ROSIE WESTERFIELD ► cora keegan

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Leavesden et j'ai 19 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à forumactif + Marie.  Le forum est trop laid  :sifle: alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Cora Keegan comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par ninetofivespace. Je fais environ 300 mots, tout varie de mon inspiration par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ j'vous  :sex1:  :sex2:    :4:  
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)

Rosalynn est née un certain vingt-cinq novembre à Blackpool (UK).
La neige tombait. Sa mère souriait tendrement. Elles étaient seules dans cette salle d'accouchement. Le silence régnait, quelques fois perturbés par les larmes du nourrisson. Il n'y avait eut personne pour tenir la main d'Ava dans cette dur épreuve qu'est donné la vie.
Ni son mari.
Ni ses parents.
Non, ils n'avaient jamais comprit comment elle avait pu commettre un acte si infâme, si impardonnable qu'est donner naissance à une bâtarde, à une relation extraconjugale.
Ava Fitzgerald, née Westerfield ne regrettait rien. Elle s'était battue pendant des mois avec son mari, le riche Alexander Fitzgerald pour garder l'enfant et sauver son mariage. Alexander était si épris de sa femme qu'il était prêt de lui pardonner tout ce qu'elle désirait.
A quelques choses près: Rosalynn ne serait pas une Fitzgerald, mais une Westerfield. Le secret serait gardé à jamais et il ne la considérerait comme sa fille mais telle une inconnue. Il la mépriserait toute sa vie car elle lui rappellerait l'erreur de sa femme et l'homme avec qui elle avait osé le tromper lors d'un voyage en France.


C'est dans ce contexte qu'elle est née.
Rosie s'était vite habituée à cette vie, quelques peu particulière. Elle passait la majorité de son temps avec son oncle, qui l'éduqua, lui inculqua des valeurs et des principes. Elle vécu, malgré ce qu'on pourrait penser, une enfance quelconque.
C'était une enfant pétillante mais indomptable. Elle était pure mais d'une pureté singulière : pureté sauvage parfois violente. Elle était une bonne vivante, énergétique, déterminée, parfois fofolle. Elle s'amusait à inventer des vies aux gens qu'elle croisait, mais ce n'est que lorsque la maladie rattrapa sa mère, et qu'elle l'arracha à la vie, que Rosalynn prit une grande claque dans la figure.
Elle trouva refuge chez son oncle à ses neufs ans. De là, naquit une grande passion : l'Art. Son oncle était un artiste, un simple amateur, qui tentait de percer dans ce domaine impitoyable. Van Gogh, ce peintre maudit, déchu, désavoué, mal-aimé, en est l'exemple.
Rosalynn s'exprimait. Librement. Elle planait dans son tableau. Son rire fusait aussi léger qu'un oiseau. Dans sa salopette couvert de peinture, et son visage de sueur, Rosie se distinguait des jeunes filles de son âge. Elle ne s'intéressait pas à la mode, au maquillage, au garçon, mais à l'Art. Son plus grand rêve n'était pas d'exposer. Non, ses tableaux étaient bien trop personnelles. Elle n'envisageait même pas de faire des études supérieures dans ce domaine. La peinture était son moyen de s'exprimer, de la canaliser. Elle pouvait passée sa journée devant une toile, dans un état second.
Elle vivait pour ça.
Elle n'était que l'adolescente qui se baladait avec son skate et ses pinceaux. Elle n'était pas particulièrement féminine, mais elle s'en fichait.

Ce n'est que lorsqu'elle commença à préparer son le A-Level, qu'elle se modifia quelque peu. Elle eut d'abord quelques amourettes. Aucun ne fit battre son palpitant. Elle était bien trop féministe et grande gueule. Et puis, elle commença la cigarette, à traîner dans des bars à boire des cocktails en regardant le football américain. Ca ne semblait être qu'innocent.
A dix-huit ans, elle décida de quitter son oncle et son pays pour Harvard. Elle rencontra la même année l'homme qui la fit chavirer. Ils vécurent deux ans et demi merveilleux. Puis un jour, quelques mois après la bombe, elle surprit des photos d'elle sur des sites. En maman noël dans des pauses… aguicheuses. Ses photos, elles étaient réservés à ledit petit-ami. Rosie ne chercha pas à comprendre, elle le quitta, tandis que ses photos circulaient dans Harvard… Autant dire que Rosie eut honte. Encore aujourd'hui, elle a honte. Ca ne fait que quelques mois qu'elle est célibataire et que ses photos continuent de lui pourir la vie.