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Eugio ◄ toutes des salopes, je te dis

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Ma journée était totalement à chier autant le dire clairement, je venais à peine de sortir de chez Skyler après lui avoir fait comprendre que je ne voulais rien avec elle et de toute façon, elle avait déjà choisi Konrad donc au pire des cas. Cela me saoulait un peu trouvant les histoires de cœur beaucoup trop compliqué, le célibat est plutôt bien au final. Je posais mon regard sur ma montre et me décide à bouger et le meilleur endroit où je pourrais aller c’est bien chez Eugene. En espérant qu’il soit bien chez lui. J’avais pris ma voiture et me suis rendu à la mather house. Je me gare sur le parking de l’université et m’y rend à pied, les mains dans les poches. J’entre dans le bâtiment croisant des mathers mais je n’y fis pas attention. Je monte jusqu’à sa chambre et toque assez fortement contre celle-ci et me permet d’entrer comme d’habitude –on s’en fou s’il est nul. Mec les femmes sont tous des salopes sérieusement. dis-je en m’effondrant sur son lit passant un bras derrière ma tête, oui je fais comme chez moi ici.
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Profitant de l'absence de ses colocataires, bruyants et avec qui ils se chamaillaient tout le temps dans la bonne humeur, Eugene saisit enfin l'opportunité de potasser un peu ses cours. Une telle détermination faisait plaisir à voir, surtout qu'elle ne se manifestait que très peu ses derniers temps, le jeune homme ayant l'esprit complètement ailleurs. Au final, la neurologie vint récupérer toute son attention et il se devait de profiter de cette soudaine motivation. On lui avait trop fait remarqué son manque d'assiduité dans l'apprentissage du comportement à adopter avec les patients, alors son patron avait eu la stupide idée de lui donner des livres sur la psychologie. Eugene n'avait pas besoin de ça, il n'était pas un amoureux de la race humaine mais il s'efforçait à vouloir la préserver, n'était-ce pas suffisant comme psychologie ? Apparemment, il n'avait pas le droit de faire des blagues lorsqu'il annonçait à un vieillard qu'il était atteint de la maladie d'Alzheimer .. Bref, il se mit à la tâche et s'attabla à son bureau, qui lui paraissait neuf, une réflexion qu'il se faisait à chaque fois tellement c'était rare de l'y voir devant. Il ne s'était passé que quelques minutes avant qu'on ne vienne violer son espace privé. Il allait d'aborder se mettre à râler, à ordonner à l'intrus de foutre le camp d'ici, mais quand il se retourna, entendit sa voix et surtout le vit, il ne pût souffler mot. Elio semblait mal en point. C'était donc son devoirs que de lui changer les idées. « Enfin tu t'en rends compte ! J'ai du avoir trois ans moi quand je l'ai pensé la première fois .. enfin, ma mère donnait pas le meilleur exemple » se mit-il à blaguer, histoire d'instaurer un climat plus chaleureux. S'arrêtant de déblatérer n'importe quoi, il considéra le beau brun avec un sourire compatissant. « Allez, dis-moi ce qu'il se passe, Ferrari » se posa-t-il à côté de lui, comme s'il était au chevet d'un malade.
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Quand ça ne va pas, il n’y a que mon gegene qui peut m’aider et je le sais très bien. C’est la raison de ma venu dans sa demeure, il était en train de réviser –chose totalement étrange puisque je ne l’ai jamais vu faire. Je m’en foutais de le déranger parce qu’il ne pouvait pas me dire non, je le sais. Je m’allonge sur son lit en insultant toutes les filles –même si j’en vise principalement une en vérité. Je lui tape la cuisse quand il commence à délirer en disant qu’il l’a pensé à trois ans, il ne savait sûrement pas marcher à cet âge là vu le retarder qu’il est. Arrête tes conneries, tu savais à peine marché j’en suis sûr. dis-je en rigolant. Je savais que c’est ce qu’il cherchait après tout, il voulait me faire rire et c’est normal. Je soupire une nouvelle fois quand il me demande ce qu’il ne va pas. Une fille m’a dit qu’elle m’aimait alors que je m’étais rapproché d’une autre fille… Elles se sont même tabassé toutes les deux pour moi… Nan mais pour moi quoi ! dis-je en levant les yeux au ciel trouvant cela totalement débile. Bref je les ai engueulés toutes les deux et la première fille a couché avec Konrad, mon soi-disant meilleur pote… Elle l’a choisi. dis-je en secouant la tête. Au final, je m’en foutais mais je trouvais cela complètement con surtout quand on connaît le personnage mais vraiment. Mon orgueil de mâle en a pris un coup… Faut-il que je sois un vilain garçon pour que cela marche ? Bref, je veux plus de fille. dis-je en me redressant légèrement.
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Ce n'était pas monnaie courante de voir Elio surgir à l'improviste dans la chambre du jeune Mather, et bien que ce dernier se l'était déjà imaginé maintes et maintes fois, ce n'était pas exactement dans les conditions. Mais si Elio voulait se plaindre des filles et venir chercher des paroles sages auprès de l'allemand, qu'il en soit ainsi. Eugene était bien trop heureux de voir qu'il occupait une place de choix parmi l'entourage de l'italien, et cette marque de confiance lui faisait énormément plaisir. Sans aucuns regret il quitta ses livres théoriques pour s'attaquer à la partie pratique de la psychologie. Il avait ici quelqu'un ayant besoin de parler et il se doutait qu'il ferait un bien meilleur boulot sans lire toutes ces jérémiades concernant l'état mentale d'une personne qui n'allait pas bien. Là, Elio était certes mal en point mais il garda toujours un humour décapant. Le psychologue en herbe en était la première victime, s'accrochant aux lèvres du beau brun afin d'être sûr de ne jamais louper une de ses remarques tonitruantes. « T'es toujours aussi con » marqua Eugene, en lui  donnant une petite frappe sur l'épaule. Comme chez le psy, Elio était allongé sur le lit et regardait le plafond alors qu'il énumérait ses malheurs. La honte s'accaparait u peu d'Eugene, car le sourire qu'il affichait, il ignorait s'il s'agit de compassion ou de satisfaction quant au célibat' de son ami. Il était ultra protecteur avec lui et ça lui jouait des tours, il le savait et ça l'embêtait terriblement. Au final, il sût quoi répondre, comme tout bon psy. « T'es juste tomber sur une salope, comme la plupart de celles que tu rencontreras » déclara-t-il avec un geste de la main, comme pour signifier la banalité de la chose. « Mais faut pas que tu te décides à te mettre avec n'importe qui aussi, elles te méritent pas toutes » ajouta-t-il, plus sérieux, offrant là son premier vrai conseil. Dans sa tête, il avait bien pensé aucune, mais il ne se voyait pas enlever tout espoir chez son ami. « Enfin, en attendant, t'as raison, laisse tomber les nanas » se mit-il à s'esclaffer, ayant du mal à imaginer son pote à ne pas baisser la tête dès qu'un petit cul bien dessiné passait devant lui. Aussi merveilleux que cela pourrait être, Eugene ne s'imaginait pas Elio totalement gay, et il était sage de ne pas sauter sur l'opportunité. Il savait reconnaître des paroles en l'air, et là, s'en étaient clairement.
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Eugene était sûrement le plus sur des amis que je pouvais avoir, même s’il a été un de mes ex cela n’empêche en rien le fait que je sois proche de lui. C’est sûrement le seul de mes ex avec qui je reste proche ce qui peut paraître bizarre quand on connaît le caractère de ce mather. Je lui fis une grimace quand il me dit que j’étais toujours aussi con, comme si je l’étais vraiment tiens. Arrête de mentir, ça ne te va pas. dis-je en lui tirant la langue comme un gosse. Je lève les yeux au ciel quand il me dit que j’étais tombée sur une salope, chose que je savais déjà au final mais le fait qu’il me dise que mes futurs rencontres allaient sûrement être elle aussi des salopes… Je ne pus m’empêcher de penser qu’il avait raison, cela sûrement être le cas. Je pense que tu as raison, ça risque d’être le cas. dis-je en secouant la tête négativement. Tu me vois encore comme l’homme parfait, avoue le Eugene ! Mais je suis loin d’être parfait. dis-je avec un sourire au coin. J’avais plein de défaut mais personne ne les connais encore. Je souris en le voyant rire et tourne la tête pour le regarder. On sait tous les deux que tu aimerais cela, mais n’empêche mes relations les plus calmes ont toujours été avec des garçons. dis-je en fronçant les sourcils. De toute façon, je n’aurais aucune relation sans aucun sentiment, il fallait entendre que mon cœur décide d’aimer quelqu’un ou non… même s’il y a tout de même Siam qui est toujours là.
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Il y avait des fois où Eugene ne savait plus trop ce qu'il devait comprendre avec Elio. Un jeu du chat de la souris avait toujours existé entre eux, et au fur et à mesure que le temps passait, faisait des siennes, Eugene s'y retrouvait piégé. Devait-il comprendre qu'il avait le droit de se laisser aller et se jeter sur lui ou juste qu'ils étaient potes, proches, et que ça devait rester ainsi ? C'était ça aussi le problème de l'allemand, il entendait des sous-entendus partout, et surtout venant de la part d'Elio. C'était irritant, perturbant mais extrêmement plaisant. « Regarde, j'suis bien seul et j'le vis bien, pourquoi t'irait t'enticher de quelqu'un à qui tu ne pourrais pas faire 100% confiance ? » argumenta-t-il, toujours dans la peau de ce psy, un psy qui s'en alla quand même rejoindre son patient sur le lit, posant sa tête contre l'oreiller et adoptant la même position horizontal que le beau brun. L'homme parfait ? Il se jetait quand même des fleurs pour rien, Eugene n'avait jamais dit ça, bien qu'il pouvait y voir une part de vérité. « J'dis juste que t'as un physique parfait moi, pas que t'as un esprit brillant » ricana dans sa barbe le Mather, savant pertinemment que ça piquerait son ami. C'est vrai que l'alchimie entre les deux compères résultait plus du physique, même si cela faisait quelques temps qu'ils apprenaient à vraiment percevoir la mentalité de l'autre. C'était pour ça peut-être qu'Eugene rejetait toutes les conquêtes d'Elio, pas assez bien pour lui, alors qu'auparavant il n'en avait strictement rien à faire. « Je les plains alors ! Car je t'ai jamais vraiment connu avec un mec donc j'imagine pas le sérieux de ces relations-là » s'autorisa-t-il à critiquer, en rebondissant de manière très subtil sur ce qu'il pensait être un autre sous-entendu que son esprit étriqué s'amusait à inventer. Au fond, ces gars-là, il les enviait, tout en s'en moquant, car ils ne pouvaient se targuer de faire encore partie de la vie de l'italien. Eugene, lui, pouvait.
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Finalement, je voyais plutôt bien Eugene en mode psy, cela lui va tellement bien et je suis sûr qu’il arrivera à rendre totalement dingue quelques unes de ses clientes… Qui vont vite comprendre le côté homosexuel du mather. Je soupire doucement et passe mon bras derrière ma tête tout en écoutant les conseils de mon psy personnel. Le truc c’est que je suis quelqu’un qui a besoin d’amour tu vois, c’est tellement con mais tellement vrai aussi. Disons plutôt que je trouve l’amour beau donc forcément je veux le vivre, le seul problème dans l’histoire c’est que je trouve jamais la bonne personne avec qui je pourrais vivre un bel amour. Je me moque un peu de Eugene en lui disant que pour lui j’étais sûrement l’eau parfait mais cet imbécile me fait remarqué que c’est que physiquement que je le suis. Je lui donne un coup dans la cuisse en soupirant. Tellement sympa le pote ! N’empêche que t’as pas tord, j’ai une belle gueule et cela m’apporte beaucoup de préjudice puisque ma réputation de gros con vient de là… Ouais figure-toi ! On dit que je suis un gros connard à Harvard sans même me connaître… dis-je en secouant la tête doucement, je suis loin d’être comme cela pourtant. Je souris en entendant les propos de mon mather. Il pouvait se montrer très possessif avec moi et je le savais depuis longtemps. Tu as été un de mes ex aussi gegene et j’ai toujours été gentil avec toi nan ? Mais tu dois être le seul avec qui j’ai encore vraiment un lien… Tout le monde me dit que j’irais mieux avec une fille car trop de beau garçon sont homosexuels. Mais moi je prend ce qui me vient à moi. Au final, si un mec venait vers moi et qu’il y avait quelque chose, rien ne m’empêcherai d’avoir une relation avec lui bien au contraire. Cela pourrait être eugene également mais je pense que cela est vraiment pour lui.
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Il avait toujours vu son Italien avec son ai déconneur et plaisantin, que le voir aussi affecté et blasé rendait Eugene un peu dubitatif dans la manière de l'aborder. Il n'était pas quelqu'un vers qui on venait confier ses problèmes en général, il savait donner des conseils, mais faire arrêter les gens de bouder, non. Alors il se tût et se laissa aller à quelques blagues, qui firent leur effet car Elio était de suite très réceptif et réagissait en concordance. Un petit Ouille s'échappa des lèvres d'Eugene alors que l'intrus qui s'était glissé dans sa chambre venait de lui foutre un coup sur sa cuisse. Un homme musclé qui le frappait, en soit, ça le dérangeait pas. Mais les propos qui suivirent vinrent attendrir encore plus le Mather. Il avait besoin d'amour .. Comment rester insensible à cette phrase, surtout venant de la part d'un si joli minois ?  « Pauvre ti' chat » déclara l'allemand, avec une voix douce, qui se voulait aimante. A côté de lui, il passa une main dans ses cheveux, et commença ça à le masser le haut du crâne. Donner des papouilles non plus c'était pas son domaine, mais pour Elio, il y avait peu de choses qu'il ne ferait pas. Alors il allait lui donner un peu d'affection aujourd'hui, en tout bien tout honneur, même si au fond l'envie de l'embrasser à pleine bouche le démangeait. Comme au McDonald's. Cela faisait une petite période qu'Eugene éprouvait des sentiments mixtes envers lui, un coup il était sûr qu'il n'y avait pas plus d'amitié, et de l'autre, il était jaloux maladif au point de ruiner les relations qu'entretenait le Winthrop avec ses conquêtes. Tiens, voilà qu'ils se remettaient à évoquer leur relation d'antan. Bizarre, il n'avait pas la même perspective. « On peut difficilement dire qu'on est sorti ensemble à l'époque, lui rappela le Mather, on se voyait, on se faisait du bien mais y'avait rien au delà » conclut-il, la voix toujours calme et soignée. Non, ce n'était pas des regrets que l'on pouvait y déceler, dans cette voix qui se faisait petite plus il pensait à cela. En fait, peut-être bien que si ..
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Cette histoire me faisait clairement chier mais je n’y pouvais rien, c’était ainsi et je savais que mon gegene serait capable de me redonner le sourire quoi qu’il se passera de toute façon. C’est pour cela que j’étais venu chez lui et pas ailleurs, car il est tout sauf quelqu’un qui aide quand ça ne va pas, mais avec moi il me faisait toujours. J’avais l’impression qu’il se foutait de ma gueule, mais il a toujours été comme cela donc je n’avais pas besoin de dire quoi que ce soit sur cela. C’est vrai que je suis quelqu’un qui a besoin d’amour, c’est con mais c’est tellement vrai. La vie est ainsi et Eugene était presque le seul ex avec qui j’ai encore contact, je parle bien sûr de mes ex masculins même si j’en ai pas tant eu que cela. J’arque un sourcil quand il me dit qu’on ne peut pas vraiment dire qu’on soit sorti ensemble tous les deux. Bizarrement j’avais l’impression que c’était le cas pour moi surtout que je lui ai pris sa première fois. J’avais pourtant l’impression qu’on était un couple, un peu particulier mais un couple quand même… Mais tu as peut-être raison. J’étais tellement con à l’époque aussi que je faisais plus de connerie qu’autre chose. J’avais l’impression de mettre amuser avec lui alors que je ne le voulais pas. Tu n’avais pas de sentiment pour moi à cette époque donc ouais peut-être qu’on n’était pas en couple. Qui sait, cela arrivera peut-être mon gegene. Je sais que tu en as envie. lui dis-je en passant mon bras autour de ses épaules avec un sourire au coin. Ce n’est pas comme si notre couple ne pouvait pas fonctionner, on se connaît déjà et on s’entend bien mais le problème restait les sentiments … et mon mariage.
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Il y eut un instant où Eugene ne put prendre sa respiration. Quelque chose le bloquait, il se retrouvait incapable d'expirer après la bouffée d'air frais qu'il s'était pris juste avant. En réalité, il hallucinait, il était sur son lit, avec le garçon le plus sexy du campus, et ce dernier venait de lui avouer à demi-mots ce qu'Eugene aurait normalement dû capté. En couple ? Des exs ? A l'époque ? L'allemand avait une toute autre vision de cette époque, il venait d'arriver sur le campus, il retrouvait avec joie Elio et c'était aussi avec joie qu'ils avaient passé une nuit splendide sous la couette, et quelques autres. Mais c'était tout. Pas d'effusions en public, pas de baisers de bonne journée mon coeur, rien de rien. Purement et uniquement sexuel, du moins, c'était comme ça qu'il s'en souvenait. « Alors t'avais une drôle de conception du mot couple à l'époque » finit par se prononcer celui qui manqua de mourir d'une crise cardiaque. « Car si l'on était ensemble à l'époque, crois-moi je m'en serai souvenu et je t'aurais jamais laissé me quitter sans un combat » continua-t-il, dans cet élan qu'il prenait souvent lorsqu'il racontait des anecdotes et commentait certains événements. Un élan qui vint ensuite lui arracher une deuxième expiration puisque ce qu'il venait de dire était à mi-mots ce qu'il pensait encore aujourd'hui de leur relation amicale. Jamais, Ô Grand Jamais, il ne laissera Elio s'éloigner de lui sans avoir son mot à dire. Fallait voir ses rapports avec Calypso. Et il avait raison ce salaud: Eugene en avait envie. Et comme rien n'arrive sans s'y donner la peine, l'allemand posa sa main sur le torse de son ami, comme pour prendre appui et vint déposer un doux baiser sur la joue gauche du beau brun. Il laissa sa main tout en éloignant son visage du sien, et c'est un sourire taquin qui vint sculpté les lèvres qu'il venait de poser sur Elio. « Toi t'en avais envie, avoue » fit-il, plongeant son regard brun, joueur, moqueur, dans celui de son ami d'enfance.
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