LIYAD † time to explain.

Je venais de parler par sms avec Aaliyah, il fallait vraiment qu'on mettent les choses au clair même si je sais que de son point de vue, rien ne changera, je serai toujours un connard, l'homme qu'elle aimait et qui l'a abandonné la laissant enceinte. J'enfilais ma veste et je quittais l'appart sans oublier de prendre mon portable, mes clopes et mon portefeuille puis je montais dans ma caisse pour quitter Central Square et me rendre sur Harvard où je devais retrouver Aalyah chez les Cabots. Garé sur le parking du campus, je fumais une clope sur le trajet jusqu'à la résidence rose puis une fois à l'intérieur, je tombais nez à nez avec elle descendant les escaliers, un gros silence était de mise mais je décidais d'y couper court Salut. c'était dit simplement, sur un ton neutre mais dès qu'elle me répondra, je ressentirai toute cette colère qu'elle a contre moi en pleine gueule mais j'encaisse depuis un bout de temps, je veux juste lui parler, dire ce que j'ai à dire, attendre une réponse de sa part, qu'on s'expliquent puis je me casse.

J'arrive pas à croire qu'il m'aurait fallut 7 mois et même un peu plus pour le revoir. Il était venue avec sa nouvelle copine, celle pour qui j'étais prête à me battre en boîte de nuit. Il était venu un grand sourire aux lèvres, comme un petit innocent qu'il n'était absolument pas. Il s'était affiché devant moi, ici, chez les Cabot, comme si de rien n'était. Revoir son visage avait causé une série d'images, d'abord joyeuses, parce que j'étais vraiment heureuse avec lui, puis chaotiques, jusqu'à ma tentative de suicide. Il m'avait causé tant de peine. J'étais restée sans nouvelle de lui jusqu'à hier, pendant Thanksgiving. Pour moi c'était anormal. Et recevoir un message de sa part le lendemain, ça l'était encore plus. Mais il voulait qu'on se voit, qu'on parle, pas de soucis. J'allai écouter. Je n'avais que ça à faire en attendant l'heure de mon prochain cours. J'avais hâte d'entendre toutes les absurdités qu'il allait me sortir juste pour apaiser sa conscience. Je savais parfaitement qu'une fois tout ce qu'il avait en tête aurait été dit, il allait s'en aller comme si tout était réglé. Auparavant, c'était comme ça. Il s'excusait et je pardonnais absolument tout, mais plus maintenant. J'étais trop gentille et naïve avec lui et ça ne m'a rien apporté de bon. Je descendais les marches menant à la salle commune mais je n'eus pas le temps d'aller plus loin, il était là. On s'était croisé à mi-chemin. Je n'avais rien à lui dire personnellement. Il était là pour parler, alors qu'il parle. C'est ça salut ! Parle ! Je ne sais pas si c'est la colère que j'avais envers lui depuis tant de mois ou les séries d'images qui défilaient dans ma tête depuis qu'il se trouvait devant moi qui me donnait envie de pleurer. Mais justement, pour ne pas laisser mes émotions prendre le dessus, j'arrêta de le regarder, descendant encore les escaliers. On allait pas parler sur les marches, un accident est si vite arrivé.

J'étais arrivé chez les Cabots pour parler avec Aaliyah que j'ai revu dans la salle commune pas plus tard qu'hier où elle m'a foutue une gifle assez mémorable pour tous ces mois où j'ai fais comme si elle n'existait pas. 0 peine monter quelques marches que je la vois en descendre, elle me voit, me regarde, et je vois cette colère qu'elle a, je la ressens lorsqu'elle me répond, une froideur certaine. Elle continuait de descendre les marches sans me regarder, m'ignorer presque, elle s'arrêtait au final tout prêt de la porte d'entrée de la résidence, histoire de m’éjecter plus vite dès que j'ai finis de parler, je me tiens comme elle le voulait à une distance raisonnable et me voilà lancé J'ai fais une grosse connerie en te lâchant comme une merde, en t'abandonnant alors que t'attendais un bébé. J'étais un réel connard il y a sept mois et je te jure que j'ai changé même si tu ne veux pas y croire, mais faut que tu me crois je serai rester le même jamais je n'aurais prit la peine de faire ce que je fais là, te parler pour m'expliquer. J'ai des regrets, des remords, ce que je t'ai fais vivre, c'est... enfin aucun mec n'a le droit de traiter une fille comme ça. Je t'ai lâché pour Grace et c'est elle qui m'a fait ouvrir les yeux, qui m'a fait comprendre que je pouvais avoir un bon fond et me préoccuper des autres même si c'est dur à croire mais voilà Aaliyah, la gifle d'hier, c'était mérité, ta colère vis-à-vis de moi, compréhensible, je voulais juste te dire que je me sens coupable, que le mal est déjà fait et dire d'être désolé ce n'est qu'une phrase, je m'en veux et au jour d'aujourd'hui, je m'en veux surtout d'avoir été comme j'ai été avec toi, de t'avoir infliger tout ça, tu ne méritais pas tout ça. je crois que j'avais tout dit Prend soin de toi. dis-je avant de me diriger vers la porte et de poser ma main sur la poignée mais Aaliyah m’interpellait, elle avait son mot à dire.

J'étais bouche bée, consternée par ce qu'il me disait. J'arrivais pas à croire que tout ça sortait de sa bouche. J'avais déjà du mal à croire qu'il se trouvait là, devant moi. J'écoutais jusqu'à la fin et là, à la fin de sa phrase, il se contentait d'un simple, "Prends soin de toi !" Non mais c'est vraiment mal me connaître s'il pensait que j'allai en rester là. Il avait sa main sur la poignée de la porte d'entrée. Je m'approcha de lui, le poussant au niveau de l'épaule. J'en ai pas fini avec toi Konrad ! J'attendais qu'il se retourne vers moi pour que je puisse bien lire dans ses yeux tout ce qu'il ressentait face à mes mots. Donc tu crois que c'est comme ça que ça marche ? Tu t'expliques puis tu pars et moi j'peux rien dire ? J'aimais pas ça. Apparemment, en 7 ou 8 mois, il avait totalement oublié qui j'étais. Je n'étais plus rien à ses yeux. J'aimerai savoir où t'étais passé quand j'ai fait cette fausse couche, quand j'ai sombré dans la dépression, quand ma mère m'a fait hospitalisée à Londres parce qu'elle pensait que je devenais cinglée, quand je suis revenue à Cambridge et quand j'ai fait cette putain de tentative de suicide ? Je trouve pas ça normal que t'ai disparu pendant autant de temps et que tu reviennes à une soirée organisée par ma maison aux bras de ta meuf comme si tout était normal. Comme si tu savais pas que j'y serai alors que ça fait 5 ans que je suis Cabot. Putain Konrad je suis devenue folle à cause de toi ! Et voilà que la folie revenait. L'hystérie et la colère prenaient possession de tout mon être et j'étais prête à me jeter sur lui. Il avait pas intérêt de fuir une seconde fois parce que là... il me le paierait très cher sinon.

Je venais de finir mon monologue, clairement j'avais dis ce que j'avais à dire et amintenant je voulais partir parce que je ne voulais pas m'éterniser ici avec elle mais j'étais obligé, à peine ma main sur la poignée qu'elle me tape sur l'épaule pour que je me retourne, et là c'est à elle de me dire tout ce qu'elle a sur le cœur. Ce sont plutôt des questions, pourquoi je suis parti, pourquoi je l'ai abandonné et j'en passe, je regarde le sol deux secondes en soupirant puis mes yeux se plantent dans les siens J'ai joué mon lâche dès que tu m'as dis que tu étais enceinte, pour moi j'étais pas prêt pas avec la vie que j'avais malgré notre amour à l'époque. Je me suis éloigné le plus possible de toi parce que je ne voulais pas me voir père, et j'ignorais ta dépression, ta tentative de suicide, je me suis barré quatre mois à Londres, m’éloigner de tout. Je savais très bien que tu serais là, je savais que ça allait te faire souffrir de me voir, je le savais. Aaliyah, t'es pas la seule à avoir eu des problèmes et je suis vraiment désolé qu'à cause de moi tu passe pour une folle, prêt de toi ou loin de toi je te fais souffrir, j'dois faire quoi ? M'éloigner encore loin de toi et sentir toujours cette colère pesée sur moi ? Je sais plus quoi faire. je ne l'avais pas quitter des yeux un seul instant et c'est vrai je ne savais pas quoi faire, elle me déstabilisait, j'étais amoureux d'elle, comme un fou mais mon égoïsme a tout foutu en l'air entre nous.

C'était la première fois que je le voyais aussi sincère et aussi calme. Habituellement, nos disputes ne ressemblent pas à ça, ils gueulent, je gueule et on finit dans les bras l'un de l'autre mais le problème est toujours là et il nous bouffe parce qu'on en parle pas jusqu'à ce que ça éclate de nouveau. T'as eu des problèmes, mais contrairement à toi, j'aurai été là pour toi, pour te soutenir ! Il était vraiment tout pour moi et malgré le regard des autres, je restais à ses côtés, malgré les "on dit", les chuchotements, les rumeurs, j'étais là pour lui. J'ai toujours été là pour lui. Si je ne l'ai pas été quand il a eu ses problèmes, c'est de sa faute, car c'est lui qui est partie. Je m'approcha de lui, posant ma main sur sa joue, mais j'y allai lentement, pour qu'il ne pense pas que j'allai de nouveau lui en coller une. J'veux pas m'éloigner de toi. Je t'ai vraiment aimé, actuellement, je pourrai pas dire ce qu'il en est, ça servirait à rien ! Mais je t'ai toujours aimé. J'étais trop proche de lui, mon coeur battait à une vitesse. J'étais à la limite de l'arrêt cardiaque là. J'aurai jamais cru que ça finirait comme ça toi et moi, vraiment pas ! J'en avais mal au coeur.

J'étais plus que surpris quand le ton de sa voix s'adoucissait, avant, quand on devaient se disputer, c'était des engueulades fortes et violentes verbalement puis il y avait cette réconciliation, on revenaient l'un vers l'autre mais maintenant rien de tout ça, bien qu'elle est été froide, je la sens plus calme même si elle reste assez troublée et perdu. Je sais très bien, c'est ça le pire mais tu me connais Aaliyah, comme personne et tu sais que je ne suis pas ce genre de type qui s'entoure de ses proches quand ça va pas, j'ai réglé mes problèmes en m'éloignant, je t'ai fais souffrir par ce chemin, toi comme Grace mais voilà j'assume et j'suis désolé. dans son regard, quelque chose avait changé, de la nostalgie de notre relation passée ? J'en savais rien mais la voyant s'approcher je doutais, puis sa main venait sur ma joue lentement, sentir ses doigts glisser sur ma peau, bordel, quelle frustration, tous les souvenirs reviennent de ce "nous" que nous étions, elle ne veut pas s'éloigner de moi, elle m'a toujours aimé et même si maintenant chacun à fait son bout de chemin, qu'elle m'est aimé ne changera pas et je suis touché, je la regarde Je t'ai aimé comme jamais aussi Aaliyah et tu seras et restera ma plus longue relation sérieuse que j'ai pu avoir. je tiens à elle, ça oui, même si elle a un mec, même si elle est de nouveau enceinte, rien ne change, elle reste Aaliyah, celle que j'ai aimé et aujourd'hui, que je veux retrouver comme avant. Moi non plus mais cette tournure inattendue c'est par ma faute. j'évitais de croiser son regard, j'étais bien avec Skyler, mais regarder AAliyah, son regard, son visage, ça me trouble, ça me destabilise car pour moi ça reste tous ces moments où on se regardaient comme ça pour se dire qu'on s'aimaient, pour s'embrasser, un passé qui revient dans ma tête et qui me rend perdu.

Oui je le connaissais comme personne. C'était mon essentiel, il était tout pour moi et le revoir avait été vraiment dur pour moi. Je me rappelais encore de la soirée d'hier. Ma réaction en le voyant. Comme j'étais mal à l'intérieur, cette colère qui m'avait envahit. Tour ce qui m'était arrivé ces 8 derniers mois m'étaient revenu en pleine figure et ça faisait mal. Ca fait vraiment bizarre de te voir tout assumer comme ça ! C'était d'ailleurs à cause de son immaturité qu'on était devenu de véritables étrangers. J'aimais pas ça. Comment on fait pour passer aussi vite de l'amour inconditionnel à la haine étouffante ? Je voyais qu'il était gêné par mon geste et pourtant, je ne pouvais pas m'en empêcher, c'était plus fort que moi, et ça me rappelait tant de choses. Ca me rappelait ce que nous étions auparavant. Cette fois où il avait tellement peur de me perdre qu'il était devenu un tout autre homme, romantique, jusqu'au bout. La première fois qu'il m'avait vraiment surprise et m'avait le côté gentil de sa personnalité. Le moment où j'étais vraiment tombée amoureuse de lui. On sait bien que celle que t'aimera le plus longtemps est celle qui ne respecte rien, même pas celle qui s'est battue pour elle hein ! Ouais, j'étais enceinte et j'étais prête à me battre pour défendre sa petite amie lors d'une bagarre avec une Mather et elle me remerciait en se foutant de ma gueule effrontément, devant Konrad alors qu'elle savait ce qu'il m'avait fait. Je trouvais ça aberrant et égoïste de sa part et je me demandais vraiment comment Konrad pouvait être avec elle. Quand tu nous regardes Grace et moi et que tu nous compares à cette fille... je sais pas, je comprends pas. Elle n'assume pas ses faits et gestes, elle préfère fuir après avoir foutu la merde. Mais, c'était son choix, je devais faire avec. J'ai envie de croire que toi et moi, c'est possible, malgré tout ce qui a pu se passer. Que Liyad existera toujours quoiqu'il arrive, parce qu'on peut pas effacer tout ce qu'on a vécue tout les deux durant toutes ces années. J'espérai qu'on pourrait rester ami, je sais pas, un truc du genre, mais c'était assez dur de l'avouer vu que dans un sens, je lui en voulait vraiment. Je descendais ma main sur sa poitrine, ne le lâchant pas du regard. Il pouvait regarder où il voulait, ça ne m'empêcherait pas de le regarder sans m'arrêter.

Je la revois encore me coller cette gifle en pleine figure, je ressens encore cette colère ave laquelle elle a collée sa main sur ma joue, sept mois sans lui expliquer quoique ce soit, sept mois sans essayer de la voir, sept mois en faisant le mort dans sa vie alors que j'aurais pu à la première occasion tout lui expliquer et rester prêt d'elle mais j'avais fuis, lâche comme j'étais pour avoir eu peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas pouvoir assumer ce futur rôle de père qui m'attendait. Après lui avoir dit tout ce que j'avais à dire, après qu'elle m'ait dit ce qu'elle avait sur le cœur, la tension entre nous venait de diminuer très bizarrement, lorsqu'elle me parlait de nouveau, le ton de sa voix venait de baisser, plus calme, plus attentif, plus confiant mais toujours autant perdu J'ai changé Aaliyah, je ne suis plus le même qu'il y a sept mois, tu dois me croire. après mes mots, elle s'était rapprochée sans quitter mon regard, mon cœur s'emballait et deux fois plus lorsque sa main se posait sur ma joue, je frissonnais me rappelant alors tant de choses qu'il s'était passé entre nous, j'étais heureux d'y penser à nouveau mais déstabilisé plus que jamais, j'étais en couple et j'avais tous ces souvenirs dans la tête Je n'en sais rien de laquelle j'aimerai le plus longtemps et pour le moment je ne suis même pas amoureux de Skyler, je me sen juste parfaitement bien avec elle, bien qu'elle est son caractère, bien que tout le monde la trouve spécial, j'suis bien avec. après avoir dit ces mots, essayant de m'expliquer et de repenser à hier quand elle s'est foutu de la gueule d'Andrew, surtout de lui, enfin bref. Qu'elle me dise qu'elle croyait toujours en nous, ça me foutait un coup, moi aussi je l'espérais mais j'étais en couple, le moment était trop mal choisi pour parler de ça Je sais. Malgré tout, j'espère que ce soit possible aussi. Je n'ai jamais rien connu d'aussi fort avec toi qu'avec Grace ou n'importe qui d'autre. et je le pensais vraiment mais je ne pouvais plus la regarder dans les yeux, ça me déstabilisait trop, mais si mon regard tombait, le sien restait sur moi, je le sentais et sa main descendait sur ma poitrine, je fermais les yeux quelques instants avant de poser une de mes mains sur la sienne et à nous deux, on pouvaient sentir que mon cœur s'emballait comme jamais.

Je le croyais, du moins, j'en avais tellement envie. J'attendais que ça depuis 5 ans, depuis notre rencontre. J'attends ce changement. Et c'est maintenant que la magie opérait. Après une grossesse, une fausse couche, son départ à Londres, ma dépression, mon hospitalisation, ma tentative de suicide. Il fallait qu'autant de chose arrive pour qu'il change vraiment. J'ai envie de te croire, franchement, c'est pas l'envie qui manque. Je m'en rends vraiment compte, sinon, on serait pas entrain de se parler aussi calmement ! Je le déstabilisait, ça se voyait, mais le problème, c'est que ça allait dans les deux sens. Je l'étais aussi à présent. J'aurai due me contenter d'hurler comme je sais si bien le faire, on n'en serait pas là, il serait même déjà dehors à l'heure qu'il est mais non, je me rappelais du passé, de nous quand tout allait pour le mieux, comme nous étions juste parfait ensemble et que rien ni personne ne pouvait nous atteindre et nous détruire à part nous deux. Ce qu'on a d'ailleurs fait. Ce qu'il a fait en s'en allant. Ouais, les goûts et les couleurs ne se discutent pas ! Je ne pouvais pas m'empêcher de rire nerveusement en disant ça. Je ne voulais pas débattre sur le cas Skyler car spécial c'était pas le mot qui lui allait le mieux mais hypocrite, arrogante et irrespectueuse si par contre. Dire que j'aimais bien. Comme on me dit si souvent, je juge les gens beaucoup trop vite et surtout, beaucoup trop positivement. Je sais. Malgré tout, j'espère que ce soit possible aussi. Je n'ai jamais rien connu d'aussi fort avec toi qu'avec Grace ou n'importe qui d'autre. Et là j'étais juste sans voix. Je crois que je ne respirai plus du tout. J'étais bouche bée. Elle était même littéralement entrouverte. Il était bien avec elle mais il ne l'aimait pas. Notre histoire avait bien plus forte à ses yeux que celle qu'il avait connu avec Grace ou d'autre filles. Je soupirai longuement et quand il attrapa ma main, j'arrêtai de respirer, une fois de plus. J'allai vraiment finir par mourir d'un arrêt cardiaque. Son coeur battait tellement vite. Le mien aussi d'ailleurs. Je ne pouvais pas aller plus loin, j'en avais pas le droit et lui non plus. Et là, je posa ma tête contre sa poitrine, tentant de ne pas céder à la panique, à mes sentiments, à mes larmes. Je me retenais de tout en faite.