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Call me crazy shit, at least you're calling.
Naomi Braxton & Ashton Irving.
Naomi s'était quand même douté un minimum qu'en lui proposant de porter les affaires de Jorden, elle allait s'attirer les foudres d'Ashton. En même temps qu'était-elle censée faire ? Le laisser en serviette comme un malheureux ? Naomi avait crû bien faire mais visiblement d'après la réaction de son petit ami, elle avait tout fais de travers. Elle leva les yeux tandis qu'Irving s'énervait contre elle, lui disant qu'elle le faisait chier pour toutes ces meufs alors qu'elle accueillait encore son ex chez elle. Comment lui expliquer qu'il ne se passait vraiment rien avec ce mec depuis qu'ils s'étaient séparés ? Jorden était de bonne compagnie, certes, et très jolie à regarder de surcroît mais quand c'était fini, c'était fini et Naomi n'était pas du genre à continuer de coucher indéfiniment avec ses exs malgré les rumeurs qui pouvaient traîner dans les couloirs d'Harvard. Naomi répondit donc avec dédain : "Olalah, qu'est-ce que tu peux râler pour rien bordel, j'ai eu une vie avant toi Monsieur Ashton Irving et Jorden en faisait parti ! Tu l'as dis toi-même qu'il fallait pas se mettre tout le monde à dos à cause de notre relation bla bla bla, je ne fais que respecter ce que tu as dis en perpétuant les habitudes." Le vice, cette femme avait un vice qu'elle pouvait pousser jusqu'à son extrême lorsqu'elle le voulait, lorsqu'elle avait envie de jouer avec les limites. Elle avait toujours été comme ça et le sera toute sa vie, ça coulait en elle, elle aimait taquiner, titiller et Ashton était comme une allumette à proximité d'un bidon d'essence il s'enflammant pour un rien exactement comme elle ce qui était totalement exaltant pour la jeune métisse qui savourait la pseudo-crise de jalousie qu'Ashton lui faisait en plein milieu de sa chambre, seulement vêtu d'une serviette. "Et bien vas-y reste comme ça espèce d'idiot t'as l'air malin tiens ! Et c'est pas parce que je t'ai déjà vu tout nu que je veux bien te voir dandiner ton petit cul nul dans toute ma chambre ! Tu fais vraiment des histoires pour rien !" lui dit-elle en essayant de se dégager de son étreinte. Elle était d'une mauvaise foi légendaire, n'hésitant jamais à dire le contraire de ce qu'elle pensait, c'était vraiment fais ce que je dis mais ce que je fais, c'était devenu sa nouvelle devise.
Puis vint l'ouragan. Le sujet tabou. La maladie de sa mère, Ashton eut exactement la réaction à laquelle Naomi s'attendait. Son visage se ferma instantanément et elle s'asseya sur le lit bras croisés, le menton tourné vers la fenêtre afin de fuir son regard. Oui elle avait pris ses libertés mais lorsqu'elle avait pris connaissance qu'elle pouvait faire tellement plus que juste lui conseiller un spécialiste, elle avait décidé de dépenser ce qu'il fallait. Elle se foutait de l'argent, elle en avait assez pour si elle le souhaitait ne pas travailler de toute sa vie. Chose qui devait être inpensable pour Ashton et indécent à dire de la part à Naomi. "Écoute Ash, j'ai pas eu le choix. Ils m'ont dis qu'ils avaient une place de libre, que c'était maintenant ou jamais car c'était une excellente clinique et que ça se bousculait aux portillons alors j'ai dis d'accord. Ils ont appelé ta mère, elle pense que c'est une association de Detroit que vous avez contacté apparemment il y a quelques mois qui lui est venue en aide. Je vois pas où est le problème et je te demande pas de me rembourser. Je veux pas être indécente mais c'est équivalent à une centaine de dollars pour moi, c'est rien du tout. Et c'est pas parce que c'est toi, ça aurait été la mère de Jorden ou la mère d'une des Cabot je l'aurais fais de la même façon." lâcha t-elle sèchement. Elle regarda ainsi le bout de ses ongles, continuant d'adopter son attitude totalement désinvolte avant de recroiser les bras et de dire à son petit-ami droit dans les yeux. "Je suis désolée si j'ai pu paraître intrusive mais c'était une occasion en or Ashton et je pouvais pas dire non, ça aurait été complètement débile. Arrête de voir cette petite aide comme un geste exceptionnel parce que c'est juste du civisme. L'argent c'est que du papier, la santé en revanche elle ne s'achète pas alors si tu veux me rembourser viens juste t'asseoir à côté de moi et m'aider à choisir les sushis que tu veux manger au lieu de te mettre dans tous tes états. S'il te plaît." insista t-elle en tapotant la place à côté d'elle sur le lit.
Puis vint l'ouragan. Le sujet tabou. La maladie de sa mère, Ashton eut exactement la réaction à laquelle Naomi s'attendait. Son visage se ferma instantanément et elle s'asseya sur le lit bras croisés, le menton tourné vers la fenêtre afin de fuir son regard. Oui elle avait pris ses libertés mais lorsqu'elle avait pris connaissance qu'elle pouvait faire tellement plus que juste lui conseiller un spécialiste, elle avait décidé de dépenser ce qu'il fallait. Elle se foutait de l'argent, elle en avait assez pour si elle le souhaitait ne pas travailler de toute sa vie. Chose qui devait être inpensable pour Ashton et indécent à dire de la part à Naomi. "Écoute Ash, j'ai pas eu le choix. Ils m'ont dis qu'ils avaient une place de libre, que c'était maintenant ou jamais car c'était une excellente clinique et que ça se bousculait aux portillons alors j'ai dis d'accord. Ils ont appelé ta mère, elle pense que c'est une association de Detroit que vous avez contacté apparemment il y a quelques mois qui lui est venue en aide. Je vois pas où est le problème et je te demande pas de me rembourser. Je veux pas être indécente mais c'est équivalent à une centaine de dollars pour moi, c'est rien du tout. Et c'est pas parce que c'est toi, ça aurait été la mère de Jorden ou la mère d'une des Cabot je l'aurais fais de la même façon." lâcha t-elle sèchement. Elle regarda ainsi le bout de ses ongles, continuant d'adopter son attitude totalement désinvolte avant de recroiser les bras et de dire à son petit-ami droit dans les yeux. "Je suis désolée si j'ai pu paraître intrusive mais c'était une occasion en or Ashton et je pouvais pas dire non, ça aurait été complètement débile. Arrête de voir cette petite aide comme un geste exceptionnel parce que c'est juste du civisme. L'argent c'est que du papier, la santé en revanche elle ne s'achète pas alors si tu veux me rembourser viens juste t'asseoir à côté de moi et m'aider à choisir les sushis que tu veux manger au lieu de te mettre dans tous tes états. S'il te plaît." insista t-elle en tapotant la place à côté d'elle sur le lit.
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