La plupart des rituelle que ma grand-mère excersait, j'avais un peu peur parce que s'était quand même assez long et je ne comprennais jamais rien dans ce qu'elle disait, mais avec son héritage qu'elle m'a donner, je commence à comprendre la langue des descendant de Salem. Elle m'avait demander qu'est-ce qu'elle devait faire maintenant. Je caressais la main qu'elle avait de libre et je pris son autre main qui était trempé et je la regardais droit dans les yeux. "Lorsque ma grand-mère m'a fait le bracelet, elle m'a donner un baisé sur mon front et elle ma dit que j'étais pour être heureux. Ceci à complété le rituelle, mais moi, ce n'est pas sur le front que je vais te le donner..." Je m'approchais de Jora et je pris son visage entre mes mains et je l'embrassais doucement. Je ressentais un frisson énorme en moi. Dans ma colone, ma machoir et dans mes jambes. Une petite faiblesse est venu me chercher, mais je restait debout. Je me décollait doucement. Je pouvais m'attendre à n'importe quoi, mais je fus surpris quand même que je n'aille pas tombé. "Il fallait que je le fasse avant que je devienne fou. Je ne pouvais plus me retenir parce que depuis que l'on se connait, tu es toujours dans ma tête. Quand je fais des cauchemars, je me demande toujours si tu va bien. Dans mes plus beau rêves, je suis devenu paresseux le matin parce que je ne veux plus me réveiller. Le fait que tu adore mon secret, c'est déjà un gros plus pour moi. Je le savais que ma grand-mère avait raison. J'ai enfin trouvé ce qui me rend heureux."
il fallait désormais ressortir la main de l’eau, il l’attrapa et la tira hors du bassin. je le regardais écoutant ces dernières indications, mes yeux s’écarquillèrent quand il prononça les quelques derniers mots, d’une naïveté inouïe, je m’étais demandée où est-ce qu’il voulait m’embrasser ne me doutant pas une seule seconde que la réponse, qui était bien évidemment la plus évidente et qui ne m’avait absolument pas traversé l’esprit, était mes lèvres. je restais immobile quand il m’embrassa, ne sachant que faire, j’avais la drôle d’impression d’avoir ce que j’attendais depuis un moment, inconsciemment. je n’avais jamais imaginé avoir une relation différente que celle que nous avions, et pourtant lors du baiser j’avais ressenti des papillons dans le ventre et ce désir que nos lèvres ne se décollent plus jamais. j’avais même fermé les yeux. lorsqu’il s’éloigna pour mettre des mots sur ce qu’il venait de faire, je l’écoutais, stupéfaite, je n’avais jamais rien vu. j’attrapais sa main, en souriant, je n’osais rien dire, j’avais toujours eu du mal à exprimer mes sentiments. « tu ne feras plus de cauchemars » avais-je dit en caressant sa main, souriante, béate, idiote.
je lui avait tout dit ce que j'avais sur le coeur à propos d'elle parce que s'était vrai. Je ne peux pas mentir sur des sentiments que je ressent et si elle pourrai me donner la chance d'être un homme encore plus meilleur qu'avant, je serais l'homme le plus heureux au monde. Depuis plusieurs semaines, les filles me donnent pratiquement une leçon de vie parce que maintenant, je suis amoureux et je ne vais jamais la laissé tombé. Elle est au moins une des seules avec Jasmine qui connais mon secret et qui crois en moi, peu importe ce qui arrive. Je n'ai jamais osé le dire à personne, mais maintenant, je peux faire confiance à la personne que j'aime le plus au monde. Connaissant mon passé, je n'est plus rien à cacher avec elle. "Je suis amoureux de toi Jora. Tu es celle que j'aime et je n'avais pas ressentie se genre de chose depuis des années. Je croyais rester seul avec mon chien, mais je t'es rencontrer et que j'ai su que tu croyais dure comme fer à mon secret, je n'ai pas lâché mes sentiments que j'avais pour toi. Je t'aime Jora. Je t'aime tellement..." Je l'embrassais encore une fois. Nous étions seule et s'était maintenant une lumière chaude qui est venu nous entourée. La chaleur apporte réconfort, soutient et aussi encouragement dans l'amour. Je m'accroche à elle, peu importe ce qui arrive.
j’avais les yeux qui pétillaient, le cœur qui vacillait, des papillons dans l’estomac et les mains moites, il me disait ce que personne, non bien personne ne m’avait jamais dit. j’avais toujours eu l’impression d’être quelqu’un de spécial pour lui mais jamais à ce point-là. je me sentais troublée, terriblement troublée, mais surtout soulagée et heureuse. je découvrais que j’avais aussi droit à une jolie histoire, chose que j’avais décidé d’oublier tant ma vie sentimentale était désastreuse. mais là tout changeait. des nouveaux mots et mes jambes tremblaient, je me sentais presque tomber. je ne lâchais pas ses mains, je les tenait, je ne voulais pas le lâcher. « je … je sais pas … je … » je ne savais quoi dire et pourtant tellement de choses se bousculaient dans ma tête, j’avais peur de dire des choses que je n’avais jamais dites auparavant, j’avais peur de le laisser m’aimer et qu’un jour tout s’arrête, j’avais peur de l’aimer. et pourtant c’est bien ce qui était en train d’arriver, ses mots avaient été comme un déclic, comme si quelqu’un m’avait fait prendre conscience, que cette fascination que j’avais pour lui n’était pas une simple fascination amicale, mais beaucoup plus que ça. il m’embrassait à nouveau et je passais mes bras autour de son cou en prolongeant le baiser. c’était beau, c’était doux, un peu comme des oursons à la guimauve.
D'habitude, ce n'est pas mon genre de me laissé aller vite comme ça, mais je suis très sûr de moi, j'y vais à font. Je ne pouvais pas marcher à côté parce que s'était infaisable avec elle. Je l'embrassais encore une fois. Je le sais que c'est vite comme déclaration et surtout que je l'embrasse deux fois au même endroit. Je l'embrassais avec passion et amour et mes bras caressais ses hanches. Elle s'accrochais à mon cou et s'était des frissons qui m'avait pris par surprise. J'étais confortable avec elle à mon cou et surtout qu'elle était d'une délicatesse que j'adorais ressentir. Je m'écartais un peu et j'appuyais mon front contre le siens. "Pardon si ça été rapide comme avoeu, mais je suis direct et c'est un de mes plus gros défaut, tu le sais et tu sais aussi que mon honnêté est plus fort que n'importe quoi. J'ai une autre pièce à te faire visité." Dis-je en l'embrassant sur le front. Je pris sa main et je l'apportait dans un endroit où est-ce que tous les légendes se raconte. "L'arbre des filles de Salem. Un énorme érable pousse depuis des années au même endroit. Les feuilles tombe comme tous les autres et au printemps... la sève d'érable est délicieuse." Une feuille décidais de tomber à nos pieds. Une jeune fille riais et courrai à l'entour de l'arbre et elle chantait en disant que je m'étais trouvé une copine. Parfois... il faut faire attention parce que les esprits sont toujours près de nous. Je ne connaissais pas la jeune fille, mais parfois, quand c'est du bouche à oreille, tout le monde se connait.
c’était agréable, vraiment très agréable, je pouvais sentir ses bras autour de moi et j’avais la sensation d’avoir enfin trouvé quelqu’un avec qui je pourrais mettre de côté mon masque de fille forte et être la véritable fragile que j’étais en réalité. j’avais peur, je ne pouvais le nier, mais je ne maîtrisais plus, je lui faisait confiance bien que ma tête m’en empêchait, mon cœur lui semblait envouté. mon front chaud contre le sien, j’esquissais un sourire « t’as bien fait de le dire » je baissais la tête un peu « je suis désolée, j’arrive pas à être aussi franche que toi, pourtant j’aimerais, mais je sais pas faire ça. ça fait peur. » exposer tes sentiments, soit la chose que je ne faisais jamais, c’était bien trop effrayant. il me traînait alors dans un autre endroit, endroit au milieu duquel trônait un arbre, un érable m’avait-il dit. au moment où j’allais m’en approcher, quelque chose courrait autour de nous, je n’arrivais pas bien à discerner ce que c’était, pourtant j’entendis cette voix féminine, rire et chanter, chanter sur nathan et moi. je me collais à lui, j’étais clairement effrayer « c’était quoi ? » murmurais-je tremblotante, accrochée à son bras, presque cachée derrière lui.
"Ne t'inquiète pas... nous avons tous nos manières de s'exprimé et moi, c'est d'être très direct. Faut croire que je n'aide pas non plus à la situation. Sâche que je t'aime Jora. C'est une chose que je ne pourrai pas changer." Dis-je doucement avant d'aller dans cette pièce que j'ai toujours aimé aller lorsque j'étais jeune. À l'automne surtout parce que je sautait dans les feuilles et simplement mettre mes pieds ici, des souvenirs reviennent en une vitesse folle. Jora s'aggrippais à moi et je souriais à sa réaction. Il est rare que les gens puissent l'entendre cette petite fille. Même que parfois, elle apparrait devant ceux qui crois et qui est de la descendance. "Ne t'inquiète mon ange... elle n'est pas méchante. Ma grand-mère me disait que s'était elle la source de vie de l'arbre. Quand viens l'hiver, elle disparait et au printemps... elle recommence sa vie tout comme un nouveau né..." La plupart des histoires qui sont raconter peuvent nous faire peur, mais il ne faut pas en avoir peur, car ce sentiments est très affecté par l'établissement. Je ramassait une feuille par terre et je la donnait à Jora. "Elle est précieuse. Garde là et tu verra... elle ne changera jamais de couleur, ni de forme parce qu'elle est en sécurité."
il arrivait à dire des mots que j’avais je n’aurais réussi à dire, je sentais son besoin d’évacuer tout ce qu’il avait pu cacher pendant tout ce temps et quel courage. me rassurant alors quant à cette fille de laquelle j’avais senti la présence près de nous, m’expliquant alors qui elle était ainsi que son cycle de vie, si l’on pouvait appeler ça ainsi. il ramassait une feuille et me la tendait, il fallait que je le garde précieusement, comme un trésor, je fouillais dans mon sac à la recherche de quelque chose dans lequel je savais qu’elle serait en sécurité. un vieux livre, sur la culture cap verdienne, que je traînais toujours dans mon sac. il venait de mon arrière-grand-père, il était précieux et semblait alors parfaite pour contenir la petite feuille sans l’abîmer. « tu crois qu’ici ça ira ? » dis-je en montrant le livre ouvert où trônait la feuille d’érable. j’étais heureuse, heureuse de tout ce qu’il se passait dans cet endroit « je ne veux plus en repartir… » dis-je alors me collant un peu à lui puis je lui embrassais la joue avant de reprendre « c’est la meilleure journée de toute ma vie, merci. »
J'étais content d'avoir à mes côtés une personne qui était capable de croire en ce qui m'entourais tous les jours. Depuis que j'ai moi-même commencé à y croire, j'étais maintenant capable de voir à qu'elle point que s'était aussi important pour ma grand-mère. Je gardais son secret en moi assez fort et surtout que Jora est capable de garder des secrets, c'est qui m'encourageais le plus. Elle me sortie un livre qui avait beaucoup de valeur et surtout qui détenait des informations assez impressionnante et elle me demandait si s'était correct pour protégé la feuille. Elle faisait comme moi, lorsque j'étais jeune garçon. Lorsque ma mère voyait que les feuilles ne changeait pas de couleur, elle brulait mes livres et les feuilles qui avait dedans. J'avais tout perdu. "C'est parfait comme ça. Tu verra... elle ne changera pas." Dis-je en la regardant droit dans les yeux. S'était journée était fabuleuse. Il faisait beau et j'avais mon soleil devant moi. Elle se collait à moi et elle m'embrassait la joue. Douce comme du velour, pour elle, je venais de faire la fille la plus heureuse au monde. "Je ne sais pas si la meilleure amie de ma grand-mère est ici aujourd'hui. J'aimerais beaucoup de la présenté..." Dis-je en quittant la pièce. "On va revenir Lindsay... ne t'inquiète pas." Dis-je haut et fort pour qu'elle puisse m'entendre et j'entendis encore une fois la petite chanson qui nous taquinait. Allant un peu plus loin vers la cour, j'étais satisfait en voyant ma tante qui était encore avec les mains pleine de graisse, car elle adore fabriqué du peur à la manière des filles de Salem. "Tante Nada ?"
c’était bien comme ça, alors j’affichais un sourire et refermais le livre afin de le ranger précieusement dans le fond de mon sac. j’avais qu’une hâte, ouvrir le livre dans quelques jours pour voir qu’effectivement la feuille ait toujours la même couleur. je ne savais pas si la meilleure amie de sa grand-mère était un esprit ou elle était bel et bien vivante, fallait avouer que je venais de faire une rencontre plutôt déroutante qui me faisait me demander si tous les gens ici étaient réel ou si en vérité il n’y avait que nathan et moi dans cette église. nous quittâmes la pièce « à tout à l’heure lindsay » dis-je sans savoir si elle m’entendais, mais comme nathan venait de lui parler je me doutais qu’elle nous entendrait. je le suivait de près en regardant tout autour de moi, c’était magique. une dame au fond d’une cour, elle semblait beaucoup plus réelle que la fille de l’érable, je murmurais à l’oreille de nathan « elle n’est pas comme lindsay, elle est réelle ? » ça pouvait sembler bizarre comme question et il allait sans doute rire, mais beaucoup de choses étaient étranges ici. je restais derrière lui, c’était sa famille et j’étais timide.