Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility[ft. graham] wrong changing-room - Page 2
Le Deal du moment : -50%
[Adhérents Fnac] -50% Casque Pro Gaming HyperX ...
Voir le deal
49.99 €


[ft. graham] wrong changing-room

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Vous aviez commencé votre vie d'adulte d'une façon bien différente, tous les deux. Lui, en taule, accusé à tord pour quelque chose qu'il n'avait fait que pour protéger sa vie. Tu avais écouté les témoignages, à la cour, tu avais tout écouté, bien attentivement. Ça te semble cruel comment pour certains, l'être humain n'est considéré que comme un vulgaire morceau de viande à ne pas considérer. Un morceau de viande pas assez fourni, qui ne satisfera pas les clients, et qui est bon à jeter aux poubelles. Mais en Graham, ce n'est pas ce que tu voyais. Tu voyais plutôt un homme certes beau, mais aussi fort, courageux, persévérant, et regardez? Il avait survécu, bien qu'il devait en garder des marques, des séquelles quelconques. La psychologie, ce n'est pas ton truc. Tu ne saurais pas t'y prendre, pour aider les gens. Tu les enfonçais souvent, sans même le vouloir. Bref, toi comment t'étais entrée dans le vrai monde des adultes? En agissant en rebelle, puis en devenant stripteaseuse dans un bar de danseuses "réputées" du coin, le Nirvana. Quelle réputation, en effet. On ne venait que pour fantasmer sur tes formes généreuses, ton corps de déesse, ton manque d'expression qui convainquait les plus pervers des clients de vouloir faire de toi leur coup d'un soir, bien qu'ils y parvenaient très rarement. T'étais payée pour que des hommes en manque de sexe puisse se satisfaire. C'était pire qu'une revue pornographique, quoi. Les moins pires, c'était les étudiants qui s'regroupaient rien que pour mater un peu, et qui vous balançaient des insultes ici et là rien que pour se la jouer "cool" et pour se faire remarquer. Le seul côté positif dans tout ça? Tu savais rendre de ces danses sensuelles un de tes atouts lorsque venait le temps de conclure, avec un mec. « Les gens comme toi sont rares, beaucoup trop rares ! Ma propre mère refuse de m’adresser la parole ! » Tu souris, bien qu'il ne puisse te voir, pour le moment. Tu avais un peu honte de t'avouer que, pendant bien des années, jusqu'à tout récemment, c'est toi qui refusait d'adresser la parole à tes parents. Plus par orgueil que par colère. Je serai toujours là, c'est une promesse. Et puis? Vous ne vous êtes jamais rencontré avant son incarcération. Ni même vraiment après. Tu l'avais juste aperçu ici et là, échangé quelques mots lors de tes stages, et puis... Il n'est pas dangereux! Pourquoi avoir peur de lui? Comment, surtout? Tu t'es approchée d'un pas de félin vers la douche, qui te réchauffe de nouveau instantanément. Ton corps nu se trouvait à température ambiante, et maintenant, il fait si chaud que toutes les vitres sont buées, dans le vestiaire. Mais tu te sens tout de même agréablement bien sous cette douche, en présence du jeune homme. Tu crois entendre un espèce de soupir, mais tu mets cela sur le compte de la douche qui fait peut-être défaut? Tu t'appliques, tes doigts sont habiles, ils caressent, chatouillent, se glissent, moussent, frottent. Puis, d'un coup, tu pousses un cri. Oh, la douche est devenue glaciale. Tu t'éloignes d'un pas un instant, mais tu reviens bien vite, surtout lorsqu'il te balance ce truc qui fait l'effet d'une bombe, d'une invitation à ne pas rater. « Bonne idée oui, mais tu pourrais t’occuper de me savonner ici également ? » Tu te mords la lèvre inférieure, fixant une nouvelle fois les jolies fesses de cet homme, qui ne demande que ça, d'être chouchouté de la sorte. Et ça te plaît. Alors une pierre deux coups, comme on dit. Il s'est retourné, et tu viens glisser ton regard dans le sien, sans le lâcher des yeux. Son sourire t'en dit long, et tu lui réponds de la même façon : d'un sourire plein d'arrières-pensées, un regard coquin. Pourquoi se gêner? Pourquoi se priver? Tu suis ses mains du regard. Oh, vraiment? Jusque là? Tu ne te le feras pas demander deux fois. Tu viens te coller contre lui, sans aucune gêne, sans le moindre recul. Tu sens son corps contre le tien, complètement nu et chaud sous cette douche encore froide. Tu sais pertinemment qu'il s'est déjà lavé, à cet endroit, mais tes mains se glissent sur son torse parfaitement musclé. Tu avais raison pour la V-line. Tu te mordilles la lèvre, concentrée à la tâche. Tu dessines, à l'aide de deux doigts, ses abdominaux. Puis, tu descends plus bas, au nombril. Et puis plus bas encore, t'attardant sur chaque parcelle de peau, à chaque recoin, tu veux qu'il se sente bien. Ça doit faire trois ans qu'il n'a pas été touché de la sorte, ce n'est pas difficile à comprendre, en fait. Tu lui fais de l'effet, et tu le sais très bien. Ça non plus, pas besoin d'un dessin pour que tu le comprennes. Tu descends toujours plus bas, jusqu'à atteindre la limite, où il y a la naissance de quelques poils. Tu souris, posant tes yeux là un instant, te délectant de ce que tu vois, puis tu cherches de nouveau son regard. "Tu aimes mes caresses?" Car oui, ce sont des caresses. Sensuelles, douces, agréables. Tu te demandes juste s'il apprécie comme il se doit, et si tu dois, si tu peux continuer. Tu en meurs d'envie.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La vie est parfois très injuste. Il m’arrive encore de me demander pourquoi, pourquoi mon père est-il devenu ainsi et pourquoi je me suis retrouvé à devoir sacrifier une vie pour survivre ? Je n’ai jamais prémédité un tel acte et lorsque l’option s’est présentée je n’ai pourtant pas hésité une seule seconde. Dans le feu de l’action, lorsqu’il pointait la lame du couteau sur moi et que ma main le retenait je n’ai pas eu le temps de peser le pour et le contre. J’ai juste inversé la tendance du mieux que j’ai pu sans ne serait-ce qu’imaginer que le couteau l’empalerait. Il n’est pas mort sur le coup, il a eu le temps de retirer le couteau recouvert de mes empreintes pour essayer de m’emmener avec lui en enfer mais je l’ai repoussé et c’est à ce moment-là qu’il a traversé la balustrade du balcon. Mort sur le coup suite à sa chute. Il aurait pu se passer plein d’autres choses si je ne l’avais pas poignardé. Peut-être que c’est moi qui reposerait au cimetière, peut-être que je serais délivré de toute cette merde et que je serais parti innocent, je n’aurais pas été sali par trois années de prison aux côtés des pires enfoirés qu’il m’ait été donné de côtoyer. « Je serai toujours là, c'est une promesse. » C’est bizarre d’entendre cela, personne n’a jamais été aussi proche de moi alors que nous ne nous connaissons pas énormément. Quand on y pense je ne sais rien de Dixie, excepté qu’elle m’a énormément aidé en parlant de mon cas à son père. Je n’ai pourtant malgré tout pas besoin de la connaitre davantage, j’ai le sentiment de déjà tout savoir d’elle. Je me trompe surement mais j’aime cette sensation. « Ne dis pas des choses comme ça, j’ai une très bonne mémoire et je n’oublierais pas de te le rappeler si tu me tourne le dos toi aussi. » Handicap sentimental ou non j’ai énormément du mal à faire confiance aux autres, plus maintenant, mes amis, mes proches, ils m’ont tous trahi et se sont détournés de moi alors qu’ils savaient et n’ont rien fait pour m’aider avant que j’en arrive à de telles extrémités. Et puis tout à coup les choses deviennent complètement hors de contrôle, je propose à Dixie de me mettre du gel douche dans le dos et sans l’aide de cette précieuse douche froide je ne serais probablement pas parvenu à garder mon sang-froid. Oui mais voilà, après trois ans le moindre petit regard me fait partir en cacahuètes et il semblerait que Dixie ne soit pas contre me voir sortir les griffes, au contraire, lorsque je me retourne elle n’en rate pas une seule miette, elle me caresse le torse. Au premier abord très sage elle ne tarde pas à débuter une descente très dangereuse car je ne contrôle plus rien, c’est tellement agréable, je me mords la lèvre inférieure et incline la tête en arrière. « Tu aimes mes caresses? » Je souris malicieusement et baisse la tête, je crois qu’il n’y a aucun doute à avoir, surtout si elle a prêté attention à cette partie masculine qui réagit à l’excitation de la plus explicite des manières. Je devrais peut-être avoir honte ? Combattre cette érection naissante mais je n’en ai pas envie. Là, tout de suite, je ne parviens plus à réfléchir, son corps m’appelle, ses formes généreuses me donnent envie de me confondre dans le pêché. « Tu n’as pas idée ! » Qu’on en finisse avec la subtilité, je me rapproche et longe sa poitrine de mes doigts épais, je remonte jusque sur son visage que je caresse avec tendresse, enfin je crois puisque je ne sais plus trop ce que c’est d’être tendre. Sans demander la moindre permission je me rapproche dangereusement d’elle et l’embrasse. Un baiser très bref, scolaire mais qui en dit déjà long sur ce que j’ai envie de faire là, tout de suite.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Ne dis pas des choses comme ça, j’ai une très bonne mémoire et je n’oublierais pas de te le rappeler si tu me tourne le dos toi aussi. » Lui tourner le dos? D’où pourrais-tu lui faire ça? Tu sais ce qu’il a vécu. Tu as entendu ses histoires de prison, lors de son jugement. Horrifiant. Rien que de te faire des images mentales des situations dans lesquelles il s’est retrouvé te donne mal au cœur. Jamais tu ne pourrais tourner lui tourner le dos. Tu n’auras même pas à me le rappeler, pour que je m’en souvienne. Un sourire sincère se faufile sur ton visage, tes yeux brillent. Les gens ne savent pas que tu es une bonne fille. Tes parents, bien qu’adoptifs, ont su t’inculquer des valeurs importantes autant pour toi que pour la société actuelle. Ta débauche, dans laquelle tu es sombrée pendant quelques années, suite à la mort de ton frère, est un court moment d’égarement dans ta vie, si on compare cette période à toutes les bonnes actions que tu as pu faire depuis toute petite. Tes grands frères furent tes supports, tes piliers, ils t’ont toujours mise sur le droit chemin. Et aujourd’hui, tu en reprends conscience. Aujourd’hui, tu es une meilleure personne. Et tu peux le dire, puisque tu as autant connu le bon côté que le mauvais, et il a fallu faire un choix. Et tu ne pouvais pas laisser tomber un ami. Ça faisait partie de tes principes, de soutenir tout le monde coûte que coûte… Bien que ce soit un ami, un très bel ami il faut le concevoir, tu ne peux t’empêcher d’avoir envie de lui, à l’instant. Comment lui résister, dans cet accoutrement si…naturel, et si invitant? Comment résister à cette invitation aux caresses, peu subtile? Comment, telle est la question, et tu n’en cherches pas la réponse. Tu ne réfléchis pas, tu agis. En parcourant son torse de tes doigts, tu as remarqué la cicatrice longue de quelques centimètres qui lui servait de décoration, accentuant ta compassion, mais également son côté bad-boy, bien que ce ne lui soit pas volontaire. Tu la parcoures d’un doigt, remontant tes yeux vers lui un instant, fronçant les sourcils, mais ne voulant pas trop t’y attarder, de peur de le rendre mal à l’aise. « Tu n’as pas idée ! » Ce n’est pas bien long qu’il te rend la pareille, en parcourant ton corps tout aussi nu que le sien de ses longs doigts épais. Il te paraît si viril, si.. homme. Et il l’est. Tu apprécies le contact. Encore une fois; comment ne pas l’apprécier? Pourtant, lorsqu’il parvient à ta joue, tu ressens une certaine maladresse – qui s’explique vu les dernières années passées en prison. Il te semble rouillé, et malgré tout, il s’y prend plus que bien. Pendant qu’il s’occupe de toi, tu te mords la lèvre inférieure, mais bien vite, celle-ci, ainsi que la supérieure, se retrouvent occupées à une activité bien plus intéressante. C’est un baiser sauvage et envieux qu’il te partage, et tu lui rends la pareille, rompant alors la minime distance qui restait à parcourir à vos deux corps pour être entièrement l’un contre l’autre. Et qu’est-ce que c’est bon. Qu’est-ce que c’est confortable, malgré la fraîcheur extrême de l’eau. Le contact charnel te rend dingue. Tu pousses un soupir, sentant son excitation évidente contre ta cuisse, ta hanche. La température monte d’un cran. Tu lâches ses lèvres, penchant la tête vers l’arrière, offrant ton cou entier à ses lèvres, s’il en a envie. Comme tu as envie de lui. Ce n’est pas bien long pour que deux corps s’attirent comme les vôtres, n’est-ce pas? Tu murmures, d’une voix compréhensive et douce : Je sais que ça fait longtemps, pour toi... mais j’ai envie de toi. Voilà, c’était dit, c’était clair, net et précis. À lui de choisir ce qu’il voudrait faire de toi, de la situation, maintenant.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le désir, une pulsion rarement nuancée. Le genre de truc qui te prend aux tripes et que tu ne peux contrôler, il n’y a rien à faire. Les plus sages d’entre nous parviennent à se battre et à maitriser un minimum leurs envies mais moi, très honnêtement, après trois années de prison et d’abstinence je n’ai plus vraiment de patience. Plus vraiment envie non plus d’être sage, Dixie est belle, redoutable, fatale et je ne vois aucune raison de ne pas aller jusqu’au bout alors que j’en ai très envie, tout comme elle. Peut-être que j’aurais agi avec plus de sérieux si elle ne m’avait pas laissé comprendre qu’une porte était ouverte, je ne me serais probablement pas engouffré tête baissée si je n’avais pas compris le message. Je lui dois beaucoup, surtout concernant ma libération, je saurais donc la remercier en attendant de pouvoir faire davantage. Ses doigts s’aventurent le long de mon pec sur lequel se trouve une cicatrice imposante, les joies de la prison. Elle la caresse, la découvre avec une sensualité qui me fait exploser, je frissonne tandis que mon corps réagi à cette réponse nerveuse de la plus gênante et plaisante des manières. Oh oui, au cas où vous en douteriez, je suis parfaitement éveillé, dans tous les sens du terme ! J’ai bien trop attendu, je ne pourrais plus le faire une minute supplémentaire. Merde, à parler de la sorte j’ai vraiment l’air d’un animal en manque et prêt à sauter sur sa seule source de nourriture depuis des semaines, force est de constater que c’est en quelque sorte le cas. Mes lèvres trouvent le chemin avec une certaine maladresse, je retrouve cependant rapidement mes anciennes habitudes et bordel ce que ça fait du bien. Mon intimité, plus sensible que jamais me fait ressentir de nombreuses petites choses que je n’ai pas eu l’occasion d’éprouver depuis des années, ce frottement contre ses hanches me fait petit à petit perdre toute gêne, tout mon sérieux. Je ne pense plus, ses yeux me perdent dans un tourbillon, son corps achève de m’enterrer sous un désir que je me refuse à réfréner. « Je sais que ça fait longtemps, pour toi... mais j’ai envie de toi. » Je souris bien que finalement très angoissé, c’est la première fois depuis longtemps, trop longtemps et je ne suis même pas certain de ce que j’ai à offrir. Et si tout allait trop vite ? Après tellement de temps ne vais-je pas perdre pied et le contrôle par la même occasion avec perte et fracas ? Je n’ai pas envie d’y réfléchir, pas maintenant. « Tu prends la pilule ? » Je demande, n’ayant pas de préservatifs sur moi. Et puis, je n’ai pas la patience d’attendre qu’elle cherche éventuellement, son cou m’appelle et je ne tarde pas à prendre possession de ce qui m’est dû, mes lèvres fiévreuses chérissent cette partie érogène de son corps, mes dents se resserrent parfois contre sa peau et déjà je me sens trop impatient pour attendre davantage. Je me penche, entoure ses cuisses de mes mains et la soulève pour la plaquer d’un mouvement brusque contre la paroi de cette douche qui abritera cette communion des plus charnelles. « J’ai tellement envie de toi ! » Je confesse dans un murmure, mes muscles me servent enfin à quelque chose, je n’éprouve pas la moindre douleur, je ne vacille pas et la maintient fermement me servant de mes cuisses pour imposer mon emprise et lui offrir un endroit sur lequel poser ses mains en cas de besoin. L’attente est terminée, l’heure est à la délivrance et c’est exquis. Petit à petit je m’impose en elle et putain ce que c’est bon.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le temps est venu pour vous de partager ces envies dévastatrices qui vous parcourent tout le corps, comme si la foudre vous tombait en plein dessus. C'était électrisant. Tu te sentais privilégiée de toucher cette cicatrice qui en disait long sur son histoire, sur ses vécus. Comme si celle-ci t'ouvrait la porte sur de douloureux secrets, enfouis au plus profond de lui, qu'il refoulait pour se protéger. Tout le monde avait ses petits - ou gros, démons, de quoi vous foutre la trouille, juste assez pour vous inciter à les recaler. Tu n'es pas mal à l'aise vis-à-vis ses blessures. Tu acceptes. Mais accepte-t-il ce qu'il a vécu, alors qu'il n'aurait pas dû avoir à traverser ces horribles épreuves? Ce n'est pas par pitié, que tu as envie de lui. Ce n'est pas par pitié, et pourtant tu cherches tellement à lui faire oublier ses mauvaises expériences, les bagarres qui ont mal tournées à la prison. Tu le sais, car tu étais là, lorsqu'il a été convoqué devant le Juge. Tu étais là, lorsqu'il a raconté. Bien difficile de ne pas se créer d'images mentales, dans des moments comme ceux-là, dans un silence de plomb où seule la victime, à ce moment là, considéré comme criminel dans l'histoire, avait le droit de parole. Tu soupires en y repensant. Étrangement, tu es surprise de la minutie dans les gestes du jeune homme. Une minutie maladroite, mais tant agréable. Ses lèvres, ses dents contre ton cou, t'arrachent des soupirs d'aise. Tu te sens si bien, abandonnée à ses bras. Tu espères que c'en sera réciproque, bien que tu te laisses plutôt aller, pour l'instant, plutôt que d'agir. Tu sens son excitation. Et bientôt, il sentira la tienne. Quel moment sensuel, trouves-tu. Il reste habile malgré ses quelques maladresses, malgré son empressement. Tu le comprends, sans pour autant le comprendre totalement. Quelques mois, et tu deviens folle. Alors trois ans, ça doit être tant pénible. Il a un corps offert sous ses yeux, une femme consentante, normal qu'il cherche à profiter de la douceur que tu peux lui offrir, que tu veux lui offrir, et du plaisir, par le fait même. « Tu prends la pilule ? » Malgré ton plan d'avoir un enfant, tu n'as pas encore trouvé ce qu'il te fallait, pour le moment. Alors, tu n'as pas cessé la pilule. Comme toute réponse, à peine as-tu le temps d'hocher la tête, qu'il prend déjà possession de toi, t'ayant au préalable soulevée pour t'adosser avec vigueur contre le mur de la douche. Son côté sauvage et impatient t'arrache un sourire amusé et de compassion. Mais le moment est trop sérieux dans l'amusement, vos corps ne cherchent qu'à faire qu'un l'un avec l'autre, que ton sourire s'esquive rapidement, pour te laisser entrouvrir les lèvres, poussant un gémissement spontané. L'une de tes mains trouve le chemin de sa nuque, agrippant gentiment ses cheveux mouillés, tandis que l'autre se glisse sur son épaule, pour prendre appui, ne touchant pas le sol. Tu es toute offerte, et c'est le cas de le dire. « J’ai tellement envie de toi ! » Tu cherches son regard un instant, cherchant à y déceler quelque chose, sans jamais parvenir à saisir de quoi il s'agit, dans ses magnifiques yeux. Toi aussi, tu en as vraiment, tellement envie. Dans un murmure rauque et invitant, tu lui réponds : "Alors laisse-toi aller. Ne te prive pas." Car se priver pouvait être néfaste, surtout pour lui. Surtout que c'était sa première fois depuis trois ans. Il devait se concentrer sur son plaisir, et non pas sur la douleur, sur l'incertitude, sur la panique de retrouver le corps d'une femme après tant d'années. Peut-être aussi impatiente que lui, tu serres tes hanches, tes cuisses, tes jambes, tout le bas de ton corps, en somme, pour qu'il ressente ton envie, pour qu'il ait envie de se laisser aller. Tu adosses ta tête contre le mur, jouant avec ses cheveux sans aucun but précis. Ce serait sauvage, mais tant agréable. Ce l'était déjà, même. Sauvage, puissant, charnel. "Graham...", dis-tu dans un soupir d'excitation, pour le pousser à agir en toi, pour lui montrer que ça t'plaît. Dieu que c'est bon.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Mon comportement à cet instant est finalement assez paradoxal. Je suis impatient, pressé par ce désir oppressant qui me terrasse et vient me rappeler ô combien j’ai attendu avant de me remettre en selle. Trois ans c’est long, c’est une éternité pour un être humain qui, normalement constitué, éprouve du désir, est nourri par des fantasmes plus ou moins oppressants. D’un autre côté, je n’ose pas m’abandonner à cette passion qui commence sérieusement à m’étouffer. J’ai peur de dépasser les bornes, de ne plus être capable de me contrôler. Et si je blessais Dixie sans le vouloir ? Un animal sauvage, c’est ce que je suis devenu après toutes ses années, la tendresse je ne saurais même plus dire ce que c’est. Comment résister à une telle sensation ? Je n’ai jamais été branché par la demi-mesure et après autant d’abstinence il est impossible de l’être. Sans plus attendre je m’abandonne à elle, non sans m’assurer que nous soyons sur la même longueur d’ondes. « Alors laisse-toi aller. Ne te prive pas. » Dangereux de me dire une telle chose, si je perds le contrôle qu’arrivera-t-il ? Je n’ai pas tellement envie de répondre à la question, pour l’heure je veux juste lui faire l’amour comme une reine. « Graham... » M’encourage-t-elle dans un soupir qui agit comme un coup de fouet sur ma libido déjà débordante. J’étouffe, j’implose, haletant comme un animal, tremblant de désir. Je lui attrape les mais pour les plaquer contre le mur, près de la pomme de douche qui continue de nous recouvrir d’eau. Est-elle aussi chaude que je l’imagine ou est-ce l’excitation qui parle pour moi ? Je me sens à l’aise en elle, submergé par des sensations oubliées depuis des années. Plus rien ne compte, plus rien ne m’importe, le plaisir me guide, me fait perdre le fil. A l’aise en elle j’arrête de me ménager, je cède à la tentation et sombre. Mes mouvements de bassin se font plus secs, violents, je gémis contre ses lèvres que j’embrasse avec une fougue que je m’ignorais capable d’exprimer. Putain ce que ça m’a manqué ! « Hmm, Dixie… » Mon emprise se resserre autour de Dixie, la distance se réduit et déjà je sens qu’il va falloir calmer le jeu si je ne veux pas me perdre dans un orgasme qui ne m’aura pas laissé le temps nécessaire pour prendre mon pied totalement. Mais comment faire preuve d’endurance après trois ans ? Hein ? Quelqu’un connaitrait-il une recette magique ? Ce n’est pas mon cas. Pensons à des choses moins appétissantes… Non, je n’y arrive pas, sa peau m’obsède, m’affame toujours plus et déjà je commence à sentir mes muscles se raidir.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
À l'instant, tu es la plus stable des deux. Tu le sens trembler sous les premiers coups de bassin. On aurait presque dit un alcoolique en désintoxication. La situation était bien contraire à l'exemple, mais le corps de Graham n'aurait même jamais su faire la différence entre l'une ou l'autre. Tu n'es pas du genre soumise. Tu n'apprécies guère les pratiques de ce genre. Mais le côté sauvage des hommes, t'attire. Tu aimes savoir qu'ils comprennent ce qu'il font, qu'ils savent ce qu'ils veulent te faire. Tu aimes être désirée, être appréciée de la sorte, avec ou sans brutalité. Graham est un mélange du avec et du sans, ça te fait découvrir des sensations charnelles jusqu'ici enfouies bien loin depuis longtemps. Il y a longtemps qu'on ne t'avais pas fait découvrir des plaisirs de la sorte. Il y a longtemps qu'on ne t'avais pas arraché des soupirs d'aise de la sorte. Le pire dans tout ça? C'est que Graham ne savait pas exactement ce qu'il faisait. Il était dans un état tout autre, un état d'extase, de besoin, de sensations extrêmes. Trois ans à ne pas faire l'amour à une femme. Trois ans d'abstinence forcée. Trois ans à s'imaginer, à rêver, peut-être. Trois ans à se réveiller tous les matins, seuls, sans une femme à ses bras. Certes, vous n'étiez pas dans un lit, mais plutôt dans une douche. Et puis quoi? Ton corps appréciait chaque mouvement, chaque caresse intime, chaque mince instant de brutalité et de douceur à la fois. Tu t'offres entièrement, le laissant t'écraser les mains contre le mur de la douche. Il ne s'attarde pas aux détails de ton corps, il ne prends le temps d'apprécier son plaisir, et ça te semble évident qu'il ne tiendra pas longtemps, à cette vitesse, à cette fougueuse étreinte. « Hmm, Dixie… » Il murmure ton nom dans un élan de plaisir, il se crispe, se rapproche encore, comme si vous n'étiez pas encore tout à fait emboîtés l'un dans l'autre. Tu as des frissons qui te ravagent le corps tout entier, tes seins, ton entrejambe, le bout de tes orteils, ta tête, tout ton dos. Qu'est-ce que c'est étrange, le plaisir, le sexe. Mais c'est divin, aussi. Tu comprends pourquoi les dieux avaient des centaines d'enfants. Ils aimaient faire l'amour, sûrement. Tu te mords la lèvre inférieure en fermant les yeux, jusqu'au moment où tu le sens réellement se crisper. Difficile de ne pas le sentir, lorsqu'il est tout en toi. Tu rouvres les yeux, glissant délicatement ta main dans ses cheveux, respirant fort. "Respire, Graham... Ralentis." Tes jambes se serrent avec force autour de ses fesses, l'incitant à calmer l'ardeur quelques instant. Son visage est près du tien, tu mordilles avec sensualité ses lèvres, y passant ta langue. Tu souris. L'une de tes mains, plaquées contre le mur de la douche, attrape la sienne. Tes doigts glissent entre les siens, et tu diriges sa main vers l'un de tes seins. "Caresse-le." Ta voix est douce, légèrement autoritaire, envieuse, affamée. Ce n'est pas pour toi qu'tu l'fais, mais pour lui. Il devait être doué, autrefois. Il l'était toujours, très doué même, juste un peu rouillé, mais tu n't'en plaignais pas, bien au contraire. "Fais-toi confiance.", dis-tu en laissant ainsi sa main seule, sur ta poitrine. Allez savoir c'qu'il en ferait, après..
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Existe-t-il une recette secrète pour chasser la rouille et repartir comme en l’an quarante après autant d’années ? J’en doute fort et je ne parviens pas à me concentrer suffisamment longtemps pour pouvoir réfléchir à la question. A vrai dire, je m’en contrefiche complètement, pour l’heure je croque le fruit défendu après des années d’abstinence et c’est tout simplement divin. Il n’y a rien de romantique à ce que je suis en train de faire endurer à Dixie mais je doute qu’elle soit surprise et déçue par cela. Si je m’étais retrouvé dans cette même position avec une fille qui ignore tout de mon passé alors j’aurais pu comprendre la déception mais pas Dixie, elle a été là, elle a suivi mon procès, elle sait ce que j’ai fait et combien de temps j’ai passé en prison… Elle doit se douter que garder mon sang-froid relève du défi, de la mission impossible à cet instant. La seule chose qui pourrait me couper dans mon élan ce serait peut-être le fait de lui faire mal au point qu’elle me le fasse remarquer. Je ne suis pas quelqu’un de violent avec les femmes et je ne sais pas du tout si je suis en train de la martyriser avec mes coups teintés de violence, de brutalité. Je relâche la pression pour la première fois depuis une éternité, que ce soit sexuellement mais surtout moralement. Je n’ai jamais baissé ma garde depuis que j’ai été pris au piège en prison, depuis que j’ai décidé de dire stop après une énième blessure, un énième viol. Je suis emporté par une fièvre incontrôlable, je ne prête plus la moindre attention au cadre, à cette douche pourtant brûlante, animé par un redoutable feu je m’abandonne contre Dixie. « Respire, Graham... Ralentis. » La jeune femme tente de calmer le fauve avant qu’il ne soit trop tard et, égoïstement, je privilégierais bien mon propre plaisir en me laissant aller en elle sans me poser de questions. Cette petite voix qui résonne dans ma tête me fait néanmoins ralentir la cadence. « Caresse-le. » Ses doigts glissent le long de ma main qu’elle dirige avec patience jusque sur sa poitrine. « Fais-toi confiance. » Je dois faire une pause, mon corps me le fait très bien comprendre, si je ne m’arrête pas tout de suite il sera impossible de retourner en arrière. Je flirte dangereusement avec le point de non-retour. Un petit sourire vient élargir mes lèvres et je recule, conservant Dixie contre moi, dans mes bras. J’ai une idée derrière la tête et je ne tarde pas à me montrer plus imaginatif en abandonnant la cabine de douche pour l’allonger sur ce banc. Il y a plus confortable, je sais, mais ça fera l’affaire. Je la surplombe en trouvant un petit peu de place contre ses jambes pour avoir un appui suffisant. Mes lèvres rejoignent ses lippes sucrées, je les dévore avec davantage de tendresse. Je les abandonne, résolu, pour descendre, déposer de petits baisers le long de son cou, je poursuis ma chute jusque sur sa poitrine que je chéris comme il se doit, mordillant leur extrémité tandis que mes mains continuent le chemin et s’arrêtent à son intimité que je caresse avec sensualité.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tes recommandations lui auront fait ralentir la cadence. Ironiquement, l’une des choses qui te plait en tant que fille, lorsqu’il s’agit de sexe, c’est que vous pouvez facilement atteindre l’orgasme plusieurs fois sans en être complètement rassasiées, alors que les hommes, si le point de non-retour est atteint, il leur est difficile de continuer le jeu. Tu comprends qu’il soit porté à confusion dans sa propre folie, dans son propre plaisir, il ne parvient plus à contrôler rien. Être privée de plaisirs charnels pendant plus d’une année te rendrait dingue. Tu es même certaine qu’une fois sortie de ce qui t’empêchait d’avoir des relations, tu sauterais sur le premier venu pour y goûter de nouveau, et enfin être rassasiée de cet appétit qui te torturait le bas ventre depuis tant de temps. N’était-ce pas la même chose, pour lui? Graham décide alors de prendre la décision non pas la plus sage pour ses envies, mais la plus sage pour faire perdurer l’instant. Toi qui n’avait jamais fait l’amour dans un endroit insolite, à l’exception d’un parc, tu n’avais non plus jamais goûté aux douches : ces trouvailles impromptues avec l’homme fort et intriguant qu’était Graham n’étaient pas de tout repos, mais pourtant étaient tant agréables. Il te retient dans ses bras, alors qu’il vous fait changer de position. Tu le vois dans son regard, que la tentation est forte, que la privation est difficile. Mais il vainc. Il s’y prend bien. Graham t’étale de tout ton long sur le banc sur lequel tu étais assise tout à l’heure. En musique de fond, la douche continue de couler. Les environnementalistes ne seront pas fiers de vous : gaspiller de l’eau pour une cause qui n’en est pas une bonne à leurs yeux… On vous tapera sur les doigts. Il se retrouve sur toi, contre toi. N’y allant même pas avec subtilité, tes yeux descendent entre vos deux corps, pour admirer ce qui te donne tant de plaisir depuis maintenant quelques minutes déjà. Mine de rien, tu veux que ce plaisir dure à tout jamais. Un homme, un vrai, comme Graham, ça ne court pas les rues. Tes lèvres, d’où quelques gouttes d’eau perlent encore – faute de la douche qui vous ruisselait dessus, se retrouvent choyées par celles du jeune homme. Tu les goûtes, les apprécies, tu en redemandes encore, ton corps tout entier en redemande encore. Et comme pour montrer qu’il sait se retenir, qu’il sait faire durer le plaisir autrement que par une cadence accélérée et vigoureuse, ses lèvres quittent les tiennes, ce qui t’arrache un soupir de mécontentement, bien vite remplacé par un gémissement de plaisir. Il parcoure tous les endroits de ton corps qui te sont dangereusement érogènes. Chaque fois, ta respiration se coupe, tu fermes les yeux, réflexe acquis depuis longtemps, qui te fait apprécier un peu plus encore le plaisir qu’on te procure. Tes pieds, quant à eux, remontent lentement, tendus et appréciateurs, le long de la jambe de ton amant. Ton corps tout entier se cambre, se tord sous ses caresses, autant buccales que les caresses qu’il te procure avec ses doigts. Tes orteils se tendent, tes doigts remontent dans son dos, comme pour t’assurer qu’il reste là, contre toi. Tes doigts le serrent un peu, sans trop lui faire mal, c’est que le plaisir te semble tellement incontrôlable.  Tu ne parles pas, il n’y a que tes soupirs et tes gémissements qui se font entendre dans la pièce. Pour l’instant, tu n’as aucune orientation dans le temps, tu grimpes dans les rideaux à une vitesse impressionnante. Et c’est tout Graham qui te procure ce plaisir. Faisait-il des rêves érotiques, en prison? Drôle de question qui te traverse l’esprit en ce moment-même. Ses dents s’amusent avec l’extrémité de tes seins, il n’en démord pas, il s’y plaît, à cet endroit, comme ses doigts se plaisent à jouer avec ton intimité. Tu es ravie de voir qu’il n’a pas de mal à trouver tes points sensibles, à mettre ses propres envies au profit de ton plaisir. Il est certain que tu ne laisseras pas en reste, mais… tes idées sont présentement ailleurs. Dans de flous nuages, tu te cambres entièrement, les ongles serrant sa peau, tu te mords la lèvre pour retenir ce plaisir qui te submerge, et c’est l’apothéose. « Graham … ! » Il comprendra. Impossible qu’il ne comprenne pas, ne voit pas que tu as atteint l’orgasme. Ton corps se tend, puis se détend au même rythme que ta respiration s’accélère, puis redevient plus calme, cette fois… Tes yeux se font reconnaissants, tu le regardes pourtant toujours avec ce même regard de tigresse qui n’en as pas fini. Oh non, vous n’en avez pas fini. Tu tentes de ramener son visage au tien, pour ensuite l’embrasser avec la même fougue qui te prend tout entière depuis tout à l’heure. Qu’est-ce que c’est libérateur…
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Parvenir à faire s’étendre le plaisir, à lui donner une longévité digne de ce nom… Quel défi pour un homme qui a fait vœu d’abstinence pendant trois ans. Inutile de rappeler que ça n’a jamais été mon intention, le sexe, bien qu’il soit plus facile de s’en passer qu’on ne pourrait le croire, a toujours été très salvateur. Je m’en suis servi des dizaines et des dizaines de fois par le passé pour évacuer une pression accumulée pendant trop longtemps, pour mon propre plaisir mais également pour celui de ma partenaire. En trois ans je n’ai pu que songer, réfléchi, imaginer l’acte pendant de longues heures d’ennui, c’est tout juste si j’aurais été capable de décrire cette magnifique petite entreprise il y a quelques dizaines de minutes. Je ne peux qu’être ravi de constater que le sexe, à l’image du vélo, ne s’oublie jamais, on n’oublie, on devient certes un peu rouillé avec le temps mais on retrouve rapidement la main. Pour l’heure, je suis forcé de faire abstraction de mes propres désirs afin de me concentrer sur Dixie, je n’ai pas envie d’être égoïste, prendre mon pied et la laisser au beau milieu du truc sans qu’elle ne soit parvenue à y trouver son compte. Je n’ai jamais été ce mec, je me suis toujours évertué à ne pas atteindre l’orgasme en solo en me fichant de ce qu’a pu vivre ou non ma partenaire. Certains mecs le font, j’en connais plusieurs, l’un de mes amis n’a pas encore compris pourquoi sur le plan sexuel rien ne fonctionne pour lui. Comment lui raconter tout cela sans qu’il ne prenne la mouche ? Pour l’heure, je découvre plus en détails le corps de la ravissante Dixie, chaud, savoureux, je me délecte de ce qu’elle a à m’offrir, je n’hésite pas à laisser libre court à mes envies, mes doigts se perdent le long de son intimité que je torture avec une certaine dextérité. Je n’y vais pas avec le dos de la cuillère, je prends le temps de l’habituer à la présence de mes doigts avant de me lancer à la conquête de son plaisir que je veux être capable de ressentir par procuration. Elle se cambre, ses jambes remontent le long des miennes, ses ongles s’accrochent avec fermeté dans ma peau. Je pousse un grognement à la limite de l’animal, y trouvant une certaine forme de plaisir tandis que son corps se tend, je le perçois en elle, il est temps de mettre le paquet et de mettre mes doigts à contribution de manière plus assidue encore. « Graham … ! » Elle atteint le point de non-retour, ses hormones s’embrasent, elle gémit plus fort, ses yeux se ferment, se contractent. Mission accomplie. « Ce n’est pas fini. » Je me mordille la lèvre, lui attrape les hanches pour la relever et l’installer contre mes cuisses. Sans demander la moindre autorisation, sans chercher midi à quatorze heures je retrouve mon chemin en elle, ce que c’est bon, je ferme les yeux, lui mordille le cou, plus à l’aise dans cette position plus confortable.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)