Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJUNOTEÏ ► tu te crois beau, sérieusement ? - Page 2
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JUNOTEÏ ► tu te crois beau, sérieusement ?

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Timoteï n’était pas vraiment du genre à promettre quelque chose et quand il me dit qu’il me promit qu’il resterait avec moi je ne pu faire autrement que de le croire. Je savais qu’il n’allait pas me laisser tomber, enfin je le vois mal me laisser ivre morte ici à la vue du premier mec qui passait. J’avais peur de ce qui pouvait se passait si il ne finissait pas s’enfuir, affreusement peur, je me disais que je ne méritais pas ça mais en même temps je l’avais bien cherché. Pourquoi j’avais fait ça ? Putain, je n’avais pas choisit le bon jour mais heureusement que j’avais eu la présence d’esprit d’appeler Tim. Quoi qu’appeler un autre ami aurait peut être était plus simple, il ne serait certainement pas aussi défoncé que le jeune homme. « Merci de ne pas m’abandonner, c’est si rare… ». Soufflais-je en soupirant, c’est vrai que les mecs qui ne m’avait pas abandonnés depuis ma naissance devaient se compter sur les doigts d’une seule main. Il me proposa d’aller chez lui, avais-je le choix ? Non, de toute façon sa maison était plus près c’est vrai, plus grande aussi. Et je ne pu m’empêcher de l’embrasser langoureusement pour le remercier. Je me mis à rire quand il parlait de dormir sur le canapé, je crois qu’on se connaissait suffisamment pour pouvoir dormir avec lui, certes j’étais bien au taquet mais j’avais compris aussi qu’il avait remis notre petite partie de jambe en l’air à plus tard et je savais très bien me tenir. Penser qu’il ne puisse pas dormir avec moi était vraiment drôle, une plaisanterie même : « Et puis quoi encore, dans une niche peut être. Tu dormiras avec moi. Je me ferais toute petite s’il le faut… ». Tim me prit alors la main pour me guider hors du cimetière. Je n’allais pas vite, je titubais, je ne marchais pas droit mais la seule chose qui importait c’est que je tenais la main de Timoteï et je la lâcherais pour rien au monde. Ce soir il était bel et bien mon sauveur et j’aurais voulu qu’il soit mon sauveur pour tous les autres soirs. Je suis persuadée que si j’avais quelqu’un avec moi pour vivre les bons moments comme les moments difficiles je n’aurais pas besoin de tout oublié dans l’alcool. Je savais que Timoteï n’en était pas à ce point là sur la réflexion : « Tu verras, un jour tu te diras que j’avais raison, un jour tu n’auras plus besoin de ça pour être heureux, plus besoin de ça pour oublier toute la souffrance qu’il y a l’intérieur de toi parce que cette souffrance sera gommé par le sourire d’une seule et unique personne ». J’étais très sérieuse, même si j’étais bourée, Nork avait effacé un instant la souffrance causé par les autres avant lui mais maintenant elle semblait être pire encore. Je m’impatientais alors pour le faire rire je me mis à marcher contre lui en pinçant doucement ses fesses, ce n’était pas une attente sexuelle pour le coup c’était juste pour le faire marrer : « Mais quel joli fessier, c’est celui de Mister Univers 2015 ? ». Je soupirais avant de déposer un baiser dans son cou tout en essayant de continuer de marcher.
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Je marchais dans la rue avec cette demoiselle. Tout le monde qui nous croisait pouvait se demander qui elle était pour moi. Une amie, une sœur, ma petite amie ? Bonne question, vu comme elle me tenait et comme je la tenais. Elle m'embrassait et je prolongeais ses baisers, je la tenais par la taille comme un vrai petit couple. N plus de ça, je l’amenais chez moi, dans ma chambre, dans mon lit et dans ma douche. Elle était bien vu, c'était bien rare que j'offrais tout ceci à une simple femme. Mais, elle, c'était plus qu'une simple femme. Elle était une sexe friend, mais une amie avant tout. Elle essayait de me faire changer d'avis, mais elle savait pertinemment que c'était une cause perdue. Je n'allais pas changer en claquant des doigts, je n'allais pas changer car elle me le demandait. Je ne faisais pas ça pour elle, mais pour moi. Peut-être que je me détruisais, peut-être que je foutais ma vie ne l'air, mais je m'en foutais. Je vivais le jour présent et je ne réfléchissais pas au lendemain ou à la veille, je ne voulais plus penser à rien. Je voulais juste penser à moi, seulement moi et je verrais comment le jour suivant allait se passer. Après tout, c'était la vie, pourquoi prédire l'avenir, pourquoi tout faire pour que le jour d'après soit meilleur. Je haussais les épaules et je la regardais, je ne disais rien, montrant juste que je n'étais pas d'accord avec elle. Mais, cela n'était pas nouveau, elle me connaissait suffisamment pour savoir que je ne rigolais pas, que je n'étais pas simple. Loin de là, j'étais plutôt compliqué, difficile à gérer, compatible avec très peu de personnes. Les minutes passaient rapidement et elle marchait plutôt rapidement. À croire qu'elle allait largement mieux que dans le cimetière, en seulement vingt minutes, j'arrivais devant la villa avec elle. Je sortais les clés pour ouvrir la porte, je la poussais et je regardais le grand salon, vide. Il n'y avait personne, ils étaient certainement en train de dormir ou de faire la fête. Je lui faisais signe d'entrer et de monter les escaliers. Ma chambre était là-haut, tout comme ma salle de bain. Je prenais une bouteille d'eau avec un verre, c'était pour elle et non pour moi. Je n'avais pas soif, je n'avais pas besoin de boire. Je montais les escaliers rapidement pour la rejoindre dans ma chambre. Je déposais la bouteille sur le lit et j'enlevais mon t-shirt pour le jeter dans la corbeille de linge sale. Je me retournais près d'elle pour la regarder : « Fais comme chez toi. » Un léger sourire sur mes lèvres.
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En me balandant auprès de lui je n’avais peur de rien, honte de rien, j’avais l’impression que je pouvais être moi-même. Vraiment, pas besoin de faux semblant, pas besoin de sous titre. J’aimais bien être avec lui, je m’en fou de ce qu’on disait de moi et si les gens pensaient que nous étions en couple et bien tant mieux, c’était pas une gêne de me faire voir avec lui, parce que j’étais bien. J’étais tranquille, j’avais peur de rien. Il m’emmena ensuite chez lui, j’avais l’habitude d’aller chez lui, ce n’était pas vraiment une découverte pour moi. Sa grande maison, je l’avais déjà vu plusieurs fois, je l’aimais bien vraiment, elle était spacieuse et plutôt bien agancé. Il vivait en colocation, j’aimais pas trop ses colocs filles. Pourquoi ? Ben parce que c’était des filles et que je suis naturellement jalouse. Ce n’est pas ma volonté, c’est comme ça. Des filles un peu trop proche de quelqu’un que j’apprécie et ça m’agace et comme j’apprécie beaucoup Timoteï et bien ça m’agace beaucoup c’est tout. Je bus un peu d’eau : « Je me serais bien fait à manger, t’as pas un boîte de gâteau ! Des gâteaux, maintenant, maintenant, maintenant ! ». Ce n’était pas très logique comme phrase, je ne pouvais pas désirer cuisiné un bon petit plat et en même temps manger des gâteaux. On va dire que l’impossibilité de faire la première option pouvait être compensé par la deuxième. Je me mis alors à chercher frénétiquement une boite de gâteaux. N’importe où, aussi bien sous le lit que dans des placards et des armoires, je voulais manger pour me sentir mieux, me sentir moins saoule aussi et c’était pas négligeable. Je me mis à rire quand il retira son t-shirt avant de me dire de faire comme chez moi, je m’approchais alors de lui avant de retirer tout mes vêtements à mon tour. Tim savait très bien que je dormais toujours nue ou alors en nuisette, mais j’aimais pas dormir avec mes habits, surtout un jean, non et puis j’étais tellement plus belle nue que ce serait bête de priver mon ami de ce spectacle. « Mais je suis chez moi ! ». Avouais-je en passant mes bras autour de son cou avant d’embrasser le creux de son cou. J’aimais vraiment ce corps dont je pouvais de moins en moins me passer, Tim était beau, je crois qu’il ignorait encore à quel point je pouvais le trouver beau. Son visage ce faisait cependant sérieux, il était plus sérieux que moi, il tenait mieux l’alcool, certainement question d’expérience. Je soupirais, le regardant, je frottais doucement mon nez contre le sien : « Souris un peu mon Tim ! ». Je passais ma main sur sa joue avant d’aller ouvrir la fênetre, c’était un peu débile d’aller ouvrir la fênetre mais j’avais toujours deux grammes, malgré l’eau que j’essayais d’avaler en grande quantité : « On pourrait faire comme dans peter pan, on va s’envoler dans le ciel et rejoindre le pays imaginaire…Ou alors on va sur le toit et on prend la fraiche ! ». Sentir un peu d’air frais sur son corps, ça devait pas être si désagréable non ?
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Elle était folle, totalement folle, mais je l'appréciais. Heureusement qu'elle était là pour occuper mes soirées. Au moins, j'évitais de traîner en boîte ou dans des bars. J'évitais de ramener n'importe qui a la maison, j'évitais de coucher encore avec une inconnue et de briser des cœurs. Elle ne le remarquait peut-être pas, mais je buvais, fumais peut-être, mais je ne couchais avec personne quand j'étais avec elle. C'était déjà un très gros effort, alors je n'allais pas arrêter tout d'un seul coup tout de même. De toute façon, cela serait tout simplement impossible pour moi, j'aurais besoin d'aide, de soutien et de me sentir mieux dans ma tête, dans mon corps. Elle ne se rendait pas compte de l'effort que je faisais, de toute manière, ce soir, je n'avais pas envie. Je n'avais pas envie de faire du sport, je n'avais qu'une envie : Dormir. Seul, ou accompagné, c'était la même chose. Du moins, ce n'était plus comme avant, ce n'était pas celle que j'aimais à mes côtés. Elle me permettait juste de me sentir un peu moins seul et d'être contre quelqu'un. De la regarder dormir, de m'amuser avec ses cheveux pendant qu'elle dormait. Peut-être qu'avec elle à mes côtés, j'allais pouvoir faire une nuit complète, sans me réveiller à quatre heures du matin et ne plus pouvoir fermer les yeux. Je soupirais, je ne voulais plus penser à ça. Elle était là pour le moment, pourquoi penser à ça alors que je pouvais penser à autre chose ? Je devais profiter, rire avec elle. Je lui avais monté un verre d'eau, que j'avais posé sur la table. J'avais commencé à enlever mon maillot et celle-ci en avait fait de même. Un léger sourire sur mes lèvres, elle m'étonnerait toujours. « Tu fais chier au final, j'aurais dû te déposer chez toi. » Lâchais-je doucement. Bien sûr, je rigolais. Je descendais de nouveau les escaliers, pour prendre un plateau et déposer plusieurs choses dessus. Je regardais dans le frigo ce qui restait. Des lasagnes, je les faisais chauffer pour les mettre dans une belle assiette. Un dessert, des gâteaux, en gros un peu de tout. Elle n'avait pas intérêt à refuser ce que je lui donnais, sinon elle allait finir dehors toute nue. Je remontais avec le plateau dans les mains, tel un gentleman. Je le déposais sur le lit, posant mon regard sur la demoiselle. « Madame est servie, maintenant mange. » Je n'ajoutais rien, et j'enlevais doucement la ceinture nouée autour de ma taille. Elle voulait qu'un sourire se place sur mon visage. Ce n'était pas simple, mais je pouvais le faire pour elle. Des bisous au creux du cou, cela ne me faisait même plus réagir. J'avais tellement cette habitude quand elle était bourrée. J'enlevais alors mon jean pour mettre un jogging en coton. Et je me laissais tomber sur le bord de mon lit, la regardant. Je me trouvais juste derrière elle, j'avais l'impression de voir une petite gamine. Je rigolais, mais j'avais bien une autre idée pour la rafraîchir. Je me relevais, attrapais ses jambes et sa taille pour la porter dans mes bras. « J'ai une idée plus radicale pour te rafraîchir, Princesse. » Je descendais tranquillement les escaliers, ouvrait la grande vitre pour arriver près de la piscine. Je la regardais un dernier instant pour lâcher « Ce n'est pas mieux, de l'eau fraîche ? » Je n'attendais pas une minute de plus, je la jetais d'un seul coup dans la piscine. M'écartant pour ne pas être mouillé.
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Me déposer chez moi ? Il n’y pensait pas vraiment, c’était impossible, j’aimais bien être avec lui et je n’aurais loupé cette occasion de passer une soirée en tête à tête pour rien au monde. Cependant j’avais l’impression d’être un poids pour lui quand il me fit cette remarque et je crois que j’aurais pu pleurer si je n’avais pas légèrement décuvée entre temps. A quoi jouait-il franchement ? Moi je l’aimais bien alors pourquoi être méchant avec moi ? Qu’est ce que cela lui apporté ? J’essayais de faire volte face pour garder un peu de dignité : « Tu en es tout simplement incapable Timoteï, ta nuit aurait été trop triste, tu serais, je suis sûre, venu me rechercher… ». Je me mis à rire avant de l’embrasser langoureusement. Il ne disait pas toujours ça, surtout quand on finissait la soirée au lit, il était bien content de m’avoir dans ses moyens là, croyez-moi. Pourtant il disparu, je ne savais pas ce qu’il allait faire, en fait je m’attendais pas à ce qu’il m’apporte à manger et autant à manger, il avait fait un effort pour moi. Je trouvais ça gentil, en dépit de la réplique qu’il venait de me balancer violement à la figure. Il y avait des lasagnes et des gâteaux comme je l’avais demandé, je respirais déjà la bonne odeur des plats, j’avais envie d’y gouter, j’étais curieuse, même si je connaissais ses plats. J’avais faim…Je sautais alors à son cou pour lui faire plein de bisou avant de lui répondre : « Comment puis-je remercier mon prince, le plus beau de tous les hommes… ». J’ébouriffais ses cheveux avant de danser toute nue contre lui. Je commençais alors à manger un peu, je commençais par les lasagnes, histoire de logique. C’était presque bon, vraiment pas mauvais, j’aimais bien. Je le regardais mettre ses nouveaux habits, je ne loupais pas une miette du spectacle qu’il m’offrait. Tim aurait pu faire du mannequina, j’en étais certaine. Il me dit avoir une autre idée de rafraichissement ? Allait-il redescendre à la cuisine pour me faire un cocktail ? Quelle bonne idée, il semblait être au petit soin pour moi. Je me mis à rire comme une folle lorsqu’il me souleva, je trouvais ça plutôt marrant en faite et j’aimais bien qu’on me porte. J’avais l’impression d’être une princesse, une jeune mariée, bref, quelqu’un d’important. Je savais pas exactement où il voulait m’emmener mais j’avais hâte, je callais même ma tête contre son torse car je m’y sentais bien, je me sentais toujours bien avec lui. Sauf quand il me jeta à l’eau, j’étais complètement trempée, il était fou vu mon état d’ébriété j’aurais pu me noyer. Je sortis alors de la piscine à toute hâte pour lui courir après et je me jetais sur lui encore trempé, comme ça, il le serait aussi. « Tu fais toujours le malin là ? Espèce de con va ! ». L’avantage c’est que comme nous étions trempés tous les deux nous pourrions bien nous baigner et puis ça me rappelait les bains de minuits, j’avais toujours trouvé ça marrant : « Viens, on va se baigner, tout nue dans la piscine dans la nuit noire ! Comme Jean Edouard et Loanna ! ». Visait la comparaison, je viens de traiter Tim de Jean Edouard, pas sûr que ce soit un bon argument mais je dépose quand même un bisou sur sa joue pour qu’il accepte.
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Je ne lui avais pas laissé le temps de réfléchir, elle avait juste mangé quelque part de lasagne que j'avais envie de la faire chier. Elle le méritait, elle n'avait pas le droit de se mettre aussi minable. Elle allait juste recevoir la punition qu'elle devait avoir. Elle avait envie d'être rafraîchi, en effet avec l'alcool, elle avait certainement chaud, des vapeurs. Ce qui était tout à fait normal, surtout comme elle était. Elle ne vomissait jamais, mais une chose était sûre, le lendemain, elle avait un mal de crâne pas possible. Alors, autant en profiter maintenant, car demain, la mauvaise humeur était certainement au rendez-vous. Je la connaissais suffisamment pour savoir qu'elle allait être chiante demain, donc je préférais lui faire les crasses ce soir, demain serait un autre jour. Mais, malgré ses défauts j'adorais cette fille, elle était unique. Je la regardais manger tranquillement, je n'avais pas faim. Même en la regardant, la faim ne venait pas. Par contre, durant la nuit, je savais que j'allais encore me lever pour grignoter quelque chose dans le frigo, comme d'habitude. Pourquoi changer les habitudes ? Je me perdais totalement quand je la regardais, c'est pour ça que je préférais à chaque fois, couper court à ces moments. Je me levais, sans même attendre son avis ou qu'elle ait fini sa bouchée. Je l'attrapais pour la prendre dans mes bras comme une marié. Ce n'était pas le cas, mais tant pis, je n'allais pas la mettre en sac à patate, je n'avais pas envie d'avoir une galette dans les escaliers. En dévalant l'escalier rapidement je lui soufflais au creux de l'oreille « En effet, sans toi je dormirais mal. Et pas besoin de me remercier. » Un léger sourire sur mon visage, un sourire plus que malicieux. Je marchais rapidement à travers la villa, j'ouvrais la grande fenêtre pour me retrouver sur la terrasse et près de la piscine. Je ne l'aurais jamais fait si je savais qu'il y avait des risques, et là, ce n'était pas le cas. La lumière s'était déclenchée et en moins d'une trentaine de secondes je l'avais jeté dans la piscine et je m'étais écarté rapidement. Dans sa chute, elle avait éclaboussé tout ce qu'il y avait autour, heureusement pour moi, j'étais encore sec. Je savais parfaitement que ce n'était pas pour longtemps, pour une courte durée. En moins d'une minute, madame avait remonté les marches pour courir dans ma direction et se coller contre moi. Un gros con ? Elle me vexa avec un seul mot, je ne disais plus rien et je boudais dans mon coin. Elle voulait jouer à ça, pas de soucis, elle allait au final regretter ses paroles. Je posais mes bras croisés contre mon torse et m'asseyais sur une chaise. Je ne la regardais pas, je ne l'accompagnais pas pour un bain de minuit. Je restais planté, là, sur la terrasse en short.
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Me pousser dans la piscine n’avait pas été la décision la plus intelligente de Timoteï, certes j’avais un peu repris mes esprits, je me sentais moins embrouillée par l’alcool mais j’étais trempée et je n’aimais pas être balancée de force dans un endroit si hostile pour moi puisque je n’avais pas vu arrivé le truc. Enfin quand il m’avait descendu dans les escaliers je savais qu’il me réservait un sale coup. Maintenant en plus d’être nue, j’étais trempée, l’avantage c’était que j’allais pouvoir plus rapidement sécher puisque mes vêtements n’avaient pas besoin de sécher sur ma peau. Cependant lorsque je remontais vers lui pour le mouiller à mon tour je vis son visage se fermer. Comment ça ? Lui il avait le droit de s’amuser mais pas moi, Tim n’était pas déjà pas d’un naturel bavard alors si il ne disait plus rien à présent la soirée risquait d’être longue, très longue. Il s’assit sur une chaise et se mit à bouder, je détestais cela, je détestais cela parce que comme d’habitude il n’y avait aucune raison. Je n’avais rien dit de méchant mais monsieur était du genre à faire son précieux, à se mettre en colère pour un pauvre insulte alors que j’en balançais dix milles à la seconde, à s’énerver parce que les choses n’étaient pas comme il le voulait. Pfff…Si je ne l’aimais pas autant je l’aurais certainement laissé là, à bouder tout seul dans son coin mais non…Je ne pouvais pas faire ça. Je ne pouvais pas squatter dans son lit alors que lui était là à faire la gueule, pourtant c’était tentant. Mais je sentais l’alcool redescendre et ma raison revenir aussi. «Tim, mon chéri ? ». Lui demandais-je d’abord, j’avais l’impression qu’il allait me répondre clairement d’aller me faire voire mais j’étais tellement gentille à cette seconde qu’il ne le pourrait pas, je lui faisais même mes yeux de biche, mes yeux doux pour qu’il accepte de ne plus me faire la gueule. « Si tu veux t’assoir très bien ! ». Avouais-je en m’asseyant sur ses genoux dans aucune gêne et même si il y mettait un brin de résistance cela m’était complètement égale. Moi j’étais très bien sur ces genoux. Je voyais bien qu’il m’en voulait, même si je ne savais pas pourquoi, je l’embrassais alors, plaçant mes jambes de chaque côté des siennes pour être face à lui. Je voulais le faire rire et qu’il arrête de m’en vouloir et pour l’instant je ne voyais pas d’autre moyen que d’utiliser le plus efficace, celui qu’il aimerait forcément : « Bébé, on peut le faire ailleurs que dans la piscine Jean Edouard et Loanna si tu veux vraiment ! ». Pour appuyer mes propos et qu’il comprenne bien que je m’en voulais je parsemais son cou de baiser, je savais qu’il aimait bien ça. Je ne voulais pas être fâché avec mon Tim, c’était mon Tim. Il était si unique pour moi que si je me fâchais avec lui, je ne pourrais pas retrouver quelqu’un avec qui j’aurais la même relation.
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Nue, dehors avec des voisins aussi pervers que les miens... Elle était bonne pour se retrouver sur la une du journal local. Mais, cela n'avait pas tellement l'air de la déranger, au contraire, elle prenait un malin plaisir à se montrer, à marcher tranquillement dans ma direction. Elle croyait me faire faiblir ? Loin de là, elle ne me faisait totalement rien. Elle "m'avait bien refroidi au cimetière, j'avais décrété, qu'aujourd'hui Paulette allait rester au chaud. Je l'avais vexé déjà une fois et j'allais certainement commencer une deuxième fois. D'un côté, cela me faisait même pitié pour elle et d'un autre côté, totalement rien. Un peu je m'en foutisme sur les bords, tout le monde me le disait... À force, je commençais vraiment à y croire. J'étais assis sur cette foutue chaise, qu'est-ce que j'en avais fait pour en arriver ici ? Une simple insulte avait réussi à me blesser, il m'en fallait vraiment très peu au final. Mais, quand cela venait de June, ces mots me blessaient largement plus que des mots venant d'une autre personne. J'avais envie de lui faire la gueule, j'avais envie de lui montrer qu'elle n'était pas importante ce soir à mes yeux. Mais, madame savait toujours parfaitement s'y prendre. Ce n'est pas pour rien qu'elle était une bonne séductrice, dragueuse et tout le reste. Je m'appuyais au dossier, les bras croisés sur mon torse, je la regardais de haut. Comme je le faisais souvent avec des autres personnes, c'était bien la première fois que je lui faisais. Mais, elle le méritait amplement. Faisant une moue boudeuse, je ne décrochais pas d'un mot et encore moins mon regard. Quelques frissons venaient se poser sur mes bras, rien de bien grave. Je n'allais pas attraper la mort juste pour quelques minutes mouillées et dehors. Des bisous dans le cou, elle savait comment me faire craquer et elle allait le faire si madame n'arrêtait pas son cinéma. Je tournais du regard, essayant de m'occuper autrement pour éviter de craquer. Mais, la tentation était bien plus forte. Je posais mon regard sur la jeune femme pour lui souffler : « Tu devrais aller te laver. » Radical, mais cette fois-ci mon ton n'était pas froid, ni même sec. Il était tout simplement normal. La tension avait descendu d'un cran, malheureusement je n'étais pas encore assez bourré pour tomber dans son piège.
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