusé et malicieux s'trouvant sur ton visage d'ange. Ou de belle démone. Il prenait place sur son canapé, t'regardant, et tu lui balançais sans prévenir qu'tu ne lui ferais pas de striptease. Ha. Ha. « J'attendrais alors, tu sais ce qu'on dit plus c'est long... plus c'est bon ! » Il s'moquait, en plus, il continuait à faire le con, ce joueur. Sacré joueur, ouais. Tu étais pareille. Mais dans le sexe opposé. Toi aussi, tu pouvais dire des bêtises... "Y'a rien de si beau à r'garder là-dessus.", dis-tu, haussant les épaules, en parlant d'tes vêtements et des formes qui se cachaient en-dessous. Tu affiches un air d'ange, et pourtant ton regard de braise, ton sourire charmeur, tout ça, ça te trahit. Sur tes intentions, sur ton attirance pour c'mec, quoi. Il est beau comme un dieu, on n'peut pas le nier. Ce serait complètement idiot de ne pas s'en apercevoir. « J'ai jamais dansé avec une fille... si tu m'apprenais ? » Il s'est levé le cul de son canapé pour s'approcher de toi. De très près. Trop près, mais ça n'te déplaisait pas. Ça accentuait le jeu. Ça montrait que lui aussi, il était attiré. Enfin, c'est ce que tu en déduisait. Parfois, le désir physique, ça s'sent, c'est juste trop bien, et on en a tous besoin. « J'ai jamais dansé avec une fille... si tu m'apprenais ? » Sans dire pour le moment, tu attrapes l'une de ses mains, sans le quitter de ce regard provocateur que tu arbores, puis tu prends sa main pour la poser sur tes fesses. Tu te mords la lèvre ; vous êtes encore plus proche. Avec un peu plus de proximité, on pourrait croire que vous n'êtes qu'une personne, à s'y confondre. "Tu vois, faut commencer par la sensualité... La proximité, c'est primordial.", fais-tu, comme si tu lui donnais des leçons de danse, alors que tu sais pertinemment qu'il sait danser. Ça t'ravi, ça t'amuse. Tu mets à mouver ton corps ; pas besoin d'être dans un club à deux heures du matin pour danser coller-serrer sur une musique de party. Jamais tu ne le quittes du regard, t'es une tigresse, lui l'autre félin. Vous jouez, vous aimez ça. Tu sens son corps contre le tien, et tu l'invites ainsi à se mettre à bouger également, en bougeant ton corps d'une sensualité exquise qui aurait rendu fou n'importe quel homme..
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"T'es con." Aouch, elle a osé ! Je portai ma main sur mon coeur, prenant une moue vexé. Je la regardai, d'un air faussement indigné. « Quelle vulgarité mademoiselle ! » Oui je sais, j'suis un mec vraiment trop drôle. Je m'aime pour ça (le vantaaaaard). Bon, mademoiselle ne voulait pas me faire un joli striptease maintenant? Soit, j'suis pas un mec patient mais j'ai encore plus horreur qu'on me donne ce que je veux tout de suite. Sans le savoir, elle marquait un bon point. J'aime quand on me résiste, mais pas de trop quand même, sinon c'est plus drôle... "Y'a rien de si beau à r'garder là-dessus." Ah mais c'est qu'elle essaye de se rattraper... J'doute fortemnt que ce qu'elle cache sous ses vêtements soit pas beau à regarder. Du moins, si ca ne l'est pas, c'est que je suis pas compliqué alors. Mais j'en doute fortement. J'arquais alors un sourcil, d'un air de "on verra bien ça". Alors qu'elle m'invitait donc à danser, m'obligeant à me lever du canapé. Je ne me fis pas prier, elle me demandait, me voilà. Je m'étais retrouvé très à proximité d'elle, pour ne pas dire carrément proche d'elle. Trop, peut être ? Non c'est jamais assez. Je mentais alors, lui demandant de m'apprendre à danser alors que je savais très bien faire ça. D'un geste, elle prit ma main pour la placer sur ses fesses, ne me quittant pas du regard. Disons qu'elle n'aura pas mis longtemps à m'offrir une seconde occasion pour toucher. "Tu vois, faut commencer par la sensualité... La proximité, c'est primordial." Et là, elle entame une danse aussi sensuelle au possible. Lente, sexy, dangereuse.. très dangereuse. Cette fois elle avait passé un cap, elle commençai vraiment à réveiller l'homme qui se trouvait en moi, le prédateur. Sa danse, là, elle était pas saine du tout, elle en disait long sur ses intentions. Décidant que mon petit jeu du débile qui sait pas danser était terminé, je resserrai mon étreinte sur le fessier de Dixie, la collant complètement à moi. J'approchai mon visage aussi près que possible d'elle, soufflant un : « Et là, tu m'mets combien pour la proximité ? » Elle me donnait envie, clairement. J'aurai pu l'embrasser, là maintenant, d'ailleurs je feins de le faire, guettant sa réaction. Mais au dernier moment finalement, je me reculais, reprenant la bouteille. « J'te signale qu'on a quand même une bouteille à finir » Ahh j'aimais trop jouer pour en venir directement à la fin du jeu.
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« Quelle vulgarité mademoiselle ! » Toi, vulgaire? Oh, s’il savait. Tu avais fait bien pire que ça, au cours des dernières années. Les derniers mois, cependant? Tu étais restée bien sage. Un peu plus et tu te serais transformée en bonne femme au foyer qui attendrait son mari sagement à la maison. Nah, c’était pas toi ça. Tu ne pouvais pas être cette fille. Tu ne voulais pas l’être, non plus. Avec c’qui se passait être Rayane et toi présentement, ça te confirmait bien cette certitude. Tu te contentes d’un sourire en coin pour lui répondre. Sans le lui dire, tu as envie qu’il regarde. Qu’il touche. Enfin, qu’il te touche. Tu n’es pas une obsédée, mais les plaisirs charnels, c’est ton truc, c’est si…libérateur, si délicieux, si bien, que rien que de savoir qu’il t’regarde, qu’il te trouve belle, ça t’rend déjà bien, toi. Rares sont les fois où un homme te dit avec sincérité qu’il te trouve jolie. Disons que ça peut te suffire, d’être juste « bonne », aussi. Sentir sa main sur tes fesses te fait un bien fou, même si ça peut sembler pathétique. La proximité avec le jeune homme te donnerait des chaleurs, si tu ne te contrôlais pas. Tu n’étais pas de ces groupies qui ne cherchent qu’à impressionner leur homme, hein! Tu étais une femme, une vraie, qui savait y faire avec certains aspects, et la sensualité en faisait partie. Pourquoi s’en priver? Pourquoi en faire priver les autres? Surtout celui-là (a) Tu sens d’ailleurs la main du Mather resserrer avec vigueur tes fesses, ce qui t’arrache un sourire plus que provocateur. Il participe, il entre dans le jeu, bien qu’il s’y trouve déjà depuis longtemps. « Et là, tu m'mets combien pour la proximité ? » Tu te mords la lèvre en l’observant, plongeant ton regard dans l’sien. Ça t’amuse, tout ça. Ça t’fait un bien fou de te libérer comme ça. «9/10. C’est pas encore assez proche…» Mais le con – parce que oui il est con, même bien plus que ça, il approche son visage du tien, te donnant l’impression qu’il va t’embrasser. Tu lui aurais donné 10/10, s’il n’avait pas fait c’qu’il n’aurait pas dû faire… On n’te fait pas ça. Pas à toi. Tu maugrées intérieurement, mais tu ravales ta frustration. On aurait dit qu’on t’réveillait d’un rêve, d’un coup. Enfin, c’était pas un rêve de l’embrasser, mais… Pourquoi t’avait-il fait ça? C’frustrant! C’est comme être surpris au mauvais moment. Ça, c’est une meilleure comparaison. « J'te signale qu'on a quand même une bouteille à finir » Une bouteille à finir? Si ce n’est que ça… Tu le laisses prendre quelques gorgées, avant de la lui arracher gentiment des mains. Sans le quitter du regard, tu la portes à tes lèvres et d’un trait, tu en bois le quart. Il n’en reste plus une très grande quantité, dans la bouteille. Juste assez pour te donner un léger tournis lorsque tu renverses la tête vers l’arrière, pour avaler et pour t’laisser respirer un peu. Il ne t’reste qu’une gorgée et… «Voilà! Elle est terminée, maintenant… » Tu t’mords la lèvre, tout en restant plantée directement là où tu es, sans lâcher de ce regard félin que tu arbores le jeune homme devant toi. «Et toi? T’as des trucs à m’apprendre?»

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«9/10. C’est pas encore assez proche…» J'aimais trop me jouer des filles pour lui donner ce qu'elle voulait tant à ce moment précis. J'ai pour habitude de faire galérer les filles, j'adore ça. Celles qui veulent simplement coucher avec moi, ce qui se révèle souvent réciproque, je les fais pas attendre des masses. Pour ce qui est de celles qui m'apprécient réellement, qui me veulent pour plus que du cul, j'ai tendance à les laisser derrière moi, même si j'avoue que j'suis parfois un connard et que les faire espérer, ça m'occupe et je m'en amuse. Mais les filles comme Dixie.. que je veux autant qu'ele me veulent, si ce n'est pas encore plus, elles j'aime les faire galérer, parce que comme je lui avais dit juste avant.. "Plus c'est long.. plus c'est bon!" Et putain qu'est-ce que c'était vrai. C'était trop jouissif de voir le désir apparaître sur le visage de Dixie, ce désir qu'elle avait que je l'embrasse juste avant que je ne me recule, ça n'a pas de prix. C'est trop jouissif. J'avais pas de mal à résister, j'savais me contrôler, mais sincèrement si elle avait continuer sa petite danse sans que je ne la stoppe, j'aurais pas pu contrôler mes pulsions. Précisant qu'il fallait impérativement finir cette bouteille, j'en bus quelques bonnes gorgées, avant que la jeune femme ne m'arrache la bouteille de main pour la terminer elle même. La dernière goutte de whisky coulant au fond de sa gorge, elle me lâcha un : «Voilà! Elle est terminée, maintenant… » Elle se mordait le lèvre, elle était sexy quand elle faisait ça. «Et toi? T’as des trucs à m’apprendre?» Bon allez, finit la rigolade. J'vais te montrer qui j'suis, moi, Rayane Da Fuera. « C'que j'ai à t'apprendre...? »  Je m'approchai d'elle, d'une démarche lente et féline. « Il y a des choses que je sais très, très bien faire que j'pourrais t'apprendre... J'espère que t'es ouverte d'esprit si tu veux que je t'apprennes, parce que.. entre nous.. c'est pas très... catholique » je continuai d'avancer, l'obligeant à reculer jusqu'à ce qu'elle se retrouve coincée contre le mur. J'en profitai alors pour m'approcher d'elle. « C'est toi qui voit »  soufflais-je, la fixant dans les yeux, avec mon regard brûlant. 
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Depuis des mois, tu préfères mettre de côté ton trait de caractère romantique, puisqu’il t’es néfaste. Puisqu’il ne te sers à rien d’autre qu’à te faire souffrir. Tu ne devrais plus croire en l’amour, tu ne veux plus y croire, et c’est très bien comme ça. Mais au fond de toi, il y a toujours cette petite fille, cette femme qui cherche un peu de romantisme, un peu de douceur. Mais avant tout, la fougue passera et vaincra, puisque c’est ce qui fait de toi celle que tu es. La Dixie sauvage, sensuelle, féline, malicieuse, provocante que tu aimais tant être. Tu reprenais du poil de la bête, le temps perdu, tu le rattraperais d’ici peu. Non, ce n’était pas en couchant à gauche et à droite avec n’importe qui comme avant, mais plutôt à passer des moments agréables, des soirées que tu ne prévoyais pas nécessairement et qui s’organisaient sur un coup de tête. Comme ce soir, avec Rayane. Tu la jouais provocante avec Rayane, puisqu’il l’était lui aussi avec toi. Et tu aimais ça. C’était kiffant, ça pimentait la soirée, et ça t’donnait envie. Comment ne pas baver devant lui? Comment résister à ce dieu? À ce mec qui reste tout de même un homme, et qui a un sens de l’humour incroyable et qui t’traite comme tu veux être traitée. Pas comme une merde. « C'que j'ai à t'apprendre...? » Tu l’observes, il ne lui faut pas beaucoup de temps avant de te montrer ce qu’il te réserve. Ce qu’il compte te faire… Il s’approche de toi, et tu le laisses venir à toi, restant sur place, figée, affichant un sourire malicieux, te mordant la lèvre inférieure au passage. Rien que pour lui (tu voiiiis, elle est sexy!) « Il y a des choses que je sais très, très bien faire que j'pourrais t'apprendre... J'espère que t'es ouverte d'esprit si tu veux que je t'apprennes, parce que.. entre nous.. c'est pas très... catholique » Un rictus s’échappe d’entre tes lèvres, maintenant que tu te retrouves agréablement prise au piège entre le jeune homme et le mur derrière toi. Tu es coincée, et tu veux bien l’être, quoi. Jouer la proie comme ça, tu aimes bien. « Ça tombe bien, parce que j’ai envoyé chier Dieu y’a un moment déjà. » Depuis qu’ton frère est mort, quoi. Tu ne lui faisais plus confiance. Et avec ce que Rayane venait d’te dire, ça se glissait trop bien comme réponse, alors… « C'est toi qui voit » Alors, comme toute réponse, tu sors la langue, pour te la passer sensuellement sur les lèvres. Tu approches ton visage du sien, et ta langue s’attaque alors à caresser doucement les lèvres du jeune homme. Pulpeuses. Délicieuses. Tu sors les dents pour mordiller sa lèvre inférieure, puis l’une de tes jambes se soulève du sol pour venir entourer l’une des siennes discrètement, de sorte à le retenir, et aussi à le rapprocher de toi. «Et toi, tu vois ça comment?», demandes-tu de façon provocatrice.
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Comme je lui avais précisé, j'suis loin d'être un mec patient, vraiment pas. J'pourrais même dire que je suis très impatient, je déteste qu'on me fasse patienter, devoir attendre quand je veux quelque chose c'est un truc qui a le don de me rendre dingue. Ouais j'suis très impulsif et j'peux partir en quart de tour en deux minutes pour tout et rien. J'y peux rien c'est comme ça. Mais quand j'ai ENVIE de faire attendre quelqu'un et par conséquent dans cette situation de me faire attendre, j'suis très fort. Quand je sais que la personne en face de moi le veut autant que moi, j'me découvre très patient. Mais là.. elle me cherchait trop, beaucoup trop.. vraiment, trop. Elle trahissait ses intentions par son regard qui me transperçait et quelque chose me dit que je n'allais pas tarder à me trahir aussi sur les miennes, qui sont, je le pense, similaires aux siennes. « Ça tombe bien, parce que j’ai envoyé chier Dieu y’a un moment déjà. » C'était en aucun cas de religion ici, que j'sois croyant ou pas, j'me priverais jamais des plaisirs que le sexe peut provoquer. Et personne peut cracher dessus et je sais parfaitement que même la plus grosse sainte nitouche de Harvard peut pas le nier. Et alors c'est la vie ? On est tous jeune, vacciné en pleine santé, alors pourquoi ce privé d'un plaisir comme celui ci ? Et honnêtement ce soir, j'avais envie. Alors que pour réponse, Dixie s'amusai alors à passer doucement sa langue sur mes lèvres, un délicieux supplice je dirais, sa jambe s'enroulai doucement autour de la mienne. Cette fois, c'était sur. J'savais parfaitement c'que je voulais d'elle. J'avais envie d'elle. « Et toi, tu vois ça comment? » Comment j'le vois? Si tu savais c'que j'vois pour toi cette nuit Dixie... Je caressai alors du bout des doigts la jambe relevée de Dixie, remontant jusqu'au haut de sa cuisse, suivant mon geste du regard. « J'pense que tu sais exactement comment j'vois les choses » je relevai la tête, perçant la jeune femme du regard. Je posais mes mains contre le mur, de chaque coté de sa tête. Je me rapprochai plus qu'il n'était déjà possible de son visage, avant de me stopper pendant quelque seconde, mes lèves à seulement quelques petits millimètres des siennes. J'en avais trop envie. Tant pis je cédais, je posais mes lèvres sur les siennes, pour après y laisser passer ma langue pour chercher à jouer avec la sienne.
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Tu le comprends, d’un certain sens. Faire attendre les autres pour se laisser désirer, c’est souvent ça aussi, ton truc. Mais étrangement, ça ne te dit rien, de trop jouer avec lui. Peut-être parce que cette tentation est si forte qu’elle te pousse à agir sans attendre? Est-ce son énergie qui te fait réagir de la sorte? Peut-être bien, mais peut-être pas aussi, et tu n’en as rien à faire, puisque vous laisser tomber le jeu pour en commencer un autre. « J'pense que tu sais exactement comment j'vois les choses » Un frisson intense te parcourt du bout des orteils jusqu’à la tête en sentant ses doigts caresser ta jambe. Un jean recouvre peut-être la peau, mais ça n’en est pas moins agréable de sentir l’envie réciproque rien que par une caresse dans le genre. C’est délicieux, il sait comment s’y prendre, ce p’tit con. Mais toi aussi, tu te débrouilles. Très bien, même, et il va vite le remarquer, si ce n’est pas déjà fait. Tu sais ce qui t’attends dès qu’il entoure ta tête de ses fortes et grandes mains, les posant contre le mur derrière toi. Là, tu es vraiment, totalement prise au piège, et ça t’plaît. C’est dangereux, mais tu aimes la fougue, tu aimes jouer, tu aimes ça, et Rayane l’a compris, puisqu’il aime ça aussi. Son regard t’en dit long sur ses intentions, et dès qu’il pose complètement ses lèvres contre les tiennes, alors c’est tout ton corps qui s’électrise. Ta jambe se resserre autour de son bassin, de sa jambe, tu laisses sa langue venir à la rencontre de la sienne, et c’est dans un baiser fougueux, intense, chaud-bouillant que vous vous trouvez. Tu tiens bien l’alcool, très bien même, et pourtant, tu n’en es pas moins pompette. Ça t’aide sûrement, dans tout ça. Tu mords sa lèvre inférieure par moments, tu respires par le nez, puisque tu ne veux pas rompre cet exquis moment. Tu glisses l’une de tes mains dans son dos, pour aller vers le bas attraper, serrer ses fesses, et ainsi le rapprocher un peu plus de toi. Tu le sens, qu’il est bien foutu. C’est évident, bien que tu l’aies déjà vu torse nu. «C’est…toi qui a perdu.», souffles-tu dans un soupir victorieux, reprenant là où tu avais mis fin votre baiser pour dire cela. «J’ai envie de toi.» Clair, net et précis. Tu ne passes jamais par quatre chemins. C’était pas pour ça que tu étais venue chez lui, en premier, hein. Faut pas te croire obsédée. Mais maintenant que c’était en jeu, en cours d’exécution, pourquoi s’en priver, s’en sauver?
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Elle m'attirait. C'était vraiment un truc de dingue et à la minute où elle était arrivée chez moi, je savais que ça se terminerait ainsi. C'en avait presque été une évidence. Quand elle était arrivé, comme ça, son petit air joueur et provocateur scotché à son visage, son attitude tout... j'avais tout de suite eu ce déclic dans ma tête que ça arriverait. Et franchement, à aucun moment je dirais que ça allait pour me déplaire. J'aime ça, jouer avec les femmes, et elle aussi, elle semblait adorer jouer au même jeu que moi, alors pourquoi se priver de quelque chose dont on a tout les deux carrément envie ? J'reculerais pas devant mon envie et mes désirs, rien ne m'y obligeait et je vois pas pourquoi je m'en arrêterai là. J'étais célibataire, elle aussi ou était le mal ? De toute façon, maintenant que je l'avais embrasé c'était trop tard. Elle avait fougueusement répondu à mon baiser, laissant échapper ses mains sur mes fesses. Elle pouvait toucher, s'faire plaisir il y avait de la matière. « C’est…toi qui a perdu. » dit-elle en reprenant brièvement son souffle avant de revenir capturer mes lèvres pour un autre baiser, tout aussi passionné. Je ne lui répondis rien, sachant parfaitement qu'elle avait raison. La tentation avait était trop forte. « J’ai envie de toi. » Par contre là, j'avais gagné. Ça... ces paroles, c'était le signe qu'à partir de cet instant, je pouvais faire ce que je voulais d'elle. Et j'allais bien le faire. J'allai lui montrer, de quoi j'étais capable et à quel point j'assurai pour ça. « Pas besoin de m'le dire deux fois ça » Je me retrouvais donc encore une fois scotché à ses lèvres, qui avait encore un petit gout de whisky, pour un autre baiser qui cette fois, se voulait plus sauvage, plus démonstratif de mon désir. Je la voulais, toute entière. Cette nuit, elle était à moi et j'étais à elle. J'agrippais mes mains autour de son cou pendant ce baiser la tenant fermement. Par la force des choses, je russisai à nous faire reculer pour faire basculer Dixie sur le canapé.
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« Pas besoin de m'le dire deux fois ça » Ça, c’est le genre d’hommes qui te plaît. Tu ne peux vraiment expliquer pourquoi, ni comment, mais c’est ainsi. C’est le genre de mec qui t’attire et avec qui tu veux jouer sans avoir à simuler quoi que ce soit ou à faire semblant, ni même besoin de le manipuler. Tu n’es pas venue ici pour coucher avec lui, même si dès ton entrée dans son appartement, ce petite idée t’avais traversé l’esprit et ne t’avait pas lâchée depuis. Mais ce n’est qu’un détail. Tu ne savais plus te contenir. Ses lèvres sur les tiennes, rien que ça, suffisaient à faire grimper ton désir en flèche. Il ne te tiendra plus prisonnière bien longtemps, non. Il fera plutôt de toi sa partenaire de crime, ce qui est loin de te déplaire. Tu veux bien être criminelle dans ses bras. En un rien de temps, tu te retrouves couchée sur le canapé, avec un Rayane au-dessus de toi. Sans lâcher ses lèvres d’une semelle, tu glisses tes mains de nouveau dans son dos, de sorte à les passer sous son chandail. Avec une idée coquine derrière la tête qui ne fait que persister et s’amplifier de seconde en seconde, tu le remontes, l’incitant ainsi à t’aider pour qu’il le retire. Tu sais qu’il est à croquer, et que sa tablette de chocolats parfaite, tu n’en ferais qu’une bouchée.. Mais tu dois te contenir, tu ne dois pas simplement lui sauter dessus – même si c’est déjà fait, et t’abandonner comme ça, sans avant-goût, sans préliminaires, sans rien. Lorsqu’il retire enfin son chandail, tu n’attends pas plus longtemps pour passer ton bras, ta main derrière son cou, l’attirant ainsi à toi, plaquant tes lèvres dans le creux de son cou. Tu ne sais pas pour lui, mais toi, c’est ton point faible. "Putain, ça devrait être interdit, d'être si désirable et beau à la fois."
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Jusqu'ici deux choix s'offraient à moi : céder aux provocations de Dixie, lui céder tout simplement ou bien la faire souffrir en la faisant attendre et je savais bien de quelle torture il s'agissait ça. Mais là, le choix est déjà tout fait. Je peux même plus attendre, je la veux juste. Toute entière, je la veux, j'ai envie d'elle, maintenant, tout de suite. J'pourrais pas retenir mes envies pendant encore très longtemps. Alors j'espère bien qu'elle me ferai pas un mauvais coup à se rétracter ou à me faire attendre, parce qu'elle m'a déjà bien chauffer là. L'obligeant à basculer sur le canapé, je me retrouvai au dessus d'elle, l'embrassant avec fougue sans la lâcher. J'en étais pas moins essoufflé, même si j'avais de l'expérience. Je sentais ses mains glisser dans mon dos, sous mon t-shirt. Ses caresses.. c'est un pur plaisir. Si elle savait. J'parait pas comme ça, mais le mec costaud que je suis, en quelques caresses tu le perds. Secret de fabrication, faut pas le dire. Quelques secondes après, je me retrouve sans mon tee shirt, et je sais que la vue de mon corps plait à Dixie. J'ai un corps qui fait de l'effet aux femmes, et ça tombe bien. Parce que j'ai hâte de voir ce que ça donne chez elle. Sans attendre, elle enfouit sa tête dans mon cou, le couvrant de milles baisers, je pouvais sentir son souffle chaud sur ma peau et c'était bon. Je laissai alors mes mains parcourir les cuisses de la jeune femme, accentuant un peu plus chacune de mes caresses, pour ensuite passer une main entre ses cuisses, remontant tout, tout.. doucement. "Putain, ça devrait être interdit, d'être si désirable et beau à la fois." Je souriais à son aveu, j'aime bien entendre ça. Je m'attaquai par la suite au bouton et a la braguette de son jean, que je pris la peine de retirer délicatement. Sans quitter ses lèvres d'un baiser langoureux, je repris mes caresses sur ses cuisses, qui je le savais, ne pouvait se faire que plus intense pour elle.
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