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JUNOTEÏ ► tu te crois beau, sérieusement ?

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June & Timoteï

[size=12]Halloween approchait à grand pas, je n’étais pas spécialement fan de cette fête, on ne va pas dire que je la détestais non plus. En France on fêtait beaucoup moins Halloween qu’aux Etats-Unis mais je n’avais pas trop envie de la fêter cette année puisque mon petit ami était mort il y a environ un mois. C’était une période difficile et pour essayer d’oublier toute cette peine qui était bien présente dans mon cœur, quant à mon corps il se perdait complètement. Je faisais de nombreuses soirées où je buvais de toute évidence trop, je savais que je devais me prendre en main car j’avais la garde d’un enfant de douze ans et j’étais bien décidé à tout faire pour l’aider….Mais pas ce soir, ce soir, un ami m’avait emmené boire un verre. Un verre, c’était bien sûr un euphémisme, j’en avais bu plusieurs. A la fin de la soirée j’étais complètement saoule, mon ami voulu me ramener mais j’avais refusé sous prétexte que je voulais voir quelqu’un d’autre. Ainsi j’avais envoyé un sms à Timoteï pour le retrouver quelque part, comme j’étais à côté du cimetière je lui avais donné rendez-vous là bas et il m’avait dit qu’il y serait dans dix minutes. Que faire pendant ces dix minutes ? Comme si je n’avais pas déjà assez bu je jugeais bon d’aller dans une épicerie pour chercher une nouvelle bouteille de vin. C’était écrit vin français sur la bouteille mais j’en doutais franchement. Ce n’était pas ce que j’appelle du bon vin. En attendant, à essayer de draguer le caissier je n’avais pas vu l’heure passé. Et cela faisait déjà cinq minutes que Timoteï devait m’attendre. J’arrivais donc dans le cimetière avec une bouteille dans la main et ne sachant pas où il était, je buttais alors dans quelque chose : « Bouge-toi,-toi ! ». Lui demandais-je avant de trébucher sur la silhouette, renversant au passage du vin par terre : « Tu m’as fait gâché ma bouteille, j’espère que tu es vaut la peine… ». Je soupirais, j’étais déjà blasé et surtout bourré.  
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Cette fête, Halloween. S'amuser à faire peur à ses voisins et aux enfants qui toquent à chaque porte pour avoir des bonbons ou un sort. Je n'étais pas spécialement adepte à tout cela, quand j'étais petit, je n'allais jamais le faire. Ma mère m'achetait directement plusieurs sacs de bonbon, j'étais tranquille pendant deux ou trois semaines. Alors, imaginez quand je suis en face d'un de ces morveux qui réclament des bonbons sinon j’obtenais un sort. La bonne blague non ? J'avais donc décidé de laisser mes colocataires dans la villa, ils allaient très bien gérer les gosses, pendant que j'allais me reposer je ne sais ou. Je m'étais habillé rapidement un jean, un t-shirt et des baskets avec une veste en cuir et j'étais parti avec ma voiture. Je me promenais, m'arrêtant près d'un de mes amis. J'avais besoin de passer la journée avec lui, ça faisait si longtemps que je ne l'avais pas vu. Il était toujours tout seul avec son joint, il n'avait pas de meuf. Sauf la nuit, comme la moitié des mecs de cette ville. Monter les escaliers, deux par deux, j'arrivais plus rapidement devant sa porte. Elle n'était jamais fermé à clé, donc j'entrais dans son appartement qui était un vrai bordel. Il avait du encore faire un peu trop la fête avec cette demoiselle durant la nuit. Des bouts de verre, un meuble complètement vidé de son contenu. Un string qui traînait sur le canapé, il n'y avait pas de doute. Serait-elle encore là à quinze heures ? Je traversais l'appartement, regardant un peu partout. Je jonglais avec mes pieds pour ne pas écraser quelques choses. Et j'arrivais jusqu'à la chambre ou la porte était anormalement fermé. Je la poussais et celle-ci venait se plaquer contre le mur et là je retrouvais Max allongé sur son lit avec son joint. Il était seul, du moins c'était ce que je voyais, jusqu'à ce qu'une belle blonde à moitié nue sorti de la salle de bain, en face de moi. Je n'avais pas réagit, je l'avais regardé comme tout homme. Pour reporter mon attention sur Max. « Tu branles quoi là ? Bouge ton cul, ce soir on sort. » La belle blonde avait compris, elle avait laissé tomber sa serviette à mes pieds pour enfiler ses sous-vêtements et sa mini robe bien moulante. Provocante en plus de ça, elle me déposa un baiser au coin des lèvres, me bousculant au passage et partait tranquillement avec son jolie petit fessier. Un léger soupire et j'allais aider Max à ranger un peu son appartement. Je n'avais pas envie de m'asseoir sur une capote usagée. Au bout d'une heure, l'appartement était totalement rangé et il était temps de se poser devant la télé et de fumer un peu et pourquoi ne pas boire ? Au final, notre soirée commençait déjà. Les heures défilaient rapidement, si rapidement que la nuit commençait déjà à tomber. Au final, je m'étais endormi pendant deux heures et mon amis plus de trois heures facilement. J'avais donc décidé de le laisser tranquille, il avait certainement du passer une nuit très chère en émotion. J'avais laissé juste un mot et je m'étais éclipsé dans la cage d'escalier. Alors que j'allais aller dans le bar un peu plus en bas, June désirait me voir. Il me fallait seulement deux minutes, mais j'avais envie de boire. Même si j'avais bu pas mal et fumé deux joints, je n'avais pas assez dans mon corps. C'est pour quoi, j'avais pris le temps de me rendre au bar pour boire plusieurs verres cul secs. Par la suite, je me rendais au lieu qu'elle m'avait demandé. Et bien sur pour m'amuser, je m'étais allongé sur le sol pour la surprendre. J'attendais, j'attendais, elle n'était jamais à l'heure celle-là. Jusqu'au moment ou j'entendais sa douce voix, me bouger ? Je ne pouvais pas. Je sentais ses pieds buter dans mes jambes et celle-ci culbuta en avant, sa bouteille venait de se briser sur le sol. Et la belle demoiselle était allongée sur moi, un léger sourire à mon visage. Je remettais une mèche derrière son oreille, c'était devenu une manie, un tic ou un toc. Je rigolais après sa phrase, elle était en colère, mais elle était bien bourrée. Elle n'allait pas se souvenir de tout ça le lendemain. « Tu sais, tu es belle comme une poubelle... » Je laissais sourire un petit rire.
(je corrige vite ce soir, je cours au boulot là )
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June & Timoteï

[size=12]Je m’en voulais de boire tant, de me perdre dans tout ça. L’alcool, la fête. J’avais déjà plongé une fois, après ma rupture d’avec River. J’avais rencontré River quand j’étais encore en France, à l’époque je jouais Marilyn Monroe dans une comédie musicale à succès. Entre River et moi le feeling était passé tout de suite. J’avais déménagé à Harvard en partie pour lui. J’avais cru que notre histoire pourrait durer et j’avais tout fait pour que ça dur. Jusqu'à ce que je tombe enceinte. Un bébé, franchement au départ je n’étais pas pour et puis j’avais fait ce test de grossesse et j’avais fini par l’aimer. Quand j’avais annoncé la nouvelle à River, il m’avait plaqué pour un des ces camarades de classe. J’avais ensuite appris que j’avais une tumeur à l’utérus, River n’avait jamais pris de mes nouvelles. A partir de là j’avais commencé à coucher avec plusieurs mecs, j’avais bu, j’avais même fumé parfois. Je n’aimais pas forcément me voir comme ça mais dans ces moments là je me disais qu’il était impossible que je tombe de nouveau amoureuse et qu’on m’aime en retour. J’allais alors à toutes les soirées, surtout celles des mathers qui étaient de loin les plus destructrices. Après la mort de Nork, je retournais à mes vieux démons mais malheureusement je savais que cette vie n’était pas heureuse, j’oublié seulement comme ça mais jamais je ne pourrais être heureuse. J’étais arrivé dans ce cimetière, je ne savais pas ce qui allait se passer mais je savais que lorsque j’étais avec Timoteï j’oubliais et c’était déjà pas si mal. J’entendis ma bouteille se casser et je compris que c’était la fin de mon breuvage nocturne, j’étais en colère, très en colère. Et sa réflexion ne me fit pas plus plaisir, mais ma réponse était déjà toute faite, j’avais plus d’un tour dans mon sac malheureusement pour lui : « Ah oui, c’est marrant parce que tu adores la baiser cette poubelle… ». Purée, je crois qu’on m’avait vraiment jamais traité de poubelle, j’étais bourré mais je lui en voulais sérieusement, je me mis à taper mes petits points contre son torse durci par le froid. Je commençais à le fouiller littéralement, en quête de quelque chose à boire puisqu’il avait fait en sorte que je perde tout ce que j’avais sur moi : « Tu n’as pas à boire, je me prostituerais pour un peu d’alcool…Là tout de suite, maintenant, je veux boire un peu, tu n’as rien à boire… ». Je devais passer à autre chose, je crois qu’il n’avait rien sur lui. Dommage, j’aurais bien picolé encore un peu mais j’allais trouver une autre occupation, j’en étais certaine. Ne sachant pas quoi faire je caressais son visage doucement avant d’embrasser ses lèvres : « Tu n’as même pas dire bonsoir, alors je te le dis, bonsoir Monsieur, comment allez-vous Monsieur ? ». Je me mis à rire comme une gamine avant de frotter mon nez contre le sien.  
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Pourquoi m'en faire pour si peu ? Un léger soupire et je me retrouvais déjà dans le cimetière, lieu que je n'appréciais pas vraiment. Mais la jolie demoiselle avait décidé de m'amener ici, pourquoi ? Bonne question et j'allais très vite le savoir. Ce lieu était plutôt sombre et silencieux, en même temps ce n'est pas les morts qui allaient faire du bruit, du moins pas en ce moment. Boire, boire ça ne m'aidait pas et ça ne m'arrangeait pas. Pourquoi faisais-je ça ? Pourquoi continuais-je à tomber dans cet énorme trou ? Pourquoi ne pas faire le nécessaire pour arrêter de plonger ? Je n'avais ni l'envie, ni la motivation pour repartir sur de bonne base. Je n'avais plus personne qui m'aidait, qui me soutenait. Nous étions tous pareil, en train de plonger dans le plus grand trou béant qu'il existait. Sans nous, les bars, les boîtes, et les grandes surfaces couleraient. Nous sommes leurs meilleurs acheteurs et consommateurs. Nous les aidons dans la crise, pendant que nous, on s'enfonce petit à petit dans ce trou sans fin. Que serait ma vie sans alcool ? Sans joint et ses diverses substances ? Rien, totalement rien. Je fermais les yeux doucement pour repenser à cette journée pas terrible, d'ailleurs je me demandais comment la soirée allait se terminer. Bien ou pas bien ? Bonne question, une chose était sûre, j'allais être en bonne compagnie. Même si j'étais pratiquement sûr que la princesse allait être mal au point, comme la plupart du temps. Je baillais une fois, puis une deuxième fois. Le sommeil commençait à venir petit à petit, si madame ne bougeait pas son fion, j'allais finir par m'endormir dans cet endroit. Jusqu'à ce qu'une voix retentît d'un seul coup, je la reconnaissais. D'ailleurs, je ne disais rien, j'attendais que madame arrive. D'un seul coup, sa bouteille éclata au sol, je rigolais d'un seul coup. Je ne pouvais pas me retenir de rire, elle était énervée. Mais, ça me faisait rire, je n'allais pas en pleurer tout de même. Allongée sur moi, la belle demoiselle soupirait, gueulait. Elle avait beau dire des trucs, rien ne me faisait du mal. Au contraire, quand j'étais près d'elle, j'avais l'impression d'oublier un peu tout ce qui se trouvait autour de moi. Oublier les problèmes et l'envie de boire et de fumer disparaissait pendant quelques heures. Je la regardais, du moins je distinguais à peine son visage, mais cela me suffisait pour lui caresser la joue. Essayant de la calmer, je n'étais pas venu ici pour la retrouver hystérique non plus. Je l'obligeais à se rapprocher de moi, je sentais ses mains sur mon torse, un léger sourire. Je lâchais doucement « Je n'aime pas la baiser, j'aime lui faire l'amour. Nuance. Et arrête tu vas te casser une main à force de me taper. » Je pensais à moitié ce que je disais, du moins la deuxième partie était juste là pour l'adoucir et la faire rire. Je la laissais faire, je savais qu'elle n'était pas dans son état normal, mais elle me faisait bien rire. Une vraie gamine, un léger baiser et je laissais glisser  « En parlant de ça, tu m'as fait venir pour coucher là au milieu des tombes ? » Je l'embrassais tendrement, me collant à elle. Je stoppai net le baiser « Et oui je vais très bien et vous très chère ? » Un léger sourire sur mes lèves, je posais ma main sur ses hanches.
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Après avoir frappé le torse de Timoteï assez longtemps pour être sûr de l’avoir embêté suffisamment je m’étais arrêté. Enfin c’est surtout parce qu’il m’avait dit de m’arrêter. Surtout qu’il venait de me dire qu’il ne baisait pas avec moi, qu’il faisait l’amour. C’était pas une remarque plutôt féminine ça ? Souvent les femmes disaient ce genre de truc pour se déculpabilisé et je lui répondis alors, comme si tout cela était d’une logique implacable : « Normalement, pour faire l’amour, il faut de l’amour…Mais si ça peut te faire plaisir je serais ta petite exception Monsieur Robins. Dans ce cas, d’après la loi qui autorise June à dire n’importe quoi, je déclare que tu peux me faire l’amour, mais tu peux faire l’amour qu’a une seule fille, moi et les autres tu les baisent. T’es d’accord ? ». Comme ça je serais un peu privilégiée à ses yeux, du moins j’en aurais l’impression un brève instant avant d’atterrir de mes rêveries chimériques. Mais cela me plaisait bien d’avoir une place unique pour le jeune homme, car il était un peu spéciale pour moi, en même temps c’était le seul mec avec qui je couchais régulièrement depuis la mort de Nork, les autres ça avait été une seule fois. Il y avait une bonne raison pour cela, je me sentais un peu déconnecté du monde extérieur lorsque j’étais en sa présence. Je me mis à rire lorsqu’il me demanda si nous devions forniquer dans un lieu où étaient enterré des milliers de personnes. Je le regardais avec mes yeux d’enfants : « Tu m’avais dit qu’on faisait l’amour… ». Je passais ensuite une main sous son t-shirt, je me rendais pas vraiment compte de ce que je faisais malheureusement, ni même que j’étais entrain de soulever doucement son t-shirt malgré le froid. Ma main était glacée mais je trouvais vite une place bien chaude pour pouvoir la réchauffer, c'est-à-dire son boxer. Je n’étais pas vraiment aussi directe en temps normal mais là, j’étais si défoncé que je pourrais faire n’importe quoi, finalement la présence de Timotei était une bénédiction. Je lui murmurais alors d’un souffle chaud à l’oreille : « Peut être bien oui, tu ne trouves ça pas agréable de sentir ma main sur ta peau, je vais te faire du bien tu le sais Timoteï… ». Purée, je ne savais même pas ce que je disais, c’était vraiment horrible, je ne serais pas bourré je m’en voudrais de lui dire des choses aussi perverses. Il me demandait si ça allait bien, si ça allait vraiment bien je ne serais pas entrain de le toucher dans un cimetière en plein milieu de la nuit, je répondis simplement : « Oui, ça va ! ». Je ne pu m’empêcher d’embrasser ses douces lèvres, tandis que ma main désormais tiède commençait à caresser son membre. J’étais excitée mais pas sûr d’être à fond la forme pour une partie de jambe en l’air. Je posais ma tête contre son torse : « Même dans un cimetière, je trouve que je suis très bien avec toi… ». Je me mis à rire tandis que mes caresses se faisaient de plus en plus pressantes, j’embrassais Timoteï avec avidité, j’avais besoin de ses lèvres, de sentir sa peau contre la mienne, même dans cet état second. Surtout dans cet état second, c’était encore meilleur.
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Elle n'avait pas tort, je ne disais pas le contraire. Je ne dirais jamais le contraire, je ne voulais pas finir dans un débat à ne pas en terminer. Bref, un léger sourire sur mes lèvres, je plongeais mon regard dans le sien. Il était vitreux, il était vide, j'avais l'impression de regarder personne. Elle était ailleurs, totalement ailleurs, tellement pleine qu'il était impossible pour elle de se contrôler. Mais, c'était tellement amusant de l'entendre et de la voir, un vrai sketch à elle toute seule. Si elle se sentait privilégiée, tant mieux pour elle. D'un côté ce n'était pas faux, elle était bien la seule à être une de mes amies après que j'ai couché avec elle. D'habitude, elle aurait fini comme les autres, des femmes faibles qui voulaient juste se faire prendre un coup. Elle, c'était totalement différent, puisqu'elle était une personne qui me faisait changer d'avis, d'air et qui me faisait rire. Je couchais régulièrement avec elle, sans pour autant la juger et penser quelque chose d'elle. C'était un bon coup, je ne pouvais pas dire le contraire. Elle le savait et elle en jouait énormément, mais pourquoi cacher la vérité ? Je l'assume totalement, avec elle c'était toujours bien, sauf quand elle était trop bourrée. Genre comme ce soir, cela n'allait rien donner surtout dans cet endroit. J'en avais plus la chair de poule que la goal. Rien que de penser qu'il y avait des morts un peu partout autour de moi et même peut-être en dessous de moi, la faisait retomber directement. Je reportais mon intention sur elle. Je repose ma tête sur le sol, regardant le ciel éclairé de ses nombreuses étoiles. Un vrai spectacle, magnifique à en coupler le souffle. D'ailleurs, grâce à l'alcool et au joint que j'avais fumé, je pouvais deviner un nombre impressionnant de dessin. Je n'avais plus rien à dire, du moins plus rien me venait à l'esprit. D'un seul coup, je sentais ses mains froides se glisser tout d'abord sous mon maillot puis légèrement plus bas. Rien ne l’arrêtait, strictement rien. Je me mordais doucement la lèvre inférieure, mais au final... Rien n'y faisait, l'ambiance générale et la fraîcheur ainsi que l'alcool et la drogue, m’empêchaient de faire ce qu'elle désirait. Elle me faisait du bien, elle arrivait même à me réchauffer, mais rien de plus. D'ailleurs, elle allait vite le remarquer. Je ne bronchais pas, je ne bougeais pas d'un poil. Examinant toujours le ciel, comment allait-elle réagir en voyant qu'elle me faisait aucun effet. Au bout de quelques secondes, je me relevais. Posant mon regard sur la jeune femme, d'un air très sérieux : « Tu ne me fais totalement rien. Du moins, mes nombreux verres et mes nombreux joints ainsi que la fraîcheur et le cimetière, m’empêchent de tout. » Un grand sourire sur mes lèvres s'étirait petit à petit. Je ne voulais pas recevoir une gifle, mais j'avais envie de la pousser à bout.
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J’avais commencé à caresser son membre dans son boxer mais pourtant il n’avait pas grande réaction, je me demandais pourquoi. D’habitude Timoteï et moi étions plutôt complices et toujours très proches. Nos relations étaient toujours au top, j’aimais bien Timoteï, pourtant je n’avais pas beaucoup de sexfriend, je n’en avais aucun excepté lui bien sûr. J’avais refusé de coucher plusieurs fois avec le même garçon depuis mon histoire avec Aidan. Je m’étais en effet attaché au président lowell et après tout c’était compliqué, comme d’habitude. J’ouvris grand la bouche lorsqu’il me répondit que je ne lui faisais rien, qu’avec l’alcool et la drogue il ne sentait rien. Putain, je lui lançais un regard de la mort. Je ne voulais pas qu’il me dise ça, je voulais qu’il me supplie d’arrêter, de ne pas faire ça ici. N’importe quoi, tout, sauf me dire un truc comme ça. Je me libérais alors de son étreinte, me relevant avec peine et ramassant le fond de la bouteille dans lequel il restait encore un peu de liquide. Je m’amusais alors à le déverser avec une sorte de sadisme sur l’entre jambe de Timoteï. « Et là tu sens quelque chose ou t’es toujours paralysé ? ». Je soupirais, ce mec m’exaspéré vraiment et c’était la seule vengeance que j’avais trouvé, ça et me casser, c’était d’ailleurs ce que je faisais : « Tu sais quoi, reste là, avec ton petit membre refroidit, moi je m’en vais, j’en ai marre que tu sois méchant avec moi… ». Je soupirais, j’essayais de ramasser quelques affaires qui étaient tombés. J’avais envie de rester avec lui mais je ne pouvais pas faire ça, de toute évidence, j’étais trop vexée. Je me mis alors à marcher, mais je titubais, je me rendais compte que tout cela était trop dangereux. J’essayais de trouver la sortie du cimetière, en même temps je savais que c’était dangereux de retrouver la route : « Si il m’arrive quelque chose que ça sera de ta faute… ». Je m’approchais de la grille du cimetière tout en me tenant à la grille, j’avais du mal à tenir debout et je me disais que si un autre mec de Timotei me voyait j’étais complètement impuissante, il pourrait faire n’importe quoi. Cette pensée ne l’inquiétait donc pas pour qu’il ne réagisse pas ? Mes larmes coulaient déjà sur mes joues, je ne savais pas comment faire pour rentrer chez moi puisque Tim ne voulait plus de ma compagnie. Et oui, l'alcool avait un côté festif mais pour cette personne la cuite était plus douloureuse que d'autres.
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Que voulez-vous, je n'allais tout de même pas me forcer de faire semblant pour la satisfaire. Elle m'aurait amené dans un autre lieu, je n'aurais pas dit non. Mais là, dans un cimetière, c'était glauque non ? Même si je pense que certains et certaines doivent bien le faire en sortant de boîte ou je ne sais quoi. Mais, ce n'était pas du tout mon genre, autant le faire dans des chiottes, dans la salle de bain, dans la cuisine, dans la chambre de ma colocataire ou autres, mais là... Non, c'était mort, je ne pouvais pas, simple respect envers les morts. J'avais remarqué que je l'avais vexé, qu'elle allait faire la gueule et encore pire partir. Elle en était capable, elle me faisait toujours le coup, partir, s’enfuir. Mais, avant tout, elle tenait à se venger, elle n'allait pas partir sans rien faire quand même ? Chaque fois que madame était vexée, elle faisait quelque chose. Ce n'était pas la première fois et ni la dernière fois qu'elle allait me faire un truc du genre. Elle me versait le reste du vin sur moi, un léger frisson parcourait mon corps entier, avant de me mettre à rire. Il faisait suffisamment froid, mais je m'attendais à largement pire venant de sa part. Elle partait, partit tête basse, essayant de marcher. Je m'essuyais rapidement avec un mouchoir qui traînait dans la poche de mon jean, me rhabillais correctement pour me lever. J'avais encore froid, j'avais encore des frissons, à chaque pas que je faisais des frissons s'ajoutaient aux autres. Sérieux, elle abusait, j'étais déjà assez gelé ainsi, enfin bref. Je laissais un soupire sortir de ma bouche et je commençais à la suivre lentement, sans parler. Je n'avais rien à dire, je voulais la pousser à bout, mais pas à ce stade-là. Elle était totalement morte, je ne voulais pas que quelque chose lui arrive, je ne voulais pas qu'une personne la touche. Elle était avec moi ce soir, et elle allait rester avec moi jusqu'au bout de la nuit. Même si j'étais bourré, même si j'étais défoncé, si je le devais, j'allais la porter jusque chez moi. Elle n'avait pas le droit de s'enfuir comme ça comme une voleuse, sur le coup de l'énervement. J'arrivais au même stade qu'elle, je ne prenais même pas le temps de lui répondre. Je n'avais pas envie de parler pour rien, je gardais précieusement ma salive. J'attrapais sa main pour la faire retourner près de moi, elle était en face de moi. Je regardais son visage, je caressais sa joue du bout de mes doigts et déposai un long baiser sur ces fines lèvres. Je n'avais pas envie de lui faire mal, j'avais juste envie de rire. Malheureusement, sous l'alcool, elle réagissait différemment que d'elle était normale. Je la regardais doucement et je lui remontais le menton pour qu'elle me regarde : « Il ne t'arrivera rien, puisque je suis là, près de toi. » lâchais-je tout doucement.
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Je ne savais pas ce que Tim voulait, là tout de suite, qu’est ce qu’on pouvait bien faire dans un cimetière quoi ? Je m’étais mis à la toucher, je ne sais pas pourquoi, j’en avais aucune idée mais je me disais que je finirais par le savoir. Peut être parce que la majeur partie de notre temps nous le passions l’un sur l’autre, enfin plutôt lui dans moi du coup. Et je me sentais mal à et la fois nulle, je savais pas pourquoi j’avais fait ça et en même temps je ne comprenais pas pourquoi il refusait de faire des trucs avec moi parce que d’habitude il ne disait jamais non. C’était peut être l’alcool qui l’en empêchait, purée, j’aurais mieux faire de ne pas boire. Enfin ça n’aurait pas changé grand-chose puisque lui aurait tout de même bu. Il me rejoint et j’étais contente, j’avais l’impression de compter un peu pour lui, je n’avais pas envie de me faire tuer ou violer en pleine rue et il était là pour moi. Enfin je pense qu’il cherchait simplement à me protéger parce que j’étais vraiment trop mal, mais c’était déjà ça. Je souriais quand il caressa ma joue et je ne pu m’empêcher de prolonger ce baiser avec un peu plus de fougue que lui, j’étais apparemment davantage excitée que lui. Je le pris contre moi lorsqu’il me dit qu’il n’allait rien m’arriver de mal car il était là, bel et bien avec moi, je le regardais avec une petite moue boudeuse : « Promets-le moi alors, jures-le moi… ». Demandais-je en l’embrassant de nouveau. Je n’arrivais pas à me contrôler, c’était malheureusement plus fort que moi. Je me demandais où on allait passer la nuit, chez lui ou chez moi. Si c’était chez moi ce serait à Harvard et je ne savais pas si c’était loin, on pourrait prendre un taxi. « Où on va Timoteï ? Je te suivrais promis, mais dis moi où on va ? ». Vu mon était j’étais capable d’aller à vrai dire un peu n’importe où, je prendrais prendre l’avion pour Las Vegas et je ne m’en rendrais même pas compte, en tout cas une chose est sûre, je n’allais pas boire autant de sitôt, j’avais retenu la leçon cette fois et ça me paraissait primordial de le dire à Timoteï : « C’est fini, je ne boirais plus autant, d’ailleurs je t’invites à en faire autant, personne ne mérite qu’on se détruise… ». Je regardais alors le ciel en pensant à Nork, si il me voyait ainsi il serait entrain de péter un câble, il aurait trop peur pour moi et il serait mal. Alors ce n’était pas vraiment lui rendre un bel hommage que de faire cela.
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Promettre quelque chose, était quelque chose de tout simplement impossible pour moi. Je tenais aucune promesse, je n'y pensais même pas. Je ne disais jamais je te le promets ou je le jure, car au final, ce ne sont que des paroles balancées en l'air. Mais là, c'était un sacré dilemme, si je ne disais rien... Je savais que la princesse allait partir sans même me laisser le temps de réaliser. Elle était capable de se barrer, même bourrée. Alors je devais faire un choix crucial, lui promettre et tenir cette promesse jusqu'au bout, ou ne rien dire au désespoir de la voir partir. D'un côté, je n'avais pas envie de me lancer dans une histoire farfelue, d'un autre côté je ne voulais pas perdre une amie. Je n'arriverais pas à tourner la page et surtout à m'en remettre. J'étais déjà assez mal à cause de mon ex que j'avais perdu lors de la bombe. Je n'avais pas envie de perdre une autre personne que j'appréciais énormément. Même si je ne lui montrais pas, elle était une personne chère à mes yeux. Après avoir réfléchi pendant un instant, je posais mon regard sur la jeune femme pour lui souffler au creux de l'oreille « Je te le promets... » Allais-je la tenir jusqu'à la fin ? Personne ne le savait, ni même moi, étant le premier concerné. Je ne savais pas, je n'avais même pas envie de savoir. Peut-être que demain, elle n'allait pas savoir ce que je lui avais dit, ce qu'elle m'avait demandé. Peut-être que demain, elle ne se souviendra plus de ça, ni même moi. J'aurais une bonne excuse, aucune preuve, bref... Je regardais droit devant moi, ou aller ? Je n'avais pas envie de picoler, je n'avais pas encore qu'elle retourne boire. Il n'y avait plus qu'une seule solution, rentrer à la maison. Du moins, dans la villa où j'avais une chambre, j'avais le droit de ramener qui je désirais. Ce n'était pas parce qu'elle allait venir dans mon lit où il allait forcément se passer quelque chose. Quoique la jeune femme soit bien entreprenante en ce moment. Pour arriver chez moi, depuis cet endroit il fallait environ quinze minutes de marche, c'était tout à fait possible non . Au moins, elle décuvera le long du chemin et cela allait m'éviter de nettoyer ses remontés dans ma chambre ou dans la villa. Je parlais aussi pour moi, j'avais peut-être encore tous mes esprits, mais peut-être que tout cela allait ressortir à un moment ou à un autre. « On va chez moi, tu vas dormir dans mon lit. Je dormirais sur le canapé s'il faut. » Un léger sourire, après tout, je savais me montrer galant. Mon lit avait deux places, mais je ne voulais pas la déranger. Du coup, j'allais sûrement mater un film devant l'écran plasma puis m'endormir sur le canapé comme souvent. J'avais attrapé sa main et je poussais la porte du cimetière, je commençais à marcher avec elle. Au final, le temps allait passer bien lentement, elle ne marchait pas bien vite. En même temps, vu son état, ce n'était pas difficile à savoir que les quinze minutes allaient se changer en trente minutes voir plus. À l'écouter, elle allait arrêter de boire et moi aussi. Mais, ce n'était pas gagné pour moi, je ne comptais pas arrêter de boire. Il n'y avait que ça qui me permettait encore de tenir en ce moment. « Si tu le dis chérie. » Je n'avais rien trouvé de mieux à dire.
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