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Aujourd'hui, c'était ton entraînement de boxe. Eh oui, depuis ton agression, tu suivais tous les cours possibles qui s'offraient pour apprendre à te défendre si, le cas advenant, un truc du genre se reproduisait. Tu voulais faire disparaître cette peur qui te tenaillait dangereusement depuis des semaines déjà. C'était horrible. Au moins, avec Adam qui vivait chez toi depuis deux mois, tu parvenais enfin à dormir sur tes deux oreilles sans avoir à te soucier de trop de choses, et ça te faisait du bien. Réellement. Mais si tu ne parvenais pas à te défendre seule, comment parviendrais-tu à survivre? Car tout ça, ce n'était que de la survie. Rien de plus. La faiblesse face à quelqu'un de plus fort, de menaçant, de plus imposant, tu avais connu ça, et plus jamais tu ne voulais revivre un truc du genre. C'était terminé. Maintenant, tu te débrouillais particulièrement bien et... voilà, t'étais rassurée. Essoufflée, en sueur, c'est après deux heures que l'entraînement se termina, sur une bonne note. Tes poings étaient en sang, car tu ne cessais de taper sur le sac de boxe. Tu préférais le faire sans gants et souffrir, plutôt que de le faire avec des gants et ne pas être totalement prête, si jamais ça se reproduisait, ce que tu ne souhaitais pas... T'avais ta longue serviette sur l'épaule et un savon en mains, et c'est en envoyant des SMS par-ci par-là à quelques personnes, vérifiant les réseaux sociaux que tu te dirigeas vers les vestiaires, afin de te changer, et de prendre ta douche. Mais trop occupée par ton portable, tu pénétras dans le mauvais vestiaire : celui des hommes. Puisqu'il n'y avait personne, tu ne le remarquas même pas. Tu retiras donc tes vêtements en les laissant par terre, devant le rideau de ta douche, pénétrant dans la douche, afin d'ouvrir le robinet et de te mettre sous l'eau. Qu'est-ce que ça faisait du bien, un peu d'eau fraîche pour te laisser respirer un peu mieux et enlever toute cette sueur de sur toi. Tu ne pouvais rêver mieux comme moment, après un entraînement du genre...
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Le sport, probablement l’activité qui m’a sauvée la vie lorsque j’étais en prison. J’ai trouvé dans la pratique intensive du footing, de la musculation et du basketball un échappatoire à l’enfer que je vivais et c’est d’ailleurs ainsi que je suis parvenu à prendre une quinzaine de kilos de muscles, ça aide pour se faire respecter. Il y a trois ans, lorsque j’ai été envoyé en prison, je n’étais qu’un petit minet maigrichon qui n’avait rien de bien effrayant. Mon caractère reflétait d’ailleurs plutôt bien mon physique puisque je n’étais pas du genre à me battre, encore moins à rendre les coups excepté le soir où j’ai assassiné mon père. Pendant mon séjour à la prison j’ai dû apprendre à survivre et cela impliquait de ne pas être réglo, au départ un groupe de taulards m’ont pris sous leur aile mais cette protection a eu un prix, ils ont abusé de moi et il n’y a rien que j’ai pu faire si ce n’est accepter d’être sali de la plus abominable des manières. Je n’avais pas d’autres moyens pour prendre mes marques et ne pas me faire esquinter par d’autres psychopathes ici pour de bonnes raisons. Mais passons, ce n’est pas parce que je suis sorti de prison que je compte tourner le dos au sport, au contraire c’est la seule activité qui m’aide à me détendre et j’en ai clairement besoin aujourd’hui. Être calme et ne pas répondre ce n’est plus du tout dans mes cordes et entendre les étudiants de ma promo se questionner sans aucune discrétion sur les raisons qui m’ont poussé à tuer mon père m’ont fait perdre mon sang froid. Je colle probablement parfaitement au stéréotype du taulard maintenant, une bête qui parle avec ses poings et insulte plutôt que d’ignorer. L’ignorance, comment voulez-vous que je parvienne à faire comme si je n’entendais rien alors qu’à chaque passage dans un couloir on me regarde comme une curieuse bête de foire. C’est dingue à quel point les rumeurs, les potins circulent vite ici. Plutôt que de péter un plomb j’ai opté pour de la nage rapide, en crawl, deux bonnes heures dans cette eau suffisamment chaude pour ne pas me donner l’impression de mourir de froid. On pourrait croire à un petit tour de magie car je me sens réellement mieux à présent, apaisé et fatigué, de la bonne fatigue ! Mes muscles ont bien travaillé et je sens qu’il est temps pour moi d’arrêter pour rentrer, quel heure est-il ? Dix-neuf ? Peut-être vingt heures et je commence à avoir faim. Je me dirige donc jusqu’aux vestiaires, vêtu de mon boxer de bain noir, mon sac de sport sur une épaule et ma serviette sur l’autre. L’eau coule déjà, signe que quelqu’un est présent dans les vestiaires des hommes, mais je n’y prête pas attention. La première chose à laquelle on doit s’habituer en prison c’est au manque de pudeur, ça n’existe pas vraiment et on s’y fait vite. Je retire le seul morceau de tissu qui recouvre mes formes et allume l’eau, prêt pour une bonne petite douche.
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Tu n'avais pas entendu quelqu'un entrer dans les vestiaires. Et puis, ça faisait quoi? Y'avait rien là. Toi, quand tu sortais de la douche, tu t'promenais bien toute nue sans gêne au milieu d'un troupeau de filles ; t'étais à l'aise avec ton corps et vous aviez toutes les mêmes attributs féminins, après tout. Pas de quoi s'en cacher... Sous la douche, tu en profitais pour te laver également les cheveux avec le shampoing offert - qu'est-ce que c'était généreux de la part de l'établissement de payer des shampoing -, mais il te semblait que ça avait plutôt l'odeur masculine que féminine des odeurs habituelles... Bon, p'têtre qu'un couple avait bien eu du plaisir ici et que le mâle avait oublié son shampoing? Ça s'pouvait fort bien. Une fois que tout fut terminé et que tu fus bien lavée, propre et fraîche, tu fermas le robinet de la douche. C'est là que tu entendis une autre douche couler, près de la tienne. Quelqu'un d'autre était là ; c'tait bien un peu de compagnie! Tu sors donc de la douche pour aller attraper tes vêtements s'trouvant sur le sol juste devant, nue comme un verre, puisque ta serviette servait à éponger tes cheveux et c'est en sortant que tu tombas sur un jeune homme lui aussi nu comme Adam. Adam et Ève, quoi. Merde! Et en plus, tu le connaissais, celui-là. Graham. Cependant, le cri qui s'échappa d'entre tes lèvres, tu ne pus le retenir, c'était comme un réflexe. Immédiatement, tu attrapas ta serviette que t'avais entre les mains et la plaça devant ton corps. Y'avait pas non plus de gêne avec les garçons, mais en surprise comme celle-là, c'tait... étrange. " Graham, merde! Qu'est-ce que tu fous dans le vestiaire des filles? T'avais envie de mater? ", dis-tu avec une pointe de reproches, sans pour autant être méchante. Tu l'aimais bien, ce beau mâle. Et du court coup d'oeil que tu venais juste d'avoir l'occasion de jeter sur ton corps, il était dangereusement bien foutu.
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Je ne m’attendais pas à être surpris de la sorte. Il y avait bien cette douche qui était en marche mais je ne pouvais pas réellement imaginer qu’une fille en sortirait, non parce qu’aux dernières nouvelles sur la porte que je viens de franchir il est bien écrit que nous entrons dans les vestiaires des hommes. Il s’agit pourtant bien d’une beauté fatale, une déesse qui me rejoint en dehors des douches au moment-même où je m’apprête à rejoindre ma cabine pour chasser de mon corps cette odeur pas vraiment plaisante de transpiration. Son cri strident me fait sursauter et je détourne le regard de sa sublime poitrine, coupable d’avoir admiré une chose que je n’ai plus eu l’occasion d’apprécier à sa juste valeur ces trois dernières années… D’apprécier à sa juste valeur, de ne pas apprécier du tout puisque je n’ai pas eu l’occasion de revoir une fille intimement en prison, ni depuis que je suis sorti il y a un peu plus de dix jours. Le challenge à cet instant me parait impossible à relever et pourtant je parviens à prendre sur moi pour ne pas m’abandonner à un moment de faiblesse. Nous savons tous ô combien nos attributs masculins peuvent rapidement se réveiller face à une telle vision. Depuis quand ne me suis-je pas abandonné dans les bras d’une femme ? Je ne saurais même pas vous le dire, plus de trois ans en tout cas. Je ne cherche pas forcément à dissimuler quoique ce soit, mon corps j’ai pris l’habitude de le trimballer dans cette tenue d’Adam sans me prendre la tête, il faut dire que je n’ai vraiment pas eu le choix à la prison lors des fouilles et des douches. « Graham, merde! Qu'est-ce que tu fous dans le vestiaire des filles? T'avais envie de mater? » Je me concentre cinq secondes et c’est suffisant pour que je me rende compte que je connais cette jolie jeune fille, Dixie. Elle était présente à mon premier procès, nous avons papoté quelques instants, il me semble qu’elle faisait une sorte de stage ou quelque chose dans le genre en lien avec mon avocate… Je ne me rappelle plus vraiment. Depuis nous nous sommes croisés une fois à Harvard, la semaine passée. « Je te retourne la question, tu es dans les vestiaires des mecs là ! » Qu’il est difficile de ne pas quitter son visage pour me concentrer sur une partie qui titille mon appétit. Je reste concentré, rattaché à son regard comme à une bouée de sauvetage. « Tu veux peut-être que je me retourne le temps que tu attrapes ta serviette ? »
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Ça arrivait, de se tromper. Mais d’être aussi tête en l’air que tu pouvais bien l’être, c’était rare. Et ridicule. Tu prends ta douche comme si tout allait pour le mieux ; c’est bien ce que tu pensais, jusqu’à ce que tu en sortes, complètement nue et que tu te retrouves face à un jeune homme. Que tu connais, en plus, et devant qui tu n’as jamais eu d’aventures comprenant une certaine nudité. Que ce soit partielle ou entière. Là, d’un seul coup, c’est la nudité complète, et même si tu es du genre très à l’aise avec ton corps, tu te dissimules à moitié derrière une serviette, par réflexe. Serviette qui cache très peu d’attributs, d’ailleurs. Parlant d’attributs, ceux du jeune homme devant toi, que tu connais d’ailleurs, ne te laissent pas indifférente. Tu n’as eu qu’une ou deux aventures depuis ta rupture avec Charlie, et toi, te connaissant, voir un homme nu ne fait qu’alimenter ton appétit déjà bien développé et à l’affut du premier morceau à croquer. Pourtant, tu ne fixes pas Graham comme une obsédée, et c’est plutôt dans ses yeux que tu t’orientes. « Je te retourne la question, tu es dans les vestiaires des mecs là ! » Tu fronces les sourcils, prête à répliquer qu’il a tort et que c’est bel et bien dans les vestiaires des filles que vous êtes, mais… dès que tu tournes la tête, tu t’aperçois que juste à côté des douches, les toilettes – évidentes – pour hommes, sont bien clouées au mur. C’est avec honte que tu te rends comptes que tu ne les as même pas remarquées en entrant… " Merde… " Tu laisses échapper un rire nerveux. T’étais bien trop préoccupée par tes pensées tout à l’heure pour te rendre compte de ta bêtise, et maintenant… tu te trouves dans une situation un peu étrange, mais pourtant pas gênante. Du moins, pour toi. T’aurais bien aimé jeter quelques coups d’œil vers le bas, mais… tu te retenais, par politesse, et parce qu’il aurait bien vite remarqué sur quoi tu bavais. Allez, la groupie, il faut que tu t’arrêtes. « Tu veux peut-être que je me retourne le temps que tu attrapes ta serviette ? » À sa question, tu baisses immédiatement les yeux vers ton corps, à moitié recouvert par la serviette de douche. Mmh… Tu te surprends toi-même à jeter un regard à Graham, avant de laisser tomber ta serviette, haussant faiblement les épaules. Beh quoi? Le naturel, c’était de se retrouver dans la tenue d’Ève, non? Et d’Adam, il l’était déjà, lui. " Ce sera pas nécessaire… " Mais tout de même, tu ne sais pas trop où te placer, ni quoi dire. Alors, tu restes plantée là, refermant le rideau de douche derrière toi, puisque tu en avais terminé là, maintenant. " Et toi? Tu veux que je sorte pour te laisser prendre ta douche? Je peux t’attendre dehors, si tu préfères… C’est mon erreur! ", dis-tu, en souriant tout de même, dévoilant ainsi tes dents blanches.
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Je me retrouve bien malgré moi dans une situation vraiment délicate, elle pourrait même s’avérer très gênante car je n’ai pas été aussi proche physiquement d’une femme depuis que j’ai été jugé coupable d’homicide involontaire et envoyé en prison… Trois ans c’est long, vous n’avez pas idée à quel point et lorsqu’un un tel corps dénudé vous tombe comme par magie sous le nez je peux vous assurer qu’il est difficile de ne pas réagir. J’aimerais pouvoir facilement détourner les yeux et garder la tête froide mais… Putain elle est canon et j’en ferais bien mon quatre heures, là, tout de suite. Ne serait-ce pas simple de dissimuler nos ébats avec ce rideau de douche ? Je suis persuadé qu’avec un peu de concentration nous pourrions être discrets et ne pas trop se laisser aller d’un point de vue purement sonore. Attendez, je crois que je suis en train de m’emballer et mon corps suit logiquement cet état d’esprit et ça… Oh non, ce n’est pas bon pour moi, pas besoin d’être humilié par une érection qui serait on ne peut plus visible car voyez-vous… Je pense qu’un affut de sang dans les veines de cette partie très intime de mon corps pourrait très rapidement me trahit, d’autant plus quand je suis intégralement nu devant elle. Je tente de trouver un refuge dans ses yeux auxquels je tente de m’accrocher désespérément, comme à une bouée de secours. « Merde… » Elle a enfin compris qu’elle s’était trompée, elle n’est pas dans les vestiaires féminins, elle est chez les mecs. Pas très à l’aise face à ce que je n’ai pas pu caresser, embrasser, chérir depuis des années je la questionne donc comme un parfait gentleman, veut-elle que je me retourne pour qu’elle puisse s’habiller à l’abri de regards indiscrets et ô combien pervers ? « Ce sera pas nécessaire… » Elle laisse retomber la serviette et me soumet à la plus machiavélique des épreuves au monde, je lève les yeux pour regarder le plafond, ne serait-ce pas le moment idéal pour quelqu’un me sauve la mise en entrant dans les vestiaires ? « Et toi? Tu veux que je sorte pour te laisser prendre ta douche? Je peux t’attendre dehors, si tu préfères… C’est mon erreur! » Ma douche ? Ah oui, c’est pour ça que je suis venu à la base, suis-je bête. Un léger sourire étire mes lèvres. « Non non c’est bon, ça va aller, prends ton temps. » Et sans en dire plus je me dirige jusqu’à la pomme de douche, j’allume l’eau qui commence dès lors à s’écouler sur ma peau. « Tu vas bien ? » Okay, je tente de faire un peu de conversation mais je suis décidément médiocre à cet exercice.
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Être une femme ne te met pas à l'abri des désirs dangereux et charnels. Certes, l'envie parait moins au niveau physique, mais elle n'en est pas moins présente. Tu es une femme avec des besoins, des fantasmes, comme toutes les autres et pourtant, ta vie sexuelle est très peu active depuis ta rupture avec Charlie qui date de l'été. C'était il y a longtemps, quoi. Mais probablement pas aussi longtemps que Graham. Sans le montrer, tu trouves bien drôle la situation dans laquelle vous êtes. Tu vois la tentative de Graham de ne te regarder que dans les yeux, toujours dans les yeux. Est-ce pour se protéger d'un désir qui pourrait devenir trop grand, voire urgent, ou bien est-ce parce qu'il n'avait aucun intérêt pour ton corps, tout aussi nu que le sien? Aucune des deux options ne te semble plus vraie ou plus fausse que l'autre, alors tu en restes là, à l'observer, et à jeter quelques coups d'oeil subtils, mais indiscrets vers le bas de son corps - attendez, mais tu ne vas tout de même pas t'en empêcher, toi. Tu n'insistes pourtant pas, puisque cela le rend peut-être bien mal à l'aise. « Non non c’est bon, ça va aller, prends ton temps. » Finalement, il ne te jette pas en dehors du vestiaire. Même qu'en fait, il semble plus à l'aise qu'il y a quelques instants et il se dirige jusque sous la douche. A-t-il fait exprès de ne pas refermer sur lui le rideau? Peu importe. Toi, tu t’assoies sur un petit banc en bois qui face face à la douche dans laquelle le Winthrop se trouve, afin de l'examiner, ou plutôt le reluquer, de derrière. Visiblement, son long séjour en prison ne l'aura pas tant affecté au niveau de son physique. Il est dangereusement bien foutu, bel homme, séduisant. Avec un beau cul. Roh, Dixie. Enfin, tu te sens impolie, et donc tu finis par pivoter la tête vers la gauche, observant ces vestiaires si... inintéressants, comparé à ce que tu as sous les yeux. « Tu vas bien ? » Tu sursautes presque ; perdue dans tes pensées. "Ouais, ouais! Ça va. Et toi? Comment ça s'passe, ici? Le retour, tout ça?" Tu ne voulais pas non plus lui remémorer de trop douloureux souvenirs - la prison, ça doit tuer un homme de l'intérieur, ça c'est certain. Mais en même temps, c'est de cette façon que tu l'avais rencontré, à son procès, et tu le croyais non-coupable. Vraiment, tu étais convaincue de son innocence, sans pour autant connaître toute son histoire, ça te semblait évident. Ouais, c'est quand même drôle, comme situation. Vous discutez, tous deux nus comme des vers, alors qu'il s'trouve sous la douche, toi derrière, à fuir la belle vision que tu avais par respect, tout ça, comme si de rien n'était.
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Diable qu’il est difficile d’être honnête. Mes yeux, mon corps, mes pensées sont unanimes et me supplient de ne pas être gentleman, de ne pas me préoccuper de mes valeurs et de regarder ce que Dixie m’offre involontairement en se baladant toute nue sous mes yeux. Je me suis toujours évertué à rester réglo, même en prison alors que j’aurais pu rentrer dans le petit jeu de tous les taulards. Là-bas, derrière les barreaux, c’est la jungle et je l’ai compris dès le premier jour lorsque mes fesses ont servi d’exutoire à une bande de taulards à la libido tellement débordante qu’ils étaient prêt à se satisfaire dans le premier cul qui passerait devant eux. Putain ce que j’en ai souffert, je me suis senti sale, souillé, j’ai pensé au suicide et c’est ce qui m’a rendu fort. En l’espace de quelques mois j’ai pris vingt kilos de muscles, je me suis entrainé à la salle de sport de la prison pendant toutes mes heures de temps libre et j’ai rendu les coups. Alors non, pas sexuellement parce que je n’aurais jamais pu violer quelqu’un, mais je me suis battu lorsque je n’ai plus eu le choix. Peu de temps après je me faisais poignarder avec une lame de rasoir, j’en garde d’ailleurs une cicatrice le long du pec gauche, longue de quatre ou cinq centimètres et large de deux ou trois centimètres. Le genre de balafre qui ne passe malheureusement pas inaperçue lorsque tu es à poil. Sous la douche, le rideau laissé ouvert plus ou moins volontairement, je prends le temps d’apprécier la chaleur de l’eau qui s’écoule le long de ma peau et épouse mes formes musclées. « Ouais, ouais! Ça va. Et toi? Comment ça s'passe, ici? Le retour, tout ça? » Dixie est l’une des rares personnes avec qui je peux être naturel à cent pourcent, Leandra et Jacey sont les deux autres personnes. Ce sont eux qui ont pu connaitre une partie de moi avant qu’il ne soit trop tard, avant que la prison ne me détruise. « Ce n’est pas le rêve mais je ne vais pas me plaindre, je n’ai pas encore parlé à beaucoup de monde car certains me fuient comme la peste… Ma réputation de taulard me précède ! Mais bon… J’ai espoir que tout cela puisse se régler avec le temps. » Je pourrais parler de mes problèmes financiers mais j’ai horreur de me plaindre et encore plus de m’apitoyer, je suis pauvre, mon job n’est là que pour financer mes frais d’inscription et j’en ai pour sept ou huit mois à faire cela sans toucher un centime. So’ what ? Je survivrais, SDF si je décide d’arrêter de squatter chez mes rares amis ou non. « Dis, tu accepterais de me mettre un peu de gel dans le dos ? Tu m’éviteras de faire une gymnastique inutile. »
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Ce n’est pas le rêve mais je ne vais pas me plaindre, je n’ai pas encore parlé à beaucoup de monde car certains me fuient comme la peste… Ma réputation de taulard me précède ! Mais bon… J’ai espoir que tout cela puisse se régler avec le temps. » Drôle de situation, n’est-ce pas? Il est sous la douche, nu. Tu es assise sur un banc, la douche juste devant toi, nue aussi. Comment fais-tu pour résister à ce corps de rêve que tu as juste sous les yeux? Tu ne le sais même pas toi-même. Et tu ne cherches pas à comprendre, mais tu gardes tes fesses sur ce banc en bois. Un triste sourire se dessine sur ton visage. Certes, ça ne doit pas être facile pour lui de s’intégrer ici, suite à tout ce qu’il a vécu, à ses années de prison. Une triste idée te passe par la tête au-même moment : a-t-il un emploi? Est-il capable de subvenir à ses besoins, ses principaux besoins, ou à peine? Putain, ça doit être horrible, pour lui. Tu as un élan de compassion intérieur qui te traverse. Au moins, tu peux compter sur moi. J’ai pas peur de toi, au contraire. Et j’te fuirai pas. Tu disais ça, de un parce que c’était vrai et que tu le pensais, de deux, pour le rassurer un peu. Ça ne devait pas être facile de se faire tourner le dos à tout bout de champ lorsque l’on sait que tous et toutes autour de soi sont au courant de ton séjour en prison, ou bien lorsque des rumeurs planent sur soi. Jamais agréable, ça. D’un coup, tes yeux se posent sur ses fesses, car il faut dire qu’elles sont…attrayantes, et plus qu’agréables à regarder. Musclées. T’as même remarqué sa V-line, lorsqu’il était torse nu devant toi. Enfin, il n’a pas été plus habillé qu’ça, depuis que tu as sursauté en l’voyant. « Dis, tu accepterais de me mettre un peu de gel dans le dos ? Tu m’éviteras de faire une gymnastique inutile. » Tes yeux s’écarquillent, ils sont ronds comme des billes, mais… ton sourire s’élargit malicieusement, alors que sans même réfléchir, tu te lèves, te dandinant presque jusque sous la douche. La même que lui, bien sûr. Il n’a même pas pris la peine de mettre le rideau derrière lui, en y entrant. C’est un message, non? Aucun problème. , dis-tu, un sourire en coin évident dans la voix. Tu attrapes la bouteille de gel douche qu’il te tend, puis tu t’en mets à un peu dans les mains. Enfin, t’aurais pu le faire avec le petit froufrou qui sert de serviette pour se laver, mais tu préférais sentir de la peau, un corps masculin sous tes doigts. Et t’es à peu près certaine qu’il le souhaitait aussi. Il ne t’aurait certainement pas demandé de t’aider, sinon. L’excuse, cette gymnastique inutile, ne te rendait pas dupe. Tu commences par lui en mettre sur les épaules, frottant juste assez pour créer un peu de mousse. Tu en remets à quelques reprises dans tes mains, de sorte à faire tous le dos. Du haut, jusqu’au bas. Tes mains glissent, elles sont douées, dira-t-on. Tu te délectes de cet espèce de massage, quelque peu sensuel, il faut l’avouer, que tu lui fais. Tu es une femme, c’est un homme, vous êtes tous les deux nus sous une douche, il te demande de le laver dans le dos, et puis quoi? Tu devrais faire ça sans aucune émotion, sans aucun geste provocateur, rien? C’pas parce que tu ne l’as vu que quelques fois lors de tes ‘’stages’’, que tu ne peux pas agir de la sorte. Tu t’approches légèrement, de sorte à ce que tes mains passent par-dessus ses épaules, que ton corps soit plus à proximité du sien. Tu murmures alors, posant une question innocente, et pas tant : Ça t’va? J’ai tout bien lavé, il ne reste plus qu’à rincer… J’le fais aussi?
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Ne soyons pas trop gourmands, avoir quelques amis me satisfait déjà très largement. Je saurais me contenter des quelques personnes avec qui le courant passe plutôt bien car c’est déjà énorme, surtout après avoir été coupé du monde pendant trois ans. Je me suis fait quelques amis en prison mais je les considère plutôt comme mes frères, ce sont deux, trois mecs avec qui le courant est passé très vite et avec qui des liens se sont tissés rapidement. L’un d’entre eux est sorti il y a huit mois mais il n’a pas arrêté de nous rendre visite pour nous remonter le moral. Avec les deux autres nous sommes devenus très proches, nous assurions les arrières les uns des autres et c’est ce qui nous a permis d’avoir de derniers mois plutôt calmes. Aujourd’hui je ferais le nécessaire pour retourner les voir, l’un d’entre eux en a encore pour cinq ans, l’autre est plus désespéré, dix ans à faire à moins d’obtenir une remise de peine pour bon comportement. Dehors c’est bien différent de la prison, il est plus difficile de faire connaissance avec les autres et ne parlons pas du jugement, nous sommes tous jugés ici, en permanence et c’est vraiment triste. J’ai horreur de cela, de voir dans le regard des autres qu’ils me connaissent déjà ou pense plutôt tout savoir de moi alors que c’est loin d’être le cas. J’aimerais qu’on me laisse la même chance que les autres… Je suppose qu’il est difficile d’avoir confiance en un mec comme moi, celui qui a poignardé son père pour s’en sortir après avoir lui-même reçu un coup de couteau et des coups pour la énième fois. « Au moins, tu peux compter sur moi. J’ai pas peur de toi, au contraire. Et j’te fuirai pas. » Je lui tourne le dos mais je n’ai pas besoin de la regarder pour savoir qu’elle est honnête, ça fait du bien. « Les gens comme toi sont rares, beaucoup trop rares ! Ma propre mère refuse de m’adresser la parole ! » Je crois que j’aurais toujours énormément de mal à me remettre de ce jour-là, lorsqu’elle a décidé de couper les ponts au parloir, il y a deux ans que je n’ai pas eu de ses nouvelles. J’ai bien essayé d’aller la voir mais elle a refusé de m’ouvrir la porte. Il est douloureux d’en parler mais j’ai appris à feindre la neutralité, comme si je m’en fichais alors qu’au fond de moi j’ai mal, putain ce que ça fait mal de se sentir rejeté par sa famille, par ceux à qui je tiens le plus. Je choisis d’occulter tout cela, bien trop accaparé des pensées bien différentes, la tentative est énorme et je crois que je fais un pas vers la séduction en lui proposant de venir me frotter le dos sous cette douche me paraissant de plus en plus brûlante. « Aucun problème. » Je souris et frémit lorsque ses doigts s’aventurent pour la première fois sur ma peau. Il y a tellement longtemps qu’on ne m’a pas touché de la sorte et ça fait un bien fou. Mes yeux se ferment et j’étouffe un gémissement d’aisance, elle est habile de ses mains puisqu’elle ne se contente pas de m’appliquer le gel douche à l’arrache. Non, je la trouve très sensuelle, bon, un rien me paraitrait sensuel après trois ans sans la moindre interaction disons… Plus charnelle ! Diable ce qu’il est difficile de combattre des pulsions très naturelles, animales. Mon corps meurt d’envie de réagir mais ce serait très gênant… Vite, des images peu appétissantes pour agir comme une douche froide… Oh attendez, j’ai mieux, je tourne l’eau à l’extrémité, la température de l’eau devient glacée et agi comme un électrochoc. De quoi me rafraîchir les idées, espérons que ce sera suffisant. « Ça t’va? J’ai tout bien lavé, il ne reste plus qu’à rincer… J’le fais aussi? » Elle joue avec le feu la petite, comment résister ? Je me sens tellement… Excité tout à coup ! « Bonne idée oui, mais tu pourrais t’occuper de me savonner ici également ? » Je demande en me retournant, un vilain sourire narquois aux lèvres tandis que mes mains se baladent sur mon torse musclé, descendant de plus en plus pour lui montrer l’étendue de la zone qu’elle pourra savonner à sa guise. Plus de gêne, juste un prédateur affamé de chair.
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