ANDRINE ☆ If I come, you'll stop kicking my ass ?

Alors qu'en réalité, il aurait cru qu'elle l'emmenerait à une fête ou dans un bar d'ambiance où ils pourraient faire la fête à leur guise, ce qu'elle lui proposait tout compte fait était de loin meilleur que tout ce qu'il avait pu imaginer quoi. Elle lui dévoilait tout de même l'un de ses secrets les mieux gardés et comme il venait de le dire quelques secondes plus tôt, il se sentait vraiment honoré qu'elle lui octroie ce privilège de découvrir son antre, son repaire secret. Il rit légèrement aux éclats lorsqu'elle lui dit d'arrêter parce qu'elle pourrait croire qu'il lui faisait une déclaration d'amour. " Ben tu sais que je t'aime ma Charline ! " répondit-il d'une voix légèrement mielleuse avant d'afficher un grand sourire sur son beau visage. Il la suivit finalement jusqu'à l'intérieur du chalet. Il trouvait l'endroit joli, pas trop de décoration mais juste ce qu'il fallait pour rendre l'endroit agréable. Elle venait sortir deux verres et une bouteille d'alcool avant de faire une proposition alléchante. " Je ne peux qu'accepter avec plaisir ! Et j'aime beaucoup cet endroit. Gardes-le secret, on pourrait te le piquer ! " la taquina-t-il légèrement avant de lui prendre la bouteille et les verres des mains. " C'est à moi de servir ! ". Il ouvrit rapidement la bouteille puis versa son contenu dans les verres avant d'en tendre un à la jeune femme. " On trinque ? " proposa-t-il avec son verre dans la main.

Bien entendu, j'comptais pas faire des trucs de malade. J'savais que ma réputation me précédait mais pour une fois, ce n'était pas une question d'image. Non, c'était en total intimité. Juste lui et moi et pour le coup, je me fichais totalement du reste puisque tout ce qui comptait était de pouvoir lui remonter pour quelques heures. « Tout le monde m'aime non ? » La réponse était bien évidement non et j'étais parfaitement consciente que beaucoup de gens ne pouvaient pas me voir en peinture mais cela faisait donc d'eux des personnes dont je n'avais totalement rien à faire. Par conséquent, ça m'importait peu. « T'es conscient qu'il faudra sûrement que je tue pour être sûre de préserver mon secret ? » J'esquissais un sourire sadique me laissant tomber pour être confortablement installée. « Santé ! » Je n'avais rien qui me venait en tête pour réellement trinquer mais pour le moment j'étais juste contente d'être en sa compagnie. « Alors raconte moi tout ce qu'il ya de positif en ce moment dans ta vie. »