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w/ Jade & Jacey  
Une flemme de tout... De me lever, de manger, de ne rien faire devant la télé. Franchement, j'avais la flemme de tout. Je ne voulais pas bouger de mon lit. J'avais une gueule de bois monstre depuis mon réveil mais il fallait que je me bouge un peu. Mais aucune motivation. Alors je restais dans mon cocon douillet, chaud, apaisant. Je parcourais instagram, oh bah tiens, je poste une photo... Puis Formspring, mais là, vraiment la flemme de répondre aux questions inutiles comme celles que l'on me posait. La réponse semblait si évidente. Encore une personne qui pose des questions seulement pour en poser. Et ensuite, direction Youtube pour admirer des vidéos de danseurs, chorégraphes. Je pouvais passer des heures entières à regarder une seule et même vidéo, analyser chaque danseur, chaque pas, chaque vêtement aussi. J'adorai admirer leur style, pour ceux qui en avaient. Mais son nom venait d'apparaître à l'écran. Jacey. Mon Jacey m'invitait au cinéma. Mince alors, qu'est-ce que je ferai pas pour lui ! Il fallait que je me lève car oui, je comptais bien y aller. Je me préparais tout en musique, pour être sûre de ne toujours pas être prête quand il serait là. Je ne suis jamais prête à l'heure. Et sous la douche n'en parlons pas. Je chantais à m'en casser la voix. Mariah Carey pouvait aller se rhabiller et Jacey aussi. Et mes voisins pouvaient porter plainte au passage. Mais je m'enfichais pas mal. J'étais pas si dérangeante que ça comme voisine quand même. Sauf là. J'étais contente de me lever de mon lit pour une bonne raison. Sachant en plus que mon meilleur ami était à l'hôpital, je savais que voir Jacey allait me changer les idées et me remonter le moral. La flemme se dissipait lentement pour laisser place à une excitation que je ne pouvais expliquer. Puis les messages qu'il m'envoyait pendant que je me préparais et l'attendais me faisaient sourire, rire même.
Au départ, je me demandais pourquoi je l'aimais. Je vais être sincère, je n'ai jamais aimé un seul homme, même pas mon père. C'est d'ailleurs à cause de lui que j'ai du mal avec la gente masculine. Du moins, c'est ce que je crois. Je sortais avec des mecs pour les larguer au bout de quelques semaines, quelques mois. Je ne m'y attachais pas. Puis je suis arrivée à Harvard. Pendant deux ans, j'ai continué ainsi, à papillonner. Utiliser les mecs comme de simples distractions me paraissait si simple et amusant, distrayant. Puis deux ans sont passés et Jacey est arrivé. Sa façon de danser, de chanter, d'être. Je ne sais pas comment ni pourquoi, mais je m'y suis attachée plus vite et plus facilement qu'aux autres. Je suis sortie avec et j'ai commencé à ressentir des sentiments pour lui. Je sais pas si je peux appeler ça de l'amour, j'y connais rien. Mais j'y suis tellement attachée que je pourrai défigurer à mains nues celle qui l'approcherait de trop près, celle qui essaierait de se mettre entre nous. Je sais pas si on appel ça de l'amour ou de la furie ou les deux en même temps. Peut-être que je l'aime oui. En tout cas je sais qu'on s'est séparé plusieurs fois et que contrairement aux autres, je me suis remise avec. Je ne peux pas le quitter, c'est trop dur, trop douloureux même.
Et voilà que j'étais loin dans mes pensées. Je ne regardais même plus les heures qui défilaient sous mes yeux. A la fin, je mis à courir. Prenant mes chaussures, mon sac à main, mon portable toutes mes affaires pour finir de me préparer au bas des escaliers. Il ne me restait pas grand chose à mettre mais je voulais être prête au moment où il sonnerait à la porte. Le plus drôle ou le plus bizarre là-dedans, c'est que j'agissais comme si c'était la première fois que l'on sortait ensemble. Comme si c'était LE rendez-vous, le premier. Alors que non. Mais j'aimais tellement être avec lui que ça me stressait. Je voulais toujours que tout soit parfait. Je n'avais jamais vécue ça auparavant, je trouvais ça normal d'être aussi angoissée...
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w/ Jade & Jacey  
Il y a des jours comme ça, où le jeune Brooks, orphelin de sa mère, adopté par une des familles les plus riches de l’Upper East Side, avait envie de faire autre chose que se donner à fond pour son boulot. Il avait pourtant été voir de bon matin son prof de droit pénal pour comme à son habitude, débattre inlassablement sur une affaire qui l’intéressait, mettant même son professeur en retard pour son cours suivant. Et comme à chaque fois, le professeur pestait d’avoir un étudiant comme lui. Et puis, il avait vagabondé dans le campus, avant de songer à prendre la direction des salles de musique. Il avait envie de se poser devant un piano et de jouer pour le plaisir. Il ne trouva personne, alors il se posa tranquille, et prit une partition au hasard, pour jouer. A cause du droit, Jacey allait rarement à ses cours de musique, mais il rattrapait toujours les cours, quitte à avoir un peu de retard, il n’avait pas raté un seul de ses semestres de toute façon. En fait, s’il y avait deux choses qu’il ne loupait jamais, c’était les cours de droit, et les cours de danse, là où il avait pu faire des rencontres géniales, et où il avait pu s’épanouir. Jacey n’aimait pas la partition choisie, alors il la posa au-dessus du piano noir pour commencer à jouer All of Me de John Legend, sur laquelle il posa même sa voix. Et cette chanson lui fit irrémédiablement penser à Jade, son essentielle. Elle était le pilier de sa vie, et celle avec qui la danse était devenue un plaisir partagé. Ca faisait un moment qu’il n’avait pas fait quelque chose pour lui faire plaisir, un moment qu’il n’avait pas passé du temps ensemble toute une journée. Pourtant, les choses semblaient aller dans leur sens récemment, même si Jacey se retrouvait toujours dans des situations caustiques. Ayant besoin d’une idée pour l’inviter, pour ne pas couper court à la conversation, il eut une idée simple, mais qui ferait probablement son petit effet. Il allait l’inviter au cinéma. Et puis, si elle se sentait, il l’emmènerait au restaurant après. Histoire de passer une bonne soirée en tête à tête. Le cinéma, c’était génial pour profiter l’un de l’autre en étant dans le noir et surtout pour la gêner en plein dans son film. Parce qu’avant tout, Jacey et Jade étaient des amis plus que complémentaires qui se comportaient parfois comme des enfants. Lui envoyant un message, il quitta la salle de musique pour se rendre au gymnase où un entrainement de basketball l’attendait. Retrouver les mecs avant de retrouver sa copine c’était une bonne chose, il pourrait faire le pitre et se comporter en parfait gentleman un peu plus tard. Jade et Jacey convinrent qu’il passerait la prendre une fois sa douche prise, et le jeune homme ne traina pas pour retrouver la belle danseuse. Il avait envie de la voir. Toutes ses pensées étaient dirigées vers elle. Il l’imaginait déjà en tenue parfaite pour aller danser comme pour aller en soirée. En fait, quoi qu’elle fasse, Jade était l’élégance même. Elle n’avait pas de défaut. Il récupéra sa voiture devant le gymnase, toujours nickel, flambante malgré sa surutilisation. Jacey se gara devant le bâtiment des Mathers et entra dans la bâtisse, montant directement jusqu’à l’étage où se trouvait la chambre de la demoiselle, et puis une fois devant, il sonna à la porte, un grand sourire aux lèvres. Il était content de la retrouver. Malgré toutes les bêtises qu’il pouvait faire, et même s’il savait leur relation compliquée tant ils avaient fait de pauses depuis deux ans, il y était plus qu’attaché. Parce qu’il savait que Jade c’était la fille parfaite pour lui, elle et lui c’était un tout, l’un n’allait pas sans l’autre et puis même s’il refusait de faire un choix permanent pour l’instant, il comprendrait un jour qu’il reviendrait toujours vers elle. Il fallait cependant qu’il se méfie qu’un autre ne passe pas avant lui. Il le regretterait probablement toute sa vie. Quand les choses marchaient entre eux, ça n’était pas qu’une simple histoire, c’était idyllique, aussi beau qu’une carte postale, ou qu’un film romantique que Jade appréciait. Jacey n’avait pas peur des sentiments qu’il éprouvait pour elle, mais surement d’évoluer trop vite et passer du statut d’étudiant qu’il affectionnait tant, à celui d’homme responsable.
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w/ Jade & Jacey  
Je courais dans tout les sens, ça me stressait vraiment. Comme la pub qui parle de grignotage et de faim. Le petit monstre qui s'accroche à la jambe de la femme et qui hurle "J'ai faaaaim !". Dans mon cas, c'était un petit chaton enroulé sur lui-même, faisant comprendre par son regard qu'il était horrifié. Ma relation avec Jacey était-elle aussi malsaine que celle de Darnell et Aaliyah ? Selon lui, oui. Mais pourtant, on n'allait pas voir ailleurs nous. Du moins, moi je ne le faisais pas. Même Nolwenn, ma meilleure amie, ma femme n'avait aucune confiance en Jacey. Et généralement, quand elle pense quelque chose de quelqu'un, c'est qu'elle a raison. Mais c'était la première fois. La toute première fois pour moi. Je pouvais enfin dire que j'étais amoureuse d'un homme, que j'y tenais réellement alors je devais m'écouter, écouter mon coeur, mes sentiments et ne pas forcément me fier à mes amis. J'étais tellement bien en sa présence, calme et juste... moi. Il me rendait heureuse, ça ne faisait aucun doute.
Ayant oublié une dernière chose à l'étage, je remontais, reprenant au passage mon sac à main. J'ai confiance en mes chers confrères Mather mais mes biens personnels sont trop précieux pour les laisser traîner sur de simples marches d'escaliers. On ne sait jamais. Mais passons. J'entrais dans ma chambre, prenant mon porte-feuille. A force de changer de sac à main tout les jours, j'allai finir par oublier des choses très importantes. Mais quand on aime la mode, on en subit les conséquences, les pertes et les fracas. Non, pas les fracas, on s'enfiche de ça. Je me regardais une dernière fois dans le miroir et là... la sonnerie de la porte de ma chambre. Pour une fois, je n'étais pas en retard. J'étais prête en temps et en heure. J'ouvrais la porte, le regardant de la tête aux pieds. « Ah, ce n'est que toi ! ». Je lui tournais le dos, faisant la fille déçue de le voir. Comme si je m'attendais à voir quelqu'un d'autre. Une nouvelle fois, je pris mon sac à main, me dirigeant vers lui, l'attrapant par le col et sortant de la chambre. Je descendais les escaliers, le tenant toujours de la même façon et une fois dehors, je le lâchais. Du moins, je lâchais son col. Je l'attrapais par les hanches, approchant mon corps du sien, je pris ses lèvres, ses belles lèvres. « Ta bouche me manquait énormément ! ». Oui bon, lui aussi m'avait manqué mais ça, il n'avait pas besoin de le savoir, du moins, pas pour le moment. C'était pas le genre de truc que je disais facilement. "Tu me manques, je t'aime, etc..." Même si en général, je sais que ces sentiments sont là, j'ai du mal à les dire à la personne en question. Surtout quand c'est la première fois qu'ils apparaissent. Car oui, Jacey était le premier homme que j'aimais, qui me manquait, avec qui j'aimais être. Qui me rendait heureuse aussi et qui m'énervais énormément par moment.
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Jacey et Jade se fréquentaient depuis deux ans. Si au départ les choses étaient plutôt simples entre eux, le fait de se mettre en couple compliqua bien les choses. Jacey avait ce besoin irrépressible de se sentir libre, de faire ce qui lui plaisait en bon enfant pourri gâté. Il avait pourtant des valeurs, mais le jeune homme était bien trop indécis pour se comporter comme le gendre idéal. Pourtant, Jade, il l’aime. Il le sait. Il a cette fille dans la peau, c’est comme se la faire tatouer sur le cœur ou s’écrire au feutre indélébile qu’elle est celle qu’il vous faut. Mais il ne parvient pas à assumer une relation monotone tout ce qui a de plus beau. Il est épicurien, il cède facilement à la tentation et il lui en faut peu pour se mettre à disjoncter. Malheureusement, c’est Jade qui en fait les frais. Il leur suffit d’une petite dispute pour se séparer, une petite remarque de travers pour en finir, mais il leur suffit d’un simple sourire, un baiser pour que les choses repartent du bon pied. Leur relation n’est pas saine, parce que lors de leurs multiples breaks, Jacey profite, Jacey s’amuse mais jamais il ne parle de ses agissements. Il se contente de la traiter en princesse, parce qu’elle le mérite, de la couvrir de cadeaux, de passer un maximum de temps avec elle. N’allez pas croire que le jeune New-Yorkais n’est pas heureux avec elle, il l’est bel et bien. Il a juste du mal à respecter son engagement. D’ailleurs, il ne se projette jamais avec elle. Ca fait deux ans que ça dure et ils ne vivent toujours pas ensemble, Jacey s’éclate dans sa colocation tandis qu’elle profite de la Mather House. Le mariage ? Ca n’est même pas une éventualité pour lui. Pourquoi faire compliqué alors qu’il a seulement 22 ans ? Peut-être qu’un jour il faudrait penser à discuter de tout ça. Jacey n’a pas volonté de blesser la jeune femme, bien au contraire. Et puis, à force, il se crée une réputation. Il sait bien que les amis de Jade ne l’apprécient pas plus que ça, qu’ils ne voient pas d’un bon œil leur relation. Ils l’ont peut-être cerné, mais ils n’ont pas de leçon à lui donner.
Quand il arrive devant la porte et qu’elle lui ouvre, il s’attendait à un accueil plus chaleureux, et il fit la grimace quand il la vit se retourner pour prendre ses affaires. Il savait qu’elle jouait avec lui, mais ce n’était pas agréable pour autant. Alors il prit un ton solennel pour lui répondre : « Ce n’est que votre humble avocat mademoiselle. Je suis désolé. Vous attendiez quelqu’un d’autre peut-être ? » Elle ne pouvait pas attendre quelqu’un d’autre, il le savait, mais il savait également qu’elle ferait en sorte de pousser plus loin la taquinerie. Finalement, elle l’agrippa par le col et l’incita à la suivre jusqu’à l’extérieur où elle le lâcha pour se rapprocher de lui et l’embrasser, collant son corps au sien. Elle lui avait manqué, terriblement même. Il resta un long moment à l’enlacer, nichant sa tête au creux de son cou avant de déposer un baiser de plus sur ses lèvres. « Juste ma bouche ? Ca fait plaisir ça ! » L’ironie parfaite. Quand elle parvenait à lui faire des compliments ou à lui dire des choses gentilles, il ne trouvait pas ça suffisant. Pourtant, il ne lui en tenait pas rigueur, et la contemplait amoureusement pour lui souffler tout contre ses lèvres : « Mademoiselle Gauthier, tu es juste…magnifique ! » C’est vrai, elle l’était. Elle resplendissait même quand elle lui piquait un de ses survêtements. Jade, c’était son essentielle, et quand ça allait entre eux, tout était facile. « Alors, on va voir quoi ? Rassure-moi, on va pas voir Hunger Games, mais bien Interstellar hein ?! Parce que je suis pas sûr de pouvoir encaisser un troisième Hunger Games, ce film m’énerve avec les scènes à l’eau de rose à la con ! » Plaisanta-t-il en saisissant sa main, nouant ses doigts aux siens pour se rapprocher de sa voiture qui les attendaient sur le petit parking devant le bâtiment.

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Je n'attendais personne d'autre que lui et je crois que même sentimentalement parlant, je n'attendais personne d'autre. J'avais vécue tant d'expériences depuis le tout premier mec et aucun d'eux ne m'avait fait ressentir ce que je ressentais pour Jacey. Sa présence me procurait tout un tas de sentiments et sensations étranges. Je n'arrivais pas à les lui dire en face, c'était trop dur. J'avais vraiment peur. Peur de tout. En deux ans, on s'était séparé, remit ensemble et ainsi de suite. J'avais peur d'avouer mes sentiments pour lui et de le voir fuir, de le voir disparaître sous mes yeux. J'ai deux seules et uniques peurs, celle de l'abandon et celle de l'engagement, du vrai couple. J'ai vu tant de choses dégueulasses avec mes parents, puis le couple de ma soeur, n'en parlons pas. Et si on observe les couples d'Harvard... Il y a de quoi avoir peur de se mettre en couple. Mais pourtant, je voulais croire en nous. C'était l'un de mes plus grand souhait depuis que l'on s'était mit en couple... enfin non, depuis que je l'aimais.
Et je voyais bien que mes réponses le décevaient par moment, il s'attendait à plus mais je n'y arrivais pas. Je le pensais, mais entre dire et penser, il y a un monde. « Tu es magnifique aussi Monsieur Brooks et tout chez toi m'a manqué ! ». C'était déjà pas mal comme démonstration de sentiments, puis il devait se douter de ce que je ressentais pour lui. Ça se voyait comme le nez au milieu de la figure. Ma jalousie naissante et presque oppressante, le fait que je sois toujours avec lui après deux ans de relation digne des montagnes russes. « Alors, on va voir quoi ? Rassure-moi, on va pas voir Hunger Games, mais bien Interstellar hein ?! Parce que je suis pas sûr de pouvoir encaisser un troisième Hunger Games, ce film m’énerve avec les scènes à l’eau de rose à la con ! ». Ma main dans la sienne, mes doigts noués aux siens, je pinçais la paume de sa main à l'aide de mon pouce et mon index tout en marchant. « Comment tu parles de mon film là ? ». Je ne pus m'empêcher de rire en l'écoutant parler. Moi, les scènes à l'eau de rose comme il les appel si bien m'énervait. Cette Katniss me faisait penser à Olivia Pope avec ces deux hommes. Je n'arrivais pas à avoir de la peine en les voyant pleurer toutes les deux pour leurs deux hommes. Leur problème n'était pas qu'elles ne pouvaient pas choisir l'un des deux, mais qu'elles ne le voulaient pas et moi ça m'énervait. Je n'aime pas ce genre de jeu. On ne joue pas avec les sentiments d'autrui. Un homme qui aime et qui est fidèle, c'est tellement rare. Je trouve ça super con. Et voilà que je venais de faire un choix pour le film que nous allions voir sans réellement m'en rendre compte. Au pire, je pourrai revenir pleurer devant le triste sort de Katniss une prochaine fois, avec Nolwenn. Je savais qu'elle au moins, elle mélangerait ses larmes aux miennes durant le film. « Allons voir Intermachin, si ça te fait plaisir. Je trouverai un autre moyen de me... distraire durant le film ! ». La provocation est l'un de mes jeux préférés. Celui auquel je joue le plus en sa présence.
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Etait-ce de la lassitude qui le poussait à rompre ou à provoquer des disputes avec elle de façon récurrente ? S’il y réfléchissait, Jacey dirait que non. Il dirait également que tous les deux avaient des caractères bien trempés, foncièrement différents et que par conséquent, il était normal qu’ils en viennent au conflit. Mais leurs ruptures, il savait qu’elles ne survenaient pas parce qu’ils ne s’aimaient plus suffisamment, mais juste parce qu’ils avaient besoin de se dédouaner, de se donner bonne conscience. Aller voir ailleurs c’était montrer que l’on n’est pas attaché plus que de raison à la personne. Jacey ne veut pas être celui qui souffre dans cette histoire, et il est incapable de dire si leur couple aura un jour une fin heureuse. Il semble se complaire dans cette façon de vivre parce qu’il considère ne pas subir ses sentiments. Ils sont si forts qu’ils pourraient le détruire en même temps qu’ils le rendent heureux, et ce n’est pas négociable. Il veut tout contrôler, et à partir du moment où il fait un choix, il ne peut plus contrôler l’autre versant. Il ne sait pas comment elle perçoit la chose, Jade, si elle aime leur façon si particulière qu’ils ont de se considérer comme un couple qui s’offre pourtant un maximum de libertés. Il voudrait savoir ce qu’elle fait quand elle n’est pas avec lui, ce qu’elle éprouve réellement à son égard, mais ce n’est pas une conversation qu’il est pour l’instant apte à tenir. Il ne se sent pas prêt, il sait que des choses seront dites un jour et qu’elles les blesseront ; du moins, il est persuadé que ses agissements révélés finiront par faire du mal à celle qu’il aime, et il redoute ce moment, parce qu’il reconnait qu’il finira un jour par arriver, son comportement étant loin d’être irréprochable. L’heure n’est pas à la réflexion. Jacey veut juste profiter de ces instants qu’ils s’accordent le plus souvent possible, et qui sont à chaque fois une réussite. Jade le complimente, elle fait des efforts, et il voudrait lui dire qu’elle n’a pas besoin de dire tout cela, que la plus belle preuve qu’elle puisse lui accorder, c’est dans son regard qu’elle se trouve. Elle a cette façon enchanteresse de le regarder, de le dévisager comme s’il était une des sept merveilles du monde. Mais il n’est que lui. Leurs mains nouées témoignent cependant de ce bonheur caractéristique qu’ils peuvent éprouver ensemble, et les taquineries et les piques, leur rappellent qu’ils s’entendent comme les meilleurs amis du monde et qu’ils ne passent pas seulement des moments à se lover l’un contre l’autre, mais qu’il existe une vraie complicité entre eux. Il rit, ne comprenant pas comment sa petite amie peut aimer un tel film. « C’est du film pour minettes ça ! Tu vaux bien mieux que ça mon amour ! Ton film culte doit être un Clint Eastwood, ou un truc qui envoie du lourd ! Pas çaaaa ! » Il se plait à dénigrer ce qu’elle aime et mettre en avant ses propres goûts. C’est comme quand il lui dit que le rose c’est laid. Le rose c’est beau sur elle quand même. Il l’excuserait pour tout ou presque. Jade est finalement d’accord pour voir Interstellar qui fait près de trois heures. Et Jacey heureux comme un gamin saisit ses lèvres d’un baiser, avant de lui souffler : « Le film est long, tu auras tout ton temps pour te distraire ! » Et il lui sourit avant d’ouvrir sa voiture d’un geste en appuyant sur un bouton de sa clé électronique. Il se rend du côté passager pour ouvrir la porte à sa dulcinée, tel un parfait gentleman. « Madame, veuillez prendre place je vous prie ! » Et puis il rentre à son tour, se mettant en route pour le cinéma où ils s’apprêtent à passer une bonne soirée.
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w/ Jade & Jacey  
Ces deux dernières années étaient sans nulle doute les plus angoissantes de toute ma vie. Apprendre que sa soeur est dans la même université que toi, c'est dur à encaisser. Assister à l'effondrement de plusieurs bâtiments dans cette même université et finir dans le coma à cause d'un idiot qui a décidé en se réveillant d'en finir avec sa vie et celle des autres, c'est encore plus difficile. Je suis plutôt du genre à vivre ma vie comme je l'entends. Je ne laisse personne me marcher sur les pieds et surtout, je ne m'attache à aucun homme. Ça a toujours été comme ça. Les sentiments vous ruinent, vous gâchent la vie, vous retournent le cerveau. Surtout quand ils se retournent contre vous. J'avais tellement peur que ça arrive avec Jacey. Il nous arrivait de rompre, très souvent. En deux ans, j'en avais vu passer des ruptures et des réconciliations mais j'avais vraiment peur que la rupture définitive arrive. Si elle avait eu lieu durant la première année de notre couple, ou le début de la 2ème année, j'aurai sûrement lever les yeux au ciel en l'envoyant se faire voir, pour rester assez polie. Mais là, mes sentiments s'intensifiaient, devenaient un peu plus grands et forts chaque jour et je savais que si cette fameuse rupture pointait le bout de son nez, je mettrais énormément de temps à m'en remettre. Et me connaissant, l'amour serait bel et bien rayé à tout jamais de ma vie. Il m'arrivait de lui dire Je t'aime, mais par sms ou sur les réseaux sociaux, mais en face, sortir ces deux mots de ma bouche devant lui, j'y arrivais pas, je bloquais. Et j'avais terriblement peur de le perdre, de me rendre compte qu'il allait voir ailleurs sitôt que je lui tournais le dos. Je suis une vraie angoissée mais ça, ceux qui me connaissent le savent mieux que quiconque et lui aussi donc. En l'entendant m'appeler Amour, je souriais de toute mes dents, sortant de mes pensées.  « Clint Eastwood, non mais sérieusement ? ». Mon vrai remontant, mon oxygène, ma drogue, c'était lui et toutes les conneries qu'il pouvait dire en quelques secondes. Il me faisait rire, tout le temps. Même pendant nos disputes. En même temps, je ne prends rien au sérieux et les disputes, peu importe la personne, me font rire. Alors imaginez les scènes de bagarres ou de disputes. La personne en face de moi a toujours l'impression que je me fou d'elle. Mais mon rire est juste nerveux. « Le film est long, tu auras tout ton temps pour te distraire ! ». Je comptais en effet trouver un moyen de me distraire durant la projection et surtout, de l'empêcher de regarder cette chose qu'il osait appeler film devant moi. Mais... Long c'est-à-dire ? Il me cachait quelque chose. « Tu veux dire quoi par long ? ». On marchait en direction de sa voiture. Je faisais toujours la même tête quand j'arrivais devant celle-ci. Je la dévisageais d'un bout à l'autre. J'y connais absolument rien en voiture mais celle-là faisait vraiment rêver. J'avais l'impression d'être la princesse des temps modernes aux côtés de son prince carrément beau, sexy et j'en passe. S'il pouvait lire en moi ce que je pensais de lui, il prendrait la grosse tête. « Merci monsieur ! ». Non mais sérieusement. Impossible de garder son sérieux avec lui. Je pris place dans la voiture, du côté passager, attachant ma ceinture et riant tout en le regardant prendre place à mes côtés. « J'arrive pas à croire que j'ai accepté d'aller voir un film qui s'appel Intertruc ! ». J'arrivais vraiment pas à retenir le nom de son film et puis ça me plaisait de déformer le nom.
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Ca faisait un moment que les choses fonctionnaient entre Jacey et Jade. Cela voulait-il dire qu’une tempête se préparait ? Jacey préférait anticiper leurs disputes quand il le pouvait. Parce qu’il savait que ça dégénérait très vite, et qu’il n’y avait pas d’autre solution que fuir le problème. Le fait que ça se passe bien sans dispute en ce moment cachait quelque chose. Pourtant Jacey se refusait de penser au pire, il voulait profiter des instants présents, des moments de bonheurs, de ces instants magiques qui n’appartenaient qu’à eux. Parce que s’il se mettait à focaliser sur ce qu’elle faisait quand elle n’était pas avec lui à s’imaginer qu’elle le trompait à tour de bras, il n’était pas près de s’en sortir. Leur couple ne rentrait pas dans les codes des couples ordinaires, ils avaient établi une relation solide mais également bancale, et le jour où ils finiraient par le pointer du doigt, ils y gagneraient probablement. Mais l’heure n’était pas à la discussion sérieuse. Les deux amoureux voulaient profiter de leur soirée et il était hors de question de se torturer l’esprit. L’essentiel c’était de voir cette simagrée agréable sur son visage. A la voir sourire, il oubliait tout le reste. Il était communicatif, il transmettait tout ce bonheur qu’elle ressentait en passant un moment avec lui. Il l’adorait. S’il pouvait le prendre en photo à chaque instant, il le ferait. Souriant de plus belle quand elle dénigra son penchant pour Clint Eastwood, il s’étonne. « Bah quoi? T’as pas aimé Gran Torino, Sur la Route de Madison, l’Echange, Million Dollar Baby ? Celui-là c’est trop mon préféré ! Avec les Rocky parce que bon la boxe c’est la foliiiiiiiie ! » Déclare-t-il avant de se mettre à exécuter des mouvements de boxe dans le vide. Il faudrait qu’il y aille plus souvent et qu’il demande à faire des combats. C’est bien beau de taper face à son entraineur ou un sac, mais ça ne donne pas la même décharge d’adrénaline qu’un vrai combat. Il se rapproche un peu d’elle, posant sa tête sur son épaule pour humer son parfum qu’il adore, et puis il se relève, tenant toujours fermement ses doigts dans les siens. Mais Jade s’arrêta soudainement, demandant ce qu’il entendait par long. Oh, il avait peut-être omis de lui mentionner la durée du film, et ça n’irait pas dans son sens, alors se pinçant les lèvres, il usa d’expressions enfantines en la regardant timidement pour lui dire la vérité. « Bah… il fait presque trois heures le film. Presque autant que Titanic ! » En gros, elle allait trouver le temps long si elle n’accrochait pas directement au film. Ou alors, elle trouverait beaucoup de choses à faire pour passer le temps et empêcher Jacey de regarder le film pour qu’il s’intéresse un peu plus à elle. En fait, il aurait été plus judicieux de l’emmener au restaurant. Sa voiture c’était son bijou, il y tenait presque autant qu’à Jade tant il l’aime. Et il ne peut s’empêcher de frimer dès qu’il prend le volant, c’est comme ça avec une telle voiture on ne peut pas juste la conduire, il faut avoir l’attitude qui va avec. Une fois installé, il posa un regard empli de sentiments à l’égard de la jeune femme qui riait aux éclats et qui l’envoutait par tout ce qu’elle représentait. Il pouffa de rire à l’entendre prononcer le nom du film tout en le déformant, et tandis qu’ils étaient en route il la corrigea : « Interstellar darling, c’est pourtant pas compliqué ! Mais tu vas kiffer ! Tout le monde m’a dit qu’il était bien ! Et puis t’es pas contente de passer trois heures avec moi ? » Il ne pouvait jouer que sur ça. Au fond, elle trouverait un contre-argument en disant qu’elle aurait préféré le passer avec lui plutôt que devant un écran, mais elle pouvait toujours venir dormir à l’appartement. Ca ne lui posait aucun problème, bien au contraire. « Et pour une fois c’est toi qui me fais plaisir ! » Ajouta-t-il en faisant la moue pour l’amadouer. Et puis, il gara la voiture, venant retrouver les doigts de Jade pour marcher et faire la queue devant le cinéma. Une fois au milieu des gens, Jacey enlaça la taille de la belle, la rapprochant de lui, lui soufflant doucement : « Je sais pas si je te l’ai dit, mais t’es vraiment sexy aujourd’hui… » Il prit ensuite d’assaut ses lèvres d’un baiser, puis d’un autre, avant de lui sourire, conquis, et de capturer ses lèvres dans un baiser plus appuyé. Il se donnait presque en spectacle, mais il n’en avait strictement rien à foutre.
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w/ Jade & Jacey  
Parler de mes goûts en matière de film, ça n'en valait pas la peine. Il fallait que le film soit un tout, complet. Je ne m'intéressais pas seulement aux acteurs, aux réalisateurs ou au type de film que c'était. C'était vraiment un tout. Autant je pouvais adorer le 3ème Transformers, autant les autres me tapaient sur le système. Autant j'adore Titanic, autant y'a des films romantiques qui me donnent la nausée. Je suis vraiment compliquée et pour m'emmener voir un film ou assister à un concert, c'est pas facile. Je vous laisse imaginer comment mes proches luttent pour trouver quoi m'offrir à mon anniversaire. Non, franchement, Clint Eastwood, c'était pas ma tasse de thé. Le seul film qui me plaisait vraiment, c'était Gran Torino. Je me souviens l'avoir regardé 7 jours d'affilés. « Bon oui, j'ai adoré Gran Torino, mais après, c'est tout. Sinon j'ai aussi regardé la télé réalité sur sa famille et lui sur... sur la chaîne E! Entertainment ! ». Je regardais le sol tant j'avais honte de ce que je venais de dire. Je suis accro à cette chaîne et à toute les télé réalités qu'elle diffusait. Et Mrs. Eastwood & company en faisait partie. « ...Avec les Rocky parce que bon la boxe c’est la foliiiiiiiie ! ». J'avais complètement zappé ce passage de sa phrase et en le voyant faire des mouvements de boxe, ou des gestes ou je ne sais pas comment on appel ça, je lui lançais le regard du genre, T'es pas sérieux ! Il aimait ce sport alors que moi, non. L'imaginer un jour sur un ring et donner des coups, ça pouvait passer à la limite, mais le voir s'en prendre en retour, quelle horreur ! J'aimais pas ça du tout. Mais, il paraît qu'en amour, tu dois faire des efforts alors, j'essaie d'en faire, chaque jour que Dieu fait, mais c'est vraiment pas facile. Et son visage s'approcha de mon cou. Je frissonnais en sentant sa peau toucher la mienne. Mais j'oubliais ce passage en l'entendant me parler de la durée du film. 3h à regarder un film auquel je ne comprendrais rien. Je me connais, pour comprendre un film, faut que je le regarde au moins deux fois. Sans commentaire ! Le plus beau dans tout ça, c'était la tête qu'il faisait en m'annonçant la superbe nouvelle. Comme s'il avait peur de ma réaction. « Et puis t’es pas contente de passer trois heures avec moi ? ». Il n'avait pas le droit de me poser cette question, c'était injuste. Bien sûr que j'étais contente de passer trois heures avec lui, peu importe ce que l'on faisait. Si je pouvais passer plus de trois heures avec lui, je le ferai d'ailleurs. C'était une question à ne pas poser. Il connaissait déjà la réponse. « Je serai contente de passer plus de trois heures avec toi amour tu le sais bien ! ». Si je pouvais l'embrasser, je le ferai, mais il conduisait alors il fallait que je m'abstienne et que je contrôle mes envies. Toutes mes envies. Mais il y en avait quand même une qui prit le dessus sur les autres. Je le tapais sur l'épaule en l'entendant dire que je lui faisais plaisir pour une fois. C'était la meilleure celle-là. On sortait de la voiture. Le moment de patienter dans une queue interminable était arrivé. Je suis plutôt du genre impatiente et pourtant dans ses bras, le temps passait vite. Trop vite. Il m'enlaça au niveau de la taille, me rapprochant de lui. Je passais mes bras autour de son cou, rapprochant mon visage du sien. Je ne riais plus bêtement. Dès qu'il me complimentait, je rougissais. C'était automatique et je restais quelques instants sans parler. Il vint déposer plusieurs baisers sur mes lèvres, insistant longuement sur le dernier. Je rompais notre baiser pour quelques secondes, le temps de lui dire ce que j'avais sur le coeur. Une fois de plus, ce n'était pas une grande déclaration, mais je le pensais. « J'ai vraiment de la chance de t'avoir bébé ! ». Je l'embrassais fougueusement, amoureusement. Je ne faisais plus attention aux personnes autour de nous. J'avais complètement oublié où on se trouvait. Il n'y avait que nous deux.
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« T’as pas vu les autres je suis sûr ! Demain je te montre Million Dollar Baby ! » Il était prêt à lui faire sa culture cinématographique. Il ne la pousserait pas à voir tous les films qu’il appréciait, il y en avait bien trop, en bon cinéphile, mais Jacey refusait qu’elle dénigre ce film qui la ferait pleurer à coup sûr. Hilary Swank était merveilleuse dans son rôle et Clint Eastwood toujours impressionnant. Mais il n’allait pas épiloguer indéfiniment sur les films parce que le débat finirait par dégénérer, et il n’avait aucune envie de se prendre la tête avec elle, pour une fois que les choses se déroulaient au mieux. Quand les disputes ne se profilaient pas à l’horizon, leur relation apparaissait idyllique. Lorsqu’il était avec elle, il ne consultait jamais son téléphone qui restait dans sa poche et qu’il semblait oublier tant il n’avait pas besoin de se concentrer sur autre chose que sur elle. Elle qui n’aimait pas le sport qu’il pratiquait. Si elle n’avait aucun problème avec la danse, et pas avec le basket, du moins pas à sa connaissance, elle dénigrait au plus haut point la boxe. Mais Jacey avait besoin de la boxe pour se canaliser. L’enfant qu’il avait été avait trop subi de critiques et d’insultes racistes pour encaisser sans rien dire, et il avait appris à se défendre pour éviter de se faire lyncher, et la boxe était devenue une drogue. A chaque fois qu’il est contrarié, il va s’entrainer. Cela lui a permis de développer de grandes capacités physiques utiles dans tous les autres sports qu’il pratique, et puis, il ne se bat plus aussi souvent qu’avant. Avant, il montait sur le ring tous les weekends. D’ailleurs, dès qu’il avait un combat, il n’avertissait pas sa copine, parce qu’il savait qu’elle ne viendrait pas assister à ses victoires, craignant trop de le voir se faire cabosser. Ca faisait partie du métier. Il avait déjà eu le nez pété, et il avait dû porter un masque au basket pour jouer. Il lui était aisé de l’amadouer quand il avait envie d’obtenir quelque chose d’elle, il suffisait d’user un peu de cette influence provoquée par l’amour pour avoir gain de cause. Ca marchait aussi bien à l’inverse, mais pour une fois, il l’utilisait contre elle, et elle attestait être très heureuse de passer plus de trois heures avec lui, ce à quoi il répondit en lui imposant un programme plus chargé : « Ok, ce soir tu viens dormir à la maison alors ! » La place ne manquait pas à la colocation, et puis comme ça, Nolwenn et Darnell n’auraient rien à redire puisqu’ils verraient tous les deux à quel point il tenait à Jade, et s’il le fallait, il perturberait volontairement leur nuit, juste pour les emmerder. Il détourna le regard de la route momentanément, le posant sur Jade attendant sa réponse. De toute façon, elle n’avait pas le choix, il la kidnapperait. Il rechigna quand elle le tapa sur l’épaule : « Hey ! Qu’est-ce que j’ai dit encore ! Je conduis en plus ! » Comme si ça le dérangeait. Il était tellement habitué à conduire sa voiture qu’il pourrait limite conduire les yeux fermés. Et puis, ils trouvèrent le moyen de s’occuper dans la file d’attente. Quand Jacey était contre Jade, il pouvait sentir leurs cœurs battre à l’unisson, comme connectés l’un à l’autre. Ses lèvres, il les chérissait plus que tout au monde. Elles étaient douces, et à chaque fois qu’il y goutait, il avait une envie irrépressible de recommencer. Ils étaient dans leur monde, et Jade chercha à lui faire comprendre qu’elle s’admettait chanceuse de l’avoir. C’était peut-être le contraire aussi. Jacey était tombé sur elle par hasard, mais si depuis deux ans, malgré les mauvaises périodes le couple tenait, c’est qu’ils étaient faits l’un pour l’autre, non ? Toujours contre ses lèvres, il sourit avant de lui souffler dans un murmure pour ne pas choquer les personnes aux alentours : « Me chauffe pas trop baby, sinon on va finir dans les toilettes pendant trois heures ! » Il rit doucement, conquis par la belle, s’emparant de ses lèvres une nouvelle fois, et puis, joignant de nouveau ses doigts aux siens, il s’avança vers la guichetière. « Bonjour, deux places pour Interstellar s’il vous plait ! » Pas besoin de demander le tarif étudiant, il n’avait pas besoin de regarder ses dépenses. Et puis, ils avancèrent jusqu’à la salle où le jeune homme tint la porte à la belle, et où il lui demanda : « Tu veux te mettre où ? » Elle choisissait, il s’en fichait, il était grand, ça ne le gênait pas de se trouver à un endroit ou un autre. Le pire serait de se retrouver derrière Ashton Irving qui faisait près de 20cm de plus que lui alors qu’il mesurait déjà 1m93, mais il n’avait pas l’air d’être dans la salle. Une fois assis, Jacey se pencha vers Jade pour lui annoncer quelque chose. « Oh ! Je t’ai pas dit ! J’aimerais bien aller passer le jour de l’an dans l’hémisphère Sud ou des vacances, mais j’ai pas encore trouvé d’idée. Ca te dirait de m’accompagner ? » Se prélasser au soleil tous les deux tandis que les autres affronteraient le froid, il n’y avait rien de mieux. Surtout qu’ils allaient partir au ski un peu avant.

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