Maxille ಇ love is torture

► Maxille + love is torture.

Jamais, oh non jamais, tu n'avais été aussi mal. Au final, t'avais même pas passée un bon week end puisque la plupart du temps, tu n'avais fais que relire les messages de Max histoire de t'achever un peu plus. Comme si t'aimais te poignarder encore et encore toute seule. Et maintenant, les cours reprenaient. T'étais plus fatiguée que jamais avec des cernes si creusés sur ton visage que tu pouvais facilement faire peur. Même le fond de teint n'avait pas servit à grand chose. Et cet état pour quoi ? Pour lui, à cause de toi. Tu lui avais fais mal et merde, t'avais mal aussi. Mal parce que quelque part, tu sentais que t'avais peut être pas fait le bon choix. T'avais choisis Trung mais Max continuait d'hanter encore et encore tes pensées comme si jamais il n'en sortirait. Tu voulais pas de cette situation, vraiment pas et pourtant.. Pourtant, ça te bouffait plus que jamais. Tu fermais les yeux quelques secondes continuant pourtant à marcher avant d'entre en colision avec quelqu'un. Ça t'apprendrais tiens. Et t'aurais jamais du regarder, t'aurais jamais du regarder qui était face à toi. Lui. Max. Tu te mordais la lèvre reculant légèrement et bredouillant un pathétique « pardon » sans rien ajouter d'autre.

J'avais mal et ça me faisait chier d'être dans un état comme ça pour une fille, sérieux. C'était d'ailleurs pour cette raison que je m'étais tourné vers Vanille, parce que je pensais qu'elle allait être inoffensive pour moi, que je n'allais pas souffrir si jamais je me décidais d'être avec elle. Après tout, quel mal pouvait-elle me faire ? Visiblement, me broyer tout entier avant d'aller se jeter dans les bras d'un autre. J'allais mal, oui. Mais il était hors de question de le montrer. J'étais maintenant heureux en couple, parce que oui, j'étais en couple. Ce n'était pas Vanille, non, c'était Sharon. Un tel revirement de situation était un peu étrange, mais seul moi avait la réponse... et une excuse. Je me suis promis à moi-même de me venger de ce Trung, une seule et unique fois. Un coup, bien placé, et ça en serait fini. Il avait gagné et j'avais perdu. Il était temps de passer à autre chose, d'être heureux. Peut-être que Sharon sera celle qui y arrivera après tout. Seul l'avenir nous le dira. La tête dans le téléphone, je me dirigeais vers mon prochain cours et, je l'avoue, j'étais loin d'être emballé. Cependant j'avais besoin de valider cette matière dans le but de garder ma place dans l'équipe de basket. C'était la seule façon que j'avais pour avoir une chance en NBA. Seulement, tête dans le téléphone dit yeux loin de regarder où je vais. Et bim, collision. « pardon » Je me sentis me raidir, chaque parcelle de ma peau frémissant. Je reconnaissais cette voix.. mon corps reconnaissait cette voix, et j'étais à présent sur la défensive. « C'est pas grave, salut » Je voulais me barrer, la laissant de nouveau seule pour faire son chemin. C'était l'histoire de notre relation après tout. Un moment on s'est croisé et il était temps de se séparer.

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C'était peut être le moment ou tu devais le contourner et continuer ton chemin sans rien demander de plus. Au final, tu savais que c'était la bonne attitude à adopter. Il avait été très clair et ne voulait plus parler avec toi. Ni aujourd'hui, ni demain, ni même dans six mois. Alors pourquoi est ce que tu restais plantée là alors que t'étais même pas capable de le regarder en face. Tu gardais ton regard rivé sur le sol sans savoir comment agir et au final, c'était encore plus dérangeant comme ça. C'était comme si ta douleur te percutais fois mille et que t'étais impuissante face à ça. Parce qu'au final, c'était le cas. T'étais impuissante à cette douleur, tu pouvais rien faire contre et tu savais que tu le méritais. C'était de ta faute si vous en étiez là. Ta seule et unique faute en fait. Sauf que t'étais pas capable de l'assumer tout comme t'étais pas capable d'assumer que tu l'avais perdu. « C'est pas grave, salut » C'était froid, sec, presque dégouté. Est ce que c'était donc ça que tu déclenchais chez lui maintenant ? Du dégoût ? Parce que si c'était le cas, il était clair que t'aurais bien du mal à t'en remettre. C'était pas possible. Pas ton Max. Tu te mordais une nouvelle fois la lèvre avant de lever ton regard vers lui. T'étais fatiguée, vraiment. Limite à bout de votre discussion qui semblait sans issu deux jours auparavant. Mais tu pouvais pas te résoudre à le laisser tourner les talons comme ça. Pas si t'essayais pas de lui parler avant. Sauf que ça semblait compliqué et t'avais peur de ce qu'il pouvait te répondre. Quelque part, tu savais que ces mots te ferais mal et tu l'aurais sans doute bien méritée. « Je suis désolée.. »

Etait-ce le destin qui avait fait en sorte que Vanille et moi se retrouvions sur le même chemin aujourd'hui ? Deux jours après qu'elle m'ait dit "yolo j'ai choisi Trung barre toi de ma life" ? Oui bon, elle ne l'avait pas dit comme ça, au contraire. Elle avait limite pas envie de me le dire, préférant l'option "je te le dirai en face pour voir comment tu souffres". Je suis certain que c'était encore un coup de son frère. Celui qui m'avait tabassé juste devant le Starbucks parce que monsieur avait appris que Vanille et moi ne nous étions pas cantonnés aux simples baisers. Si c'est ça.. putain. Je soupirais alors qu'elle était devant moi, lui faisant limite comprendre qu'elle pouvait tracer son chemin. Je n'avais pas besoin d'elle dans ma vie, j'avais Sharon à présent. « Je suis désolée.. » Ma gorge se serrait alors que je regardais partout sauf la blondinette devant moi. Putain, elle est jeune.. et elle arrive à me faire mal, à cette intensité. C'était ouf. Finalement, en inspirant plusieurs fois, je trouvais le courage de poser mon regard sur elle. Mon coeur loupait un battement, c'était dur mais je n'avais pas vraiment le choix. Je ne pouvais pas ramper à ses pieds, tout ce que je pouvais faire c'était me montrer froid et rancunier. « Désolée de ? J't'ai dit c'est pas grave, tu peux continuer ton chemin et j'vais en faire de même, pas besoin d'en faire un plat. » Je savais qu'elle ne parlait pas de cette maladresse de sa part, celle qui l'a fait rentrer de plein fouet contre mon corps. Non, elle parlait de la situation dans laquelle nous étions et je n'avais juste pas envie d'en parler. D'où mon insistance sur ça.

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"Désolé" semblait être un mot vraiment pathétique vis à vis de la situation et quelque part, tu savais que tu ne pouvais pas t'en tirer juste avec ça. Tu pouvais pas parce que tu l'avais blessé et ça se voyait. Sauf que toi aussi t'avais mal, mais c'était sûrement le genre de chose qu'il ne voyait pas, qu'il ne comprenait puisque c'était toi qui avait créé cette situation. T'avais l'impression d'être totalement dévastée à l'intérieur et ça s'accentuais avec le fait qu'il était juste en face de toi. T'avais l'envie folle de capturer ses lèvres mais t'avais pas le droit, tu pouvais pas faire ça et t'avais perdue cette option parce que tu étais trop stupide pour faire face à ce que tu ressentais. Triple idiote. Il ne te regardais même pas et c'était peut être le pire parce que là, tu sentais vraiment que tu le dégoutais. Tu sentais qu'il avait envie de tout sauf d'être là à te parler. « Désolée de ? J't'ai dit c'est pas grave, tu peux continuer ton chemin et j'vais en faire de même, pas besoin d'en un plat. » Soupir. Il le faisait exprès, tu le savais. T'étais pas bête. Quoi que peut être que si puisque tu ne voulais pas que les choses s'arrêtent là. Tu voulais pas qu'il s'en aille sans un mot de plus. Mais est ce que tu avais réellement le droit de lui demander de faire un effort alors que tout était de ta faute ? Sûrement pas. « Arrête.. Je suis désolée de cette situation ok ? Désolée de t'avoir fais mal et d'faire les mauvais choix. Désolée que mon frère s'en soit prit à toi. J'suis juste désolée et.. » T'inspirais pour pas te mettre à pleurer. Ce serait pathétique si tu te mettais à pleurer pas vrai ? Non, tu pouvais pas craquer comme ça. Fallait que tu te montres quand même un petit peu plus forte que ça. « J'ai toujours été sincère avec toi. »

Être à côté d'elle comme ça, c'était compliqué à gérer. Parce que je m'étais attaché à elle, j'avais commencé à créer une relation qui pouvait durer dans le temps, j'en étais certain. Puis son frère a découvert pour nous deux, il m'a tabassé et j'avais encore quelques marques sur le visage. Puis elle s'est éloignée de moi, elle s'est rapprochée de Trung... et voilà. Elle était avec lui, j'étais avec Sharon. C'était la triste réalité des choses, plus rien ne pouvait nous réunir... tout pouvait nous séparer. C'était bien mieux comme ça à vrai dire, moins de souffrance. Enfin.. sur le long terme. « Arrête.. Je suis désolée de cette situation ok ? Désolée de t'avoir fais mal et d'faire les mauvais choix. Désolée que mon frère s'en soit prit à toi. J'suis juste désolée et.. » Je sentais ma gorge se resserrer et je faisais en sorte que rien ne se voit sur mon visage. Je ne pouvais pas paraitre un tant soi peu vulnérable devant elle, je ne voulais pas qu'elle voit à quel point j'étais touché par la situation parce que moi-même je n'en avais aucune idée. J'avais des sentiments pour elle ? C'était une question que je n'osais même pas me poser puisqu'elle était avec Trung. Putain d'enculé. « J'ai toujours été sincère avec toi. » Là, j'ai pas pu m'empêcher de rire jaune, levant le regard au ciel avant de le reposer sur elle, secouant légèrement la tête. Elle ne pouvait pas me dire ça, absolument pas. « Arrête Vanille, tu te fais du mal là. Tu peux pas dire que t'as toujours été sincère avec moi. Tu peux pas dire qu'on a eu un "parfait premier rendez-vous" et me dire une semaine après que tu sors avec un autre. Enfin, de toute façon ça n'a plus d'importance. » Elle avait un mec et... j'avais Sharon. Et tout allait mieux. Ou presque.

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Quelque part, tu savais qu'il n'allait pas y croire. Il était tellement énervé contre toi qu'il ne pouvait absoluement pas être d'accord sur le fait que tu étais sincère et pourtant, tu ne lui avais jamais menti. Tout ce que tu lui avais dis était sincère et même encore maintenant, tu l'étais. T'était tout sauf une menteuse, on pouvait pas te l'enlever. Mais tu détestais cette situation. Tu détestais te retrouver face à lui. En fait non, c'était pas totalement ça. Tu détestais être face à lui quand il te regardais comme ça. Quand tu savais que la seule chose qu'il voulait, c'était partir loin de toi. Comment les choses avaient-elles pu tourner aussi mal en peu de temps ? « Arrête Vanille, tu te fais du mal là. Tu peux pas dire que t'as toujours été sincère avec moi. Tu peux pas dire qu'on a eu un "parfait premier rendez-vous" et me dire une semaine après que tu sors avec un autre. Enfin, de toute façon ça n'a plus d'importance. » Plus d'importance ? Vraiment ? Parce que pour toi, c'était pas du tout le cas. Ça avait toujours de l'importance. Peut être trop même. Et ses mots te faisaient mal. Plus que de normal. Il avait pas le droit de dire ça. Même s'il avait terriblement raison, il avait pas le droit. « J'ai flippée ok ? J'ai juste flippée. Tu vas vraiment m'en vouloir parce que j'ai eu la trouille ? T'as pas le droit de dire que c'est pas important parce que c'est faux. C'est important. » Au final, tu savais même pas ce que tu disais. T'avais l'impression de te perdre et de ne pas réussir à dire correctement ce que tu voulais. « Je suis désolée d'avoir fait les mauvais choix. Désolée d'avoir pris la fuite et de t'avoir laissé comme ça. Mais dis pas que c'est pas important parce que tu mens. »

L'envie de me mettre à courir pour lui échapper ne cessait de me prendre aux tripes. Je n'avais pas envie d'entendre ses explications, me dire qu'elle est désolée et qu'elle n'aurait pas dû. J'en avais rien à foutre de tout ça, ce n'étaient que des paroles. J'avais.. espéré, qu'un jour, elle et moi pouvions être en couple. Sauf que non, elle a préféré se réfugier dans les bras de son mec là, le mêcheux. Tant pis pour moi, ça m'apprendra à mettre tout dans le même panier. « J'ai flippée ok ? J'ai juste flippée. Tu vas vraiment m'en vouloir parce que j'ai eu la trouille ? T'as pas le droit de dire que c'est pas important parce que c'est faux. C'est important. » Je soupirais, baissant la tête et la secouant énergiquement, ne voulant vraiment pas entendre ses excuses, ça ne changerait rien à ce que je ressentais actuellement. « Je suis désolée d'avoir fait les mauvais choix. Désolée d'avoir pris la fuite et de t'avoir laissé comme ça. Mais dis pas que c'est pas important parce que tu mens. » Je relevais le regard, le plongeant dans ses yeux alors que je serrais les poings discrètement, cherchant à me donner le courage de lui dire ce que j'avais à dire. « Ca n'a plus d'importance Vanille. Tu es avec ton mec là, et j'suis avec Sharon, c'est tout. Fin de la discussion » Ca ne servait à rien de faire de longues tirardes, quand au final, celui qu'elle rejoint pour passer du bon temps, c'était pas moi.

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Il mentait hein ? Tu voulais tellement qu'il mente. Parce que si c'était pas le cas, ça voulait dire qu'il avait tourné la page bien rapidement alors que toi, tu étais incapable de le faire. Si vraiment tout ça n'avait plus d'importance pour lui, ça voulait dire que tu te faisais du mal depuis tout ce temps pour rien. Ça n'avait pas été facile. A vrai dire, toute cette situation était tout sauf facile et il n'avait pas le droit de faire comme si c'était pas grave. Comme si vous pouviez réellement continuer vos chemins chacun de votre côté en vous fichant éperdument du reste. Tu t'en fichais pas toi. Bien loin de là. Et t'avais mal de le voir agir comme ça. T'avais envie d'hurler, de pleurer aussi. T'avais envie de lui dire à quel point c'était injuste qu'il agisse comme ça. A quel point tu regrettais de ne pas être avec lui et lui expliquer le pourquoi du comment de tes décisions. T'avais tellement de chose à lui dire et au final, t'y arrivais pas. T'arriver pas à t'exprimer parce que t'avais comme la sensation que ça ne changerait rien. Qu'il était déjà trop tard et qu'aucun de tes mots ne pourrait rattraper le mal que tu lui avais fais. Tu détestais le regard qui posait sur toi, l'air qu'il te lançais et tout ce qu'il ne disait pas mais que pourtant, tu ressentais puissance mille dans ta poitrine. Tu détestais tout ça et t'avais envie de pleurer comme si ça pouvait te libérer de toute la douleur que tu ressentais à l'intérieur de toi. « Ca n'a plus d'importance Vanille. Tu es avec ton mec là, et j'suis avec Sharon, c'est tout. Fin de la discussion » C'était le pire. Comme un coup de poignard en pleine poitrine. Le sentiment de vide. T'arrivais même pas à accuser ses paroles. Sharon. Il était en couple avec cette fille mais après tout, peut être l'avais tu bien cherchée. Tu fermais les yeux quelques secondes comme prise de vertige avant de sentir la colère monter en toi. Et sans même que tu ne réfléchisses vraiment, tu lui mettais une gifle. Puissante, forte. Jamais t'avais frappée quelqu'un avant ça mais il l'avait mérité. Il savait qu'il l'avait mérité. « T'es un idiot. Un profond idiot Florès et je te déteste. » Il avait réussi, tu pleurais. C'était aussi la raison qui faisait que tu tournais les talons. C'était mieux comme ça.

Lui dire ça comme ça, c'était pas mon but. A la base, j'avais envie qu'elle l'apprenne comme ça, de façon totalement par hasard. Mais non, elle insistait et j'avais juste besoin qu'elle me foute la paix, qu'elle cesse de remuer le couteau dans la plaie. J'avais besoin d'un certain espace qu'elle ne pouvait tout simplement pas me donner si je la jouais gentil et compréhensif. J'avais pas envie que Vanille soit mon amie, j'avais envie qu'elle soit plus. Mais par sa peur de l'engagement avec l'inconnu, elle avait préféré la sécurité, quitte à me rendre mal. Elle... elle avait fait en sorte de me détruire encore un peu plus, et je m'étais simplement vengé. Je la regardais, j'observais son visage se décomposer à mes mots. Je l'avais blessée ? A tous les coups ouais. C'était sûrement pour ça qu'elle fermait les yeux en fait, parce qu'elle se contenait dans les émotions qu'elle ressentait en cet instant précis. Je devrais en profiter pour m'en aller, j'avais eu "ce que je voulais", mais je me sentais mal, puisqu'au final, j'avais pas envie de tout ça. Je ne voulais pas lui en vouloir, je ne voulais pas la détester pour m'avoir fait mal... je ne voulais pas la blesser pour qu'elle se sente aussi misérable que je le suis. Mais c'était comme ça, on était dans cette situation de merde qui ne faisait que blesser tout le monde. Et au final, la seule façon de s'en sortir, c'était de couper entièrement les ponts, c'est tout. Plus facile à dire qu'à faire non ? Avant même que je ne puisse réfléchir à faire quoique ce soit, je sentais une gifle mémorable atterrir sur ma joue. Je ne l'avais pas volée, c'est vrai, mais je pouvais pas m'empêcher de porter ma main sur le lieu de l'impact, tant la douleur était vive... cependant, pas aussi vive que celle que je ressentais à mon coeur. « T'es un idiot. Un profond idiot Florès et je te déteste. » Je serrais les dents, le poing et tout ce que je pouvais faire, c'était me défendre verbalement. Je devais avant toute chose m'immuniser des larmes qui coulaient sur ses joues, puisque sans que je le veuille, elles m'atteignaient malgré tout. Une fois fait, je me mis à lui répondre. « Tu crois que j'te déteste pas ? On partageait un truc, un truc fort et puissant et toi, t'as tout envoyé en l'air parce que t'as "flippé" ! Tu t'es foutue en couple avec un mec pour qui tu ressens rien.. Tu me l'as dit toi même, tu sais même pas pourquoi t'as fait ça ! Bah laisse moi te dire, j'en sais rien non plus pourquoi j'ai fait ça, mais je l'ai fait. T'as pas le droit de m'en vouloir parce que TU m'as fait exactement la même chose. Je ne fais que me protéger, voilà tout » J'étais essoufflé tant cette situation était dure à vivre, parce que j'avais envie de tout envoyer valser pour l'embrasser, mais je la détestais tellement que je me contenais, ne voulant pas non plus faire souffrir ma nouvelle petite amie, avec qui je m'engageais dans la fidélité.