Tu m'énerves tellement que tu m'en fais perdre la tête pv Aidan (a)

Tu m'énerves tellement que tu m'en fais perdre la tête ಇ
" C'est sûr, jusqu'à ce que je tombe sur une fille avec un aussi mauvais caractère que le tien " mes yeux se plissèrent... Personne ne pouvait être pire que moi du moins s'était ce que j'aimais à croire dans cette situation. Mes bras se croisèrent contre moi, analysant de plus près le visage du jeune peintre amusé par la situation. Préférant le silence, le jeune Lowell ajouta : " mais je ne sais pas si c'est possible. " j'affichais une petite grimace, j'avais besoin de croire en cela même si Aidan semblait en douter. " Une chose est sûre, tu ne m'as pas oublié ! " dis-je en affichant un mince sourire en levant légèrement le sourcil droit. Cette proximité était agréable et destructrice par la même occasion. Comment était-il possible d'oublier ce cher Norrington ? Mon esprit n'y arrivait pas. " Toi aussi, tu es donc masochiste en fin de compte ? " un sourire ravageur s'afficha sur mon visage en signe de réponse avant que je ne lui prenne la main pour le conduire au bar. un verre, deux verres. L'alcool coulait à flots, accouder au bar un autre verre à la main. Aidan approcha doucement et susurra à mon oreille. " Avoue que tu te languis de moi Stevensen " mon regard chercha le sien et mon corps se mit en alerte. Une sensation qui enfouit depuis plusieurs semaines et qui semblaient ce soir se réveiller au contact du jeune peintre. Salopri de sentiment. Je me mordillais doucement la lèvre avant de finalement prendre la main du Lowell. Je me dirigeais vers un endroit plus calme, un couloir semblait-il avant que je ne le plaque doucement contre le mur. " Et toi Norrington... qu'est-ce que tu veux ? " dis-je en me tenant juste devant lui.

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Les mêmes démons venaient le hanter, quelque part il avait l'impression que rien n'avait avancé à se retrouver là, son corps serré contre celui de Jackie. C'était réconfortant, mais c'était aussi douloureux. Parce que sentir à nouveau le contact de la Cabot lui rappelait cruellement son absence au quotidien. « ça risque pas ça. » lui rétorqua-t-il avec un léger sourire en coin. L'oublier ? Ce n'est pas comme si il n'avait pas essayé. Désespérément ses mains s'appliquaient à dessiner autre chose que ses traits, ses souvenirs avec elle, mais elle revenait, inlassablement, sans cesse. Inutile de dire qu'elle hantait chaque parcelle de sa vie. Beaucoup trop de place pour une petite peste de son espèce. Aidan avait néanmoins bien trop d'alcool dans le sang pour lutter contre ça, et se laisser aller à la faiblesse avait quelque chose de salvateur, presque libérateur. Sans doute pour ça qu'il se laissa aller à la provocation avec la jeune femme. Elle semblait d'humeur joueuse également, bien sûr qu'ils étaient tous les deux masochistes, comment expliquer ce comportement autrement ? Jackie entraîna le Nonchalant à l'abri des regards et le plaqua doucement contre le mur. Son intention le fit d'abord rire mais le sérieux ne tarda pas à reprendre le dessus. Il allait faire une grosse connerie, mais il n'était plus à ça près non. « Je ne sais pas. » balbutia-t-il en regardant dans le vague avant de laisser son regard se porter sur le sien. Ses prunelles claires détaillaient le solaire de ses cheveux, l'azur de ses yeux, le laiteux de sa peau, sa respiration haletante sous les muscles saillants de son cou, son odeur qui lui était si familière, sa bouche prononça avant qu'il ne réfléchisse. « Je veux t'embrasser. » lâcha-t-il avec un petit sourire en coin. Pour autant, il ne le faisait pas, quelque part sa conscience le retenait, mais pour combien de temps ?

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Les vices et les habitudes me revenaient en plein figure. Succomber ? c'était déjà pratiquement fait. Les jeux qui s'installaient entre moi et le jeune peintre ne m'étaient pas étranger. La réalité revenait au galop alors que ma raison semblait décider à se cacher. Un brin provocateur, je pris Aidan par la main et l'emmenai dans un coin reculer du grand public. L'endroit parfait pour s'adonner à des plaisirs qui nous étaient pourtant interdits. Je poussais délicatement Aidan contre le mur et lui fis face. " Je ne sais pas " j'affichais un sourire, contente d'apercevoir l'incertitude qui le rongeait avant qu'il ne pose une nouvelle fois son regard sur moi. Mes yeux se plissèrent légèrement avant qu'il ne dise : " Je veux t'embrasser. " retenant mon sourire. Je m'approchais dangereusement du jeune peintre déposant délicatement mes mains contre le mur. Mes bras étaient tendus avant de finalement dire : " pourquoi se priver ? " dis-je en me mordillant délicatement la lèvre. J'approchais dangereusement ma bouche de la sienne, stoppant net. Nos souffles s'entremêlaient et je lui fis : " J'espère que Marley ne verra pas d'objection à cela " dis-je avant de finalement déposer mes lèvres contre les siennes. Un baiser qui ne dura que quelques secondes. " Faut savoir se faire désirer Norrington " dis-je en déposant mes lèvres sur sa joue pour finalement redescendre doucement dans son cou.

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Lâcher-prise. Son souffle se fait un peu plus court lorsqu'elle se rapproche de lui. Lui demandant pourquoi ils se priveraient ? Mille raisons justifieraient ce choix, mais Aidan n'a pas envie de s'y adonner et encore moins de jouer les rabats-joie. La musique bat lentement et sourdement le rythme de fête en arrière fond, le couloir est pris dans la pénombre et les halos lumineux des festivités, ça sent l'alcool, le tabac et les corps enflammés, pourquoi être raisonnable quand tout vous pousse au crime parfait ? A trop évoluer dans la noirceur, la lumière vous aveugle et votre réaction est de rester pantois. « Marley s'en fout. » rétorque-t-il avec un sourire en coin. Ils ont passé du bon temps tous les deux, ils s'entendent bien certes, mais rien de plus. Elle ne cherche rien de sérieux ou du moins pas avec lui et inversement. Mais Jackie ne peut s'empêcher de se montrer possessive et ce n'est pas pour lui déplaire. « Pas trop déçue ? » lui demande-t-il joueur. Parce que savoir qu'une proie vous appartient la rend moins attrayante. « Tu sembles plutôt douée à ce jeu là. » avoue-t-il en se mordillant la lèvre avant de laisser une de ses mains vagabonder dans le dos de la jeune femme. Sentir sa silhouette sous ses paumes lui fait prendre conscience du manque tactile qui s'est installé bien solidement dans sa carcasse. Sa main se libère et vole jusqu'à la nuque de la jeune femme, faisant voler au passage une mèche dorée avant de plaquer fermement son visage contre le sien pour lui donner un nouveau baiser. « Voilà qui est fait. » Il prend un air satisfait. « J'ai gagné. » Rien que pour la narguer, il la provoque une nouvelle fois, s'impatientant intérieurement de savoir comment elle va réagir à l'affront.

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[Jalouse, possessive cela faisait partie de moi et Norrington le savait très bien. Il en était presque habitué, s'en était presque déstabilisant. " Marley s'en fout " tant mieux et puis après tout je me fichais bien de son avis. Qu'importe ce qu'elle pensait. Je fis un petit sourire et je lui fis : " Tant mieux " avant d'approcher dangereusement de lui. Ma relation avec Aidan était d'un compliqué et pourtant ce soir tout semblait très simple. Un brin aguicheuse, j'affichais un sourire amusé devant la tournure des évènements. " Pas trop déçue ? " je fis une grimace avant qu'il ne dise une nouvelle fois : " Tu sembles plutôt douée à ce jeu-là " je le fixais doucement avant de sentir une de ses mains se poser dans mon dos. " Légèrement... ses demoiselles ne t'ont pas bien habitué " dis-je en affichant un petit sourire au coin. La main du jeune peintre continua son chemin avant de plaquer son visage contre le mien. " Voilà qui est fait " mes yeux se plissèrent en voyant l'air satisfait du jeune homme. " J'ai gagné " ah oui. J'affichais un sourire amusé m'approchant une nouvelle fois du jeune homme laissant cette fois aucun espace entre nos deux corps. Coller contre lui, je pris une de ses mains avant de la déposer sur mes hanches. " Tu m'expliques à quels jeux on joue Norrington ? " dis-je en frôlant mes lèvres contre les siennes " Je serais ravie de pouvoir gagner moi aussi " dis-je en posant mon front contre le sien./size]

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