ROULETTE RP QUINCY ► Tessy, Emma, Athina, Henri.

tg 4

 

Tessy, Emma, Athina, Henri

• Quoi: Roulette RP.
• Où: Dans une salle de cinéma.
• Quand IG: Jeudi 30 octobre.
• Quand IRL: ? 25/26 octobre jusqu'à inactivité.
• Qui: Tessy, Emma, Athina, Henri.
• Commentaire: Éclatez vous !

À vos RPs dans les topics de groupes, merci d'ajouter ceci lorsque vous venez tout juste d'entrer dans un sujet:
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   et ceci lorsque vous en sortez:
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Description

Ce soir, vous avez décidé de prendre un peu de bon temps pour vous et d’aller voir un film au cinéma. Vous avez vos pop-corn et votre boisson, tout se passe très bien jusqu'à ce que l’écran devienne tout noir. Il n'y a que vous dans la salle de cinéma et vous commencez à vous poser des questions. L’écran commence à diffuser des images étranges, vous commencez vraiment à vous demander ce qui ce passe. Une chose est sûre, vous êtes coincés ici pour le moment.

IN

Bon. J'ai définitivement pas envie de passer la soirée seule à la QH. Nan, ça va pas le faire du tout du tout. Du coup, j'ai décidé d'aller faire un tour au ciné de Cambridge, voir un film. Me voilà partie toute seule et je peux pas m'empêcher de penser qu'on a jamais eu de rancards au ciné avec Ruben. Tant de choses nous restaient à faire... mais bon, faut que je me fasse une raison, je dois arrêter de regretter. Bref, j'ai choisi une salle au hasard, le film aussi. De toute façon, j'aime tout. Je me suis assise avec mon pop-corn calée dans mon siège, et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'y a pas foule ! J'essaie de m'intéresser au film, mais je perds vite le fil, à deux doigts de m'endormir. Quand l'écran devient noir. Je regarde vers le fond de la salle , je suis assise au milieu de ma rangée, au centre de la salle. Problème technique. N'empêche ça fait deux fois que je me retrouve dans le noir, et j'aime pas beaucoup ça....

IN

J'avais l'impression que ça faisait une éternité que je n'avais pas pris du temps pour moi, sans me préoccuper des problèmes des autres. Et je crois que j'en avais vraiment besoin. J'avais donc décidé d'aller au cinéma, histoire de passer deux petites heures tranquilles en mangeant du pop-corn devant un film. J'avais choisi le film un peu au hasard, de toute façon je n'avais même pas eu le temps de regarder les sorties des nouveaux films sur internet. J'entrais dans la salle quasiment vide à l'exception de deux ou trois personnes. Je pensais qu'il y aurait plus de monde, mais tant pis, ou tant mieux. Je m'installais sur un siège, plutôt au fond de la salle. Pour être honnête, le film n'était ni très bon, ni trop mauvais. Mais j'avais déjà regardé des choses beaucoup plus passionnantes que ça. Et puis soudain, l'écran devînt tout noir, vous plongeant ainsi dans l'obscurité. C'est quoi ce bordel ? Ça fait déjà deux fois que ce genre de chose m'arrive en seulement une semaine. Je tente de discerner les quelques autres personnes présentes avec moi. Ça doit-être une panne. Ça doit forcément être ça.

IN

Leo m'avait décommandé à la dernière minute. Bon... Qu'est-ce que je faisais? J'y allais quand même ou pas? Ce film avait l'air vraiment super, j'avais entendu que de bonnes critiques de la part des journaux et de mes amis alors oui, je voulais le voir. Et puis bon, la salle serait sûrement pleine de monde, personne ne se rendrait compte que j'y suis allé seul. Et puis même, qu'est-ce que cela pouvait bien faire?
J'avais déjà enfilé une chemise propre, bleue foncé. Je quittais ma chambre Quincy pour me rendre au parking où m'attendait ma caisse. Je connaissais bien ce cinéma, j'y allais très souvent. Une fois sur place, je pris la rangée des tickets électroniques, fit scanner mon code et passa par le coin des boissons afin de me prendre un coca, grande taille. J'hésitais pour des m&ms mais je fini par être raisonnable. Après seulement deux pas, je fis demi-tour. Qu'est-ce que j'en avais à foutre, ça ne coûtait rien, je ne grossissais pas et je ne serai pas malade, alors autant en prendre. Je pris un sachet puis me dirigea vers le numéro de la salle indiquée. Je poussais les portes rouges et c'est avec surprise que je vis qu'il n'y avait presque personne. En réalité, on était trois pour le moment. Super. Je m'avançais donc pas très loin d'une fille, assise au milieu, vers le centre. C'était les meilleures places. Posant mes achats sur le siège à côté, je jouais sur mon téléphone jusqu'à ce que tout devienne noir et que le film commence.
Mais malheureusement, au bout d'un certain temps, l'image se coupa. Je cru d'abord à un effet spécial, choisi par le réalisateur, mais cela durait un peu plus longtemps que prévu. Je tournais ma tête vers les accès aux sorties, histoire de voir si un technicien arrivait, mais non, personne. On devait peut être aller prévenir quelqu'un après tout, ce genre de chose est mécanique maintenant. Mais ce qu'il y avait de plus étrange encore, étaient ces images très bizarres qui passaient sur l'écran. Des images comme celles des anciennes VHS, grésillantes et vibrantes. On ne distinguait que des formes, des bruits, mais j'avais une impression de glauque.
Je fini alors par me lever et dire à haute voix sans craindre de gêner personne :

- Je vais aller chercher quelqu'un.

Me dirigeant alors vers l'une des sorties, je me rendis compte que les portes étaient bloquées. Je forçais encore et encore mais non. Je me dirigeais donc vers la seconde porte de sortie et ce fut la même chose. Dans un sourire gêné je lançais aux personnes présentes dans la salle :

- On est enfermés...

Je me saisi donc de mon téléphone portable pour éclairer la salle, ou du moins, une partie. Le noir n'était pas très agréable pour des inconnus. Surtout que j'étais un garçon avec trois filles... Elles allaient me prendre pour un violeur, c'était obligé.

C'est pas que je commence à stresser, mais un peu quand même... Bon cela dit, j'étais à moitié en train de dormir, donc être dans le noir ne devrait pas me déranger, maaaais, y a ces images. Ces images furtives, ces grésillements et ces sons pas rassurants, parfois stridents. Je commence à être légèrement effrayée, stressée. Mais un garçon qui était proche de moi se lève pour aller chercher de l'aide. Je me lève à sa suite et je commence à le suivre, observant la salle pour découvrir que nous ne sommes que 4. 3 filles, 1 gars. Je ralentis mes pas, tournant tout de même le dos à l'écran et ses images horribles, le jeune homme force sur les portes pour essayer de les ouvrir et il annonce finalement qu'on est enfermés. Je ne veux pas avoir peur, je veux pas stresser, penser aux trucs bizarres qui peuvent se passer dans le noir. Mais en même temps, il y a peut-être un fou parmi nous, peut-être un sadique, un violeur, que sais-je encore. Si ça se trouve, un tueur va peut-être sortir d'on ne sait où, nous prendre en otage, ou que sais-je ? Je commence à vraiment pas aller bien, je sens mes jambes me lâcher et je cours dans les marches, me jetant contre les portes pour essayer de les pousser. je crie : "A l'aaaaaide !... On est enfermés !" Mais rien, c'est bien insonorisé les cinémas. Je m'adosse à la porte et me laisse doucement glisser et j'enfouis finalement la tête dans mes genoux. Peu importe qui a fait ça, il cherche à nous faire peur, nous terroriser. En ce qui me concerne, il est en train de gagner. Je veux mon Ruben... Je veux qu'il soit là, qu'il me dise que tout va bien, qu'il me fasse rire, qu'il m'embrasse doucement... Je voudrais me blottir dans ses bras. Mais tout ce que je peux faire, c'est pleurer.

La fille qui n'était pas loin de moi dans la salle, m'avait suivi jusqu'au moment où j'avais annoncé que nous étions enfermés. Elle s'était alors jetée littéralement contre les portes par lesquelles nous étions tous rentrés un peu plus tôt, criant à qui pouvait l'entendre que l'on était coincés ici. Les images grésillantes nous offraient une lumière parfois stridente, parfois plus douce. Comme un stroboscope, ce qui était assez fatiguant pour les yeux et ce qui me donnait rapidement mal à la tête, sans oser parler des bruits vraiment très étranges que l'on pouvait entendre de la vidéo. Que cela signifiait il? Etait-ce une caméra cachée? Un gag? Une blague de la part d'un bizut? Oui, certainement. Je ne voulais pas penser à la piste d'un psychopathe, c'était trop affreux d'oser se dire que peut-être, pour cette fois, cela n'arrivera pas à un autre. Non, il fallait rester calme à tout prix, tout cela ne devait être qu'une erreur et bientôt, quelqu'un viendrait nous chercher. Le cinéma allait bientôt fermer et ils venaient surveiller chaque salle après la dernière séance, il fallait juste attendre.

Je pris donc la même direction que celle de la fille juste avant moi, elle était à présent assise contre la porte, repliée sur elle même. Elle était très inquiète et je ne comprenais pas vraiment pourquoi une telle réaction, aussi vite. Je m'agenouillais devant elle, à sa hauteur et posant ma main sur son genoux, je lui dis d'une voix calme, m'adressant aussi aux deux autres filles présentes :

- Ne t'inquiètes pas. Il doit s'agir d'une erreur et ils vont bientôt venir. Ils vont venir à la dernière séance pour vérifier que tout le monde part bien, ça ne devrait pas être long.

Pourquoi ne pas tous aller s'installer sur la scène, à manger et boire ce que l'on avait tout en faisant connaissance? J'étais sûr que d'ici peu, on rigolerait de cette soirée en regrettant de ne pas en avoir assez profité ! On était enfermés dans une salle de cinéma quand même ! C'était la classe !

J'arrive pas à me calmer. Mais c'est juste tellement horrible, ma tête est tellement un bordel sans nom. Déjà que ces derniers temps, je pète une crise d'hystérie à la moindre contrariété, faut pas m'enfermer dans une salle de ciné avec de parfaits inconnus. Nan, y a pas à dire, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. J'suis trop fragile pour un nouveau traumatisme, car oui, je ne peux pas penser à autre chose qu'au pire. Je ne peux pas m'en empêcher. Je suis dans mes pensées pas très rassurantes, quand le jeune homme vient prêt de moi. Je lève les yeux vers lui quand il pose ses mains sur mes genoux. Il a l'air gentil, sympa. Il me fait pas peur, sa voix aussi est apaisante. Je réalise que j'ai été loin, trop loin. Mais je suis hyperémotive, faut pas jouer avec moi comme ça... "Oui, t'as raison. J'suis désolée de réagir comme ça, c'est juste que..." Juste que ma vie est tellement pourrie que ça pourrait bien m'arriver ce genre d'histoire horrible. J'essuie mes larmes, il a raison, on est pas dans un cinéma désaffecté, il suffit d'attendre que le problème soit réglé, que les gens viennent vérifier la salle. Pas de quoi piquer une crise de panique.

Elle s'excuse d'avoir réagit de la sorte. Elle a l'air de reprendre ses esprits et cela me rassure et me fait sourire. Je suis soulagé. Après tout, chaque réaction humaine est spécifique, une personne réagit différemment d'une autre, suivant son humeur, sa condition, sa vie actuelle. Je ne lui en voulais pas d'avoir réagis comme ça, mais il fallait qu'elle se calme, ce qu'elle avait comprit. Nous étions 4 personnes actuellement bloquées dans un cinéma, le soir, avec une vidéo étrange. Il était normal que ce genre de réaction intervienne à un moment donné, je le pensais.

Je décidais de me relever, l'aidant par la même occasion à en faire de même. Je glissais alors doucement :

- Ne t'excuses pas

Claquant ensuite dans mes mains, je les frottais l'une à l'autre en tournant sur moi même pour rencontrer les autres filles présentes dans la salle. Je souris à chacune d'entre elles et lança :

- Je ne sais pas combien de temps cela va prendre pour que quelqu'un arrive, alors on a deux choix : rester chacun assis à un coin du cinéma, ou bien passer le temps en discutant? Moi c'est Henri, je suis à Harvard, et vous?

Je souriais, histoire de les rassurer du mieux que je le pouvais.

Je dois être maudite. Pourquoi toutes les soirées auxquelles j'assiste ces derniers temps finissent-elles toujours dans le noir ? J'ai horreur de l'obscurité ! Je pensais passer une soirée tranquille au cinéma, mais il fallait bien évidemment que ça tourne bizarrement. Je jetais un coup d’œil au mec qui se levait pour tenter d'aller prévenir quelqu'un, puis la fille qui le suivait. Bon apparemment on était enfermés à en croire la crise de panique de la jeune-femme rousse. Et merde ! Et comme si cela ne suffisait pas, il y avait ces images bizarres qui étaient diffusées à l'écran. Elles ne voulaient rien dire, n'avait aucune corrélation les unes avec les autres, et étaient plus flippantes qu'autre chose. C'est quoi ce bordel ? Je devais lutter pour ne pas céder à la panique moi aussi. Mais il fallait garder son sang froid. Après tout ce n'était peut-être rien du tout, juste une mauvaise blague pour Halloween ou un truc dans le genre. Ou alors une pub interactive pour Annabelle ? Je vous préviens, si une poupée flippante surgit de nulle part, j'hurle ! Je ne parvenais pas à décrocher l'écran géant du regard, comme si j'essayais de déchiffrer les brides d'images qui passaient en noir et blanc. Et puis le mec qui s'était levé, qui était d'ailleurs le seul homme de la salle, nous adressa la parole, à moi et aux deux autres jeunes-femmes. Il avait raison, autant passer le temps à discuter plutôt qu'à paniquer chacun dans notre coin. On apprenait donc qu'il s'appelle Henri, et qu'il vient d'Harvard. Tiens, un harvardien ! T'as raison, Henri. Autant faire passer le temps plus rapidement en discutant. Je m'appelle Tessy, et je viens aussi d'Harvard. Je regardais ensuite les deux autres filles. À qui le tour ?

hj : booonjouuur et excusez moi du retard

IN

J'avais décidé de me faire une soirée détente au cinéma, j'aimais bien être seule de temps en temps, ça m'aider à m’aérer la tête. J'étais arrivée en avance, comme d'habitude. Alors j'avais sortis un bouquin et je m'étais mise à lire mon Shakespeare. J'étais plongée dans le livre -pour changer- quand je vis les lumières s’éteindre, le film allait commencer. Je rangeais donc mon livre dans mon sac et souris légèrement en regardant l'écran. Le film commença puis POUF. Plus rien. Plus un son et le film s'était arrêté. Au fur et à mesure du temps, la panique commença autour de moi alors je me levais et regardais ce que les gens faisaient, comment ils réagissaient. Je vis un groupe de trois, un garçon et deux filles alors je m'approchais d'eux et jouais avec mes doigts.
Hum.. hey..? Vous avez une idée de ce qu'il se passe là ??
C'était bien connu, j'étais une stressée de la vie alors ce genre de situation n'était pas ce qui pouvait arranger les choses.