Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(flashback) beentin ▲ le sauveur de ces demoiselles.
Le Deal du moment : -43%
-100€ Pack rééquipement Philips Hue ...
Voir le deal
129.99 €


(flashback) beentin ▲ le sauveur de ces demoiselles.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
le sauveur de ces demoiselles.
Le problème avec toi Beezus, c'est que tu n'étais pas une âme tranquille. On était milieu de Septembre, la rentrée ayant eu lieu il n'y avait longtemps, et quoi que tu fasses, tu avais du mal à te concentrer sur cette nouvelle année à cent pour cent. Tu savais qu'il fallait que tu reprennes rapidement le rythme des cours, de te coucher à des heures raisonnables – sauf si vraiment tu avais trop envie de faire la fête quelques soirs – de réviser tes cours pour ne pas te laisser noyer dès le départ sous la masse de travail qu'il fallait fournir hors cours, et à vrai dire, tu étais déjà en retard sur tout. Tu venais de finir tes cours, n'ayant que la matinée ce jour-ci, et tu marchais rapidement dans le campus en direction du bâtiment de la Dunster House. Tu étais déjà stressée, pensant au fait qu'il fallait que tu rentres le plus rapidement possible pour perdre le moins de temps, et t'avais chaud malgré le temps mais tu ne t'arrêtais pas, car tu avais l'impression que si tu te posais, si tu t'immobilisais quelques minutes, ton cerveau ne ferait que continuer de crier les mots « enceinte, enceinte, enceinte » inlassablement jusqu'à ce que tu ne puisses plus penser à autre chose. T'as pas compris quand tes yeux se sont fermés, que ton corps s'est laissé tomber de lui même, et que le noir envahissaient ton esprit, pour la première fois calme depuis longtemps.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Beezus & Valentin

Septembre. La rentrée. La fin du Summer Camp. Harvard sans Amy. J'ai sérieusement du mal. J'ai essayé de l'oublier dans les bras d'autres filles dès que j'ai su qu'elle était parti alors que nous deux c'était sur le point de redémarrer. Avoir autant de joie pour se retrouver frapper de plein fouet, ça fait mal, vraiment, surtout quand on ne s'y attend pas. Je n'arriverais jamais à l'oublier, à passer à autre chose. Je me sens si mal, je ne sais même pas comment j'arrive à suivre, sûrement que ça me permet de penser à autre chose qu'à elle. Mais quand je suis sorti de mon dernier cours de la journée, une blonde avec un petit ventre rond passa devant moi et je n'ai pas pu m'empêcher de croire que c'était elle. Oui ça pouvait être elle, elle aurait pu revenir après le SC et ne pas me prévenir. Un énorme espoir naquit dans mon coeur et je la suivis pour pouvoir la rattraper et lui parler, mais j'hésitais. Que vais-je lui dire ? Seulement avant même de pouvoir trouver une réponse à ma question, voilà qu'elle flancha méchamment et je n'ai pas hésité une seule seconde et ais couru vers elle, l'attrapant de justement avant que sa tête ne se cogne par terre, me retrouvant à genou avec elle dans mes bras. C'est à ce moment-là que je me rendais compte que ce n'était pas elle. J'avais été idiot d'y croire. Hey ... Réveille toi. Ca va aller, je suis là, je vais te raccompagner. Disais-je dans une voix incroyablement douce, tout en caressant doucement le visage de la jolie inconnue qui était à deux doigts de tomber dans l'inconscient le plus total.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
le sauveur de ces demoiselles.
Peut-être que si tu avais mieux mangé, et peut-être que si tu avais pris plus de temps pour faire des pauses afin de bien t'hydrater, tu aurais pu prévenir de ce genre de chose. Tu étais enceinte d quatre mois Beezus, ton ventre commençait légèrement à se former et faisait disparaître un peu plus chaque ours ton allure autre fois mince et élégante, et il était grand temps que tu commences à prendre soin de toi et de ce petit bébé qui commençait à grandir en toi. Tu te disais que tu essayais de ton mieux, mais tu ne le faisais que trop mal. Alors il était vrai que tu n'y connaissais rien dans ce truc de grossesse bizarre, mais il était sûr que tu ne faisais pas assez attention au bien être de ce petit alien ni au tien. Un malaise, voilà ce qui pouvait arriver quand on oubliait des choses indispensables, et qu'on y parsemait une bonne dose de stresse en tout genre dessus. C'était peut-être de la chance, ou alors seulement l'apparition divine de ton ange gardien, mais ta tête ne cogna pas brutalement contre le gravier. Des bras semblaient te tenir à présent, mais tu ne les sentais que tes brièvement, ton esprit ayant déjà dérivé tu ne savais où. « Hey... Réveille toi. Ça va aller, je suis là, je vais te raccompagner. » Tu entendais quelques secondes plus tard, d'une voix masculine inconnue qui te ramenais un peu dans la réalité des choses. Ouvrir tes yeux, il fallait que tu ouvres tes yeux. Tu restais assez immobile, sans vraiment comprendre comment tu étais passée de marcher rapidement à devoir ouvrir tes yeux sans savoir où tu étais, mais tu finissais par faire battre doucement tes paupières, ton regard se posant sur le ciel bleu avant de remarquer l'homme, sentant faiblement ses quelques doigts qui caressaient ton visage pâle. « T'es qui ? » Tu parvenais à faire franchir de ta bouche, ta voix semblant lointaine, comme si t'étais toujours ailleurs, dans un rêve quelconque. Puis tu te souvins, quelques pensée défilant dans ton esprit qui te permettait de te réveiller un peu plus. « J-je dois rentrer... faut que je révise... » Tu bafouillais un peu paniquée, essayant de te relever, toi qui était toujours sur lui.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Beezus & Valentin

La future maman dans mes bras, j'essayais de la ramener avec moi pour que je puisse la relever et la ramener chez elle saine et sauve, en espérant qu'elle ne soit pas totalement tombée dans les pommes. Sinon ça allait être rapide, je l'emmènerais à l'hôpital sans réfléchir une seconde de plus. Mais je sentais qu'elle luttait pour ouvrir les yeux, et finalement elle y arriva en me demandant qui j'étais Un simple étudiant qui t'a vu vaciller. Lui répondis-je dans un sourire tendre, espérant qu'elle le voit pour la rassurer au moins sur ce point. Mais elle sembla reprendre bien rapidement ses esprits vu qu'elle me disait qu'elle devait rentrer pour réviser. Du coup un petit rire s'échappa de ma gorge, un petit rire compatissant et surtout inquiet Réviser ? T'as bien failli te cogner violemment la tête à cause d'un malaise, je pense qu'il serait préférable que t'aille soit à l'hôpital soit te reposer un peu, tu sembles en avoir besoin. Et puis il fallait qu'elle se ménage, elle est enceinte et ça ne fait pas que depuis un mois. Si elle commence comme ça sa grossesse, je crains le pire pour la suite, quand ça deviendra encore plus dur pour elle. Tu penses pouvoir marcher ? Lui demandais-je encore plus inquiet, même si ça ne serait pas trop un soucis si elle avait du mal à marcher, je serais là pour l'aider, pas question de la laisser se débrouiller seule.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
le sauveur de ces demoiselles.
« Un simple étudiant qui t'a vu vaciller. » Vaciller ? Comment ça t'avais vacillé ? Ouais merde. C'était peut-être à cause de ça que tu t'étais retrouvée dans une position différente sur un total inconnu sans même que tu te souviennes ce qu'il s'était passé entre le moment où tu marchais et celui-là. Ça ne t'était jamais arrivé avant, et peut-être que c'était simplement ton corps qui parlait, qui tirait la sonnette d'alarme devant ce que tu commençais à trop lui faire subir. Te rappeler que si tu continuais comme ça, t'allais pas tenir tout un semestre. Et évidement, tout ce dont tu repensais, c'était ton besoin de réviser, de prendre de l'avance sur le programme, parce que tu voulais réussir, parce qu'il fallait que tu réussisses. « Réviser ? T'as bien failli te cogner violemment la tête à cause d'un malaise, je pense qu'il serait préférable que t'aille soit à l'hôpital soit te reposer un peu, tu sembles en avoir besoin. » Tu reprenais un peu tes esprits maintenant que tu comprenais mieux où tu te trouvais et pourquoi, mais ça ne changeait pas cette urgente envie qui te démangeait et te collait la pression. L'hôpital ? Il avait vraiment cru que tu avais que ça à faire ? Tu étais enceinte et tu le savais, ça ne voulait pas dire que tu étais infirme totalement non ? Ça faisait que quatre mois, ton ventre était encore raisonnable, et t'étais pratiquement certaine que les infirmiers n'auraient pas grand-chose à te dire d'intéressant. « Tu n'sais rien de mes besoins, j'ai pas l'temps d'aller à l'hôpital. » Tu répondais un peu méchamment, parce que t'étais agacée de cet étudiant qui pensait tout mieux savoir que toi juste parce que t'as eu le malheur de tomber dans les pommes devant lui. Tu détournais ton regard, toussant un peu, avant de soupirer, serrant un peu tes poings. « … J'ai besoin d'eau. » Tu avouais maladroitement, parce qu'à vrai dire, tu n'avais encore l'habitude de toujours emporter une petite bouteille dans ton sac. « Tu penses pouvoir marcher ? » Tu haussais tes épaules, essayant avec mal de te relever. T'étais encore pas très stable , alors tu restais assise contre l'arbre qui se trouvait là, levant tes yeux vers le brun. « Tu peux partir c'est bon. Dans deux minutes ça ira. » Tu finissais, croisant tes bras comme si t'étais une petite boudeuse.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Beezus & Valentin

C'est pas tous les jours qu'une jeune femme s'évanouit comme ça dans la rue ou même à l'université et vu le peu de passant ce soir là, elle avait de la chance que je sois intervenu assez rapidement. Mais apparemment les petits conseils qui se voulaient attentionnés, ne lui convenaient pas, puisqu'elle s'agaça contre moi. J'eus un petit mouvement de recul, avec un petit air surpris, sans pour autant la lâcher. Elle ne semblait pas non plus savoir ce qui était bon pour elle, mais je ne voulais pas davantage attiser le feu donc je ne répondais rien, je lâchais juste un peu l'emprise que j'avais sur elle alors qu'elle me disait qu'elle avait besoin d'eau. C'était clairement le moment d'essayer de se lever. Seulement je doutais qu'elle y arrive et je n'avais pas d'eau sur moi. Si je partais un instant pour aller lui en chercher, j'avais bien trop peur qu'elle s'aventure à rentrer toute seule et n'ait un autre accident. Et bien plus grave cette fois-ci. Je la regardais un instant, réfléchissant, alors que mademoiselle se dégageait de mon étreinte pour aller s'asseoir contre l'arbre qui se trouvait juste à côté. Elle ne semblait pas du tout en forme c'est sûr, elle était encore bien pâle. Je restais agenouillé par terre devant elle pour être à sa hauteur et lui répondais face à sa dernière petite attaque comme quoi elle n'avait pas besoin de moi Peut-être, mais je te laisse pas marcher toute seule. J'ai pas envie d'avoir ton accident sur la conscience. J'ai pas envie de courir le risque, désolé. Elle ne voulait peut-être pas accepté le fait qu'elle avait besoin d'aide et elle pouvait m'envoyer chier autant qu'elle voulait, moi aussi je peux être têtu quand je le veux.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
le sauveur de ces demoiselles.
Tu ne t'étais pas comme ça d'habitude. Tu étais plus gentille, plus sociable, toujours contente de pouvoir faire de nouvelle rencontres et amitiés, mais il fallait avouer que le moment était très mal choisi pour cela, et que tu avais l'esprit rivée complètement ailleurs. « Peut-être, mais je te laisse pas marcher toute seule. J'ai pas envie d'avoir ton accident sur la conscience. J'ai pas envie de courir le risque, désolé. » Tu soupirais, haussant un sourcil en le regardant, comme si tu lui demandais « oh vraiment ? ». Après tout, tu ne le connaissais pas cet homme, et lui ne te connaissait pas non plus. Il n'était pas censé se comporter de cette manière – ou peut-être que si, et que t'avais juste l'habitude des mecs froids et connards qui étudiaient à harvard et qui passeraient sans même s'arrêter s'ils voyaient une fille prise d'un malaise. « Oh mon prince charmant, que ferais-je sans vous ? » Tu lâchais d'une manière plutôt théâtrale, tes mains plaquées contre ton coeur et tes yeux levés vers lui, une expression sur ton visage semblable à toutes les princesses amoureuses que l'ont pouvait trouver dans les films disney qui avaient bercés ton enfance. Tu le faisais exprès bien évidement – tu ne tombais pas comme ça amoureuse de la première personne qui te sauvais d'un malaise et tu ne te comportais pas d'une telle manière princière – et finalement, ça te faisait oublier tes révisions quelques secondes, et ça t'amusait assez. Ce n'était pas comme si tu te moquais réellement de lui, mais son espèce de côté « besoin de protéger une inconnue » ça te faisait assez rire, il ne lui manquait plus que la cape et le cheval et c'était bon, le vrai prince disney. « Alors quoi, je suis séquestrée ici, condamnée à mourir de soif ? » Tu demandais, un petit sourire en coin sur tes lèvres alors que tu croisais tes bras, penchant ton visage sur le côté. C'était presque s'il n'allait pas t'attacher à l'arbre si tu tentait ne serait-ce que de te relever.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Beezus & Valentin

Pourquoi était-elle si … sur les nerfs ? J'avais l'impression qu'elle allait exploser à tout moment, même si elle commençait déjà bien comme il le fallait contre moi. Heureusement que ce n'est pas le genre de chose qui m'atteint quand une jeune femme est en difficulté, surtout une future maman. Bizarrement, je me suis même mis à rire quand elle fit sa pâle imitation de la princesse face à son prince charmant. Je n'explosais pas non plus de rire, je ne faisais qu'un large sourire, baissant la tête pour essayer de retrouver mon sérieux et mon assurance pour qu'elle m'écoute enfin. Elle me le redonna assez facilement quand elle me posa sa question étrange. J'étais surpris mais à la fois choqué. Elle croyait vraiment que j'allais la laisser seule, que j'allais la séquestrer ?! J'allais plutôt te proposer de te raccompagner jusqu'à chez toi, comme tout à l'heure. Enfin, je te le propose pas, je te l'impose. Donc, tu te sens un peu mieux ? On y va ? Avant que princesse ne meurt de soif ? Lui demandais-je, sourire bienveillant aux lèvres tout en lui tendant ma main vers elle pour l'aider à se relever et à continuer la route. C'est pas tous les jours que je fais mon bon samaritain, même si ça m'arrive assez souvent, j'aime les challenge et les femmes qui ne se laissent pas faire, tout comme cette blonde. J'attendais donc qu'elle accepte ma main pour pouvoir enfin nous mettre en route, je ne voudrais quand même pas qu'elle fasse un autre malaise, même si cette fois-ci, j'étais là pour la soutenir.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
le sauveur de ces demoiselles.
« J'allais plutôt te proposer de te raccompagner jusqu'à chez toi, comme tout à l'heure. Enfin, je te le propose pas, je te l'impose. Donc, tu te sens un peu mieux ? On y va ? Avant que princesse meurt de soif ? » Tu riais doucement en le regardant, parce que pour le coup tu étais vraiment tombée sur l'un  de ces mecs têtus qu'il était surement impossible de faire partir jusqu'à ce qu'il ai vérifié que tout était bon sur sa liste de chose à faire en cas de malaise ou de personnes déroutées. Ce n'était pas qu'il avait l'air méchant ou que tu n'aimais pas rencontrer de nouvelles personnes, loin de là, mais t'aurais préféré le rencontrer dans un cadre différent, ça c'était sûr. « Imposer ? Tu dois avoir de gros fantasmes de domination toi, non ?  » Tu lui demandais tout en haussant tes sourcils d'une manière suggestive, un petit sourire en coin sur tes lèvres. Ouais c'était tout toi ça. Après avoir été sur les nerfs et faire ta petite fille boudeuse, tu en venais à lancer des piques et des taquineries à cet inconnu en décortiquant chacun des mots qu'il choisissait de te répondre. Il fallait croire que ça t'amusait – puis tu pouvais bien l'imaginer en mode dominateur à cravache. Mais c'était peut-être pas le meilleur moment pour avoir des images de lui comme ça. « Je... Me sens un peu mieux, tu te conformais à dire pour lui faire plaisir, et j'imagine qu'on peut y aller, si tu veux rester dans ton rôle de prince charmant disney. » Tu levais tes yeux au ciel sans être méchante, et tu finissais par attraper sa main tendue afin qu'il t'aide à te relever. Tu époussetais ton jeans, puis tu levais tes yeux vers lui, haussant tes épaules. « Allons-y alors. » Tu commençais à marcher lentement, à ses côtés. « T'as vraiment rien à faire toi, hein ? » Tu demandais en souriant, un sourcil arqué.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Beezus & Valentin

J'espérais bien qu'elle arrête enfin de faire sa tête de mule et accepte enfin mon aide. Parce que oui de toute façon, je ne comptais pas abandonner de si tôt, donc autant qu'elle l'accepte le plus rapidement possible, comme ça elle serait plus rapidement débarrasser de moi. Mais je n'eus pas le besoin de lui proposer cette idée, qu'elle se décida enfin à accepter, même si elle en rajouta une couche, une couche qui ne pouvait que me faire rire tellement je ne m'attendais pas à celle là Ce ne sont plus des fantasmes s'ils finissent par se réaliser non ?! Lui répondais-je en lui envoyant un petit clin d'oeil. Parce que oui je suis du genre autoritaire, il le faut bien quand on élève sa petit soeur depuis son plus jeune âge, c'est dans mon caractère, tout comme mon besoin d'être toujours utile et héroïque. Voilà pourquoi sa petite blague sur le fait d'être un prince charmant de disney m'allait parfaitement, même si c'était dit plus sur le ton de la moquerie. Elle me rassura en me faisant part qu'elle allait mieux et qu'on pouvait y aller si je voulais continuer à faire mon prince Absolument. Lui répondais-je tout en attrapant sa main pour l'aider à se relever. Je la regardais un instant, voyant si elle n'était pas à deux doigts de tomber de nouveau, mais elle semblait aller un peu mieux en effet. On commençait donc à marcher. Puis alors que je restais proche d'elle, elle me demanda si je n'avais vraiment rien à faire, chose qui me fit de nouveau sourire Il n'y a rien de plus jouissif et glorieux que de venir en aide à une jeune demoiselle en détresse. Tu apprendras peut-être un jour que c'est ma passion. Disais-je en finissant par rire, parce que évidemment que j'aime ça, mais de là à dire que c'est une passion, c'est exagéré.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)