ALASKA HARRISON ► Kristina Bazan

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle WILD HEART. ou  Ange, aux choix et j'ai dix sept ans. Je suis neverlandienne, je vient de neverland et j'ai connu le forum grâce à des pubs, mais surtout, qui ne connaît pas I LOVE HARVARD?  Le forum est magnifique et actif alors j'ai décidé de m'inscrire Alaska Harrison (+ maison). J'utilise Kristina Bazan comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Merenwen on bazz. Je fais environ 500 à 1000 mots par RP et mon personnage est un Elio L. Ferrari.

   Mot de la fin ? ▲ Si admin passe par là, ce serais gentille de changer mon pseudo, parce que je ne peut pas le faire seule.   Alaska Harrison, si possible.  
   Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
    adhérer un flood d'intégration (?)

Ma mère a toujours voulu appeler sa gosse Alaska. C'était un de ses rêves de môme, même si ce n'était pas traditionnel, même si ce n'était pas dans les normes. Après tout, Alaska, ça rappeler pas Jesus et encore moins un ancêtre qu'elle devrait remercier en filant son vieux prénom pourris à sa fille. Pourtant maman, elle s'en fichait. Elle voulait une fille, une Alaska. Durant son mois de grossesse, elle a fini par se dire que ça ne valait pas le coup. Se mettre sa mère à dos pour une histoire de prénom, ça ne valait pas le coup. Alors elle s'est rabattue sur Suzanne, c'était le prénom de son arrière-grand-mère. Ça coller bien, tout le monde aimer ça. Et ce n'était pas aussi fou et audacieux qu'Alaska. Pourtant, à ma naissance, j'eus un problème de poumons. De l'eau, qui venait de je ne sais où remplissaient mes poumons, m'empêchant de respirait. Je ne pleurer pas, les médecins se sont demander si je respirais, c'était le cas alors pourquoi je ne chouiner pas comme les autres bambins ? On m'a mis dans le bloc, sans attendre. Ils m'ont ouvert la poitrine et ont vidé cette ridicule gouttelette d'eau qui m'empêcher de pleurer. Et j'ai pleuré, j'ai finalement hurlé. A mon retour ma mère avait décidée « Elle s'appellera Alaska. Je ne veux pas qu'elle tombe dans l'anonyme, je veux qu'elle soit quelqu'un, avec un nom qui veut dire quelque chose. Comme l'Alaska, elle sera au sommet du globe, comme l'Alaska elle sera grande et imposante. Et au diable les Bernadette, maman, ma fille s'appellera Alaska parce que c'est une battante. »





c'est dans tes yeux que je me vois le mieux.  Le cancer est en nous, c'est quelque chose qui est cacher dans notre corps et se développer pour x raison. Elle n'a pas choisi d'être là, elle n'est pas arrivée en train de la bouche de quelqu'un ou du zizi de quelqu'un, elle est encrée en nous. En somme, c'est comme une parti de nous qui décide ou ne décide pas, de se montrer. Je n'en ai jamais voulu à qui que ce soit pour cette horreur qui déguiser mon visage. Je sais que c'est de ma faute, du moins de la faute de mon corps. Il a décidé, seul, sans prendre mon avis, de faire sortir le cancer en moi et j'en paie les dégâts. J'ai une leucémie aiguë, c'est une maladie du sang, qui peut se provoquer à tout âge. La mienne à commencer fœtus quand on sait rendue compte que je ne respirer pas, au début ils ont pensaient à une cancer des poumons mais ils se sont vite aperçue que ça venait de plus loin. Mon sang ne circuler pas bien dans mes veines et à chaque prise de sang, mon sang était bleu/violet au lieu du rouge habituel. Ils ont pris les mesures nécessaires. Très tôt, j'eus besoin de tube en plastique et d'une bobonne d'air pour respirer. Les premières années, ça me gêner, surtout le soir où j'étais branché à une énorme machine qui faisait toute ma chambre. Comme un portable qu'on doit mettre en charge pour que ce soit plein le lendemain. Mais très vite, je m'y suis habituée. Ma mère en a toujours voulu au médecin, la première fois qu'ils m'ont opéré alors que je n'étais qu'un nouveau-né, le chirurgien à eu une parole déplacer, il avait dit, « c'est ça la vie madame, la mort, la vie, c'est le grand monsieur là-haut qui décide. » Si ma mère n'était pas allongée, le vagin en miette, elle l'aurait sûrement fait bouffer le sol en l'insultant de tous les noms en italien, à la place, elle a fondu en larmes, puisque c'est tout ce qu'elle pouvait faire. C'est peut-être la pire chose qui peut arriver à quelqu'un, être face à la mort, face à l'avenir, face à soit même et ne rien pouvoir faire. Attendre, bêtement que les choses se fassent, que cette salope de destin soit en autre faveur. Dans ce genre de circonstance, les gens ont deux réactions : soit ils prient, soit ils essayé de penser à autre chose en donnant leurs confiances à ceux qui peuvent changer les choses. Et c'est très rare que les gens prennent la deuxième option, personne n'a confiance en quelqu'un quand il s'agit de la vie ou de la mort. À ce moment-là, on devient les gens les plus égoïstes du monde. Alors maman, elle prit, elle prit parce qu'elle ne peut rien faire d'autre. On est très religieux, c'est peut-être la seule chose qu'on est hérité de notre patrimonial italien, on prit beaucoup et on pense très fort que la solution qui arrangera les choses. Chez nous, dans ce manoir qui nous sert de maison, on avait une petite table à la gloire de Jésus, tous les soirs ma mère allumer une bougie avant de s'agenouiller devant pour prier le ciel et le grand barbu tout là-haut de veiller sur nous. Je pense qu'elle prier surtout pour se dire qu'il me rester à vivre et pour supplier le destin où je ne sais qu'elle force mystique de ne pas m'enlever pendant la nuit.

Le temps à arranger les choses, bien sur mon sang ne peut pas se mettre à circuler comme ça, sans raison et devenir rouge vif. Ça a pris du temps et un traitement très serrez avant que je puisse retirer les tiges en plastique, et ne les utilise en cas d'alerte rouge. C'était marrant, parce qu'on nous apprend que le rouge, c'est toujours le mal, ça vient des religions, le rouge est significatif de mal, du démon et l'école la reprirent, quand tu as une mauvaise note, tu as un énorme zéro en rouge vif. Alors que moi, j'aurais donné tout ce que j'ai pour que mon sang devienne rouge. Une fois ma santé dite « stabilisée » pour utiliser le terme avec lequel médecin me rabatte les oreilles chaque jour depuis un long moment. Ma mère m'a fait découvrir quelque chose d'une toute autre manière : la mode. J'avais pris beaucoup de poids entre le moment où j'ai commencé à manger mes médicaments et la fin du traitement. La mode était facultative pour moi, j'achetais des pulls parce que je les ai trouvées à ma taille et que je me sentais bien dedans, je ne faisais pas gaffe à la couleur, ni aux textures, j'aimais bien tout mettre à la fois et me dire que c'était cool. Depuis que je n'avais plus à prendre qu'une pauvre pilule par jours et des dolipranes lorsque ma tête me faisait mal, j'avais retrouvé un corps svelte avec des courbes généreuse. Évidemment, je n'étais pas gaulée comme Jennifer Lopez, mais j'avais un corps digne d'une mannequin de prête à porter. On pouvait tout le mettre, que ce soit des jeans, des shorts, des jupes courtes ou longues, tout m'allait. Un jour j’eus un déclic, j'étais tombé sur une chaîne ou des défilés passer en boucle, et c'est là que j'ai vu la collection printemps/été d'Isabelle Marrant. Bien sûr, elle n'était que novice en ce temps-là, mais sa collection était si belle que je ressentais au plus profond de moi, que ce petit pull en cachemire m'appeler. J'en ai acheté une, puis un autre, puis toute la collection. Puis ma passion s'est agrandie, j'ai regardé d'autre défiler, je suis tombée amoureuse d'une autre collection, d'autres stylistes, je voulais faire partit de se monde. Je me suis rendu compte que ma passion était devenue trop grande, lorsque je me suis senti fade dans mon uniforme de collège que je portait pourtant depuis quatre ans sans jamais chouiner. Très vite, je me suis mise à refaire ma garde-robe, créer mon propre atelier et collectionner les catalogues de mode. Je n'ai pas eu à demander deux fois à mère lorsque je lui ai annoncé que j'avais une folle envie d'aller à un défilé. Le soir même, on était au premier rang pour l'ouverture de la collection automne/hiver de Jean-Paul Gauthier.

Je ne suis pas allé à la maternelle, mon éducation sociale et scolaire à commencer en CP, lorsque ma mère s'est décidée à me mettre dans l'école privée la plus réputée pour fille, de la région dans laquelle nous habitions. Ma maternelle avait était faite à la maison, mais ma mère ne voulait pas que je soit en retard, elle avait pris un professeur particulier pour que je soit au même niveau que les gens que je fréquenterais en primaire. Avant mon entrée en CP, je savais déjà lire de gros caractères et différencier les couleurs. Ce fut donc avec une certaine facilité que je commençait mon éducation scolaire. Les choses m'ont toujours semblé facile, tout le monde à la capacité de faire les choses bien. Je parle des mathématiques et des langues étrangères. Lorsque tu as la base, il en suffit que d'appliquer une formule, et ainsi de suite. Je n'ai jamais compris les gens qui s'énerver sur un théorème ou sur un texte difficile à traduire, je ne dis pas que je suis génie. Loin de là, moi aussi, il m'arrive de me butter et me rendre compte que mon erreur étai débile. Je ne comprends juste pas, pourquoi abandonner alors qu'on a la réponse en nous. Quelque part. Les professeurs et l'éducation nationale faits exprès de nous donner des choses difficiles, c'est prouver scientifiquement que se planter à plusieurs reprises est une manière de retenir les choses. Donc si tu te planter, c'est que t'y est presque. Ma mère était très fière de mes résultats, en quatrième, j'étais les majors des majors. C'est-à-dire la meilleure de ma classe et de mon établissement, j'ai eu un petit trophée, rien de grandiose et des félicitations. C'était cool de voir qu'on m'aimait, même si mon toucher était glacial.

Ma mère s'est assise près de moi, elle a passé ses doigts le long de mon visage et elle m'a promis que tout aller bien se passer. Je voulais la croire, vraiment. Je voulais avoir la même foie et le même espoir qui briller dans ses yeux, mais c'était trop me demander. Comment peut-elle savoir que ça aller bien se passer ? Comment peut-elle savoir que ça aller bien se passer ? Elle ne sait pas, elle ne sait rien, elle me promet des choses dont elle n'est pas sûre, et ça me vexe, ça m'énerve parce que je voudrais savoir. C'est mon histoire après tout, je voudrais connaître la suite, savoir si le personnage s'en sors, s'il lui arrive quelque chose d'affreux, pourquoi est-ce qu'on a pas le droit d'accéder au page suivante ? Pourquoi toujours rester bloquer dans un chapitre qui ne finit jamais ? Le seul qui sait, c'est lui : le grand barbu. L'écrivain de toute les histoires, le créateur de se livre géant. le grand barbu. En somme, c'était un gros producteur de téléréalité et un grand scénariste, mon préféré. Et je voulais le rencontrer, je voulais savoir ce qu'i la programmer pour moi, ce qu'il voulait que je devienne. Je vais m'endormir et dans quelques heures, ma poitrine me brûlera comme si quelqu'un m'avait enduit d'essence et brûler vivante, si tout vas bien : J'étais allongé, et dans quelques minutes, l'anesthésie va faire son effet. Je vais m'endormir et dans quelques heures, ma poitrine me brûleras comme si quelqu'un m'avait enduit d'essence et brûler vivante, si tout vas bien : je serai guerrie pour quelques années encore, si rien ne vas, je vais devoir manger de la soupe de potiron pendant quelques mois et repasser par cette étape de ma vie et espéré, encore et encore. Peut-être que partir était la meilleure solution ? Peut-être que tout laisser en plan et écrire la suite au côté du grand écrivain était la meilleure des choses à faire ? Peut-être que je peux arrêter de m'accrocher à un semblant de vie ? Peut-être qu'il serait temps de laisser toute cette souffrance et toute cette douleur pour quelque chose de nouveau ? Peut-être.

J'ai appris quelque chose de cette vie : la souffrance doit être ressentie pour laisser place au bonheur, les enterrements sont faits pour les vivants et non plus les morts et être forte est la meilleure solution, lorsque tout va mal. Ma mère m'a toujours fait comprendre que j'étais son miracle, et elle pensait dur comme fer qu'un miracle arrangé tout. Et puis, c'est arriver. Je le pensais pas, mais c'est arriver, l'opération à marcher. J'avais certes es poumons déformer, je ne toucherais jamais à une cigarette de ma vie, encore moins un joint, mais ils fonctionnaient, seuls, sans l'aide de machine ou de bonbonne. Mes médicaments avaient diminué, je ne rassemblais plus à un hamster gonfler par les antibiotique, et je n'avait plus à faire de prise de sang toutes les semaines, c'était finit, c'était guerrie. Je suis retourné en cours, dans la peau d'une fille normale, et j'ai appris à m'aimer, et c'est à ce moment-là que les autres m'ont aimer aussi. La citation : if you want to change the world, start with your self, avait tout un sens. Je me sentais bien, j'étais bien dans ma peau, alors le monde le sentait et voulait en savoir plus sur moi, sur ma vie, sur ce que je pensais de la politique et de la nouvelle coupe de cheveux de Katy Perry. Je suis devenue une des filles les plus populaires de mon lycée, c'était étonnant venant de la fille qui est allée seule au bal des troisièmes il y a deux ans de cela. J'étais déjà passionner de mode, alors tout le monde voulait mon avis : est-ce que t'aime mon nouveau pull ? Est-ce que tu penses que la coupe carrée plongeant me vas bien? Est-ce que tu trouves que les pantalons carotte c'est in ou out ? Des questions diverses qui m'ont pousser à suivre la monde actuelle : crée un VLOG. C'était un moyen pour moi de parler au monde entier et de montrer à tous ceux qui on jadis critiquer et insulter l'Alaska robot, que merde : je suis devenue plus jolie et plus populaires que toi. Aider les meufs en leggins léopard et jogging qu'on peut trouver une variante pour que ce soit jolie et dans surtout : pour m'épanouir. J'ai toujours eu beaucoup de choses à dire, une vraie pipelette, mais ma mère était la seule à m'écouter et la seule à faire attention à moi. A présent, plusieurs milliers de personne dans le monde faisait attention à moi, et c'était un plaisir de leur donner mon avis et mes astuces pour améliorer leurs vies, comme ils ont améliorer la mienne.

Malgré tout, je me sentais horriblement seule, je ne savais pas d'où ça venait. J'avais une bande de copines, des millions d'abonner, mais il me manquait quelque chose : une meilleure amie ou mieux encore une sœur. Et ce fut un choc, d'apprendre qu'elle existait. Plus grande, sûrement plus belle, et qui pouvait être la soeur dont j'ai toujours rêvais. Une autre Harrison, quelque part dans ce vaste monde. Je me suis toujours senti à part, abandonner ou laisser de côté en quelque sorte. J'avais beau avoir des milliers de gens qui m'entourer, personne ne me touchais vraiment, tout le monde m'effleure, un bout de ma vie, une seconde peut être une minute et disparaît aussitôt. Ma seule vrais amie était ma mère, et c'était bizarre de se confier à elle quand les choses devenaient compliquer avec un garçon, ou encore une fille. Il y avait des choses que je ne voulais pas forcement partager avec elle, et avec personne d'autre d'ailleurs, alors que j'avais besoin de conseil, d'aide et surtout : de quelqu'un soit une épaule et une oreille. Alors j'ai découvert ce qu'il ne fallait pas découvrir, lorsqu'on a une famille riche et puissante : la vérité. La vérité, c'est que maman a toujours voulu être maman, mais quand c'est arriver, c'est arriver au mauvais moment, dans de mauvaise condition. Elle était malade, en face terminale, elle pensait ne pas passer les trois prochaines semaines, mais ce bébé à fait en sorte qu'elle se sent mieux, qu'elle est foie en quelque chose, elle s'est dit qu'elle donnerait la vie avant de donner là sienne à Dieu, mais miracle, elle s'en est sorti. Mais elle avait déjà envisagé le pire, alors elle avait demandé à sa meilleure de prendre soin du bébé. Elle aurait pu choisir de demander à papa de s'en occuper, mais Dieu, tu sais très bien que papa n'est même pas capable de s'occuper de lui-même ? Donc, elle l'a donné à cette jolie brune qui était sa meilleure amie, sa sœur de cœur et sa moitié pendant toutes ses années, et elle a juré sur sa tombe d'en prendre soin comme si c'était sa propre fille. Et elle le fit, enfin, on suppose. Quand maman fût de nouveau sur pied, elle a demandé à la voir, mais rien à faire. La gentille meilleure amie était devenue une vielle femme aigrie et sans cœur, et elle ne voulait pas qu'on s'approche de sa petite princesse. Ma mère a donc observé cette enfant, ce bout d'elle partit pour toujours, du haut de sa grande tour. Et ça l'a maintenue en vie, ça lui a donné ce truc qui réchauffe quand rien ne vas plus : l'espoir. Et, c'est l'espoir qui me porte aujourd'hui. Car si tout va bien, je retrouverai cette fille coûte que coûte.

Et puis c'était le grand départ, bien sûr, mon ancienne école à fait un jour de deuil lors de la remise de diplôme. Nous allions tous devenir des papillons, et prendre notre envol. Mes parents ont insister pour m'accompagner à déménager. Ce ne fût un choc pour personne de savoir que la fabuleuse Alaska Harrison allé intégrer Harvard, des jaloux disait même que mon père avait payé le Doyen pour ma candidature, mais ce qu'ils ne savaient, c'est que j'avais préparé mon entrée depuis la sixième, depuis ma petite chambre seule ou personne ne faisait attention à moi, mon plan était d'intégrer une grande université ou personne ne me connaît pour pouvoir être une nouvelle moi. Et c'est ce que j'allais faire, en dépit des parents qui était dévasté de mon choix. Que faire ? La retenir ? Mais chérie, on y arrivera jamais ! J'étais une Alaska libre, à la recherche de nouvelle sensation, un nouveau chapitre ne veut pas dire qu'on oublier l'ancien. C'est juste un renouveau de la personne qu'on était pour être une personne qu'on a toujours voulu être.