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c'est une blague, pas vrai ? + Warren.

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C'était ça, il te rendait dingue, dans tous les sens du terme, aussi dingue que cela puisse paraitre. Un instant tu le détestait, celui d'après tu l'aimais comme si ta vie en dépendait. C'était le truc le plus frustrant qu'il ne t'ai jamais été donné de vivre. Grimpée sur ton skate, tu avais quitté la Mather House pour rejoindre le logement de Warren. Ton Warren. Cette pensée t'arracha un sourire. Sourire qui se transforma peu à peu en un rire nerveux. Tu venais d’imaginer, pour la première fois, ce que ça donnerait si tu te mettais en couple avec lui. Tu riais, riais, n'arrivant plus à t'arrêter si bien que tu trébuchas de ta planche et t'écrasas contre le sol. Vous voyez qu'l'amour ça craint. Tu te relevas tant bien que mal et t'époussieras les mains. Le reste du chemin, c'est à pied, le skate à la main, que tu le fis. Inman Square n'était qu'à quelques minutes de la maison des Mather. Une fois devant le grand immeuble de Warren, tu cherchas son nom sur l'interphone et pressa le bouton. C'est Shark. dis-tu une fois la connexion établie avant de pousser la lourde porte et grimper les marches quatre à quatre. Tu t'arrêtas en haut de l'escalier et croisas les bras contre ta poitrine, un sourire en coin amusé sur le visage. Il faut vraiment que tu m'attendes sur le péron à chaque fois ? Je n'aurais donc jamais le droit de toquer chez Warren Cooper ? Tu t'avances, déposes un rapide baiser sur sa joue et lui passe sous les bras pour entrer dans son appartement et t'affaler sur le canapé. Comme à la maison, yolo !
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Chaque fois que vous vous échangiez des sms, Olive et toi, c'était toujours le même scénario. La distance entre vous était constamment présente. C'est elle qui la causait, mais tu embarquais dans son jeu. Toi, tu voulais qu'elle vienne te voir, qu'elle s'tire de chez elle ou de son petit monde pour que toi, tu puisses l'avoir pour toi, la voir, au moins. Mais cette fois, uniquement cette fois, tu avais réussi. Enfin. C'est pourquoi, comme un con, déjà pressé de voir son joli minois, et empressé de lui plaire, stressé de ne pas réussi à lui plaire encore un autre jour, t'avais rapidement pris ta douche. Tu veux sentir bon pour elle. Tu veux être beau, pour elle. Tu veux être LE Warren qu'elle a envie de voir et de revoir, même si tu ne peux lui imposer ta présence. C'parce que tu l'aimes, ça. C'est Shark. Ouf, tu sors de la douche, comme t'entends l'interphone te permettre d'entendre sa voix. Elle est en bas et elle attends devant la porte de l'extérieur. Tu t'éponges les cheveux comme tu cliques sur deux boutons en même temps. Un pour lui répondre, l'autre pour la laisser entrer. " Entre. "T'es en boxer, car c'est le matin et que tu sors de la douche. C'pas parce qu'Olive est là que faut que tu te sortes de ta routine matinale... Merde, t'es tellement pressé de la voir, que tu ne lui laisses même pas le temps d'toquer à porter ; non, tu sors les deux pieds de ton appartement afin de l'accueillir. Jaxon n'est pas là, aujourd'hui ; il s'posera pas de question à savoir pourquoi t'es dans le couloir, en caleçon. Et c'est là que t'aperçois sa crinière blonde, puis son visage, et finalement tout ce qui suit, monter les escaliers afin d'se diriger vers toi. Ou ton appartement, hein. Il faut vraiment que tu m'attendes sur le péron à chaque fois ? Je n'aurais donc jamais le droit de toquer chez Warren Cooper ? Tu rigoles, en te murmurant à toi-même : et fais comme chez toi! Tu r'fermes la porte en croisant les bras sur ton torse, comme tu t'retournes vers elle. " Quand tu m'surprendras, j'aurai pas d'autre choix que d'te laisser toquer. C'est à toi d'jouer, pour ça.
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C'est après coup que tu réalises l’accoutrement du Winthrop. Il est en boxer. Juste, en boxer. Chacune de ses courbes était apparente, chacun de ses tatouages l'était aussi. Il est beau, personne ne pourrait dire le contraire. Il est beau, et amoureux de toi. Quand tu m'surprendras, j'aurai pas d'autre choix que d'te laisser toquer. C'est à toi d'jouer, pour ça. Autrement dit, passe à l'improviste et tu pourras toquer. C'est une idée, c'est quelque chose que tu ne ferais probablement jamais. Va enfiler un truc, Warren. Tu vas attraper la mort comme ça. Bien que c'était loin d'être désagréable, ça ne t'aiderait pas vraiment. Tu savais pas trop c'qu'il s'passait entre Warren et toi. Il était quoi, réellement, là, maintenant, tout de suite ? Un ami ? Un petit ami ? Un truc entre les deux impossible à définir ? C'était flou et désagréable. Tu m'offres un truc à manger ? J'ai les crocs. souffles-tu. Tu n'avais pas petit déjeuner ce matin, et la matinée était déjà bien entamée..
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Va enfiler un truc, Warren. Tu vas attraper la mort comme ça. Immédiatement, ça t'arrache un rire amusé. Elle a toujours le bon mot pour te faire perdre tes illusions et tes p'tits rêves. Pas capable d'avouer qu'elle te trouvait de son goût, la fille. Tu ris, levant les yeux au ciel, exaspéré, mais tu ne dis rien. Enfin, tu ne voulais rien dire, mais tu balances : " Arrête, je sais que ton corps il dit pas la même chose que ta tête. " Tu lui souris, en t'approchant d'elle, pour rompre cette distance que vous étiez encore en train de créer entre vous deux. Non, plus de ça. Mais comme t'allais t'installer à côté d'elle sur le canapé, elle te dit : Tu m'offres un truc à manger ? J'ai les crocs. Princesse a faim? Mmh, alors allons lui préparer un p'tit truc, hein? "Tout pour vous servir, m'dame.", dis-tu sur le ton de l'ironie, te dirigeant vers la cuisine, la laissant seule dans le salon. Tu ne vas quand même pas la laisser crever de faim, la pauvre. Tu lui coupes des fruits frais qui s'trouvent dans ton réfrigérateur, lui préparant un bon p'tit repas rien que pour elle. Tu l'prépares avec soin et amour, en boxer. C'pas le rêve de toutes les femmes, ça? Tu lui mets même le tout sur un plateau, avec une fleur dans un p'tit vase, et puis un coin de chocolat dans un bol. Beh ouais, romantique? Y'a un problème là? Tu t'ramènes donc dans le salon, le tout en mains, et sur la pointe des pieds, tu t'rapproches de son oreille, susurrant alors : " Joyeux anniversaire... J'sais, c'est qu'un petit déjeuner, mais tu verras, j'suis rempli de surprises, aujourd'hui.. Son anniversaire était il y a quelques jours mais... puisque tu la voyais maintenant, t'en profitais. T'avais pas eu l'occasion de la voir le jour J, parce qu'elle n'avait pas souhaité te voir. C'était selon la volonté de Shark, puisque quand elle n'avait pas envie d'te voir, c'est qu'elle ne voulait pas te voir. Point.
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Arrête, je sais que ton corps il dit pas la même chose que ta tête. Tu pouffes de rire en secouant allégrement la tête. Non, tu ne craquerais pas comme ça. Non, t'étais une femme forte. Non, toucher Warren était quelque chose qui te demandait beaucoup de réflexion. Quoi qu'à l'arrière de ce pick-up, tu n'avais pas mis bien longtemps avant de t'enrouler dans ses bras. Si en fait. Si, si. Warren, je sais que tu aimerais que mon corps ne dise pas la même chose que ma tête. Va t'habiller. J'déconne pas. soupires-tu finalement avant de lui demander un truc à manger. Tout pour vous servir, m'dame. dit-il avec le sourire avant de s'éclipser dans la cuisine. Profites en pour t'habiller, Cooper ! lui cries-tu en attrapant le programme télé pour le feuilleter, en attendant. Joyeux anniversaire... J'sais, c'est qu'un petit déjeuner, mais tu verras, j'suis rempli de surprises, aujourd'hui.. Son souffle chaud t'avais chatouillé l'oreille après t'avoir faire légèrement sursauté. Tu tournes la tête et découvre un plateau remplit de fruits, de chocolat, et d'une petite fleur dans un solitaire. Et tu redécouvres un Warren en boxer, les yeux pétillants, à tomber par terre. Tu refusais vraiment le fait d'être amoureuse de c'gars là ? Olive, tu déconnes. Des dizaines - pire, des centaines ! - d'autres tueraient pour être à ta place, pour avoir ce plateau repas, pour avoir un Warren raide dingue d'elle. Et toi, tu galérais. La seule chose que tu méritais était un bon coup d'pied au cul. Warren, tu sais que c'était y'a huit jours ? Tu sais que j'ai attendu un coup d'fil, un texto, n'importe quoi ? C'est une manière d'te racheter, c'est ça ? dis-tu en lui prenant le plateau des mains pour le poser sur la petite table. Tu te repositionnes dans le canapé et penche la tête en arrière pour mieux voir Warren, toujours debout et à moitié nu derrière le sofa. C'est adorable, vraiment. Merci beaucoup. dis-tu en saisissant son visage de tes fins doigts avant de déposer un furtif baiser sur ses lèvres. Va t'habiller. Maintenant ! souffles-tu contre ses lèvres, fronçant les sourcils. T'aimais pas te répéter, t'avais l'impression de déjà l'avoir fait une dizaine de fois.
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Warren, je sais que tu aimerais que mon corps ne dise pas la même chose que ma tête. Va t'habiller. J'déconne pas. Roh, quelle rabat-joie, l'Olive! Ne pouvait-elle pas se taire deux secondes et apprécier la vue? Ou bien, au "pire" des cas, se laisser aller et croquer un morceau de c'qu'elle avait sous les yeux? Ça n'te déplairait pas, hein. Tu ne réponds rien, et même que tu te sauves, mais sa voix te suit même jusqu'à la cuisine. Profites en pour t'habiller, Cooper ! Ça t'arrache un sourire. Ou pour te déshabiller, p'têtre? Oh, faut que t'arrêtes avec ces pensées immorales et pas très catholiques, c'tait pas joli joli! Tu finis par revenir, avec le début de ton cadeau d'anniversaire en mains. Bon, c'était pas au plan, mais Olive t'as demandé il y a quelques instants de te préparer un truc à manger. Et pour ne pas te vanter, tu es tout de même un très bon cook. Warren, tu sais que c'était y'a huit jours ? Tu sais que j'ai attendu un coup d'fil, un texto, n'importe quoi ? C'est une manière d'te racheter, c'est ça ? Tu lui déposes le plateau sur les genoux, par-dessus sa tête, l'observant de haut, elle et son joli petit minois. Quelle adorable créature. Dieu avait eu raison de créer les femmes. Elles étaient inspirantes - un peu chiante, certes - magnifiques, sensuelles, adorables, et putain c'qu'elles pouvaient vous contrôler rien qu'en posant leur regard sur vous. Dangereuses, ces femmes. Des monstres prêtes à appâter, c'tait ça, hein? Tu serais bien l'appât de celle-là, toute la vie, s'il le fallait. Car ça le valait bien. Elle le valait bien. C'est adorable, vraiment. Merci beaucoup. Ton coeur manques un bon alors qu'elle t'embrasses. Furtivement, doucement, simplement, mais elle t'embrasses, et tu es toute chose, d'un coup. L'amour te monte à la tête. Tu t'apprêtes à faire le tour du canapé pour t'asseoir prêt d'elle, mais encore une fois, elle te l'interdit presque subtilement en t'envoyant t'habiller pour une dixième fois. Cette fois, tu lui donnes raison, et tu grimpes les escaliers trois à trois. " Y'a que toi qui est la perdante dans l'histoire! Laisse-moi deux minutes. ", dis-tu, comme tu disparais. Tu entres dans ta chambre, et t'attrapes le premier t-shirt qui traîne sur ton lit, afin de l'enfiler rapidement. Tu t'passes une main dans les cheveux ; ils sont presque secs, et puis tu retournes auprès de ta belle, près à enfin l'avoir contre toi. Si seulement elle t'laisserait faire... Tu croisais les doigts secrètement.
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Il avait ce pouvoir sur toi, que tu détestais. Tu le détestais, parce que tu n'étais plus toi même. Du moins, tu n'étais plus celle que tu montrais être, devant tout le monde. Warren, il t'arrachait de ta carapace de façon si brutale que s'en était frustrant, déstabilisant, énervant. Face à son plateau repas, tu t'étais laissé attendrir et laissé aller à l'embrasser. Il semblait surpris, heureux. Tu l'étais tout autant, peut-être même plus que lui. Avais-tu vraiment fait ça ? Avais-tu vraiment voulu faire ça ? La réponse te donnait envie de vomir : oui. Changer de sujet te semblait la meilleure solution pour que les choses en restent là. C'était déjà beaucoup pour toi, ça. Y'a que toi qui est la perdante dans l'histoire! Laisse-moi deux minutes. Tu attrapas un grain de raisin et le mis dans ta bouche tandis que Warren s'en alla se changer. Putain, c'que ces fraises étaient délicieuses. Elle étaient juteuses, sucrées et fondantes, parfaites. Alors que tu gobais un morceau d'abricot, tu posas le bol de fruits sur la table et te levas dans le but de rejoindre Warren qui s'faisait long pour enfiler un jean et un tee-shirt. Il ne te fallu qu'une seconde pour faire le tour du canapé et sursauter en te retrouvant face à lui. Près, trop près. Je n't'avais pas entendu descendre. dis-tu, déconcertée, alors que tes mains tenaient ses bras, encore sous l'effet de la surprise. Tu es beau Warren. dis-tu, légèrement rougissante, en le regardant de la tête au pied. Putain Olive, mais ressaisit toi ! Ce sont tes médocs' qui t'rendent comme ça ? Sérieux, tu crains.
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Je n't'avais pas entendu descendre Toi aussi, tu sursautes en te retrouvant face à elle, alors que tu n'as même pas complètement mis le pied sur le sol, après la dernière marche. " Pourtant, j'marche comme un éléphant obèse. ", glisses-tu en riant, dévoilant tes dents blanches parfaitement alignées, alors que tu entoures sournoisement sa taille de l'un de tes bras pour ensuite l'attirer tout contre toi. Tu es beau Warren. Raison de plus pour la garder contre toi. " Je sais. " Vaniteux? Nah. Blagueur, un peu. Tu veux seulement ne pas avoir l'air de perdre tes moyens face à ce compliment soudain et déconcertant qui te serre agréablement le coeur. " Tu sais que... j'ai pas terminé de t'offrir des cadeaux? J'les garde chez moi depuis p'têtre deux-trois semaines, en attendant ton anniversaire.. Et puis sans prévenir, parce que tu en as trop envie, et que votre proximité n'aide pas à ta retenue, tu te penches vers elle, afin de venir déposer tes lèvres sur son cou, dégagé de tout cheveux, puisque tu venais de les ôter du chemin qui menait à sa peau. Elle va t'faire tout un sermon, tu n'en doutes pas une seconde, mais tu en avais trop envie que... ça aurait été pire qu'un châtiment pour toi d'y renoncer. Fallait prendre des risques, dans la vie. " Tu es la plus belle des femmes, Olive. " Et tu reviens à ta position normale, comme si de rien n'était, puisque... c'tait ça, non? Des p'tites surprises dans le genre, et c'était vite oublié, hein? Enfin, pas pour toi, mais... " Donc... tu es venue ici parce que l'invitation de mes bras confortables et musclés te faisaient envie, pas vrai? ", dis-tu, d'un clin d'oeil.
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Pourtant, j'marche comme un éléphant obèse. Tu penchas la tête, un sourire sur les lèvres. Au moins ça. Warren était le gars le plus entretenu que tu pouvais connaître, il n'avait rien d'un éléphant obèse, encore moins la démarche qu'il avait souple, et élégante. Son bras autour de ta taille te déstabilisait. Tu étais funambule, sur un câble à mille mètres au dessus du sol, ne sachant pas de quel côté aller. Chaque pas que tu faisais d'un côté t'éloignait un peu plus de l'autre. Renoncer à ce que tu avais déjà, une vie de célibat endurcit et désiré dans laquelle tu t'épanouissais bien, ou aller vers l'inconnu, vers.. le couple et t'y perdre ? Tu sais que... j'ai pas terminé de t'offrir des cadeaux? J'les garde chez moi depuis p'têtre deux-trois semaines, en attendant ton anniversaire.. Ton anniversaire était passé. Décidément, il avait un train de retard. Tu souris et le perdis lorsqu'il vint déposer ses lèvres sur ton cou rapidement débarrassé de ta crinière blonde. Tu grognes doucement, partagée entre l'idée d'en redemander ou de t'extraire de son emprise. Son souffle chaud caresse ta chair sous ses lèvres expertes. Tu es la plus belle des femmes, Olive. Les yeux fermés, tu le sens se retirer et se replacer, ne te lâchant pas le moins du monde. Je sais. réponds-tu avec le même ton qu'il avait employé précédemment. Tu t'agripes la lèvre inférieure et plonge tes yeux dans les siens. Donc... tu es venue ici parce que l'invitation de mes bras confortables et musclés te faisaient envie, pas vrai? Tu l'détestais, lui et ses phrases pleines de tentation. Tu résistais comme tu n'avais jamais résisté à personne. Pourquoi ? Parce que c'était Warren. Et parce que c'était Warren, tout était différent. Tout. Donc, je suis venue parce qu'il est impensable que tu restes à dormir toute la journée. Mon père disait : le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt. dis-tu en remontant tes mains sur ses épaules, les pressant chaleureusement sous tes doigts. Va savoir pourquoi à c'moment là, ton coeur s'était mis à jouer la fanfare, à battre à tout rompre. Ce salaud, en plus, s'était allié avec tout le reste de ton corps qui frémis, montant la température d'un coup. Sans réfléchir, poussée par ton instinct, tu te mis sur la pointe des pieds et plaquas tes lèvres contre celles de Warren, laissant ta langue aller à la rencontre de la sienne. Tu grognes contre lui, incapable de résister plus longtemps. Tu voulais Warren, tu le voulais corps et âme, tu le voulais rien que pour toi. Tu l'aimais.
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Donc, je suis venue parce qu'il est impensable que tu restes à dormir toute la journée. Mon père disait : le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt. Quelle comique, la Livette. Tu sais qu'elle n'est pas venue pour te démontrer les belles paroles sages de son père. Elle avait eu envie de te voir, pourquoi ne l'avoue-t-elle pas enfin? Ça devait être trop lui demander, encore. Mais tu es patient, et tu lui laisses le temps d'être prête. "Ton père doit avoir raison." Rien que pour la satisfaire en lui donnant raison, tu es prêt à mettre ton orgueil de côté. Eh, mais c'est pas du tout la même chose avec elle qu'avec les autres ; tu es du genre à toujours avoir raison, pas vrai? Ou pas. En réalité, tu es celui qui a toujours raison, Olive est celle qui a toujours le pouvoir. Comme là, comme ce moment où elle décide de sauter sur tes lèvres et de t'embrasser avec délice. Elle a pas le droit de faire ça, encore et encore... Mais c'ça que t'aimes, pourtant. Elle te surprend toujours, sans que tu ne t'y attendes, sans que tu ne prévoies, sans que tu ne sois prêt, et ça ne rend le moment que meilleur encore chaque fois. Tu cherches sa lèvre inférieure, tu la mordilles avec envie. Selon ton instinct, tu penches l'un de tes bras afin de le passer sous ses jambes, pour la soulever de sur terre, puis tu la transportes dans tes bras. Où? Oh, pas bien loin. Tes lèvres se posent sur ton nez, juste avant que tu ne l'échappes exprès sur le canapé où elle s'trouvait tantôt. Elle est allongée, tu es encore debout, et sans un mot, tu la regardes, le sourire aux lèvres, heureux comme tout. "Mais qu'est-ce que j'vais bien pouvoir faire de toi, Olive Bambi Shark?", dis-tu d'un ton envieux et quelque peu exaspéré, rien de méchant, rien que pour la taquiner, un peu.
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