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Eugio ◄ toutes des salopes, je te dis

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Autant le dire à l’époque je n’étais pas spécialement quelqu’un de bien, il m’aura fallu un peu de temps pour me remettre sur pieds. Alors peut-être que ma vision d’un couple était différente à l’époque par rapport à aujourd’hui. Je souris doucement à Eugene et hausse les épaules doucement avant d’hausser les épaules. Je sortais d’un passé de délinquant pour faire chier mon père, forcément je n’étais pas quelqu’un de bien tout de suite et tu le sais.[/b] dis-je en lui souriant doucement. Je finis par rire doucement quand il me dit qu’il ne m’aurait jamais laissé partir si on a été vraiment ensemble tous les deux. Tu te serais battu pour me garder ? N’est ce pas mignon tout cela ? dis-je en venant ébouriffer gentiment les cheveux. Au final, je me demandais s’il n’était pas vraiment amoureux de moi à cette époque. Difficile à savoir quand on connaît le caractère d’Eugene. Je fus tout de même surpris de sentir les lèvres d’eugene sur ma joue, il ne s’est jamais comporté comme cela avant. On parlait de notre ancienne relation qui n’en était pas une peut-être malgré le fait qu’il l’aurait voulu. Je lui fis un sourire au coin quand il me dit que c’était moi qui le voulais. On était en quelque sorte en train de se draguer là n’est ce pas ? Je vois bien que là tout de suite c’est toi qui en a le plus envie mon gegene. dis-je en penchant la tête sur le côté. Il sourit quand je remarque qu’il a toujours laissé sa main sur mon torse, je rigole doucement avant de poser ma main sur sa cuisse. Tu resteras un petit coquin toute ta vie Eugene, je connais ton comportement de dragueur. dis-je en lui faisant un clin d’œil avant d’entendre mon ventre gronder. Ca ne te tente pas de me faire à manger ? dis-je en lui faisant des yeux de chats.
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Se sentir pris au piège par leur famille respective, c'est un peu ce qui les avait rapproché ici à Harvard. Elio avait fort déconné, bien plus qu'Eugene dont le seul crime était d'être gay et d'avoir une grande gueule, et le côté bad boy de l'époque l'avait vraiment charmé. D'où leur discussion, car il va sans dire que sans ces données-ci, ils n'auraient pas être jamais été aussi intimes. En reconsidérant l'équation maintenant, Eugene était l'ordure et Elio le gentil garçon qu'on aimerait garder au chaud dans ses bras, le protéger de toutes les pétasses du monde extérieur, histoire de l'avoir rien que pour soi. Merde, voilà qu'il se montrait sentimental, et le baiser qu'il venait de donner sur la joue était fatal concernant cette image qu'il renvoyait. Il aurait se jeter sur lui, lui déchirer ses vêtements et couvrir son corps de ses lèvres. Là ça aurait été bestial, sexy et ça aurait peut-être plu à Elio, qui sait. Pathétique, voilà comment se résumerait l'allemand à ce moment précis. Depuis quelques temps il se savait déjà retombé sous le charme de l'italien et il ne faisait rien de concret pour se l'accaparer. Puis l'autre là, il en jouait, et ça le faisait sourire d'avoir raison, de savoir qu'Eugene lui mangeait dans la main. Le Mather allait rétorquer mais quand il sentit une main sur sa cuisse, il se sentit tressaillir. « Tu devrais pas faire ça si tu ne le veux pas vraiment » s'entêta à le chercher l'allemand, hors de question qu'il soit encore celui à venir chercher ses lèvres, ou du moins, son visage. Ils se sont regardés de cette façon durant quelques instants, avant que la mauvaise foi  d'Elio vienne une nouvelle fois le sauver. Ni une ni deux, le Mather se redressa sur ses genoux, toisant le fasciste allongé là dans son lit. « T'auras rien du tout, mon pauvre ... à moins que j'obtienne quelque chose en échange » se mit-il à négocier, en venant passer ses jambes de chaque côté du corps athlétique qu'avait son ami. Ainsi posé, comme sur un cheval dont il ne manquait que les rennes afin de le diriger correctement, il se promit de ne pas bouger avant d'avoir satisfaction. A trop le chercher, on finissait par le trouver.
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Je ne savais pas spécialement ce que je cherchais Eugene, j’avoue que je ne connaissais même pas l’étendu de notre relation. Elle semblait amicale aux yeux des autres et pourtant Dieu sait qu’elle est totalement ambiguë au final. En ce moment précis, on était en train de se draguer du moins c’est l’impression que les personnes extérieurs pourraient avoir sur nous s’il y avait quelqu’un dans cette pièce. Je soupire doucement en l’entendant dire que je ne devrais pas être comme cela avec lui si je ne le voulais pas. J’avais ma main posé sur sa cuisse en effet, j’étais en quelque sorte dans une situation de séduction que je n’avais pas l’habitude d’avoir surtout envers Eugene. Mais je ne sais pas pourquoi, j’en avais envie ce soir. Eugene était quelqu’un de bien au fond de lui et je savais que j’étais le seul à pouvoir le supporter. Ne dis pas ce que tu ne sais pas gegene. Je ne sais moi-même pas ce que je veux de toute façon. dis-je en haussant les épaules. J’avais des problèmes avec mes deux prétendantes dont une qui s’est barré avec mon meilleur ami. Honnêtement, je ne savais pas quoi faire à part le plaisir de rester célibataire et d’avoir une relation amoureuse calme pour plus tard. Je sentis mon ventre gronder signe que j’avais faim, et je demande gentiment à mon gegene de bien vouloir me faire à manger mais il ne semblait pas de s’être avis. Il suffisait de voir dans la position qu’il était pour comprendre ce qu’il voulait. Je le regardais toujours dans les yeux avant de me redresser doucement pour le regarder toujours dans les yeux. J’eus un sourire aux lèvres alors que nos visages étaient plutôt près. Tu ne changeras jamais n’est ce pas ? Tu t’es mis dans l’idée de me demander quelque chose à chaque fois que je te demande un truc ? Je sais ce que tu veux Eugene. dis-je avec un petit sourire au coin. Je laisse mon visage s’approcher un peu plus avant de laisser mes lèvres se poser doucement sur les siennes. C’était un baiser chaste mais c’était déjà cela après tout. Je me recule finalement et penche ma tête sur le côté. Maintenant tu peux me faire à manger n’est ce pas ? dis-je avec un sourire au coin moqueur. Je viens taper sur ses fesses pour lui donner un peu de courage, il n’allait pas me laisser mourir de faim tout de même.
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Eugene lui-même ignorait ce qu'il faisait exactement. N'était-ce que de la provocation ou voulait-il vraiment chauffer Elio, quitte à être ridicule à se montrer trop persistant ? Promis, on ne l'y reprendra plus, c'était sa dernière dérive. Cette drogue italienne était certes belle, alléchante et donnait envie d'y regoûter mais il ne fallait pas se montrer en état de manque. Après, il allait jaser, se montrer comme un paon et il n'y aura plus rien à se mettre sous la dent. Il s'était déjà préparé à se retirer quand il vit Elio venir unir ses lèvres aux siennes. C'était bref, un simple toucher, mais déjà l'allemand s'en retrouvait toute chose. Une bataille s'engagea, dans laquelle il refusa de céder à ses pulsions, vivement ravivées par les sous-entendus du beau brun. Pour sûr qu'il enroulerait ses bras autour de son cou histoire d'intensifier le baiser s'il se laissait aller. Alors, bien que surpris, il se contenta de cela, après tout, il n'avait pas demandé moins. Le simple fait que ça n'ait pas été naturel gâchait un peu ce moment et il avait sérieusement besoin de quitter la chambre. Une petite faim ? Parfait, la cuisine serait un endroit impeccable pour se ressaisir. « Prépare-toi à manger gras » lâcha-t-il après un silence dérangeant. Il fila évidemment en bas, sans demander son reste. Une fois les escaliers descendus, il eut comme un doute sur l'emplacement de la cuisine. Fallait dire qu'il ne cuisinait pas lui, il commandait à domicile ou allait manger au resto, ou alors il suppliait Dixie ou Grace de lui préparer un petit quelque chose. Ses talents étaient à un si bas niveau, que l'improvisation était de rigueur. Il sortit le pain, le couteau et vint fouiller dans le frigo. Tiens, un steack. Nan, il n'allait pas s'amuser à allumer le gaz, c'était des risques à mettre la maison en feu. Il se mit alors à prendre le pâté, qu'il tartina abondamment sur le pain, qu'il referma. Un bon sandwich maison, exécuté en .. 20 minutes ? Dieu, il était si peu doué que ça ? Dans le même temps, il n'avait pas pensé à ce baiser forcé, et ça faisait du bien. Avec un peu de chance, Elio dormait, et il n'y aura plus de tension sexuelle nulle part dans la maison. Sandwich posé sur l'assiette, un jus de pomme dans l'autre main, il avait préparé un petit déjeuner de champion pour son invité. Il revint dans la chambre et à peine eut-il foulé le sol de sa propriété qu'il le prévint: « T'habitues en rien à ça, j'avais faim aussi » mentit le Mather. Manger en pleine après-midi, très peu pour lui.
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Il me demandait quelque chose en échange d’un peu de nourriture, je savais lui avoir donné ce qu’il voulait, il suffisait de voir sa position pour comprendre qu’il voulait un baiser. Il était assez court et pourrait paraître vite fait mais je n’embrassais pas quelqu’un sans rien penser, si Eugene me connaissait, il le comprendrait. Je souris quand il me dit que je devais me préparer à manger gras. Au pire des cas, j’irai courir demain matin pour éviter de trop me sentir mal ave cela. T’inquiète, j’ai mangé pire au macdo la dernière fois, ne l’oublie pas. dis-je avec un sourire au coin. Je le vis partir sans donner son reste. Je me laisse rapidement retomber en arrière avant de soupirer doucement. Je ne savais plus trop quoi faire, je l’avais embrassé alors qu’on était censé être que pote tous les deux. Je n’embrassais pas quelqu’un s’en ressentir quelque chose pour elle, c’était comme cela chez moi. J’allais sûrement me sentir mal à l’aise maintenant, mais je ferai mon possible pour que cela ne se voie pas. Je me lève ensuite avant de commencer à regarder ce qu’il y avait un peu dans la chambre de mon cadet. Cela faisait un moment que je n’avais pas mis les pieds dans sa chambre, rien n’avait vraiment changé, il n’y avait pas de photo de nous deux alors qu’il me semble en avoir vu une la dernière fois. Je ne faisais pas vraiment attention à l’heure. Je sursaute en l’entendant revenir et m’approche de lui avant de voir qu’il m’avait préparé un sandwich. Un super cuisiner comme d’habitude gegene. dis-je avec un sourire au coin. Je pris le sandwich en main et croque dedans avant d’approuver de la tête au pire des cas, il était sûr que je ne pouvais qu’aimer cela. Merci pour le sandwich et le jus de pomme mon chat ! Mais je sais que tu ne manges jamais en milieu d’aprem. dis-je avec un sourire au coin avant de s’installer devant le bureau de mon ami. Je commence à lire ses feuilles mais je m’arrête rapidement ne comprenant en rien à ces cours et ce langage étrange. Je n’étais pas spécialement gêné finalement mais je ne voyais pas trop quoi dire d’intelligent, je mangeais mon sandwich tranquillement tout en buvant le verre de jus de pomme. Ton sandwich était très bon mon lapin, et je compte bien t’apprendre à vraiment cuisiner un jour. dis-je en rigolant, venant m’installer à côté de lui passant mon bras autour de ses épaules en souriant.
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Ce qu'il avait l'air bête avec son assiette dans les mains. Jamais il se serait imaginé au fourneau pour un garçon, quel qu'il soit. Le soulagement vint bien vite quand Elio vint lui retirer son lourd fardeau et se laissa aller à quelques compliments. 20 minutes pour un simple sandwich, c'était anormalement long, donc autant qu'il soit à son goût ! Alors qu'Elio se sent l'âme d'un aventurier, l'allemand retourne sur son lit, sans souffler mot. Mal, il se sentait vraiment mal. L'italien lui, faisait comme si de rien n'était, et il avait peut-être raison après tout. Pourtant, il vint s'installer près de lui, bras dessus, bras dessous. Cela fit légèrement sourire le Mather et la glace se brisa un petit peu à chaque seconde qu'il sentait le bras de son pote autour de lui. Pote, c'était bizarre de dire ça, surtout après leur discussion. « C'est bon, t'as zappé tes soucis ? » se risqua-t-il enfin à poser, tournant la tête vers le grand brun, histoire de lui faire face et lui présenter son meilleur sourire sous son meilleur profil. Le but était de le faire sentir mieux, donc si après tout ça il avait encore l'envie de bouder, l'allemand n'avait plus aucune idée pour le déstresser. Il s'allongea alors, c'était à son tour de s'apitoyer sur son sort à présent. Les mecs, tous des connards. Pas un pour rattraper l'autre, et ils ont le don pour se payer notre gueule alors qu'on essaie de se montrer le moins concerné possible. Il se voyait mal partager ça avec Elio quand même, là ce serait bizarre. « Moi, j'vais finir hétéro j'pense » déclara-t-il dans un rire, se moquant un peu de leur situation précaire. Célibataires l'un et l'autre, ils trouvaient le moyen de se plaindre alors qu'ils étaient en bonne santé, roulait sur l'or et étaient plus populaires que jamais. « Désolé, on ne vivra jamais notre histoire si tu te mets à sortir avec des mecs et moi des meufs » continua-t-il à se marrer. C'était nerveux, mais ça marchait bien de dire des conneries, ça détendait.
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Je voyais bien que mon gegene n’allait pas bien, et je savais que j’y étais un peu pour quelque chose. Ce baiser nous a tous les deux chamboulés, je me posais encore beaucoup de question sur le pourquoi je l’avais embrassé. Après tout, j’aurais très bien pu me le faire moi-même ce sandwich –même si c’est toujours plaisant de savoir que c’est Eugene qui me l’a fait. Je m’étais donc rapproché de lui passant mon bras autour de ses épaules en lui disant que son sandwich était super bon et que de toute façon, je comptais bien lui apprendre à cuisiner quand j’aurais le temps. T’as réussi à me faire oublier mes problèmes pour le moment, mais je sais que je vais y repenser quand je vais devoir rentrer chez moi. dis-je en haussant les épaules. Les problèmes ne peuvent pas se régler en si peu de temps. Je fus surpris quand je vis Eugene finalement s’allonger à ma place et me dire qu’il va finir hétéro, comme si j’allais le croire tiens. Je pouffe de rire avec lui avant de secouer la tête doucement. Tu ne pourras sans doute jamais finir avec une fille, deux divas ensemble, ça fait toujours mal. dis-je en tapotant sa cuisse en rigolant comme à mon habitude. Il a réussi à me faire oublier mes problèmes pour le moment et je ne pouvais que le remercier pour cela. Ca serait triste tout de même tu ne penses pas ? Si toi tu te mettais à sortir avec des filles, cela voudrait dire que j’allais finir seul tout cela… dis-je avec mon éternel sourire au coin. C’était bizarre de se mettre à parler couple tout de même. Surtout quand on connaît l’attraction qu’on se cache l’un pour l’autre.
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Le malaise ne dura qu'un temps, et c'était tant mieux. Ne pas ouvrir la bouche, dévier le regard et penser à la météo du jour étaient tant d'actions qui n'existaient pas entre eux. Bien qu'ayant vécu un petit moment d'égarement, les deux étant très certainement entrain de se demander ce qu'il s'est passé, ils arrivaient aussitôt à embrayer de nouveau et à garder leur proximité. Ainsi, Eugene eut la satisfaction d'entendre qu'il aura réussi à faire oublier à l'italien les quelques soucis qu'ils rencontrent actuellement avec les femmes. Forcément, à ce moment là, l'allemand était en droit de se demander de quelle partie il parlait. Y avait-il une référence à la conversation et bonne humeur générale ou plus spécialement à ce petit baiser ? Il refusa d'y songer davantage, c'était perturbant et se triturer les méninges pour si peu allait le mettre mal à l'aise. « Content d'être ton remède contre la déprime » se gratifia le brun, les bras croisés mais avec un sourire des plus lumineux. Il était content de l'entendre dire ça. Et encore plus quand Elio vint le contredire. Alors comme si il ne le voyait pas hétéro? Certes qu'il serait impossible qu'ils soient aussi proches l'un et l'autre si l'un refusait tout contact physique avec des hommes. Eugene était gay, et parfait, Elio était bi, et sexy. Et il lui caressait la cuisse. Encore une fois, il se voyait se jeter sur lui, lui ôtant avec hâte son haut et de le sentir tout contre lui. Un jour, voilà ce qu'il se promit: un jour, il fera succomber l'italien et ils rigoleraient de cette journée. « Clair que ça serait triste que j'arrête de fantasmer sur toi » lui accorda Eugene, avec toujours plus d'humour que de sérieux dans ses déclarations. Il ferma les yeux et sa respiration se fit moins pressée. Oui, il était préparé à dormir là, et Elio gênait.
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La situation quelque peu gênante fut de courte durée, il était facile pour nous de changer de situation rapidement, c’est sûrement pour cela qu’on est amis tous les deux. Il avait tout de même réussi à me faire oublier mes problèmes pendant quelques minutes même si je savais qu’en sortant d’ici tout allait revenir. t’es plus (+) un remède mon gegene. dis-je avec un sourire au coin. Un rapprochement se fit une dernière fois entre lui et moi j’avais une main sur sa cuisse. Il n’avait pas spécialement réagit ce qui me fit sourire. On se mit à parler de notre orientation sexuel et honnêtement, je ne voyais certaine pas eugene en mode hétéro… C’était même impossible que je me fasse à cette idée. Je rigole en secouant la tête doucement quand j’entendis ses paroles et cette idée de fantasmer sur moi. Je pense que tu ne pourras jamais arrêté de fantasmer sur moi Eugene. lui dis-je avec un sourire au coin. Je remarque alors que monsieur était fatigué signe pour moi de me barrer. Je souris et me lève avant de lui ébouriffer les cheveux. Très bien, je vais te laisser je vois que je gêne. dis-je en me redressant. Je remet ma veste rapidement et le regarde une dernière fois en souriant avant de tourner les talons pour retourner chez moi.
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