Do you wanna play with me? [Konrad] HOT

Vous savez, ce genre de moment ou vous souhaiter que notre vie soit un film et que vous voudriez appuyer sur pause pour profiter de chaque minute? Et bien je le vivais, ce moment incontestable. Je n'avais qu'une envie, reproduire ce moment encore et encore! Malheureusement, je n'avais pas de droit d'appartenance sur ce mec, car aussi non, je le trainerais en laisse pour abuser de son corps à chaque fois que l'envie me prendrait. Notre baiser éternelle me fit rendre compte à quel point il me faisait vivre des émotions auxquelles jamais un autre homme avait réussit à me combler. Pourtant, nous ne pouvions pas caractériser tout ceci d'amour... Nos ébats étaient beaucoup plus bestiale et sauvage que tendre et sensuelle. Lorsque je sentie ses mains sur mes fesses, je reculai mon visage quelque peu pour le regarder, haussant légèrement les sourcils pour le provoquer davantage. Je dessinai une ligne à partir de son menton jusqu'au rebord de sa ceinture, tirant sur son pantalon pour essayer de regarder à l'intérieur. Je me léchai les lèvres du bout de la langue avant de sourire de plus belle. Je rattachai ma bouche à la sienne tout en glissant radicalement ma main sur son membre, attrapant le tout sans lui faire trop mal. Ce que j'aime le plus dans la réaction des hommes, c'est leur petit gémissement qu'ils essaient de contenir malgré eux ainsi que les frissons qui parcourent leur peau. Cela me prouvait que je faisais amplement l'affaire pour les satisfaire.

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Je ne pu m'empêcher de sourire lorsque je l'entendis lâcher un petit soupire de satisfaction. Cela faisait longtemps, voir trop longtemps, que je n'avais pas jouer avec mon jouet préféré. Mon geste le fit sourire avant qu'il ne m'embrasse fougueusement. Je participai à ce baiser, immisçant ma langue dans sa bouche pour retrouver la sienne tout en commençant à tâter son sexe qui commençait à durcir sous l'effet de l'excitation. Je déboutonnai son jeans pour me donne un peu plus d'aisance au niveau de ma liberté de mouvement dans son pantalon. Graduellement, je resserrai ma main tel un étau autour de son pieux, créant instantanément un mouvement de va et vient délicat. Il faut toujours tout commencer en douceur, histoire d'attiser la flamme jusqu'à la fin. Je me décollai légèrement de sa bouche pour me faufiler jusqu'à son oreille, susurrant entre mes lèvres : « La prochaine fois que tu pars... Emmène moi... Je peux pas vivre sans ça... » dis-je avant d'attraper son lobe d'oreille entre mes dents, continuant toujours mon mouvement sur son membre de plus en plus cambré.

Un rire s'extirpa de ma bouche lorsqu'il me répondit que j'étais addicte. « Comme si j'avais le choix » lui dis-je en guise de réponse. S'il ne serait pas une bombe sexuelle capable de manier son engin comme il faut, je ne lui dirait certainement pas ça. Mais heureusement, il était le Dieu du sexe. Ce qui était plaisant de faire ça ici, c'est qu'à tout moment, quelqu'un pouvait déboucher ici, sortant de nulle part. Évidemment, cette endroit est publique et ce serait nous les coupables d'enfreindre les lois sur la sexualité en publique, mais toute cette situation augmentait mon taux d'adrénaline. Je lâchai son membre quelques instants, le temps de lui retirer son chandail. Je voulais redécouvrir entièrement son corps de Dieu grec. Je passais mes mains le long de son torse, descendant tranquillement vers le bas. Je lui arraché un baiser avant de m'abaisser ai niveau de son membre. J'avais envie de le gâter, histoire de vraiment lui changer les idées. J'empoigner son engin, sourire coquin sur les lèvres, avant de m'accrocher à son regard et embrasser mon joujou favori. Je promenai mes lèvres de long en large avant d'encercler son membre de ma bouche.

J'avais un malin plaisir à faire ce que je faisais. Surtout lorsque je vis Konrad fermer les yeux et se mordre la lèvre. À ce moment précis, je savais qu'il adorait ce qui passait. Moi aussi d'ailleurs. Bon nombres de femmes trouves le sexe buccale dégoûtant, pourtant, c'est une façon différente de démontrer son désir envers l'autre, non? Et j'ai toujours aimé faire quelques préliminaires avant de passer à l'acte. J'aime bien faire languir les autres, jusqu'à ce qu'ils ne soient plus capable de se contrôler. Vive la spontanéité! Je continuai d'astiquer mon jouet pendant de longue minute et, comme je connaissais ses points faibles, il m'arrivait parfois de tricher en resserrant mes lèvres à quelques endroits précis. Ce qui est plaisant en ayant souvent le même partenaire sexuelle, c'est qu'on sait exactement comment faire plaisir à l'autre et comment faire perdurer le bonheur. Je tendis ma main pour agripper un fesse, malaxant le tout avec plaisir.

Lorsque je sentis sa main se posai sur ma tête, je compris qu'il ne fallait pas que j'arrête tout de suite, que je faisais du bon travaille. Je sourie intérieurement lorsque je le vis poser son autre main sur le tronc d'arbre. J'étais fière d'avoir autant de pouvoir sur ce mec. Je continuai encore un petit bout de temps avant de m'écarter légèrement. Il ne fallait pas que je l'achève, car moi aussi je voulais profiter de toute cette intensité! J'adore donné, mais je ne refuse jamais ce que l'on me donne. Je me relevai, regardant Konrad droit dans les yeux avant de lui faire signe de me suivre. Je ramassai son chandail sur le sol avant d'attraper le rebord de son pantalon pour l'entraîner un peu plus creux dans la verger. Je finis par me retournai vers lui, m'accotant contre un arbre et l'embrassant de plein fouet, reprenant en même ce que j'avais délaisser pour recommencer à le stimuler avec vigueur.