Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitymy human puppet + avery - Page 2
Le Deal du moment :
Pokémon Évolutions Prismatiques : ...
Voir le deal


my human puppet + avery

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je viens de révéler à Avery l'assassin de sa famille. Je suis certain que c'est lui, je ne saurais dire son prénom mais je le reconnais à sa cicatrice qui va du bout de son oeil gauche et forme un arc de cercle jusqu'au coin de sa lèvre. Avery perd pieds, or c'est comme ça que l'on fait tout chuter. J'inspecte les pas de la petite famille et le temps moyen qu'ils passent devant les animaux. Si mes calculs sont bons, nous allons les croiser dans six minutes le temps pour moi d'appeler Parker pour les changements de plans tout en informant Avery. Je prends mon téléphone, et compose le numéro de Parker qui décroche directement « Changement de plan, la cicatrice est là, pas de micros aujourd'hui. » Je raccroche alors, ne laissant pas Parker répondre mais en même temps il n'a pas son mot à dire, et réponds enfin au Silver « Déjà calme toi parce que ce n'est pas comme ça que ça va fonctionner. Tu peux être certain qu'ils vont me reconnaitre, Wolkoff, enfin Monsieur Russe va me reconnaitre.. Le tueur de ta famille un peu moins, mais entre certains mafieux et même si nous sommes ennemis pour le bien de tous on se prend dans les bras, une entente.. Je marque une pause pour regarder où ils en sont, plus que trois minutes « Alors tu resteras derrière moi, tête baissée, sinon il va te reconnaitre tu es un Silver, la cicatrice reconnait toutes les cibles qu'il a tué et tu ressembles beaucoup à ta famille. » Les enfants s'arrêtent devant une cage remplie de singes, encore un peu plus le temps de lui expliquer. Je parle vite mais j'espère qu'il comprendra. « J'ai prévenu Parker, il sera là avec d'autres hommes si ça tourne mal. » Je me retourne alors pour de bon, et lui dis entre mes dents « On le tuera dès qu'il sera sorti du zoo, Parker va nous dire où est sa voiture. » Effectivement je n'ai pas besoin d'expliquer à Parker, il sait déjà ce qu'il a à faire : chercher la voiture et me donner la plaque. Et là Wolkoff me voit enfin et ouvre grand ses bras en me disant « Cartwith, quel plaisir de te voir ici ! » Je m'approche de lui et lui fais une accolade tout à fait masculine. « Tu te souviens de mon ami ? me demande t-il « Oui bien sûr. » dis-je en serrant tout comme j'ai serré Wolkoff, l'assassin de la famille d'Avery. J'espère que ce dernier a écouté ce que je ai lui dis. D'ailleurs je remarque que la cicatrice regarde derrière moi, et je sais qu'il a reconnu Avery.. Les enfants commencent à s'impatienter et tirent sur le manteau de leur père en hurlant d'y aller. Après un signe de la main, quelques mots d'au revoir, ils sont repartis, la cicatrice n'a pas oublié de me regarder fixement d'un air méchant, puis Avery. Une fois certain qu'ils sont loin je me tourne vers le Silver et lui dis « Il sait qui tu es. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’ai cru pendant plusieurs mois que la triste mort de ma famille était dû à un manque d’argent, qu’on n’était pas assez riche pour se payer un foutu détecteur qui focntionne. Toute cette histoire que je me suis crée pour justifier cet accident s’est complètement effondré quand Phoenix m’a annoncé qu’il s’agissait d’un assassinat. Alors voilà, aujourd’hui, je suis proche de l’assassin de ma famille. Je suis proche de celui qui m’a rendu malade pendant des mois, qui m’a fait le plus de mal.. mais je dois rester zen. Autant dire que je n’y arriverai pas. Je ne m’en sens pas capable bien qu’il le faille. Je prends une longue inspiration, puis porte mon attention sur l’Eliot quand il daigne me répondre. « Déjà calme toi parce que ce n'est pas comme ça que ça va fonctionner. Tu peux être certain qu'ils vont me reconnaitre, Wolkoff, enfin Monsieur Russe va me reconnaitre.. Le tueur de ta famille un peu moins, mais entre certains mafieux et même si nous sommes ennemis pour le bien de tous on se prend dans les bras, une entente.. Alors tu resteras derrière moi, tête baissée, sinon il va te reconnaitre tu es un Silver, la cicatrice reconnait toutes les cibles qu'il a tué et tu ressembles beaucoup à ta famille. » Je ne donne aucun signe particulier au mafieux lui permettant de comprendre mon accord. Néanmoins, je reste très attentif. « J'ai prévenu Parker, il sera là avec d'autres hommes si ça tourne mal. On le tuera dès qu'il sera sorti du zoo, Parker va nous dire où est sa voiture. » Et là j’acquiesce avec une hâte bien trop grande. Je me surprends à être pressé de devenir un meurtrier. Phoenix se lève du banc, salue les deux hommes de façon amicale. Je ne comprendrais jamais le système des mafieux. Je reste derrière, baissant la tête pour ne pas peter le plan, mais l’envie est bien trop grande et je brise la règle en relevant mes yeux vers la cicatrice. Je serre mes dents puis rebaisse mon regard. C’est un réel tiraillement que j’ai dû mal à combattre. J’ai l’impression de devoir m’attacher des chaines pour ne pas me déchaîner comme une bête sauvage sur ce type. Les hommes finissent par s’éloigner, me frustrant, comme si ce que je voulais n’allait jamais se produire. Pourtant, d’après les dires de Phoenix, l’assassin sera bientôt mort. « Il sait qui tu es. » Mon cœur s’accélère quand l’Eliot m’accorde ces quelques mots. Je panique, tourne brutalement mon regard vers le parc, ne retrouve pas la famille. « Ce qui veut dire qu’il se méfie.. » dis-je à voix haute. Je fais face à Phoenix, le regard noir, mais inquiet. « Alors qu’est-ce qu’on fait ? » J’ai l’impression d’être dans un film d’action, lors de la scène où l’un des personnages va mourir. J’ai peur, carrément peur, mais je suis aussi déterminé à me venger quoi qu’il m’en coute. « Bordel Phoenix, qu’est-ce qu’on fait ? T’es le cerveau, alors grouilles-toi de trouver une solution.. » Je perds pied, tout simplement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je me retrouve avec un Avery anxieux comme jamais et je me demande bien si je vais réussir à le calmer, en vue du nombre de questions qu'il me pose, moi même je me demande si je vais réussir à en placer une. Plus le temps de lui faire une remarque quant au fait que c'est moi qui domine il l'a bien compris puisqu'il me demande de le sortir de là, chose que je vais faire bien entendu. J'inspecte les lieux une dernière fois à la recherche de la cicatrice et compagnie mais je ne les vois pas. Je connais assez Wolkoff pour savoir qu'il ne va pas laisser sa femme et ses enfants, cependant concernant l'autre mafieux j'ai des sérieux doutes. Je soupire alors, et tourne les talons, faisant signe à Avery de me suivre « Calme toi ok ? Tout va bien se passer, et c'est pas en stressant que tu vas être utile au contraire tu vas tout faire foirer ! » Je continue de marcher rapidement, je passe entre les personnes, ne prenant pas le raccourci cette fois ci. Et tout en continuant de marcher je lui dis « Quand tu stresses et que tu veux tuer, tu te fais tuer ! Alors sois tu te calmes et tu joues l'homme, soit tu te fais tuer et la cicatrice n'hésitera pas à le faire, et il va même rechercher ta soeur. Ce mec est un fou furieux ! » Nous sommes enfin sortis du zoo. Je regarde alors le plan à l'entrée, et fais des calcul pour estimer dans combien de temps ils sortiront. « Il faut être patient car on a trois quarts d'heure. » Je regarde Avery puis hoche de la tête pour le rassurer, car il m'énerve à stresser comme une poule mouillée. Je scrute ensuite l'horizon à la recherche de mes hommes qui doivent venir, m'aider si ça tourne mal. Je sors mon paquet de cigarettes et en mets une à ma bouche et tends le paquet à Avery au cas où il en voudrait une, puis je range le paquet pour allumer ma cigarette. Tout en recrachant la fumée je lui dis « J'ai vu la berline passer, ils doivent chercher la voiture. Ils sauront que c'est celle à côté de la Mustang de Wolkoff. » Je fume ma cigarette comme un pompier attendant qu'un mafieux de ma famille arrive, enfin que je dis famille c'est au sens large. Et puis enfin l'un d'eux arrive, ce n'est pas Parker mais Evans. Je lui sers la main, et il me dit où est la voiture. Je ne le remercie pas oralement mais il comprend à mon regard que je lui en suis reconnaissant. Et aussi vite qu'il es arrivé, il repart, reprenant le micro et me laissant alors avec Avery pour lui expliquer. « Bon, on va se tenir à proximité de la voiture, ils se sont garés dans le parking souterrain. Tu feras tout ce que je dis compris ? » Je lui lance un regard menaçant, cette fois ça n'a plus rien à voir avec poser un simple micro puisque que l'on doit tuer quelqu'un.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Calme toi ok ? Tout va bien se passer, et c'est pas en stressant que tu vas être utile au contraire tu vas tout faire foirer ! » Yep, j’suis d’accord, mais je ne suis pas tueur professionnel. J’me fais pas payer pour arreter la vie des gens. Alors j’ai déjà ce problème, ajouté à cela que la cicatrice veut certainement me tuer. Si j’ai pas l’droit de stresser maintenant, alors quand ? « Quand tu stresses et que tu veux tuer, tu te fais tuer ! Alors sois tu te calmes et tu joues l'homme, soit tu te fais tuer et la cicatrice n'hésitera pas à le faire, et il va même rechercher ta soeur. Ce mec est un fou furieux ! »  Je passe une main dans mes cheveux. « T’as pas des choses rassurantes à m’dire ? » J’ai pas envie que ce fou furieux s’en prenne à ma sœur. Pas elle. J’veux pas la mettre en danger. Après avoir suivi l’eliot à travers le zoo, je me retrouve en dehors de celui-ci, devant une carte. Phoenix m’indique que l’on doit attendre trois quarts d’heure avant de sortir son paquet de clope. Je refuse sa proposition. Je ne veux rien de lui, sauf qu’il tue ce type. Une nouvelle tête s’approche ensuite de lui, lui dit quelques mots puis repart avec le micro. « Bon, on va se tenir à proximité de la voiture, ils se sont garés dans le parking souterrain. Tu feras tout ce que je dis compris ? » J’acquiesce essayant de me calmer. Courage Avery, tout cela est bientôt fini. « Compris » Je bouge ma tête de façon rotative avant de prendre le chemin pour le parking souterrain. « Juste, tu vas faire comment ? ‘fin on va faire comment pour l’emmener avec nous ? » Bawé, c’est pas comme s’il allait venir avec nous avec un grand sourire. Et puis j'doute qu'on va le tuer dans ce parking souterrain. Je montre la Mustang à Phoenix hésitant à faire quelques pas de plus vers celle-ci. Des bruits de pas se font entendrent. La cicatrice est là, seul. L'ayant vu en premier, je tape le torse de Phoenix pour qu'il reste derrière une voiture comme moi. « C'était pas prévu, si ? » chuchotais-je à Phoenix.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Les choses que je dis ne sont pas faites pour le rassurer, simplement pour le calmer et qu'il arrête de réagir sans réfléchir. Je ne réponds même pas à ses dires et lève les yeux au ciel tout simplement, en n'oubliant pas le petit soupir qui va avec. Sur le chemin je lui explique à peu près l'idée je ne dis pas les détails car ils ne sont pas importants mais visiblement il se pose des questions, ce que je comprends. Après tout, ce n'est pas tous les jours que l'on a l'assassin d'une famille juste devant nous. « Il faut d'abord que je vois la manière dont il fonctionne, et quand je saurais je pourrais anticiper ses réactions. Tout ce que je peux te dire ce qu'il n'est pas près d'arrêter. » Nous avons enfin mis un pied dans le parking et à peine arrivés des bruits de pas se font entendre, Avery me tape sur le torse pour me désigner la cicatrice, je regarde sa main avec dégoût me demandant comment il ose me toucher, mais ne fais rien et me dis simplement que ça doit être le stress. Je hoche de la tête négativement, et lui dis dans un chuchotement tout juste audible « Tu restes là ! » Je sors de ma cachette, profitant que la cicatrice soit de dos et fais mine de ne pas l'avoir vu et de chercher ma voiture en sortant mes clés. Quand il me remarque enfin, un sourire narquois se dessine sur ses lèvres. Il a une voix sifflante comme un serpent, un frisson me parcoure les muscles « Cartwith c'est ça ? » me dit-il alors. Je m'avance vers lui « Oui c'est bien ça ! » lui répondis-je en retour avec un sourire forcé. Il en n'a visiblement pas terminé puisqu'il dit « J'ai appris pour votre père, je suis désolé. » Je passe une main dans mes cheveux, et sans m'en rendre compte lui lance un regard noir, il comprend vite que c'est un sujet tabou. « Le jeune homme avec vous, je le connais, non ? N'est-il pas un survivant de mon assassinat ? » Je déglutis alors, et fais une quinte de toux. « Vous êtes sûr ? Le mieux serait de lui demander non ? » La cicatrice hoche de la tête à deux reprises et sans plus attendre je crie « Avery ! » S'il est intelligent il sortira, mais s'il a peur il restera caché.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Il faut d'abord que je vois la manière dont il fonctionne, et quand je saurais je pourrais anticiper ses réactions. Tout ce que je peux te dire ce qu'il n'est pas près d'arrêter. » Ce type est donc un tueur invétéré. Savoir cela m’aidera certainement à me sentir moins coupable quand on corps baignera dans du sang. Une fois dans le parking souterrain, je n’hésite pas une seule seconde pour taper le torse de Phoenix afin qu’il remarque la cicatrice. Mes pensées et mes yeux sont braqués sur cet homme effrayant et laid. « Tu restes là ! » Je le suis du regard, ne lâchant à aucun moment ce contact visuel si précieux. Derrière la voiture, je peux discerner quelques sons incompréhensibles sortir de bouche des deux assassins. « Avery ! » Mes yeux s’élargissent tel des ballons de football. Omfg, à quoi Phoenix joue t-il ? Il veut m’tuer ce con ? Mon cœur menace de faire exploser mon torse. Je prends une grande bouffée d’air. Si l’eliot me dit de venir c’est qu’il a une idée dans la tête.. C’est ce que j’espère. Dans tout les cas, je suis coincé dans le parking alors autant affronter ses ennemis ? Cette idée me traverse l’idée pour finalement me donner la force de sortir de ma cachette. Les deux hommes me regardent attentivement. Le regard levé, la démarche assuré, je tente de cacher ma peur. L’espace entre mon pseudo cachette et les hommes étant courte, j’arrive bien trop rapidement à leur niveau. Cette énorme boule frappe mon ventre violemment. Je flippe comme jamais. La cicatrice plonge son regard verdâtre dans les miens. Il me reconnait, il n’y a aucun doute. « Alors c’est bien toi le Sil.. » Il n’a pas le temps de finir sa phrase qu’un homme débarque derrière lui et l’assomme avec une barre en ferraille. Parker. Amen.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Avery n'est pas si peureux que ça puisqu'il sort de sa cachette et me rejoint rapidement. Je souris satisfait et croise les bras sur mon torse. La cicatrice reconnait de suite Avery, et alors qu'il commence à parler je vois une silhouette apparaitre, et je suis certain que c'est Parker. Il fait quoi au juste ? Il ne va quand même pas l'assommer ? Trop tard, le meurtrier est déjà allongé par terre totalement sonné. « Mais t'es complètement con Parker ! » hurlais-je alors, ma voix résonnant en écho tant j'ai parlé fort. Parker me regarde déconcerté, il pensait bien faire mais il se trompe c'est moi qui donne les ordres ! « T'as de la chance qu'il ne t'ait pas entendu arriver, parce qu'avec ta respiration de Mammouth ça risquait d'arriver. » Je lève les yeux au ciel, et je pose mon regard sur la cicatrice, au moins on pourra le transporter. Parker ne tente même pas de se justifier sachant parfaitement que j'ai raison. Je n'ai même pas besoin d'appeler mes autres hommes, que déjà ils j'entends mes berlines arriver. Et là le cliché par excellence s'ouvre aux yeux d'Avery, hommes en costard, lunettes de soleil sur le nez, et musclés comme des bêtes. Au loin je vois ma voiture conduite par Evans, qui me donne les clés directement. « Bon je le prends avec moi. » dis-je en désignant Avery d'un signe de tête. Puis je reprends directement « Prenez le croulant par terre, et on se rejoint là bas. » Bien sûr "là-bas" signifie notre base en quelques sortes, même si c'est plus que ça pour chacun de nous. Je me dirige vers ma voiture Avery sur mes talons. Directement je me mets au volant, et une fois que le jeune homme est assis, je tourne la clé, appuie deux, trois fois sur l'accélérateur et dans un bruissement de pneus je démarre et sors du parking. Une fois dehors, la lumière du jour m'aveugle, je mets donc mes lunettes de soleil puis dis à l'égard d'Avery silencieux depuis qu'il eut été face à l'assassin de sa famille. « Eh mec' ce n'est pas le moment de faiblir ! » Je ne peux que le comprendre, quand j'ai été face à Leevy après qu'elle ait tué mon père j'ai eu beaucoup de mal à garder les pieds sur terre et à ne pas flancher.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour le coup je suis juste heureux de voir Parker, et la cicatrice à terre. Pourtant ce plaisir est de courte durée. En effet, Phoenix sort ses griffes en engueulant son homme de main. Encore une fois je ne comprends pas sa réaction. Après tout il est à terre, assommé, complètement à notre merci. Où est le problème ? Sans avoir de réponse, je continue mon défilement d’idées avant de voir des hommes en costards arriver avec des lunettes de soleil. Ca y est, c’est la confirmation, je suis dans un film.  « Bon je le prends avec moi. Prenez le croulant par terre, et on se rejoint là bas. » Je suis Phoenix en silence recommençant à me poser des milliers des questions. Et dire que ce matin, cette journée devait être.. normale. La lumière de l’extérieur m’éblouie également, mais manque de bol, à cette période de l’année je ne me balade pas avec des lunettes de soleil. Disons que les températures m’obligent plutôt à enfiler des vêtements chauds. Enfin osef. « Eh mec' ce n'est pas le moment de faiblir ! » Je soupire, il a raison. Si je faiblie maintenant, ca ne va pas le faire. J’ai tellement envie de lui demander comment s’est déroulé son premier assassinat, mais je m’interdis de lui parler de ce sujet. Et puis c’est pas comme si c’était un mafieux qui une fois énervé peut me mettre un flingue sur la tempe. « Ouais t’as raison.. mais j’ai juste hâte que tout se termine » Je sais pertinemment que cette histoire de mafieux et de meurtre va changer toute ma vie. Depuis la mort de ma famille, j’ai cru retrouver un équilibre avec ma petite amie, mais il faut croire que la routine n’est pas faite pour moi. « Où est-ce qu’on va ? » Et surtout qu’est-ce qu’on va faire ? Mais je garde cette question pour ma pomme, vu que l’Eliot n’est pas très bavard.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Parker me connait assez bien pour savoir que ça m'énerve lorsqu'il agit bêtement chose qu'il a faite, cependant à en voir l'air d'Avery il doit être déconcerté et je le comprends mais ne dis rien cependant. Bref je me dépêche de monter dans ma voiture, voulant garder Avery auprès de moi. Je connais assez mes hommes pour savoir qu'ils vont raconter leurs histoires plus démoniaques les unes que les autres, il doit être assez traumatisé comme ça. Il me dit que j'ai raison, c'est bien il dit la vérité le petit. Je souris sournoisement, fier de l'entendre dire cela. Ensuite il me demande l'endroit où nous allons, j'aurais pu m'énerver mais je ne l'ai pas fait j'estime qu'il a eu son quota de nouveautés pour la journée. « On va dans les bureaux. Notre base en quelques sortes. » lui répondis-je pour ensuite appuyer davantage sur l'accélérateur. Nous arrivons sur place en dix minutes à peine, c'est l'avantage lorsque l'on ne respecte pas les limitations de vitesse. Je sors de la voiture, et instinctivement j'allume une cigarette. Mes hommes ne sont pas encore arrivés, il faut dire ils ne roulent pas aussi vite. Alors que je recrache ma fumée je préfère prévenir Avery « Bon écoute, avant d'aller plus loin tu peux partir. Je demanderais à Evans de te ramener chez toi et tu n'entendras plus parler de la mafia. » Je prends une nouvelle taffe et continue « Mais si tu restes, il faudra prendre sur toi, ne jamais baisser les yeux, ne jamais tourner le dos et prendre les critiques que l'on pourra te dire, que ça soit moi, un de mes hommes ou la cicatrice. » Cela peut être un choix difficile, mais je préfère l'avertir plutôt que de ne le jeter dans la gueule du loup et qu'il ne sache plus quoi faire devant le fait accompli. J'ai fumé rapidement ma cigarette, et je l'écrase donc du bout de mon pied. Étant donné que le jeune homme ne daigne pas me répondre je le relance « Alors, t'as décidé ? » Au loin, je vois déjà les voitures qui arrivent, ce n'est pas une course contre la montre, mais il ne faut pas qu'il tarde tout de même.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 « On va dans les bureaux. Notre base en quelques sortes. » Je m’imagine tellement de choses à ce moment. Toutes les histoires de mafia racontées dans les films sont ma réalité. Etrangement c’est fascinant de découvrir un nouveau monde. Une fois arrivé, après avoir dépassé les limites de vitesse évidemment, Phoenix sort de la voiture et se délecte avec une cigarette. « Bon écoute, avant d'aller plus loin tu peux partir. Je demanderais à Evans de te ramener chez toi et tu n'entendras plus parler de la mafia. Mais si tu restes, il faudra prendre sur toi, ne jamais baisser les yeux, ne jamais tourner le dos et prendre les critiques que l'on pourra te dire, que ça soit moi, un de mes hommes ou la cicatrice. » C’est ainsi que fonctionne la mafia. Critique sur critique afin de déstabiliser l’adversaire. Je soupire, baissant mon regard tout en m’appuyant sur la voiture. « Alors, t'as décidé ? » Mes yeux se posent sur la silhouette masculine. « Ouais, et je viens » C’est un acte que j’assume. Certes, j’vais le regretter, certes ma sante mentale va en prendre un coup, mais je veux être là du début à la fin. Et je sais que la fin approche à grand pas. Je me tourne face aux voitures des hommes de main de Phoenix. Ils ne tardent à descendre et amènent le corps inerte de la cicatrice avec eux. J’attends des consignes de  l’Eliot afin de les suivre ou non. Je me laisse guider par le seul type dont je connais l’identité. Je n'ai pas le choix.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)