Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitymy human puppet + avery - Page 3
Le Deal du moment : -19%
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H ...
Voir le deal
1299 €


my human puppet + avery

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Sans grande surprise, Avery me dit qu'il vient, je lui fais un sourire et lui donne une tape sur l'épaule signe qui veut dire que c'est la meilleure décision. Surtout que j'ai envie de confronter la cicatrice à un survivant, ça fait toujours quelque chose pour un tueur d'être face à quelqu'un que l'on a voulu tuer. Mes hommes arrivent, et l'un d'eux sort avec la cicatrice qui s'est réveillé. Il me lance un regard noir et je lui mets une gifle. Il se débat et on croirait voir un délinquant se faire arrêter par la police. Je fais signe de l'emmener à l'intérieur, et lorsque je dis cela, ils comprennent tous que c'est la salle sans fenêtre avec pour seule lumière une ampoule qui grésille lorsqu'il y a une tempête. Je laisse alors entrer tous mes hommes, juste devant moi Avery pour garder un oeil sur lui, puis ferme la marche. Je salue mes hommes qui ne sont pas venus, puis me dirige vers la fameuse pièce où j'ai traumatisé un tas de personnes, dont Royce, d'ailleurs c'est un Winthrop comme Avery. Lorsque j'entre dans la pièce, sous l'ampoule il y a la cicatrice ligoté à une chaise, qui hurle des injures pour qu'on le relâche. A peine suis-je arrivé à sa hauteur que je ne lui donne plus une gifle mais un coup de poing, et il recrache un filet de sang une fraction de secondes après. « Comme tu l'as compris ça ne sert à rien de hurler, tu ne sortiras pas d'ici. Du moins pas vivant. » Je lâche un rictus assez mesquin et sournois, puis fais signe à mes hommes présents de nous laisser rien que tous les trois, Avery, la cicatrice et moi car il doit sûrement y avoir des sujets intéressants. Je pose mon regard sur Avery, qui doit avoir peur de l'avenir mais déjà moins peur qu'avant puisque l'assassin de sa famille est attaché. « Silver, tu veux très certainement parler un peu avec lui non ? Tu peux même le frapper. » Je lui fais un clin d'oeil. C'est vrai que lorsque je parle à Avery je fais comme si le tueur n'était pas là, mais c'est ça qui est marrant.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Phoenix semble fier de ma décision. Son petit sourire traduit sa victoire, ce qui me gonfle. Je ne suis qu'un objet qui l'amuse. Qui sait ? P'être qu'il va laisser tomber au dernier moment et que toute cette histoire n'est qu'une mise en scène. C'est bien ce qui m’inquiète. Aussi bien que pour ma santé physique que pour ma fierté. Enfin bref, je m'égare avec toutes ses pensées inutiles. Pour une fois, je me trouve devant Phoenix qui ferme la marche. Rapidement on se retrouve tous dans une petite pièce sombre avec des murs délabrés. Okay, c'est la salle de torture ? My gad, c'est flippant comme lieu. Après une nouvelle gifle, Phoenix s'adresse à la cicatrice amusé, « Comme tu l'as compris ça ne sert à rien de hurler, tu ne sortiras pas d'ici. Du moins pas vivant. » Un frisson me parcourt l'échine. Tout devient plus sérieux d'un coup. Je me place dans un coin de la pièce, les bras croisés afin de mieux fixer l’assassin. La haine me monte à la tête, je vois rouge. L'eliot fait signe au reste de ses hommes. Ces derniers nous laissent tout les trois. « Silver, tu veux très certainement parler un peu avec lui non ? Tu peux même le frapper. » Je me surprends à étouffer un petit rictus. Sans un mot, mais déterminé à détenir ma revanche, je m'avance près de la cicatrice et lui mets un pain dans la joue droite. Il crache son sang en riant. Ce petit rire m’agace et m’énerve. J'ai envie de continuer d'le frapper, mais je m'oblige à regarder Phoenix afin de me calmer. « J'veux pas parler à cet enfoiré » En gros, qu'on en finisse. S'il te plait Cartwith, achève le.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour une fois que je me montre gentil, et que je suis prêt à mettre mes envies morbides et complètement folles de côté en proposant à Avery de s'en charger lui même, il me demande de le tuer, enfin il me dit simplement qu'il ne veut pas lui parler et je comprends cela pour une demande de meurtre. Certes il l'a frappé, lui faisant une fois de plus recracher son sang, mais pour moi ce n'est pas suffisant. Je regarde Avery d'un air mauvais. « Tant pis pour toi. » lui dis-je alors sur un ton méprisant. Je sors de ma poche un couteau suisse, puis avec le couteau j'ouvre la cicatrice de l'homme assis sur la chaise. Et il hurle de douleur. En même temps j'ai appuyé fort, et sans scrupule. Je regarde le sang couler à flot le long de sa joue, et souris non sans surprise car j'aime la vue du sang. Il m'insulte de tous les noms, mais j'aime ça. C'est comme un musicien qui fait défiler les notes au gré de ses envies. « Ferme la, je t'en prie. » J'essuie le sang sur mon couteau sur son pantalon puis le remet dans ma poche. Je me dirige vers Avery et le prends à l'écart l'attrapant par le cou et le collant au mur. « Tu vois, tu aurais pu le faire. Mais t'es trop peureux pour aller au bout des choses. C'est ça aussi quand tu baises ? Dès que tu sens l'orgasme, pouf : terminé ? Pff.. » Je le relâche en le claquant légèrement contre le mur. Je ressors mon couteau et le plante dans la main de la cicatrice et appuie avec intensité. Je ne sais même pas son nom, et je ne veux pas le savoir.. Je sors mon arme et la tends à Avery. « Prouve moi que ce que tu as entre les jambes est bien réel et utile. »  J'aurais pu rajouter une insulte mais je pense qu'il a eu sa dose. Après est-ce qu'il aura le courage de le faire ? C'est la question, mais je ne vais pas rester planté comme ça longtemps.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Tant pis pour toi. » dit-il durement à mon égard. J’ai peur de l’avoir froissé. D’un simple geste puissant et précis, Phoenix transperce la cicatrice de l’homme impuissant. Il hurle de douleur. Une horde de sentiment s’affronte dans ma tête. D’un côté, j’ai envie d’apprécier les cris de détresse de l’assassin, mais d’un autre côté je ne peux pas. Tout est contradictoire. J’ignore quel côté choisir, alors je reste muet avec un regard neutre sur la cicatrice. Phoenix empoigne mon col et me pousse jusqu'à l’un des murs, l’air menaçant. « Tu vois, tu aurais pu le faire. Mais t'es trop peureux pour aller au bout des choses. C'est ça aussi quand tu baises ? Dès que tu sens l'orgasme, pouf : terminé ? Pff.. » Je l’affronte du regard tout en le repoussant symboliquement. Sauf que l’eliot me claque contre le mur. Une douleur se fait sentir dans le haut de mon dos. Enfoiré. Il retourne à ses occupations en plongeant son couteau dans la main de l'homme. Je le rejoins, grimaçant légèrement, mais gardant cet air méprisant sur mon visage. Phoenix sort une arme. Son arme qu'il me tend. « Prouve moi que ce que tu as entre les jambes est bien réel et utile. » Je capture l’arme entre mes mains découvrant ainsi l’objet de mort. D’une longue et profonde inspiration, je plaque le bout du pistolet sur le front de la cicatrice. Mon cœur bat à un rythme effroyablement rapide. Un sentiment d’urgence m’assaille. Il faut que cela cesse. Alors pris de courage, j’affronte le regard de Phoenix et abandonne l’arme sur son torse. « Ce que j’ai entre les jambes ne va pas m’aider à ôter la vie de quelqu’un. C’est ton job » Je renonce au pistolet que je laisse, délibérément et dangereusement, à Satan.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je maltraite l'homme sur sa chaise, et les cris de douleur qu'il pousse, prouvent qu'il souffre et c'est ça qui me plait. Pendant que je le torture, Avery reste dans son coin, loin de nous, dans une ombre de la pièce. Une fois que j'ai jugé être bon de le tuer, je propose à Avery de le faire, pour voir si vraiment il est courageux, comme il l'a été jusqu'à présent. Je lui tends mon arme personnelle, chose qui m'est précieuse. Il la prend alors, la plaque sur le front de l'assassin de sa famille après une hésitation et une inspiration, puis reste planté pendant un long moment. Il joue à quoi ? Et là il plaque mon arme sur mon torse, en osant affronter mon regard, et en me disant que ce qu'il a entre les jambes ne va pas l'aider à ôter la vie de quelqu'un et que c'est mon job. J'écarquille les yeux. Il vient clairement de me donner un ordre. Toute à l'heure ne lui ai-je pas dit qu'il devait faire tout ce que je lui demande ? Je prends l'arme, et la fait tourner autour de mon pouce. « C'est vrai tu as raison Silver, tuer c'est mon job. Alors tu n'y vois pas d'inconvénient si je te tue après. » Je marque une petite pause, et tourne autour de la cicatrice, qui sourit suite à ma remarque. « Et après j'irais voir ta soeur. Puis ta femme. » dis-je après avoir donné un coup de pistolet dans le front de la cicatrice parce qu'il s'est permis d'écouter. « Ça te va toujours ? » Je marche rapidement vers Avery le plaque contre le mur, et pose mon arme en dessous de son menton. « Il me suffit juste d'appuyer et ton cerveau s'éclate sur le sol, en mille morceaux. Comme des flocons de neige. Féérique non ? » Je le relâche alors, et une nouvelle fois lui tends mon arme. « Tue le Avery ! » C'est moi qui donne les ordres et pas ce minus !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Souhaiter la mort de quelqu’un est anodin. Après tout, des envies de meurtres, on en a tous. C’est humain. Seulement on arrive à les contenir. C’est bien ce qui nous différencie de l’animal. J’ai dépassé le stade du simple souhait en demandant à Phoenix de tuer cet homme. Je l’ai suivi dans ses délires de mafia pour me payer ses services. Je pensais qu’il le tuerai puis basta, on en parle plus. Bordel, qu’est-ce que j’ai pu être con. D’une naïveté sans égale. Et pour preuve, j’me retrouve devant celui qui doit mourir avec celui qui doit le tuer, mais avec l’arme dans les mains. Alors j’ai tenté le diable en rendant le flingue à son propriété. « C'est vrai tu as raison Silver, tuer c'est mon job. Alors tu n'y vois pas d'inconvénient si je te tue après. » Je joue avec le feu. Si vous saviez à quel point je suis effrayé. Effrayé par ce type qui joue avec son arme comme si c’était un jouet de gamin. Or ce n’est pas le cas, nous le savons pertinemment. « Et après j'irais voir ta soeur. Puis ta femme. » Ma mâchoire se serre. Cet enfoiré à toutes les cartes en main pour me faire flancher.  Ma respiration devient plus bruyante quand Phoenix me colle au mur et me plaque le canon sous le menton. « Il me suffit juste d'appuyer et ton cerveau s'éclate sur le sol, en mille morceaux. Comme des flocons de neige. Féérique non ? » Une vraie âme de poète celui là. Il me lâche et me tends de nouveau son arme. « Tue le Avery ! » Cet ordre me faire frissonner. Je me sens terriblement mal. J’aurai dû m’enfuir tout à l’heure au lieu de jouer au badass en entrant dans ce lieu. Merde, j’suis pas un badass, j’suis simplement un étudiant qui aussi fou que stupide à décider d’entrer dans un monde qui le dépasse. Je suis totalement enseveli par cette affaire. Phoenix, pense à ma pauvre ame qui va crever si j'appuie sur la détente. « Ne m'oblige pas à le faire, s'il te plait » Je ris nerveusement. Faut que je revienne à la réalité, jamais il va faire ce que je lui demande. « J'y arriverai pas Phoenix»

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Avery tremble comme une feuille, et si je ne le tenais pas plaqué contre le mur il se serait écroulé. Mauviette. Je lui redonne sa chance, alors que dans la mafia il n'y a jamais de seconde chance. Il me demande de ne pas l'obliger, en utilisant une formule de politesse. On se fiche bien nous des « s'il te plait » et des « merci », nous tout ce que l'on veut c'est la violence. « Je sais que tu n'y arriveras pas crétin. » Je le pousse alors avec force, ne regardant même pas s'il est tombé, s'il a fait face, je m'en fiche. J'enlève le couteau planté dans la main de la cicatrice, et le détache alors. Il se frotte les poignets, étant donné que les cordes étaient serrées, pose une main sur mon épaule et me remercie, en me disant que je suis un mec bien pour l'avoir relâché. Je hoche de la tête puis le sers dans mes bras. Et sans grand étonnement, l'assassin de la famille d'Avery s'approche de ce dernier et lui flanque un coup de point. J'ai beau l'avoir amoché, en mafieux qui se respecte il est habitué à prendre les coups. Je croise les bras sur mon torse, regardant la cicatrice étrangler Avery. Il ne reste plus que quelques secondes à vivre, pour le Silver, sinon je ne réagis pas. Trente secondes au maximum. Je m'approche d'eux, et prends la cicatrice par la nuque, je le sers avec poigne, et il relâche Avery. Je jette l'homme au sol, prends mon arme et lui tire une balle dans ses parties génitales. Il hurle de douleur, et je lui laisse à peine le temps de reprendre ses esprits que je lui dire une autre balle, cette fois fatale, dans le front. Je range mon arme dans ma ceinture, puis me tourne vers Avery. « La prochaine fois, fais ce que je te demande, sinon je te laisse vraiment crever. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Je sais que tu n'y arriveras pas crétin. » Je fronce les sourcils. Je comprends pas ce mec. Il s'approche dangereusement de moi et me pousse assez violemment pour que mon dos tape une nouvelle fois le mur. Je lève rapidement la tête pour voir que l'Eliot vient de libérer la cicatrice. Mes yeux s'arrondissent, et remplit d’incompréhension et de peur je plonge mon regard dans celui de Catwith. A peine ais-je le temps de formuler des questions dans ma tête que la cicatrice s'attaque à moi en m’assénant un coup de poing dans le visage. La douleur du coup se veut lancinante avant du disparaître sous celle des doigts appuyés sur ma gorge. La cicatrice m'étrangle. Je me débat, mais au bout d'un moment, ma force s'affaiblit, mon corps entier semble me lâcher. Je vois ma vie défiler devant mes yeux. Trois fois. J'vais crever comme ça. Maintenant. Sous les yeux heureux de cet abruti d'Eliot. Alors que je me vois partir vers la mort, Phoenix attrape la cicatrice et le fout par terre. Je tombe au sol, à genoux, les mains plaquées contre mon cou. Ma respiration bruyante est étouffée par les cris de douleur de la cicatrice. Un nouveau coup de pistolet. Plus de bruit. Juste moi et mes inspirations/expirations énervantes. Je relève difficilement la tête, découvrant le corps inerte de la cicatrice. Une balle est logée dans son front. Il est mort. « La prochaine fois, fais ce que je te demande, sinon je te laisse vraiment crever. » Ces mots s’imprègnent dans ma mémoire. Involontairement j’acquiesce faiblement. Ca doit être dû à la peur et à la vision terrifiante que j'ai. Je me relève, sens ma tête tourner, mais fais face à Phoenix. Et maintenant ? Je suis censé le remercier, lui serrer la main et m'barrer ? Urgh. Triste cérémonie de fin. M'enfin, c'est déjà mieux que de crever étranglé par son ennemi juré. Alors, tristement, je fais un signe de tête à Phoenix. C'est fini. Toute cette histoire est finie. En silence, d'un pas non sûr, je sors de la pièce macabre.

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)