Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJacey ► I can read your body language - Page 2
Le Deal du moment : -20%
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
Voir le deal
239 €


Jacey ► I can read your body language

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
I can read your body language
w/ Jade & Jacey  
« T’as pas vu les autres je suis sûr ! » Bah évidemment qu'il en était sûr, je venais de le dire. Je n'avais vu que Gran Torino. C'était beaucoup trop facile dire qu'il était sûr de quelque chose que j'avais affirmé juste avant. A moins qu'il fasse semblant de m'écouter depuis tout à l'heure. « Demain je te montre Million Dollar Baby ! ». Un film parlant de boxe pas de soucis, du moment qu'il ne faisait pas partie des acteurs. J'assumerai pas de le voir se prendre un coup. C'est d'ailleurs pour cette raison que je voulais qu'il s'entende bien avec Darnell. Mon cher et précieux ami est de nature calme, seulement, il ne faut pas trop le chercher et apparemment, il n'aimait pas mon Jacey. Il faisait un effort pour moi. J'apprécie pas du tout qu'on se mêle de ma vie privée, de mon couple aussi étrange soit-il pour les autres. Mais Nolwenn et lui étaient mes amis les plus proches, avec Misha aussi alors j'essayais de ne pas leur rentrer dedans quand ils prononçaient le nom de Jacey dans une phrase négative. Du moins, j'essayais de ne pas trop leur rentrer dedans.
Et c'est suite à un nouvel aveux de mes sentiments pour lui qu'il m'invita à dormir chez lui. Dans sa nouvelle demeure. Celle qu'il partageait avec mes meilleurs amis et 6 autres personnes. Quelle colocation énorme. J'espérai ne vraiment pas les croiser ce soir. Je ne voulais pas me retrouver face à leurs regards accusateurs. Ça finirait par gâcher ma journée qui avait pourtant commencé à la perfection. « Oui oui je viendrai dormir chez toi ce soir mais s'il te plaît, si tu conduis, regarde la route ! ». Il serait Lewis Hamilton que se serait la même chose pour moi. Angoissée vous connaissez ? Bah c'est moi ! C'est mon surnom. Pour moi, quand on conduit, on ne regarde pas celle qu'on aime, mais la route. Qu'elle vous frappe, vous morde, vous embrasse ou tente de vous tuer. Quoique pour le dernier cas si car la route nous importe peu.
J'ai horreur des personnes qui s'embrassent, se caressent en public et pourtant là, dans cette queue, avec Jacey, j'oubliais les gens autour de moi et mon mépris pour les personnes dans le même genre d'action que nous. Je ne pouvais pas m'empêcher de rire en entendant ce qu'il avait osé dire devant les regards de certains et surtout, les oreilles indiscrètes se trouvant à nos côtés. « Tu ne serais pas capable de mettre à exécution ce que tu viens de dire ! ». Je le provoquais pour voir s'il était vraiment capable de le faire mais la file avançait et je regardais plus où je mettais les pieds que ce qui se disait autour de moi. Mon homme parlait à la guichetière pour nous deux, il me tenait également la porte. Je le remerciais par un sourire. « Tu veux te mettre où ? ». Et voilà le genre de question qu'il ne faut pas poser à une indécise de mon calibre. Tant de places que je ne savais pas où me poser. J'attrapais de nouveau sa main, ne voulant pas le perdre de vue, même s'il était bien trop grand pour que ça arrive réellement. Je montais les marches nous menant tout en haut de la salle de cinéma. Et j'avançais entre les rangées de chaises jusqu'à ce qu'on soit sur les sièges du centre. Tout en haut, au centre. Comme les rois de la salle que nous étions. J'ai pris la grosse tête, ça ne fait rien. Une fois assis, Jacey se mit à me parler d'un projet qu'il avait en tête. Aucun nuage à l'horizon, il me parlait déjà de Janvier. Est-ce que tout allait vraiment bien pour nous alors ? Je ne sais pas, mais c'est l'impression que notre couple me donnait. « Oui bien sûr, mais on a le voyage au ski et c'est jusqu'au 5 Janvier ! A moins qu'on s'en aille avant ! ». Avant ou après, peu m'importe. Il venait de me proposer de passer des vacances rien qu'avec lui alors peu importe la date, j'étais contente. Il ne pouvait pas me faire plus plaisir qu'à cet instant.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Jacey avait ce besoin irrépressible de passer un maximum de temps avec Jade. Parce qu’à l’heure actuelle, les choses semblaient aller pour le mieux, et que tant qu’une dispute ne venait pas interférer entre eux, les choix ne s’imposaient pas à lui, et donc Jacey pouvait apprécier la vie de couple sans trop se poser de questions. Il est vrai qu’en deux ans de relation, les périodes d’accalmie avaient été plutôt rares, et ça lui apparaissait étrange, comme si ça couvait quelque chose, un problème à l’horizon, ou un mensonge. C’était trop beau pour être vrai. Mais plutôt que de cogiter, Jacey multipliait les sorties avec elle, histoire de ne plus se torturer l’esprit. Le cinéma n’était peut-être pas sa meilleure idée, mais au moins, ils sortaient. La moindre minute avec elle était un instant de bonheur. Il se souvenait encore de leur rencontre, de l’alchimie qui s’était installée entre eux si rapidement qu’il ne l’avait pas vue venir. Elle lui était devenue indispensable en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, et la danse les avait irrémédiablement rapprochés pour en faire ce couple spécial qu’ils étaient aujourd’hui. Mais comme tous, ils n’étaient pas à l’abri. Si Jacey s’imaginait bien finir sa vie auprès d’elle, il n’en était pas encore arrivé à ce stade concret. Il avait besoin de temps. S’il refusait de lui faire de la peine, son comportement n’était pas irréprochable, d’où sa volonté de lui montrer qu’il tenait à elle.
Jade pensait que Jacey n’était pas capable de tout. Elle pensait surement qu’à venir d’une bonne famille, il avait été bien éduqué, et qu’il ne se permettait pas tout et n’importe quoi. Mais c’était bien mal le connaitre. L’ange Brooks n’était de mise qu’une fois de retour à New-York chez ses parents. Quand il était à Harvard, en présence d’autres jeunes, c’était une toute autre personne. Il tentait toujours le diable, se plaisait à se tourner en dérision, parce qu’il considérait que le ridicule ne tuait pas et qu’il fallait faire en sorte de profiter tant qu’il en était encore temps. Qu’il ait payé ou non pour le film, si les provocations « C’est bien mal me connaitre mademoiselle… Si ameuter la moitié du cinéma jusqu’aux toilettes ne te pose pas de problème, à moi non plus… » Et il ponctua sa phrase d’un baiser rapide, passant une main dans le dos de sa copine. Et puis, ils finirent par rentrer dans le cinéma, où elle jeta un regard à travers la salle, sa main bien nichée dans celle de Jacey pour voir où ils pourraient s’asseoir. Son choix fut surprenant. Se placer en plein milieu des gens signifiait donc que la jeune femme comptait rester assise et ne plus bouger pendant trois heures. Jacey ne dit rien, se contentant de s’asseoir à côté d’elle, bien placé car il surplombait la salle, pour apprécier le film. Quant à son projet pour le jour de l’an, Jacey fut ramené à la réalité par Jade. C’est vrai, il n’avait pas pris conscience des dates du voyage à Alberta. Il avait simplement songé à l’emmener quelque part dans ce monde, dans un endroit paradisiaque, et ses plans tombaient à l’eau. Grimaçant, il fit une moue avant de répondre : « Oh…j’avoue ne pas avoir regardé les dates. Et après y a les examens… » Il était déçu de ne pas pouvoir organiser ces petites vacances en amoureux. Et puis, il se mit à réfléchir. Qu’est-ce qui les empêchait de partir avant en vacances ? Ils rattraperaient bien leurs cours auprès d’autres personnes. Car écourter le voyage à Alberta ne donnerait pas suffisamment de temps pour profiter. Il lui suggéra alors en se penchant vers elle : « Sinon si ça te gêne pas de rater la dernière semaine de cours, on y va avant de partir à Alberta. Si ça te gêne, alors on partira pour les prochaines vacances ! » Il ne la forcerait pas, mais il réussirait peut-être à l’influencer. Si lui l’avocat modèle était tenté par l’école buissonnière, la Mather déjantée ne pouvait qu’accepter. La contemplant avec amour avant de l’attirer contre lui et la faire asseoir sur ses genoux, il la complimenta une énième fois : « Tu sais que t’es la plus belle ? » Souriant envouté par la jeune Burberry-Gauthier, s’empara de ses lèvres dans un baiser langoureux, se fichant bien des personnes autour. Son attention était focalisée sur elle, et ses mains se baladaient furtivement sous les vêtements de la belle, l’effleurant tout en jouant avec les formes de sa silhouette. Il s’abreuvait de son souffle comme une bouffée d’oxygène. Le cinéma était théâtre de leur amour.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
I can read your body language
w/ Jade & Jacey  
Ameuter tout le cinéma ou même tout le quartier ne me dérangeait pas tant que ça. Puis, c'est pas comme s'ils pouvaient entendre ce qu'il se passait hors de la salle de projection vu le volume sonore des films projetés sous leurs yeux de zombies.  On avait déjà commencé à étaler notre amour et notre envie en public en patientant pour acheter nos places et même une fois assis, c'était le cas. Je ne pouvais pas m'empêcher de parler et de l'embrasser à chaque fin de phrase. J'aimais absolument tout chez lui. Sa façon de parler, sa voix hyper grave et attirante, son regard, ses lèvres, son sourire. J'étais accro à son apparence, ça ne faisait aucun doute mais j'en étais également vraiment amoureuse. « Et bien moi non plus ! ». J'avais l'impression d'avoir gâcher ses plans en ouvrant simplement la bouche. Mais j'étais prête à annuler mon inscription à Alberta pour ne passer du temps qu'en sa compagnie. Au fond, on en avait vraiment besoin tout les deux. J'avais vraiment besoin de le retrouver et de ne l'avoir que pour moi quelques temps. Sans ses colocataires qui ne l'aimaient pas pour certains, sans ces filles à qui j'arracherais bien la tête, sans ces mecs autour de moi. Sans visite à l'hôpital pour voir un Misha qui a tenté de se foutre en l'air avant de me balancer des excuses à faire pleurer. Fallait vraiment que j'arrête de penser à tout ça où j'allai finir par m'énerver sans même le vouloir. Le but de cette conversation n'était pas de me mettre en colère, mais de trouver un moment pour être tout les deux ensembles, sans rien ni personne autour. « Non ça me gène pas, on fait comme ça ! ». Une nouvelle phrase que je terminais par un baiser. Je ne comptais pas refuser cette proposition. J'avais beaucoup trop joué à la fille pas prête, distante, lourde. Il fallait que ça change un peu. Il fallait que je change un peu et que je sois plus ouverte, moins froide.
Il me fit asseoir sur ses genoux. Je ne m'y attendais pas alors je poussais un petit cri avant de mettre ma main devant ma bouche, assez gênée par ce que je venais de faire. La discrétion et moi ne sommes pas très amis, c'est vrai. « Tu sais que t’es la plus belle ? ». Qu'il le dise une fois, dix fois, ou cent fois, ça avait toujours le même effet sur moi, comme si c'était la première fois que ces mots sortaient de sa bouche. Je prolongeais son baiser avec fougue. J'étais vraiment dingue de cet homme et je m'en rendais compte à l'instant. Je sentais ses mains sous mes vêtements, ses mains froides sur mon corps chaud, brûlant même. J'avais terriblement envie de lui mais c'était surement pas le meilleur endroit pour combler ce type d'envie. Je mis fin au baiser pour le regarder quelques instants dans les yeux. « Je t'aime mon coeur ! ». Mon coeur battait beaucoup trop vite selon moi. Pour moi, il n'y avait que nous. Les autres n'existaient pas. J'avais oublié où nous étions à l'instant même où je prononçais ces quelques mots qui voulaient tout dire pour moi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
S’investir dans une relation Jacey ne l’avait pas toujours fait. Il était le premier à dire qu’il s’attachait vite, mais qu’il se laissait toujours aussitôt. Avec Jade, les choses avaient été différentes, et bien qu’il y ait des hauts et des bas, ils étaient encore accrochés l’un à l’autre comme si ces ruptures n’avaient jamais existé. C’était un bon point pour eux, mais ce qui ne les aidait pas c’est qu’elles se produisaient généralement pour des choses futiles parce qu’ils n’avaient pas la même façon de voir le monde. Mais quand ils s’accordaient, c’était comme une pluie d’étoiles filantes, c’était juste majestueux. Jade faisait des sacrifices pour Jacey et il n’avait même pas l’air de trop s’en rendre compte, parce que pour lui, elle n’avait pas besoin d’en faire, les choses roulaient d’elles-mêmes. Projeter de partir en amoureux rien que tous les deux, c’était presque nouveau. C’était comme franchir un autre cap dans leur relation, comme si au fond, il était en train de lui prouver qu’il pouvait aussi s’engager sans que ça ne le contrarie trop. Des vacances, c’était juste pour profiter, d’être tranquilles, loin de tous ces gens qui jalousaient leur vie, loin de ceux qui voulaient à tout prix les séparer. Il s’imaginait déjà se dorer la pilule à ses côtés sur le sable chaud, sur une île déserte, tranquilles, à l’abri des regards. Il s’accordait un instant de rêve éveillé, perdu dans ses pensées, bien vite réveillé par Jade qui prenait possession de ses lèvres et qui le transportait jusqu’à lui arracher un sourire. Elle était partante pour sécher les cours. La Mather ne craignait pas de rater ses examens en janvier, et lui non plus. De toute façon, il connaissait déjà tout son cours, en droit si l’on veut réussir il faut prendre un temps d’avance sur les autres, ce qu’il faisait magistralement. Et puis, il se promettait de la couvrir de baisers autant que ce qu’il la couvrirait de cadeaux. Rien n’était trop beau pour elle, et même si la jeune femme n’avait l’air de manquer de rien, il était prêt à dépenser des fortunes pour ce petit bout de femme qu’il aimait depuis plus de deux ans déjà. Elle le faisait rire par ses cris, ses gestes, il arrivait encore à la surprendre, et il riait de bon cœur, conquis par la spontanéité de la jeune fille. Il avait envie de la complimenter encore et encore, qu’elle sache à quel point elle était importante à ses yeux, même si son comportement laissait entendre le contraire de temps à autres. Ils se donnaient en spectacle, et Jacey pouvait percevoir les murmures audibles de certaines personnes complètement outrées par leur comportement mais pas assez pour venir les réprimander. De toute façon, il se ferait une joie de pousser le vice encore plus loin, si l’un d’eux venait à les importuner. Les pubs défilaient sur l’écran mais Jacey était beaucoup trop occupé. Les lèvres de Jade étaient douces, son corps était brulant et Jacey sentait la température monter d’un cran. Et puis, elle le captiva un instant de son regard, tandis que les yeux de Jacey s’attardaient sur ses lèvres qui prononcèrent des mots auxquels il ne s’attendait plus, parce qu’en deux ans, ces mots-là n’avaient pas fait partie de son vocabulaire. Surpris, il ne resta pas immobile plus longtemps. Il rapprocha lentement leurs visages, jusqu’à ce que son front soit collé au sien, et puis, il l’embrassa dans un baiser doux et pur, tendre, en guise de réponse. C’était bon à savoir, même s’il le savait déjà, il était content qu’elle ait enfin réussi à se débarrasser de son blocage. La tenant toujours sur ses genoux, Jacey ne pouvait plus se passer de ses lèvres, et entre deux baisers fiévreux, il lui souffla : « Je t’aime J., tu t’imagines même pas à quel point. » A ce moment-là, les lumières s’éteignirent.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
I can read your body language
w/ Jade & Jacey  
Quand j'étais plus jeune, j'avais eu la malchance de tomber sur le salaud par excellence. Je suis sortie avec pendant plusieurs mois, je m'y suis attachée, j'ai eu ma première fois avec lui et vice-versa et il m'a trompée. C'est peut-être cliché mais c'est bien ce qu'il s'est passé. Il s'est servit de moi, a couché avec moi tout simplement pour avoir enfin sa première fois et pouvoir ensuite s'enfiler toute une tripotée d'autres filles toute aussi naïves que moi. Et à côté de ça, j'étais moi-même le fruit d'une tromperie. Mon père avait trompé sa propre femme avec ma mère et je suis venue au monde. Comment avoir confiance en moi ? Comment avoir confiance en l'Homme quand tu sais d'où tu viens ? Quand tu sais que tu n'es pas toi-même le fruit de ce sentiment soi-disant sincère entre deux personnes. J'avais du mal. J'y arrivais pas. J'avais lutter durant de nombreuses années contre mes sentiments, les refoulant tout le temps. Je ne les acceptais pas, je ne voulais pas y faire face. Faire subir aux mecs exactement ce que Maxime Jackson m'a fait vivre est bien plus jouissif. Si je pouvais prendre sa tête et la taper contre le béton, je me sentirais bien mieux. Car oui cet enflure est à Harvard, dans ma confrérie. Je vois donc son visage d'hypocrite tout les jours ... J'ai pris un malin plaisir à me comporter comme la dernière des garces, comme une fille sans coeur, comme la reine des glaces Mather, car apparemment, il en faut une dans toutes les confréries. Mais tout ça a changé il y a deux ans. Pour commencer, notre rencontre ne s'est pas faites comme avec tout les autres mecs. Je n'étais pas soûle, je n'étais pas déprimée, je n'avais pas envie de m'envoyer tout simplement en l'air. Non ! Ca s'est fait en cours, en cours de danse. Le seul endroit où j'ose dire que je suis vraiment moi. Un coup de coeur artistique, un coup de coeur physique. Sa voix, sa façon de me toucher, de me parler. Je ne m'attendais pas à ce que ça se passe aussi bien entre nous, que ça dure deux ans. Je ne pensais pas que je nous donnerai la possibilité d'aller au-delà d'un an. Malgré les ruptures, les descentes vertigineuses vers les insultes, les disputes et tout ce qui va avec, nous nous sommes toujours remit ensemble. J'aimais me dire que notre couple était tellement solide qu'il résistait à toute les tempêtes. Mais dans le fond, j'avais peur, comme n'importe qui que la corde cède un jour, se brise et emporte notre couple loin, loin de nous. Je l'aimais, ça ne faisait aucun doute. Je n'arrivais juste pas à le lui dire. Mais aujourd'hui, je ne sais pas pourquoi, ces mots sortaient enfin de ma bouche et sa réponse fut tout simplement... belle, touchante, excitante, adorable... Je pourrai continuer encore longtemps comme ça. Je restais bouche-bée, le regardant juste dans les yeux, jusqu'à ce que les lumières s'éteignent. Je posais de nouveau mes lèvres sur les siennes, me serrant bien à lui. Le film, je m'en contrefichait. Bien plus qu'avant que l'on ne s'y rende. J'approcha mes lèvres de son oreille, murmurant lentement. « J'ai envie de toi, tout de suite ! ». Ses quelques mots avaient réveillé en moi l'envie que j'avais de cet homme, de mon homme. Non, disons qu'elle était bien plus forte qu'au départ. Comme je l'avais dit, je ne comptais pas le laisser regarder son film, surtout pas après ce qu'il venait de me dire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Les propos de Jade étaient on ne peut plus explicites. Elle avait envie de lui. Elle avait donc décidé de le priver de son film. Parce que le choix dans ce cas-là, était vite fait. Il était impossible de regarder le film en faisant l’amour à Jade ; ils devraient se contenir à cause du monde qui se trouvait à leurs côtés, et en plus, ils étaient plutôt à l’étroit dans cette salle de cinéma. Il n’était pas question de faire ça rapidement pour faire passer l’envie, au contraire, Jacey voulait qu’elle se souvienne de chaque fois comme la meilleure de toute sa vie. Interstellar, il pourrait toujours le voir en DVD, tandis que laisser passer une occasion de combler sa petite-amie, c’était comme lui faire comprendre qu’elle n’avait absolument pas d’importance pour lui alors que c’était bien entendu tout le contraire, il n’y avait qu’à se focaliser sur les mots qu’il avait prononcés plus tôt pour le comprendre. Il l’aimait, et il n’avait pas honte de le dire. Jade avait illuminé le visage de son petit-ami pourtant assis dans l’obscurité. Il souriait, rayonnant de bonheur, une mimique espiègle sur les lèvres. Il attira la belle Mather pour la rapprocher encore et toujours plus de lui, l’embrassant langoureusement de façon toujours plus suggestive, et quand le souffle vint à lui manquer, il considéra que c’était le moment de se lever, de quitter la salle pour se trouver un endroit où ils pourraient s’unir sans que l’on vienne les importuner. Quittant avec regret les lèvres de la belle parisienne, il lui souffla contre ses lèvres : « On s’arrache ? » Ils allaient gêner tout le monde pour sortir, mais il n’en avait que faire. Il saisit la main de la demoiselle et se fraya un chemin devant les jambes de toutes les personnes qui rouspétaient alors que Jacey était hilare et ne cessait de regarder Jade. La rangée passée, ils poussèrent la porte de la salle pour se retrouver dans le couloir. « Les toilettes c’est pas très glamour, mais au moins on sera tranquille… » Dit-il comme une suggestion, sauf qu’il ne lui laissait pas le choix. L’envie l’avait gagné lui aussi, et sans lâcher la main de Jade, il poussa la porte des toilettes finissant enfin par lui sauter dessus, en l’embrassant lascivement, en la collant contre la porte d’entrée des toilettes. Elle l’enivrait, cette fille avait un pouvoir de séduction sans limite et il était fier de se dire qu’elle lui appartenait. Il laissa glisser ses mains sur ses hanches, portant la jeune femme dans ses bras pour la faire asseoir sur le lavabo, arpentant de ses mains expertes la silhouette parfaite de Jade tandis que ses lèvres parcouraient inlassablement chaque parcelle de peau qui lui était offerte. Il la faisait languir, mais le désir était presque oppressant tant il l’animait avec force. Reprenant possession de ses lèvres, il s’interrompit brièvement pour lui retirer son haut avant de capturer ses lèvres sensuelles avec amour et passion. Son rythme cardiaque s’était passablement accéléré, et il jouait avec sa lèvre inférieure en lui mordillant avec amusement, un sourire radieux sur ses lèvres. Ses mains glissaient le long de ses cuisses, puis remontaient dans le dos de la jeune femme, jusqu’aux agrafes du soutien-gorge de la belle qu’il défit sans problème et qu’il balança sans regarder où ce dernier atterrirait. Là, ses lèvres déposèrent une multitudes de baisers brûlants sur la poitrine de la jeune femme, sentant la température monter d’un cran. Quant à ses mains, elles ne cessaient d’effleurer doucement le dos de la fille Burberry, cherchant à démultiplier toutes les sensations qu’elle pourrait découvrir ce soir. Plus les minutes s’écoulaient, et plus le baromètre du désir se remplissait. Il finirait par atteindre son paroxysme, ça ne faisait aucun doute.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
I can read your body language
w/ Jade & Jacey  
J'avais accepté son invitation au cinéma, malgré le fait que je n'aimais absolument pas le type de film qu'il m'avait proposé. Lui l'aimait et, si je pouvais lui faire plaisir en étant juste là, à ses côtés, j'étais contente. Sauf que je ne lui avais pas promis de rester sage et attentive. Nous n'avions pas encore mis les pieds dans la salle de cinéma que l'on commençait déjà à s'embrasser, se câliner, s'enlacer sous les regards des autres personnes dans la file d'attente, comme nous. Et moi qui n'aimais pas m'afficher comme ça en public, je ne réagissais pas. J'étais tellement bien dans ses bras qu'il n'y avait personne autour de nous. Dans la salle de cinéma, c'était pareil. J'étais assise sur ses genoux, les bras autour de son cou. On parlait vacances et cours. Jusqu'à ce qu'il me dise, « Tu sais que t’es la plus belle ? ». Non, je ne le savais pas. A mes yeux, ce n'était pas le cas. Pour moi, j'étais la grande française mal dans sa peau, avec un problème de drogue, de nutrition et parfois d'alcoolisme. Je ne me voyais pas comme la femme la plus belle qui soit. Mais à ses yeux, je l'étais. Je me trouvais chanceuse d'être avec lui depuis deux ans, sincèrement. Il me rendait heureuse, un peu plus chaque jour. Mais le plus étonnant, ce n'était pas son compliment, mais ma réponse. J'avais enfin osé lui dire à voix haute que je l'aimais. J'étais enfin passée au-dessus de ce blocage et sa réponse fut tout simplement magnifique. Non, je n'imaginais pas à quel point il m'aimait. Je n'osais même pas l'imaginer. Mais cette sublime déclaration réveilla en moi une incroyable envie de lui. Je ne la cachais pas. Je lui avais fait part de mon envie, à l'oreille. Le film venait à peine de commencer et apparemment, ça ne le dérangeait pas de le rater. Il captura mes lèvres en guise de réponse. Si je pouvais garder sa bouche indéfiniment contre la mienne, je le ferai. J'étais vraiment bien. Il mit fin au baiser, gardant ses lèvres toujours proches des miennes, me demandant à voix basse si on pouvait s'en aller. Une question qu'il n'avait pas besoin de me poser car, vu ce que je lui avais dit il y a peu, l'envie de m'en aller de cette salle obscure et pleine d'inconnus était bien présente depuis longtemps. Je me levais avant qu'il n'en fasse de même. Il saisit ma main, passa devant, nous frayant un chemin jusqu'à la sortie. On gênait toutes les personnes déjà confortablement installées sur leur siège. Lui riait et moi, je m'excusais pour nous deux. Je m'excusais en essayant de ne pas rire. Je ne regardais pas Jacey mais le sol, c'était beaucoup plus facile de garder son sérieux ainsi. Une fois à l'extérieur, il me proposa les toilettes. Il pouvait m'emmener n'importe où. A cet instant précis, le glamour, j'en avais que faire. Arrivés sur les lieux, il me sauta dessus, ne prenant même pas la peine de vérifier qu'il n'y avait personne et ce n'était pas moi qui allait le lui rappeler. Il me plaqua contre la porte des toilettes et la seule précaution que j'avais prise, c'était celle de verrouiller la porte avec le petit loquet, de ma main libre. Je pouvais enfin passer aux choses sérieuses. Sentir ses mains parcourir tout mon corps me donnait des frissons. Ça intensifiait surtout mon envie de lui, qui se faisait de plus en plus forte. Il posa ses mains sur mes hanches, me portant jusqu'au lavabo où il me posa avant de retirer chaque vêtement que je portais sur la partie supérieure de mon corps. Il déposa des baisers sur mes lèvres, ma poitrine, ses mains caressaient lentement mon dos. Je frissonnais, je brûlais de désir pour lui. Je passais mes mains sous son tee-shirt, les remontant lentement, jusqu'à le lui enlever complètement. Je regardais quelques instants son torse parfaitement dessiné. Je souriais tout en me mordillant la lèvre inférieure. « T'es tellement parfait ! ». Je l'attrapais par les bras afin de l'approcher de moi. Passant mes bras autour de son cou, j'emprisonnais ses lèvres, l'embrassant langoureusement. J'adorai la tournure actuelle des événements et j'avais hâte, terriblement hâte d'aller plus loin.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Faire l’amour dans un lieu public n’était pas quelque chose que Jacey faisait à l’ordinaire. Il était suffisamment civilisé pour faire ça dans une chambre, pour éviter de se donner en spectacle ou se faire surprendre, mais les choses avaient été différentes cette fois. Parce que les circonstances se prêtaient au jeu. Jade l’avait suffisamment allumé pour qu’il sente une flamme brûler et grandir au sein de lui. Le désir ardent d’elle s’était répandu, et il ne pouvait plus faire preuve de patience, il avait décidé d’oublier le film. Entrer en contact avec son corps valait tous les films du monde. Avec Jade, il dépassait les limites de l’univers entier. Aussi, il n’avait pris aucune précaution quant à la disponibilité des lieux, il s’y était engouffré et s’était rué sur la belle française aussi impatient qu’un bébé réclamant son biberon. Heureusement pour lui, Jade avait de la jugeote même terrassée par l’envie, et verrouilla la porte pour qu’ils soient tranquilles. Si une petite mamie ou une gamine avait envie de soulager son envie pressante pendant la séance, elle n’aurait qu’à se diriger chez les hommes ou se retenir. Jacey perdait le sens des responsabilités. A l’heure actuelle, il était focalisé sur le corps de la jeune femme qu’il chérissait tant, et dont les formes parfaites lui faisaient perdre la tête. Il avait l’impression d’être en altitude tant les battements de son cœur s’accéléraient au rythme des caresses de la jeune femme qui l’enivraient toujours plus. Et Jade, conquise, réceptive comme jamais retira le t-shirt de son petit ami d’une traite, s’attardant sur la vue de son torse dessiné par les heures de musculation, agrémenté de nombreux tatouages et elle prononça des mots qui firent jaillir un sourire d’entre les lèvres du natif de New-York. « C’est toi qui est parfaite mon amour. » Et tandis qu’elle le rapprochait d’elle, s’occupant de ses lèvres une fois de plus dans un baiser brûlant, les mains de Jacey glissèrent le long de la silhouette de la belle Mather pour s’arrêter au niveau de ses hanches et commencer à défaire les boutons de son pantalon, puis faire glisser ce dernier le long de ses jambes fuselées, sans pour autant arrêter de posséder ses lèvres avec fièvre et langueur. Tout contre ses lèvres, s’abreuvant de son souffle, il lui dit : « J’ai jamais fait un truc pareil avant… » Sous entendu, jamais dans des toilettes, jamais en public, mais avec elle il découvre autre chose. Il se débarrasse du pantalon de la jeune femme en l’envoyant dans un coin, l’envie et le désir de plus en plus pressants, il finit par retirer la dernière barrière de vêtements qui l’empêchait de s’unir à elle après avoir cherché à augmenter la température du corps de sa petite-amie en l’alimentant par des caresses toujours plus suggestives. Il avait terriblement envie d’elle, son corps tout entier le suppliait de cesser de jouer à la faire languir, il la voulait toute entière, contre lui, pour lui démontrer au combien il l’aimait. Si la salle de cinéma allait voyager au cœur de l’espace, eux ils allaient tout droit dans une autre dimension.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
I can read your body language
w/ Jade & Jacey  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il suffit parfois d’un rien pour que l’amour s’évade de cœurs endiablés pour rendre un instant magique, pour suspendre le temps. On en oublie tous les soucis, tous les tracas. Jade, elle provoque tant de choses contradictoires chez Jacey, parce qu’elle bouleverse tout son quotidien. Ils ont beau se disputer souvent, elle l’aime comme au premier jour et l’adore un peu plus chaque jour. S’unir à elle par le biais de la relation charnelle c’est renforcer un peu plus leur lien, mais c’est aussi le détruire ; parce que leur complicité ne peut pas se limiter qu’à leurs corps enflammés, pêle-mêle. Jacey imaginait Jade comme une reine qu’il fallait protéger mais à qui il fallait prouver tout son amour. Malgré son comportement, malgré tout ce qu’il pouvait dire ou faire de contraire à cela, l revenait toujours à ce constat : elle était la femme idéale, la personne avec qui il s’imaginait fonder une famille, vivre et même mourir. Mourir à ses côtés serait un privilège. Elle serait sa première fois dans un lieu public, et elle serait celle qui lui ferait goûter à une autre façon de lui dire ‘je t’aime’. Elle serait celle qui lui ferait oublier le côté indécent des lieux, pour le transporter ailleurs. Tant qu’il restait avec elle, rien n’était impossible. « Je t’aime Jade. » Souffla-t-il entre deux baisers tandis qu’elle reprenait avec ferveur ses lèvres, une fougue certaine l’étreignant. Et puis, il sent les mains de sa petite-amie s’aventurer toujours plus loin, pour lui arracher un râle sensuel. Interstellar n’était plus qu’un lointain souvenir, là entre ses mains expertes, il voyageait et partait dans une dimension luxurieuse qu’il n’avait fait qu’effleurer jusque-là. Il se rapprocha d’elle, l’attente était insoutenable, et il étreignit la Mather en cherchant à retenir un gémissement de plaisir exquis, qu’elle seule savait lui procurer. A cet instant il la détestait autant que ce qu’il l’aimait. Le faire attendre de cette façon était un supplice des plus insupportables. Et pourtant un sourire habitait son visage, lui donnant une mimique conquise. Et ça ne faisait que commencer. Jade finit par lui retirer ses vêtements, son pantalon et c’est là qu’elle formula sa demande d’une façon peu orthodoxe, par des mots qui sonnaient plus que vulgaires d’ordinaires, mais qui de sa bouche apparaissaient comme des prières évangiles. Jade lui mordit la lèvre inférieure, et Jacey chercha à la faire languir en laissant glisser ses lèvres dans son cou, lui mordillant la peau comme s’il s’agissait d’un fruit défendu. Et puis finalement, les mains du basketteur s’emparèrent des hanches de la danseuse avec grâce, et puis dans un mouvement expert, il mit fin à son attente en répondant à sa demande salace. Leur union mit fin au supplice, laissant une chaleur caractéristique s’emparer d’eux, leurs souffles s’accélérant à l’unisson jusqu’à ce que le mouvement se répète dans une danse endiablée et effrénée alors que l’avocat soulageait ses soupirs en reprenant possession des lèvres de la jeune Mather. C’était comme une nouvelle danse pour eux, ils se connaissaient si bien qu’ils savaient aisément ce qui convenait à l’autre. Là dans les toilettes du cinéma, leurs corps échangeaient une passion sans limite, un amour avoué par des mots quelques minutes auparavant, un amour révélé au grand jour qui n’aurait jamais de fin. Un mélange de râles, soupirs, gémissements et étreintes s’emparait de la pièce. Jacey laissait ses mains redécouvrir le corps magnifique de sa dulcinée en lui procurant des caresses furtives, couvrant également la demoiselle de baiser comme s’il chérissait cette femme comme un don du ciel. Lascivement, les deux corps partageaient un moment qui n’appartenait qu’à eux, et qui scellerait un nouveau chapitre de leur relation, car dans un énième soupir, dans un énième mouvement de va-et-vient, ils atteignaient le firmament, et le temps s’arrêtait. Se cramponnant à la femme de sa vie puis se relâchant, Jacey déposa un baiser sur le front de la demoiselle, l’enlaçant et la berçant légèrement. Il l’aimait tellement. Merci pour ce moment, devrait-il dire, mais à l’heure actuelle, il ne cherchait que son souffle.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)