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caprice d'un soir w/ leandro

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Ouais ben apparemment, Leandro s'y connaissait autant que moi en vin, c'est-à-dire pas du tout. C'que j'espérais le plus, c'était que ce vin ne soit pas un vin de luxe qui coûte une somme conséquente. Sinon j'allais devoir la remplacer rapidement, mais qu'importe. Alors que mon invité adoré nous apportait deux verres à vin, il s'amusa à cacher le mien dans son dos en me demandant un remerciement de taille. Et j'avais bien l'intention de le remercier plus qu'honorablement et à ma façon tout au long de la soirée. Il voulait jouer, et il avait trouvé une bonne partenaire de jeu. Je m'étais donc levée de mon canapé et l'avais embrassé de manière un chouilla passionnelle histoire de lui donner un avant-goût de ce qui l'attendait. Et avec Leandro, le sexe, c'était du haut niveau. J'avais presque hâte. Mais enfin, à la fin de ce baiser, j'avais toujours ce petit sourire enjoué et malicieux que j'aimais arborer. Leandro ne se cachait pas de me mater - c'était ce qu'il était en train de faire, clairement - et ne manquait pas de lui répondre. Ils seront même au-delà ... j'te gâte trop ! Je ne pu m'empêcher de pouffer de rire. Nos deux verres de vin remplis, Leandro se permit de s'asseoir en m'attirant sur ses genoux. J'allais pas dire non hein. Je m'assis sur lui, légèrement en biais histoire de pouvoir le voir, lui parler, et aussi l'embrasser autant que j'en aurais envie. Par contre, le sujet de discussion devint tout à coup vachement ... sérieux. Question redoutable. Mon sourire disparu aussi rapidement qu'il était arrivé. J'aimais pas parler de tout ça, de mon mari et d'ma relation avec lui, la raison de mes infidélités et tout l'tralala. Sa main se mit à caresser doucement ma cuisine, ce qui me réconforta un peu, au fond. La question qui tue, dis-je gênée, yeux baissés un court instant, peu d'gens m'comprennent quand il s'agit de parler d'tout ça. J'mène pas une vie parfaite, si j'en mènerais une, j'tromperais pas Charles. La première année de notre mariage était sympa, mais à partir de la deuxième, c'était plus pareil. J'suis encore plus jeune que toi ... et j'suis mariée à un homme de cinquante ans. C'était pas dans mes plans d'me marier aussi jeune alors ... j'reste mariée parce que malgré c'que tu peux penser, j'tiens un minimum à mon mari. Mais j'profite de ma vie en même temps parce que j'en ai besoin, quitte à prendre des risques. Je fronçais les sourcils. J'avais moi-même du mal à comprendre. C'est compliqué hein ... Je lui décochais un petit sourire en coin alors que sa main sur ma jambe m'donnait quelques petits frissons. Je bu une grosse gorgée de mon vin, et me tournais un peu plus vers lui alors que je passais ma main sur la sienne et en caressait le dos. Je relevais les yeux vers lui, souriante, un peu plus. Sache que si j'vois un homme régulièrement, c'est qu'il y a une certaine forme ... d'attachement au fond. On s'voit régulièrement, non ? Ouais, on s'voit souvent mais j'le tyrannise quoi. Bon par contre j'allais pas trop rentrer dans les détails hein, j'allais pas déballer chacune de mes pensées, chacun d'mes sentiments.

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Que Cleo profite de cette soirée, car je ne serais pas toujours aussi sympathique. Ce soir j'ai moi aussi besoin de me changer les idées mais dès lors qu'on reviendra à la vie réelle, elle redeviendra la femme tyrannique de mon patron. Ce soir je craque, je succombe à ses charmes mais rapidement je vais devoir me remettre en tête que cette relation que j'entretiens avec l'eliot est malsaine. Pour l'heure je l'écoutais me parler de son mari, je me sens parfois coupable vis-à-vis de mon patron à qui je porte beaucoup d'estime. Entre la fille qu'est mariée avec un cinquantenaire et le mec qui a mis enceinte une gosse de même pas vingt ans, on fait la paire toi et moi. Disais-je avec un faible sourire. Parfois la vie est étrange, je trouve ça d'ailleurs dommage que Cleo soit mariée. Je veux dire que sans cet anneau autour de son doigt notre relation aurait pu être plus simple que ça, cependant à cause de son mariage avec mon patron je me sens parfois obligé de maintenir une certaine distance entre nous. Par exemple j'ai aucune envie qu'on nous voit trop proche à l’extérieur ou à la fac de peur qu'une mauvaise langue aille tout balancer à son cher et tendre mari et à cause de cela elle utilise le chantage. Sauf que ce soir pour une fois j'ai envie de relâcher la pression, quitte à essayer de m'éloigner d'elle un peu plus tard. Un jour Charles finira par s'en rendre compte et crois-moi c'est pas facile de tout perdre du jour au lendemain. Tentais-je de lui faire comprendre. Lorsque j'ai mis Ornella enceinte j'ai perdu bien plus que ma copine de l'époque, j'ai perdu mes parents, mes amis, je me suis retrouvé seul et j'ai bien l'impression qu'un jour ou l'autre ce sera au tour de Cleophine de vivre ça. Par contre sa remarque me concernant m'arracha un petit sourire. Donc je compte un minimum pour toi ? T'as quand même une drôle de façon de me le prouver. dis-je pendant qu'elle caressait le dos de ma main. Je buvais finalement une gorgée de mon vin sans lâcher la jeune femme du regard. Si j'ai le droit à un deuxième avant-goût de ce qui m'attend, je veux bien te faire un massage. Lui fis-je savoir avec un sourire sur le coin des lèvres, amenant de nouveau mon verre à ma bouche pour une nouvelle gorgée.

HJ:
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Oui, on faisait la paire comme il le disait si bien. Notre vie n'était pas de tout repos. T'as pas tort pour le coup. Je fronçais légèrement les sourcils, surprise par le détail de l'âge de la mère. Mais je n'pouvais pas porter de jugement, les erreurs arrivent à tout le monde, même aux meilleurs. Leandro et moi étions partis pour parler sur des sujets pas très gais, de quoi plomber une soirée. Mais de quoi en apprendre un peu plus l'un sur l'autre. Tout ça sonnait comme des confessions, des confessions qu'on avait pas l'habitude de s'faire. J'haussais les épaules et baissais les yeux. J'te crois ... et je m'y attends. Je déglutis. Ca fait deux ans que ça dure. Soit il le découvrira par lui-même, soit j'lui dirais. L'un des deux arrivera un jour, j'le sais très bien. Et c'jour-là, j'perdrais certainement tout comme tu dis. Charles était un homme bon et bien. J'le prenais pour un con depuis deux ans et il ne méritait pas ça. Il y a un moment où - si ce n'est pas lui qui le découvre - j'me sentirais obligée d'lui en parler. J'me connaissais, et bien que je n'avais pas la culpabilité rapide, le jour où elle allait se faire trop énorme pour que je la porte sur mes épaules, j'allais exploser. Je te laisse en tirer tes propres conclusions, je n'en dirais pas plus, dis-je alors que je retrouvais mon petit sourire malicieux. C'était pas parce qu'on passait une soirée un peu inhabituelle ensemble qu'il allait tout savoir de moi tout de même ! Je me penchais sur la petite table afin de chopper un sushis et le gobais illico avant de boire à nouveau de mon vin. Mon verre était presque terminé d'ailleurs. Leandro me fit alors une proposition qui n'étais pas refusable. Un massage ... Ca faisait bien longtemps que l'on m'en avait pas fait. Je me retournais un peu plus vers lui et finis mon verre en le dévorant du regard. T'es en train d'me faire du chantage ou je rêve ? J'haussais les sourcils, amusée par ce petit changement de rôle. C'est le genre de proposition qui n'se refuse pas alors ... J'approchais doucement mon visage du sien, ma poitrine se collant doucement contre son torse, et embrassais ses lèvres alors que ma main libre venait caresser sa barbe brune. Mon souffle était légèrement plus haletant que la première fois, le baiser étant un peu plus vif et passionné que la première fois. Leandro était un as du baiser, sans déconner. La troisième fois, ce sera pas un avant-goût, murmurais-je en souriant une fois que le baiser prit fin, maintenant c'est à mon tour ! Par contre va falloir que tu te lèves pour que je m'allonge. Je me levais de ses genoux et en attendant que monsieur se lève, je retirais mon haut, me laissant apparaître en jean et soutien-gorge. C'était mieux pour s'faire masser. Je m'allongeais ensuite sur le ventre sur tout le long du canapé et attendis que Leandro passe à l'action. T'es un bon masseur ? J'espère, tout du moins. J'avais pas envie d'finir avec le dos en compote.
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Arrêtons cinq minutes de discuter de nos vies remplies de péripéties et pensons un peu à cette soirée en essayant d'oublier le côté tyran de cette belle brune. Est-ce que je lui faisais du chantage ? Bien sûr que non. Quelqu'un qui fait du chantage ne te donne pas le choix, d'ailleurs tu en connais un rayon dans ce domaine. Moi je te fais une simple proposition. Disais-je avec un léger sourire provocateur. En aucun cas j'oblige Cleophine à accepter cette offre, cependant elle ne tarda pas à craquer puisqu'elle se tourna un peu plus franchement vers moi, plaquant sa poitrine contre mon torse et sentant sa main libre caresser ma barbe pendant que ses douces lèvres se collaient contre les miennes. De mon côté je plongeais ma main dans sa chevelure afin d'accentuer ce baiser passionnel. Je peux me plaindre du côté tyrannique de Cleo, de mille et unes autres choses venant d'elle, mais je n'ai absolument aucun reproche à faire sur sa façon d'embrasser. Peu à peu nos langues se dénouait et nos lèvres se détachèrent à mon grand désespoir. J'espère que le final ne va pas trop tarder. Murmurais-je au creux de ses lèvres lorsqu'elle m'expliqua que la troisième fois sera la bonne. Par la suite elle se leva de mes genoux pour qu'on puisse s'installer pour ce fameux massage, je ne sais toujours pas pourquoi j'ai proposé une telle chose .. Enfin si lorsqu'elle retira son haut pour apparaître simplement vêtu de son jean qui moulait parfaitement ses fesses ainsi que son soutien-gorge qui mettait en valeur sa poitrine, j'ai compris pourquoi cette idée m'a traversé l'esprit. Un léger sourire se dessinait sur mes lèvres, admirant le corps de l'écossaise pendant qu'elle s'installe sur le ventre. Si je suis un bon masseur ? Mon ex ne s'en est jamais plaint, au contraire. J'suis en médecine, crois-moi le corps humain n'a plus de secret pour moi. Et surtout celui des femmes. Bref je m'installais sur elle, posant mes genoux de chaque côté de ses fesses pour être ainsi correctement placé. Néanmoins un petit détail me dérangeait. Par contre ça, ça me gêne. Je dégrafais son soutien-gorge laissant ainsi son dos totalement libre. Ainsi je commençais à poser mes mains sur son dos brûlant, glissant mes doigts de bas en haut de son corps de rêve, faisant ainsi doucement pression en espérant lui donner quelques sensations agréables durant quelques longues minutes. Délicatement et avec toute la sensualité possible je descendais jusqu'en bas de son dos, massant et caressant chaque parcelle de ses courbes. Est-ce que madame est satisfaite ? Murmurais-je avec un petit sourire sur le coin des lèvres.
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Leandro était malin et il savait user des mots à bon escient. J'haussais les sourcils, remarquant qu'il n'avait peut-être pas tort. Peut-être hein. Ouais ... On va dire ça comme ça. Bon sang ce qu'il était beau avec son petit sourire provoc' là. Je ne mis pas d'temps à régler ma part du marché, embrassant Leandro sans attendre. Sa main parcourait mes cheveux, notre baiser était terriblement sensuel. Comment n'pas succomber ? Nos visages étaient toujours aussi proches, je pouvais sentir son souffle tout contre mes lèvres. Quel impatient ! Je pouffais légèrement de rire, et me dépêchais de me lever des genoux de l'italien pour qu'il se lève à son tour. A moi le petit massage maintenant, j'allais pouvoir en profiter un peu. Et pour une fois, j'avais rien à voir là-dedans, je ne l'avais obligé à rien, c'était lui qui me l'avait proposé. Ca changeait un peu des habitudes. J'enlevais mon haut que je balançais sur la table, me laissant découvrir en jean/soutien-gorge - ça faisait certainement plaisir à Leandro - et m'allongeais sur le ventre. Oh, excusez-moi docteur. Je souriais malicieusement, alors qu'il s'installait sur moi. Et alors que j'attendais qu'il commence ce fameux massage, il ne manqua pas de dégrafer mon soutien-gorge. Apparemment, c'était gênant. Je t'en prie, fais c'que tu veux, c'est toi l'masseur hein ... Un large sourire étira de nouveaux mes lèvres alors que je fermais les yeux, prête à profiter d'un moment que j'espérais un peu relaxant. Et là, ses mains froides entrèrent en contact avec mon dos brûlant. Un brusque mais agréable frisson me parcourut tout le dos. Ses mains remontaient mon dos avec douceur et le redescendaient en appuyant parfois un peu plus. Il me chatouillait par moment et, chatouilleuse que j'étais, je ne pu m'empêcher de sursauter légèrement ou de rire. Tu fais ça comme un pro ... j'savais pas que t'avais des talents de masseur ... maintenant j'saurais vers qui m'tourner quand j'aurais besoin d'me détendre. Ses mains fraîches se baladaient un peu partout sur mon dos et j'profitais à fond, sachant pertinemment que ça n'allait durer que quelques minutes. Faut pas qu'tu fasses ça trop longtemps, sinon j'risque de m'endormir ... dis-je doucement, avec toujours ce même sourire malicieux que j'aimais arborer. Là je n'risquais pas vraiment de m'endormir de toute façon, pas alors que j'passais ma soirée avec Leandro.
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N'importe quel homme craquerait sous les charmes de Cleo, mais n'importe quel homme un minimum conscient ferait en sorte de l'éviter à cause de son mari. C'est ce que je voulais faire, m'éloigner le plus possible d'elle et enfuir l'attirance que je peux ressentir pour elle. Mais elle ne me laisse pas le choix, elle use de ses pouvoirs et surtout utilise mes problèmes d'argent pour retourner la situation à son avantage. Ce soir n'est pas un soir comme les autres, son homme est loin d'ici ce qui m'aide en quelque sorte à me laisser aller, mais qu'elle n'y prenne pas trop goût comme ce qu'elle vient de me faire comprendre vis-à-vis de mon massage. Oh non n'y prends pas trop vite goût Cleo, ce soir c'est juste exceptionnel. Après tu redeviendras la femme sadique et sexy de mon patron, crois-moi ce soir c'est la dernière fois que je touche à ton corps. lui avouais-je très sérieusement. J'aime sentir sa peau contre la mienne, mais je ne peux pas continuer comme ça, je ne peux pas continuer de coucher avec la femme de l'homme qui me permet de nourrir ma fille. Mais bizarrement j'ai bien du mal à croire mes propres paroles, Cleo trouvera toujours un moyen de m'attirer dans son lit, de faire en sorte que je réponde à mes moindres désirs, mais peu importe ce soir je ne veux plus penser à ça, je veux simplement me vider la tête. Pour cette raison je continuais de masser, caresser et parfois chatouiller la belle eliot. Sauf que sa petite remarque me fit quand même un peu grimacer. Comment peut-elle s'endormir en sentant mes doigts parcourir son dos ? Si tu t'endors je pourrais partir ni vu ni connu .. Ce serait dommage n'est-ce pas ? lui demandais-je avec un petit sourire taquin sur le coin des lèvres. Sauf que ce soir, c'est elle qui gagne. Doucement je fis glisser ma main de son jusqu'à son ventre, m'allongeant délicatement en faisant bien attention de ne pas l’écraser. Heureusement pour toi .. J'ai plus envie de partir. murmurais-je en laissant ma main remonter jusqu'à sa poitrine, allant ensuite nicher mes lèvres contre sa nuque. C'est l'heure des remerciements ? Ouais ce soir elle a gagné, j'ai envie d'elle et ça ne risque pas de changer. Elle m'a bien trop excité avec ses avant-goûts et mit l'eau à la bouche, néanmoins je sens encore un coup foireux de Cleophine qui va s'amuser à me faire encore languir.
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Il avait raison. Complètement raison. Dés lundi, j'allais redevenir celle que Leandro devait percevoir comme une sacrée - mais très jolie - garce. Ce soir, c'était exceptionnel, et c'était la première fois que nous passions un moment comme celui-ci. Ses paroles me firent sourire, alors que ses mains parcouraient mon dos avec une inouïe délicatesse. J'le sais, tout ça. J'serais la première à t'faire la misère dés lundi, tu dois déjà d'y attendre. Mais ne parle pas trop vite, dis-je en faisant allusion au fait que selon lui, c'était la dernière fois qu'il poserait ses mains sur moi, il se pourrait bien que ça s'reproduise. C'était même certain. Si j'avais besoin d'un massage comme il était en train de le faire ou si j'avais besoin d'un peu d'intimité en sa compagnie, j'étais largement en mesure de faire en sorte qu'il cède. Leandro n'était pas difficile à convaincre, et de plus, ça nous plaisait à lui, comme à moi. Les mains de l'italien me procuraient un bien fou, une relaxation presque totale. Dans sa voix, je perçus son petit ton amusé qui me fit sourire à nouveau. Sans même le regarder, j'imaginais son sourire taquin sur ses lèvres. L'image qui me venait en tête était à tomber par terre. Disons que si tu t'cassais, j'te l'ferais payer ... Sa main glaciale sur mon ventre me coupa le parole. De nouveaux frissons me parcoururent jusque dans les bras. Je sentis son poids se renverser tout contre moi et sa voix devenait murmure. J'savais bien qu'une fois là tu n'voudrais plus partir, tu commences à devenir prévisible ... Sa main gelée remontait encore, allant jusque ma poitrine. Il nicha son visage dans ma nuque, son souffle chaud me procura, presque immédiatement, un sentiment d'excitation. Mine de rien, Leandro avait du pouvoir sur moi : il arrivait à m'rendre dingue. Il avait un truc particulier, un truc bizarre qui m'rendait faillible. Mais j'le montrais pas parce que c'était inconcevable que Leandro s'en rende compte. C'est alors que les aboiements, suivis de l'entrée de mon chien dans le salon repoussèrent mes intentions. C'est ... presque l'heure des remerciements, dis-je en résistant moi-même à l'envie de passer aux choses sérieuses. L'animal qui comptait énormément à mes yeux vint me chercher jusque sur le canapé en posant ses deux pattes avant sur ce dernier. Je me redressais, rattachant mon soutien-gorge et riant légèrement. Encore quelques minutes d'attente. J'lui file juste à bouffer, j'en ai pour deux petites minutes. J'voyais déjà Leandro soupirer dans les prochaines secondes. Mais c'était drôle, mon fidèle compagnon allait encore le faire un peu patienter. Une fois Leandro relevé, je me faufilais dans la cuisine et cherchais les croquettes du chien, avant de lui en verser dans sa gamelle. Je pris même soin de lui verser un bol d'eau. Et enfin, je revins dans le salon, le regard amusé, le sourire large. Et toujours aussi peu habillée, je rejoins Leandro en m'avançant doucement vers lui. Enfin, j'suis toute à toi.
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Cleophine semblait si certaine d'elle, une partie de moi veut résister, se dire que jamais je ne craquerais de nouveau dans les filets de la femme de mon patron, mais une autre partie de moi sait qu'au final elle aura toujours le dernier mot. Je suis plus résistant que ce que tu penses Cleo. lui avouais-je avant de la chercher à mon tour, posant ma main sur sa poitrine en attendant avec impatience mes remerciements, sauf qu'au même moment son chien entra dans la pièce en gueulant.. J'y crois pas. J'ouvrais grands les yeux, non seulement elle me laissant en plan pour son chien mais en plus elle remettait son soutien-gorge. C'est officiel je déteste les chiens. râlais-je en restant assis sur le canapé. Non je me sens à la fois frustré et pris pour un con .. Non mais sérieux c'est la première fois qu'une femme fait passer son chien avant moi, je sais pas son clébard aurait pu attendre encore un peu avant d'avoir sa bouffe, mais non madame répond aux exigences de son cher et tendre toutou. Je soupirais toujours en tirant la tronche jusqu'à ce que l'eliot revienne dans la pièce, toujours aussi peu habillée et toujours aussi sexy. Elle me fit savoir avec son plus beau sourire qu'à présent elle est tout à moi, sauf que non je suis pas son jouet, elle ne disposa pas de moi à sa guise. Je la regardais assez froidement, ça se voyait clairement que son comportement ne m'a pas plus, je me levais pour me mettre devant elle avec un faux sourire hypocrite sur les lèvres. T'es sûre ? Ton chien ne va pas encore faire un caprice ? Ton téléphone ne va pas sonner, ton mari ne va pas débarquer à l'improviste ? J'ai horreur qu'on me laisse en plan.. Surtout pour un chien. Non mais je rêve ou je suis jaloux d'un chien ? J'hochais la tête en m'avançant vers la sortie, j'ai horreur qu'on me prenne pour un pigeon sauf qu'en me retournant une dernière fois vers la femme de mon patron, me regard se bloque sur son corps de déesse puis ses lèvres .. Et merde je suis faible. Je revenais rapidement vers l'écossaise non seulement en râlant mais aussi en la mangeant du regard. Tu m'énerves .. Et d'un seul coup je plaquais mon corps contre le sien, nichant ma main derrière sa nuque pour dévorer ses lèvres avec envie et passion. Ma seconde main sur posait sur ses fesses pendant que ma langue cherchait la sienne pour un baiser endiablé, après quelques longues secondes et à bout de souffle je décalais mes lèvres des siennes, plongeant mon regard dans le sien. Elle est où la chambre ? C'est la dernière fois que je craque .. La dernière fois.
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Je me dépêchais tout d'même de filer un bol de croquettes à l'animal alors que Leandro avait la haine contre mon toutou, et revint une minute plus tard, prête à offrir à Leandro les remerciements que je lui avais promis. Cependant, rien qu'à regarder son expression, son regard, j'savais qu'il était pas content. Leandro énervé, acte numéro deux. Il s'approcha d'moi, avec son regard froid - qui le rendait encore un peu plus sexy - et un sourire que je n'appréciais pas quand il m'était destiné. Je levais les yeux vers lui histoire de les planter dans les siens et haussais les sourcils en l'entendant m'déblatérer les causes de son petit énervement. C'que tu peux être chiant quand tu t'y mets, dis-je avant de pousser un léger soupir. Je croisais les bras sur ma poitrine et le fusillais du regard alors qu'il se dirigeais vers la sortie. Casses-toi, vas y. J'savais qu'il n'voulait pas partir, qu'il se dirigeait vers la porte à contre coeur. Je me tenais immobile, bras croisés, et alors qu'il se retournait, un léger sourire vint égayer mon visage à nouveau. Et une nouvelle fois, j'étais victorieuse. Leandro s'empressa soudainement de revenir vers moi et l'envie que j'avais de lui s'intensifia encore un peu plus. J'sais ... Mais apparemment ça ne t'empêche pas d'revenir ... Et à peine avais-je terminé ma phase qu'il se colla brusquement à moi et nos lèvres se rejoignirent pour un baiser passionné, endiablé, un truc terriblement sensuel quoi. Mes deux mains se posèrent de chaque côté de son cou, attrapant légèrement ses cheveux pour attirer un peu plus son visage contre le mien. Je sentais sa main sur l'une de mes fesses, l'autre dans ma nuque. Bon sang d'merde, j'avais tellement envie d'lui que maintenant, plus rien ne m'arrêterais. Ma respiration était saccadée lorsque le baiser prit fin, et c'est les yeux dans les yeux que je choppais l'une de ses mains. Il va falloir qu'on monte les escaliers ... elle est au premier étage, viens. Je me permis même d'entremêler mes doigts aux siens et l'emmenais rapidement avec moi, montant les marches deux à deux. Et une fois sur la palier, je l'attirais à moi, le coeur battant rapidement et commençais à défaire les boutons de sa chemise. Je fis quelques pas en arrière, les yeux le plus souvent plantés dans ceux de Leandro, avant d'appuyer sur la poignée de la porte de ma chambre conjugale, une chambre rouge tirant au bordeau, avec un grand lit aux draps blancs. Lorsque nous rentrâmes, Leandro était torse nu, et sa chemise sur le pas de la porte. Mes deux mains vinrent alors se poser tout contre son torse chaud et je l'embrassais avec ferveur, à la limite du sauvage, ne pouvant plus me passer une seconde de ses lèvres et de sa peau contre la mienne.
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Elle semblait fière d'elle en me voyant revenir, mais qu'est-ce que j'étais censé faire face à elle ? Face à cette magnifique femme malgré son côté tyran ? Aucun homme sur terre n'aurait pu résister. C'est parce que j'ai pas le choix .. Murmurais-je avant de prendre sauvagement ses lèvres. Non ce n'est pas parce que je n'ai pas le choix, du moins pas ce soir, c'est parce que j'en ai pas envie. J'ai bien trop envie d'elle pour partir à cause de son foutu chien. Une fois à bout de souffle suite à ce baiser que je ne saurais décrire, elle attrapa ma main pour monter les escaliers en direction d'une de ses chambres. Je sentais ses doigts entremêler les miens et pour une raison que j'ignore j'en faisais autant, suivant la femme de mon patron jusqu'à l'étage. Le temps qu'elle ouvre la porte j'en profitais pour retirer ma chemise, je déteste perdre du temps avec le déshabillage, heureusement que nos hauts sont déjà enlevés, ça ira bien plus vite. Finalement je sentais ses mains chaudes se plaquer contre mon torse tout en m'embrassant de nouveau, j'accentuais ce baiser en attrapant rapidement ses jambes pour décoller la belle écossaise du sol. Dans un premier temps je plaquais doucement son dos contre le mur, cherchant sa langue avec la mienne pendant que l'une de mes mains se trouvait un chemin entre son dos et le mur pour dégrafer une nouvelle fois son soutien-gorge. Son soutif virevolta au loin .. J'ai tellement envie d'elle c'est inexplicable, insensé. Mais peu importe elle m'a trop excité pour que j'ai le courage de faire marche-arrière à présent. Peu à peu je décalais son dos du mur pour l'emmener dans son fameux lit. Pendant quelques instants nos lèvres se séparèrent, je laissais Cleo descendre mon jean le long de mes jambes pendant que j'en fis aucun avec le reste de ses vêtements, enlevant tout d'abord son jean, puis sa petite culotte afin de laisser la belle brune entièrement nue devant mes yeux. Une fois nos vêtements retirés, je descendais mes lèvres sur son corps, embrassant dans un premier temps son nombril avant de remonter jusqu'à sa poitrine durant de longues minutes pour finalement revenir jusqu'à ses lèvres. J'embrassais fougueusement Cleophine en tendant ma main jusqu'à la table de chevet à côté du lit à le chercher de préservatifs.. Cependant je ne trouvais rien. Tout en soupirant j'écartais mes lèvres des siennes, toujours avec nos corps nus l'un contre l'autre, sentant l'envie dévorante de l'un comme de l'autre de ne faire qu'un. Elles sont où les capotes ? murmurais-je .. Sauf qu'avant même qu'elle ne puisse me répondre je laissais mes lèvres descendre dans sa nuque.
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