CYNNAN F. WINKLER ► DYLAN O'BRIEN

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Rash’ ou .Dream et j'ai 14 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à bazzart.  J'ai adoré le contexte et le design alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Dylan O’Brien comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bigbadwolf. Je fais environ 300 à 1000 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Noëline 'Noé' T. Darkhölm.

  Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
  Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
  adhérer un flood d'intégration (?)

C’était dans la ville de Vienne en Autriche qu’un heureux évènement se produisit en ce jour du 30 novembre 1989. Un couple plutôt jeune venait d’avoir leur premier petit enfant, un petit garçon, qu’ils prénommèrent Cynnan Franco Winkler. On pouvait voir la joie de ce jeune père dans ses yeux lorsqu’il prit pour la première fois son fils dans ses bras, tout comme on a pu y voir l’amour dans les yeux de la jeune mère lorsqu’elle le vit enfin. Ce bébé, c’est moi. Et ça, c’est mes parents. Oui bon, on dirait que j’y connais beaucoup sur ma naissance, mais je ne vous raconte seulement ce que l’on m’a raconté. Mon père est d’origine italienne. Il est né en Italie et y a passé ces premières années là-bas avant de déménager avec ses parents à Vienne, en Autriche. Ma mère, elle, est autrichienne. Elle est née ici à Vienne, et y a toujours vécu. Elle en fier je crois, et je la comprends tout à fait. Mon paternelle tenait un petit commerce qui marchait très bien dans notre ville, et ma mère était comptable d’une banque réputée en Autriche. Oui, on était plutôt bien fourni niveau financier. Mes parents s’étaient connus à l’université, où ils étaient tout les deux tombés dans la même classe. Pour mon père, ce fut un coup de foudre d’après ce qu’il m’a dit. Mais il m’a aussi dit que ma mère était très coriace et qu’il avait pris du temps avant de réussir à se rapprocher d’elle. Le temps pris pour ça en a value la peine m’a-t-il dit en regardant ma mère dans la cuisine, les yeux remplis d’amour.

Ma vie avait été parfaite durant toute mon enfance. J’étais entouré de parents qui m’aimaient énormément et j’étais énormément gâté malgré le fait que je ne voulais pas toujours tous ce que je recevais. Mon père disait toujours qu’il voulait voir son prince rempli de joie chaque secondes de sa vie, et que s’il devait m’acheter un magasin entier de jouet pour qu’un simple sourire s’étire sur mon visage, il le ferait sans hésiter. Mon père était ainsi, toujours à me faire rêver. C’était ce qu’il voulait, me voir rêver le plus possible. Ma mère était un peu plus réaliste et disait toujours à mon père de ne pas me mettre trop d’idée dans ma tête, parce qu’elle ne voulait pas m’entendre dire que je voulais qu’on m’achète un magasin entier pour mon anniversaire. C’était ainsi, ma mère toujours à me ramener les pieds sur terre. C’était ce que j’aimais le plus chez elle, sa sincérité et pour sa gentillesse et sa tolérance. Tout était magique pour moi, mais rien n’aurait pu me rendre plus heureux que la nouvelle qu’ils m’annoncèrent lorsque j’avais cinq ans. Ma mère était enceinte à nouveau, et j’allai être grand frère très bientôt. Sur le coup, j’étais resté bouche-bée, mais j’étais pourtant si heureux. C’était le plus beau jour de ma vie.

Plus les années passées, et plus de choses spectaculaires se passaient dans notre petite famille. Après la naissance d’un nouveau petit garçon surnommé Matias Erwin Winkler, j’ai dû passer quelques tests proposés par mon école pour déterminer quelque chose qui changera surement tout dans ma vie, d’après ce qu’il disait. Et ils avaient raison. Après qu’on ait reçu les résultats, on apprit alors que j’avais un QI qu’on pourrait surnommé comme surdoué. Mes parents étaient si fiers de moi, et j’étais fier de les rendre fier. Nos vies changeaient petit à petit, je grandissais tout comme mon petit frère, mes parents vieillissaient doucement et je progressais dans ma lancée. Je fus inscrit dans une école pour surdoués, et les cours étaient toujours aussi simple qu’avant. Je trouvais ça plutôt normal au départ, de réussir tout au premier coup, mais je sentais que j’étais différent, vraiment différent des autres. Je ne pouvais être un génie, je devais surement avoir plus de connaissances que les autres, et c’était à mon plus grand avantage. Pendant ce temps, je m’étais construit une grande amitié avec ma voisine, une fille plus jeune que moi de deux ans qui voulait désespérément que je l’appelle Noé au lieu de Noélïne. Elle était mignonne, et très sympathique. Je l’aidais souvent pour ses devoirs, qu’elle faisait en général plutôt bien toute seule. Mais tout ce que je voulais en fait, c’était passé du temps avec elle. Quand j’étais avec elle, je me sentais paisible, comme dans un autre monde. Elle me rendait différent, elle me faisait sentir bien. C’était pourtant seulement une amie, c’est tout. Elle était trop jeune pour comprendre tout ça.

Un jour, alors que j’étais rentré de mes cours une heure auparavant, j’entends des pleurs du dehors de ma maison. Mes parents et mon frère aussi les avaient entendus, mais je leur disais de rester ici, que j’allais voir ce qui se passait. Lorsque je sortais dans le jardin, j’aperçus la silhouette de Noé, assis sur ses genoux en train d’arracher les plantes autour d’elle tout en pleurant toutes les larmes de son cœur. Je savais ce qui se passait. Encore son vieux fou de père qui avait dû boire. C’était devenu une habitude pour ma famille et moi d’entendre les cris de nos voisins en pleines disputes, et les pleurs qui s’ensuivirent. C’était horrible, c’est vrai. Mais la vie est horrible pour certaines personnes, tout ce que l’on peut faire c’est essayé de la rendre un peu moins horrible. « L'herbe ne t'a rien fait à ce que je sache. » lui dis alors d’un air amusé. Je m’approchais ensuite de celle-ci tout en enlevant la veste que je portais alors, avant de la poser délicatement sur les épaules de la brunette. Elle se relevait brusquement avant de dire « Je suis désolée mais il faut que j'aille aider ma mère à la sortir de cet enfer. ». S’apprêtant à retourner dans sa maison pour porter secours à sa mère, Noé se retournait avant de commencer à courir avant que je n’attrape son bras. Je ne voulais pas la laisser retourner dedans, je ne la laisserai pas si j’avais le choix. Et à ce moment-là, je l’avais. « Noé je ne veux pas que tu y retournes, sinon il va encore te tabasser ce fou alcoolisé. ». Elle me regardait alors avant d’essayer de retirer ma main de son bras par tous les moyens possibles, que ce soit tordre mes doigts ou essayer de me pousser en arrière. Je la tirais contre moi, sa joue collant mon torse. Je la sentais se calmer. Nous restions là pendant quelques minutes avant que je ne la relâche et l’amène dans ma propre maison pour tout expliquer à mes parents.

Le soir même, j’entendais au rez-de-chaussée des voix. Noé s’était endormi sur mon lit, alors que j’étais resté là, assis sur ma chaise de bureau à la contemplé sans rien dire. Mon frère était partit dormir dans sa chambre. Je me levais alors et ouvrais légèrement la porte pour regarder qui se trouvait en bas. J’apercevais alors la mère de Noé et ma propre mère et mon père montaient tout les trois les escaliers vers ma chambre. J’ouvrais alors grandement la porte avant d’afficher à la mère de Noé un léger sourire et de l’enlacer dans mes bras. Je la laissais ensuite passé dans ma chambre tout en demandant doucement à mes parents ce qui se passait. D’après ce qu’ils disaient, elles partaient loin d’ici, le plus loin possible. J’aurais pu me sentir mal d’entendre que Noé partait loin de moi, mais au contraire, je me sentais mieux. Je trouvais que c’était mieux pour elle et sa mère qu’elles partent loin de ce fou. Avant de partir, Noé s’était approché de moi pour prononcer ces quelques mots. « Bon ben au revoir. » « Salut. » répondis-je ensuite. Je m’approchais ensuite de celle-ci, déposant mes mains sur ses joues, et d’approcher mes lèvres des siennes avant qu’elles ne se touchent enfin. C’est vrai que je n’aurais jamais imaginé mon premier baisé ainsi, mais je voulais que ça soit avec elle. Et si je n’avais pas d’autres chances de le faire, je préférais le faire maintenant. Je me reculais ensuite, lui souriant tout en la regardant rentrer dans la voiture qui se trouvait devant nous. Mon frère qui s’était réveillé à cause du bruit, vint à mes côtés avant de me tenir la main. Nous restions plantés là à leur dire au revoir de grands signes de main jusqu’à ce que l’on ne puisse plus apercevoir la voiture.

J’ai grandis depuis que Noé est partit, mon frère aussi. Mes parents ont vieillit et on regarde la vie que l’on a avec un grand sourire. Mais je sens alors que je ne suis pas destiné à vivre ici. Je veux partir, faire mes études ailleurs. J’ai repéré une bonne université aux Massachusetts, et je crois que je peux très facilement passer les examens d’admission, en plus ma bourse. J’en parle alors à mes parents, qui ne me voyaient pas loin d’eux au départ, avant de finalement accepter. J’étais content de pouvoir aller faire mes études à un endroit qui me plait, mais j’allais être loin de ma famille. Je leur promettais de revenir le plus de fois possible, et de garder contact le plus possible. Je fus près après quelques mois, et mes papiers d’admission étaient déjà envoyés d’Autriche aux Massachusetts. Je reçus une lettre quelques semaines plus tard me demandant de venir passer les tests d’admission à une date noté sur le papier. Je pris l’avion quelques jours plus tard, en route pour de nouvelle aventure.

Douze ans sont passés depuis ce jour, et je me rappelle encore de Noé et de notre baisé. Je travaille dans un centre aéré durant mes vacances pour gagner un peu d’argent de mon côté dont j’envoie une partie à ma famille. J’ai eu l’heureuse surprise de la croiser là-bas, et j’ai ressenti cette chaleur dans mon torse quand je l’ai vu. Je ne sais pas ce que le futur nous réserve, mais j’ai hâte de le savoir.