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Après alerte à Malibu... Alerte au Président

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Punaise. Ce matin, ton réveil n'avait pas sonné. Oui, on était dimanche, mais cela ne t'empêchait pas d'avoir un réveil assez tôt, à 8h pour travailler encore et encore. Là, il était 10h, tu étais encore allongé, et c'était ton téléphone qui sonnait qui t'avait réveillé. Te retournant pour l'attraper le plus vite possible, histoire de ne pas réveiller William qui semblait lui aussi en mode grasse matinée, tu finis par répondre en voyant qu'il s'agissait de Cody. Ce n'était pas tellement son genre de t'appeler aussi "tôt", ou tout simplement de t'appeler, mais tu t'attendais à un nouveau défi de bizutage par exemple donc tu ne pouvais guère louper ça. Tu répondis donc d'une voix encore ensommeillé au président Lowell, qui te proposa de venir le voir dès que tu pourras, ce que tu acceptais dans la demie-heure. Cependant, en raccrochant, tu étais relativement perplexe : il ne semblait pas vraiment être comme d'habitude, bien au contraire. Pour toi, Cody, c'était le synonyme parfait de la folie, de l'extravagance, des trucs inattendus et des jeux de mots pourris... et il t'avait semblé relativement éteint ce matin. Tu ne te sentais pas si proche que cela de ton bizuteur... mais tu te souciais quand même des gens qui t'entouraient, surtout qu'il avait été plus sympa que prévu pendant ce bizutage que tu craignais tant. Tu ne pensais pas réellement être son meilleur ami par exemple, tu étais certain qu'il se confierait plutôt à une autre personne, et tu n'étais pas du genre à poser trop de questions pour ne pas gêner. Tu avais horreur des gens qui voulaient tout savoir de tes humeurs, tu serais donc mal placé pour faire de même. Tu réfléchissais donc à tout cela le temps de rapidement te laver et t'habiller, laissant juste un mot pour expliquer ton absence à William et quitta ta chambre en direction de celle du président, qui n'était pas si loin que cela... facile en étant dans le même bâtiment. Bref, tu te retrouvas donc à toquer à sa porte, attendant qu'il t'ouvre, à toi et ton air fatigué et encore pas totalement réveillé, les cheveux debout et les yeux cernés.
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J-2. L'échéance s'approchait à grands pas ; dans deux jours Cody briserait le cœur de sa petite amie. Super. Sa Ô grande et fidèle amie Alexia lui avait donné un délai de deux semaines et les deux semaines s'étaient écoulées à une vitesse phénoménale. Et plus la date approchait, plus Cody s'éteignait. Il devenait nerveux, frustré, s'effritait pour un rien avec son entourage et son crâne devait être gonflé à l'hélium pour être à ce point tête en l'air. Cody n'avait jamais demandé ça, d'être un briseur de cœur. Qui le voudrait, me diriez-vous ? Certainement pas lui. Les minutes s'écoulaient et il le voyait, il sentait, comme si un sablier géant s'écoulait perpétuellement sous ses yeux. La machine ne s'arrêtait pas, il n'avait pas une seule seconde de répit.
Cette nuit, son sommeil avait été léger, si on peut parler de sommeil. Il avait commencé sa nuit dans son lit chez sa mère, après avoir veillé à ce que Jess s'endorme paisiblement. Puis, ne parvenant pas à se lover dans les bras de Morphée, il s'était glissé hors la maison familiale pour retourner chez les Lowell, sûrement dans l'espoir de trouver un peu de compagnie, sinon du travail en retard. Ce matin, c'est un Zondy (contraction Cody → Zombie) qu'on retrouvait au pied du lit et soucieux d'avoir quelqu'un pour parler et penser à autre chose, il appela son bizut préféré ; Devyn. Il trouverait bien quelque chose à lui faire faire. Il ne tarda pas et toqua à la porte. « C'est ouvert. » Cody était assis dans son fauteuil de ministre et quand Devyn ouvrit, il se retourna, un peu comme les méchants dans les James Bond. Niveau accessoire, techniquement il aurait dû avoir un chat dans les mains pour accentuer le côté solennel de la chose, mais il se contenta de caresser le vide. « Tu voulais me voir ? » demanda-t-il finalement, oubliant déjà que c'était lui qui avait appelé Devyn ici.
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Le peu que tu avais revu Cody durant ces derniers jours, tu avais vu qu'il avait vraiment une sale tête, une tête du genre "ne venez pas me chercher des noises", une tête de problèmes à l'horizon. Tu la connaissais bien cette tête, tu avais souvent arboré la même malgré tes efforts pour le cacher. Ce qui t'inquiétait le plus, c'était qu'il n'était pas du genre à se renfrogner si facilement, ainsi que le fait que cela ne semblait pas s'arranger vu son coup de téléphone impromptu. Tu avais donc dû dévaler le couloir à grands pas, et à sa tête étrange du moment s'ajouterait ta tête épuisée et également soucieuse, mais pour des raisons différentes. Cela te fut confirmé lorsque tu croisas son regard fatigué et pas vraiment effrayant malgré sa mise en scène façon "Le Parrain". Même s'il avait posé un chat sur ses genoux pour lui caresser la tête tu n'aurais même pas été effrayé en fait, car ce n'était pas tellement ton genre au sujet de ton bizuteur. Il pouvait être étrange, voire même incompréhensible, mais effrayant ? Jamais. Tu fis donc donc une tête vraiment inquiète lorsqu'il te demanda ce que tu lui voulais : perdait-il la tête ? Tu te paies ma tête Cody, non ? Apparemment pas, vu l'air sérieux qu'il conservait. Tu viens de m'appeler pour me demander de passer, pour une raison que j'ignore... et apparemment, tu as des problèmes en ce moment, je me trompe ?
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S’il se payait sa tête ? … Euh … Cody fit travailler un peu les méninges à l’intérieur de sa tête. Pourquoi se paierait-il la tête de Devyn ? C’est vrai qu’il avait une tête rigolote, le genre de tête qu’on aimerait enfermer dans un aquarium, ou dans une cage pour qu’elle soit affichée dans un musée. Mais quand même, Cody ne verrait pas pourquoi LÀ, il se paierait la tête de Devyn ? Qu’avait-il fait ? Ou alors, Devyn avait quelque chose en tête et souhaitait que Cody se dénonce pour un acte qu’il aurait commis contre lui ou … Non, ça n’a absolument pas de sens. Donc Bleeker activa son mode ’tête d’incompréhension’ avec les sourcils froncés, les traits tirés et deux bonnes rides bien marquées au sommet de son crâne. Tête d’incompréhension, quoi. Devyn précisa que c’est justement Cody qui venait de l’appeler. AAAAAAH. Le jeune homme ferma les yeux et demeura quelques secondes silencieux, profitant de ce petit aparté pour remettre ses idées en placeeee … C’est bon. « Désolé, je … Je perds la tête. » murmura-t-il, tentant à présent de se remémorer pourquoi l’avait-il appelé. Ah, oui. « Non, des problèmes … Non … Mais dis-moi Devyn, toi qui as sûrement dû connaître ça, que penses-tu du harcèlement moral ? » Ben oui, son bizut devait être le genre de gosse à se faire piquer son goûter à la récré plus jeune, et même aujourd’hui Cody lui piquerait biens on goûter. Sauf qu’il n’avait pas faim.
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Alerte violette : le jour où tu voyais Cody être sérieux venait apparemment d'arriver... et tu n'aimais pas cela. C'était plutôt incongru, vu le nombre de fois où tu aurais voulu qu'il ne passe pas son temps à plaisanter ou à t'en faire voir involontairement des vertes et des pas mûres. Mais en fait, tout compte fait, un Cody sérieux, c'était un faux Cody, ça ne lui allait absolument pas. Le silence aussi en était limite flippant, lui qui avait plus l'habitude de répondre du tac au tac, quitte à te soûler de paroles. Et des excuses ensuite ? Non, c'était vraiment le monde à l'envers cette fois. Tu avais gardé les sourcils froncés, une lueur inquiète dans le regard que tu lui jetas. Il perdait la tête ? Ce n'était pas quelque chose d'anodin, surtout dit sur ce ton. Tu ne craignais pas pour lui parce que c'était ton bizuteur et ton président de confrérie... du moins, pas seulement. Tu étais aussi et surtout loyal à tes amis, et force était de constater qu'il en était devenu un avec le temps. C'était d'ailleurs plus pour le pire que le meilleur, mais cela fonctionnait : tu étais apparemment un bon bizut, et vous faisiez tout de même une bonne paire dans l'histoire. Tu avais même pris goût à ce bizutage, ce qui n'était pas franchement gagné vu tes aprioris de base. Mais franchement, tu ne t'attendais pas à la suite, et cela te prit à contrepied. Harcèlement moral. Que j'ai dû connaître. Tu t'étais senti quelque peu blanchir à cette idée qu'il avait balancé ainsi, et tu t'étais assis à l'endroit le plus proche, à savoir son lit. Tu sentais que cela allait long en plus, autant ne pas rester planté comme un piquet devant lui. Personne le subissant ne peut apprécier cela. Vu le ton qu'il avait employé, ce n'était sûrement pas parce qu'il en avait fait sur quelqu'un, tu serais surpris du contraire. Tu étais reparti à te mordiller les lèvres tout en réfléchissant à ce que tu pouvais bien le dire de plus, ce qui dura un petit moment. Au début, tu as l'impression que ce n'est rien, ce n'est qu'un jeu de leur part... mais quand cela s'accumule et s'aggrave, tu ne rends compte que tu ne peux plus rien faire et tu laisses tout cela t'envahir. Tu te dis que tu ne peux de toute façon rien faire... et eux continuent parce que tu ne répliques pas et que tu te laisses faire. Tu n'avais fait que murmurer, mal à l'aise de parler de tout cela. C'était derrière toi, bon sang, mais cela arrivait toujours à te remonter en pleine face. Pourquoi cette question ? Qui te fait cela ?
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Machinalement, la question du harcèlement se posa. Pourquoi ? Cody lui-même ignorait la raison qui le poussait à demander ça à Devyn, nonobstant le fait qu’il le soupçonnait d’avoir vécu ça dans sa plus tendre enfance. Pouvait-on dire que Cody était réellement victime de harcèlement moral ? Non, pas directement. Mais la simple pensée qu’on ait pu lui poser un ultimatum à la limite du chantage le faisait vrombir de tout son être. Et cet homme torturé qu’on découvrait aujourd’hui n’avait rien du Cody Bleeker que l’on était censé rencontrer dans la vie de tous les jours. Regardez-le, il ne savait même plus ce qu’il disait ; ses pensées s’emballaient si vite que, dans leur flot, elles entraînaient ses paroles dans un déluge de réflexions sans queue ni tête. « Ces personnes disent-elles aussi qu’elles ne font ça que pour ton bien ? » l’interrogea-t-il, le regard perdu dans le vide. Il avait cessé de caresser son chat invisible. Maintenant, il était immobile, tétanisé, aussi actif qu’un guéridon dans la maison de la grand-mère Bleeker. Derechef, Devyn fit le lien et soupçonna ainsi qu’on maltraitait psychologiquement le président Lowell. Bien loin de se poser en victime, il soupira ; « Personne, personne. Puis j’imagine que je l’ai bien mérité, que j’devrais assumer, puis c’est mon amie. Les amis savent bien ce qui est bon pour nous. Non, rien. Je me posais la question c’est tout. Culture G. » Et débrouille-toi avec ça Devyn, pour démêler et remettre en ordre.
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Comment en étiez-vous arrivé là ? Je veux dire... A parler de harcèlement. C'était Cody Bleeker tout de même, le mec hyperactif et qui présidait la Lowell House, pas le genre à se faire harceler. A moins que ton cher bizuteur cachait bien son jeu en temps normal, tu n'arrivais pas décemment à le voir comme une victime. Qu'il fasse des victimes sur son passage, juché sur son Tornado cracheur de mauvais potins, c'était totalement concevable vu que tu y avais eu à faire une fois. Cela dit, malgré les crasses qu'il avait pus te faire, tu savais qu'il n'y avait aucune méchanceté ou envie de nuire là-dessous, simplement une certaine maladresse innée, un peu comme toi... sauf qu'il blessait plus de monde que toi. Mais il ne fallait pas croire : malgré tes propos, tu appréciais vraiment Cody, même si cela ne se voyait pas d'office. Là, en plus, le Lowell était un peu trop louche pour que tu ne te poses pas de questions, quitte à être un peu brusque dans ton empressement. Tes questions étaient également intrigantes : faire cela pour ton propre bien ? Tu avais beau réfléchir, cela n'avait jamais été le cas, tes "bourreaux" assumant totalement le fait de te blesser volontairement, sans leçon à en retirer. Dans ce cas, si les gens disent cela, c'est avec une bonne grosse dose d'ironie Tu ne peux pas harceler quelqu'un pour son propre bien... Ou alors ils sont totalement psychopathes et ne tournent pas ronds dans leurs têtes. Tu étais sûr et certain de ta conclusion : le Bleeker se faisait harceler. Il n'y avait qu'à observer ton immobilité totale lorsqu'il écoutait tes réponses, en total décalage avec sa fougue habituelle. Qu'il veuille t'en parler te surprenait bien sûr, mais s'il avait bien supposé que tu en avais été victime... qui de mieux pour le conseiller, même si tu n'étais absolument pas à l'aise dans ce rôle ? Tu soupiras face à ses fausses excuses, avant de reprendre la parole. Cody... Je suis peut-être naïf, pas sportif et maladroit, je ne suis pas stupide. Si tu m'as fait venir ici en urgence, ce n'est pas pour de la culture G. Soit tu me dis ce qu'il y a, soit je m'en vais. Et non, ce ne sont pas des amis s'ils te harcèlent, et ce n'est pas pour te faire du bien.
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Les mots sortaient tous seuls. Dans un élan vain, Cody serrait sa gorge pour les retenir encore un peu, même s'il n'avait plus assez de force pour les combattre. Il était en pleine torture mentale, soumis à des interrogations sans fins, cherchant encore et désespérément la faille dans cette histoire de cœur, de trahison, de chantage et délai à respecter. Ou bien, peut-être que la faille, c'était lui. Et Alexia avait réussi à mettre le pied droit dedans. Non, elle n'était pas une mauvaise personne. Et lui non plus d'ailleurs. Donc pourquoi lui poser un ultimatum ? Il n'en pouvait plus et il avait besoin d'en parler. Parce que jusqu'à présent, il n'en avait parlé à personne. Personne ne pouvait l'aider de toute façon. Mais Devyn, il ne savait pas trop pourquoi, lui inspirait la confiance, la sagesse. Ça devait être son regard vide de teckel, style Rouky du Disney éponyme, ou style chien de Télé Z. Sans le savoir, il poussait Cody à s'ouvrir. « Elle doit pas être ronde dans sa tête, c'est clair ... » soupira-t-il, sans prêter attention au fait qu'il venait de donner une information capitale sur l'identité de son corbeau ; elle. Ses pupilles se durcirent quand, à son tour, Devyn lui posa un genre d'ultimatum ; soit il parlait, soit il s'en allait. Or, Cody ne voulait pas qu'il s'en aille, il ne voulait pas être seul, c'était bientôt la fin de son délai et il ne pouvait pas être seul. « J'ai peut-être un peu merdé avec la sœur de Danae, avant de sortir avec Danae. Et j'lui ai jamais dit … Pour le moment. Mais quelqu'un l'a su et m'oblige à le lui dire. » sortit-il succinctement, ignorant si des détails supplémentaires seraient les bienvenus. Moins il en disait, mieux il se sentait.
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Tu n'étais pas particulièrement du genre à poser des ultimatums, tu étais plutôt du genre à t'écraser et laisser faire les autres à leur guise. Était-ce l'influence de William qui te faisait maintenant plus facilement lutter, même lorsqu'il n'y avait rien à gagner pour toi-même ? C'était possible. Tu ne savais pas réellement si tu pouvais être utile dans sa situation, ou si même t'en parler était une bonne chose... mais il devait bien en avoir envie s'il t'avait "convoqué" en cette matinée. Cody commençait d'ailleurs, tout doucement, à céder en te disant que tout venait d'une fille : Danaé ? Non, tu en doutais très franchement, cela ne semblait pas être le genre de la maison, à ce que tu en savais. Par contre, à ce que tu en avais vu durant le Summer Camp, plusieurs de ses amies semblaient voir leur couple d'un mauvais œil, peut-être que tout venait de là ? A moins bien sûr que son couple n'ait aucun rapport et que le problème était sa présidence de la confrérie ? Non, cela serait étonnant : il avait été assez largement élu, donc avait le soutient de tout le monde ici. Il semblait plus crispé après ta menace cela dit, et tu espérais ne pas avoir fait d'erreur en sortant ce genre de phrases... Il te détrompa cependant rapidement en t'avouant le véritable problème, ce chantage odieux qu'il subissait. Tu restas un long instant silencieux, ne sachant pas comment prendre tout cela. Tu n'y connaissais rien dans ce domaine, tu ne pouvais donc pas être sûr de penser comme il le fallait, mais soit, tu finis par te jeter à l'eau, réfléchissant à voix haute. C'est vrai que ce n'est pas une super situation. Après... Tu n'as pas trompé Danaé pour elle, c'était avant, il y a prescription non ? En plus, c'est votre souci à tous les deux, et une tierce personne n'a pas à s'en mêler. Et si tu ne fais pas, elle a vraiment l'intention de briser ton couple en le lui disant ? Soit cette fille est jalouse de vous deux, soit elle te voulait pour elle, ce n'est pas possible !
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Haaaan, Cody retrouvait son Devyn ! L’esprit fin, l’œil analyste, le cerveau en ébullition et la réflexion à toute épreuve … Donnez-moi un D, donnez-moi du VIN, donnez-moi un Dé de Vin ouuuuh ouiii. Bon, niveau cheerleading, on devait pouvoir trouver mieux que Cody qui craquait son string. Il était au bout du bout du bout du rouleau de PQ, et c’est peu dire. Et en fait, ça lui fit vachement plaisir que Devyn évoque la prescription et la possible jalousie d’Alexia. Il y avait enfin une personne qui ne lui disait pas qu’il était coupable, que c’était de sa faute, qu’il n’avait qu’à assumer ses responsabilités, même si ça impliquait de briser le cœur de la nana qu’il aime. D’une voix presque inaudible, il murmura ; « Merci Devyn. » Le son ne sortit peut-être pas, mais la bouche était mobile. « Ouais, il y a prescription … J’aurais fini par lui dire de toute façon … » Un jour, dans dix ans, quand il l’aura épousé et pondu trois gosses – quand il l’aura coincé, quoi. Ça faisait moins peur, il prenait moins de risque de la perdre. D’un coup, ses yeux s’agrandirent et il s’écria ; « Tu crois qu’Alexia est amoureuse de moi ? » Et merdeeee, il venait de dire le prénom de la geôlière, comme c’est bêteuuuuh..
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