[Haytam] Heuu... C'est du coca!!

C'était la fin des cours. Elio n'était pas la se soir. Abby allait passsé une longue nuit seul a regardé le plafond et pas dormir. Du coup pour evité tout ça, elle était aller au bar directement au moins elle était enadré par du monde. Elle avait fait un tour par l'appart pour posé ses affaires. Il devait être 16 heures quand Abby commanda un wisky coca, vu l'heure elle n'avait pas envie d'attiré l'intention seul le barman savait qu'elle avait autre chose que du coca dans son verre. Elle s'installa a une table seul, elle jouait sur son telephone. Comme d'habitude elle avaot sa tête de zombie. Elle ne voulait pas de question pas en parlé ne voir personne. Quand elle tomb a nez a nez avec un ami qu'elle avait pas vue depuis 3 mois. Oui casiment tout ses amies n'était pas au courant de toute cette histoire.

Il devait être 16 heures passées, mes cours de la journée venaient de prendre fin, une journée banale, une journée de routine, et pourtant quelque chose me hantait, quelque chose s’attachait à mon corps et me faisait presque culpabiliser d’être ce que je suis aujourd’hui. La mort de mon père y était pour quelque chose, je le savais, et pourtant j’essayais de ne pas y penser, c’était raté. Les mains dans les poches, j’avais traversé la ville, préférant rentrer à pied, j’avais même délaissé mon skate, oui j’étais vraiment dans un piteux état. Je marchais tout en évitant les gens qui venaient en contresens, j’avais la tête ailleurs, le regard fixé sur le sol mais d’un coup quelque chose attira mon attention et je m’arrêtais en pleine rue. Le Lord Hobo ou le bar où travaillait une amie à moi, amie que je n’avais pas vue depuis un moment et à qui j’aimerais parler, histoire de me sortir de mes idées noires. J’entrais alors et me dirigeais vers le bar, mais visiblement elle ne travaillait pas à cette heure-ci. Je soufflais et réfléchissais à ce que je devais faire, partir ou rester ? À bas la bonne conscience je cédais à mes démons. Je m’asseyais au bar sans faire attention et commandais de la téquila.

Abby était entrain de boire seul son wisky coca, elle jouait en même temps sur son portable quand elle se rendit compte qu'elle finissait son verre bien vite. Elle avait envie de passé au niveau superieur, et merde se que les gens allaient dire. De toute façon elle était une habitué maintenant même si elle ne parlait pas vraiment, ou quoi que se soit dans le genre les gens la voyaient assez souvent se mettre des cuite. Elle rejoignia le bar pour aller se servir un autre verre. Elle demandait une téquila quand un autre homme qui lui tournait le dos fi pareil. Quand il se décala elle se rendit compte que c'était Haytam, oh merde lui il n'es au courant de rien du tout. Il sait aussi que Abby n'était pas du genre, a boire de l'alcool un peu fort a 18h. C'était le genre a jamais boire d'alcool sainte nitouche et compagnie. Mais avec tou sa elle ne pue retenir un
"Hayt.." Elle se coupait au milieu du prenom du jeune homme.

Rester dans un bar alors que la nuit n’était même pas tombée, en voilà une drôle d’idée, et pourtant je venais de prendre place au comptoir et j’étais en train de commander un shooter de téquila. Je n’aimais pas l’alcool, non au contraire je détestais depuis ma première cuite. Je détestais me sentir partir, ne plus arriver à contrôler mes idées et pourtant depuis quelque temps je laissais ce poison s’immiscer dans mes veines tel un poison, ruinant au passage quelques souvenirs de soirée. Je fixais un instant le serveur qui préparait ma teq-paff. J’avais goûté à cet alcool avec Silver, dans ce même bar et voilà que je commençais à boire sans elle. Je croisais alors les bras et enfonçais ma tête dans ceux-ci en soufflant. J’entendais alors mon verre se poser contre le bar, puis j’entendais une voix prononcer mon prénom, du moins une partie. Je relevais alors doucement la tête et la tournais vers la voix, du moins vers la direction d’où elle provenait. « Abby ? » J’étais perdu dans mes pensées sur le coup, et automatiquement mes yeux descendaient sur son verre avant de revenir sur le mien.

Abby venait de se faire royalement grugé en train de bouire a a peine 18heure... Mais en baissant les yeux elle remarqua que lui aussi ne tournait pas a l'eau. Elle releva la tête vers lui
" Toi aussi c'est pas la forme a se que je vois..." Bon bah elle avait trouvé un collègue de beuverie... c'était pas joyeux de trouvé un ami au bar a cette heure la mais il ne povait rien lui dire vu le contenue de son verre, bon même si on passe au dessus du faite qu'elle n'a pas 21 ans. La soirée allait être bien arrosé pour oublié.

Déprimé, angoissé, crevé, quelle émotion me décrivait à cet instant si pointu ? A vrai dire aucune étant donné que je ne ressentais rien. Ce n’était pas dans mes habitudes de boire mais là j’en avais besoin, il fallait que j’oublie tout ce qu’il venait de se passer au Danemark. « Mon père vient de mourir… » Je soufflais lentement, je venais d’annoncer ça comme si je donnais l’heure ou la météo du jour à un simple inconnu. Je trempais mes lèvres dans mon verre et en buvais une gorgée avant de le reposer. « Et toi alors ? » J’aurais pu jouer les grands frères préventifs mais il n'en était rien, je n’avais pas la force de lui dire quoi que ce soit ou de la réprimander.

Ouf Hayt n'avait pas l'intention de lui faire la moral. Il avait une salle tête et Abby compris pourquoi quand il lui annonca que son père était décédé aïe, même s'il s'entendait plus cela ne devait pas être facile. La jeune fille se laissa pensé se qu'elle pourrait ressentir au décès de ses parents. Elle pensait qu'elle ne pleurait même pas vu l'affront qu'ils ont osé commettre.
"Désoléeé soufla t elle
"Une famille de merde que j'ai moi même renier... Mon oncla ma violer a l'âge de mes 7 ans, je le sais a cause d'un hypnotiseur" Elle avait le née dans son verre.
"Mes parents l'ont protégée lui plutôt que moi, il a essayé de tuer son fils plusieurs fois, c'est Andrew la seul famille qui me reste ... Lui est juste en procès pour de l'argent et moi j'était pour pédophilie, mais j'ai tout abandoné. Je dors plus la nuit ou le peu que je dors je fait des cauchemar... L"alcool m'aide un peu a ses moments la..."

La mort de mon père avait fait beaucoup plus de dégâts que je ne le pensais, il avait laissé une trace indélébile dans mon esprit, en plus des traces de la même sorte qui sont étalées partout sur mon corps. Le voir sur son lit de mort m’avait fait ni chaud ni froid, du moins c’est ce que je croyais, et au final voilà que je me remettais en question, voilà que je remettais tout en question. J’étais son seul descendant masculin, et j’avais découvert il y a à peine un an que j’avais trois demi-sœurs, quelle vie… « Je suis désolé » soufflais-je en posant mon regard sur le verre en face de moi. C’est tout ce que j’avais pu dire à Abby, en même temps, que lui dire d’autre ? Cette fille fragile avait connu l’enfer et mes problèmes n’avaient rien de bien percutant face aux siens. « Si tu as besoin de quoi que ce soit… » Je relevais le regard sur elle, je n’étais pas du genre bavard, surtout dans ce genre de circonstance…

Abby fixait son verre, Hayt', lui disait comme tous les autres... Elle commença a boire son verre d'une traite elle ne savait pas quoi dire et d'un coup elle le regarda
"Quelque chose pour remonter le temps et enpecher se fumier de se prendre a moi..." Elle recommandait un deuxième verre qu'elle s'empressa de boire aussi vite. Elle venait de tout lui sortir alors qu'elle ne voulait pas replonger la tête dedans ... Elle ne savait plus vraiment ou elle en était, tout sa était si compliqué a géré pour elle.
"Je suis plus perdu qu'autre chose..."

Un rictus s’installa sur mes lèvres alors que j’entendais Abby parler. Je me contentais simplement de regarder les bouteilles pleines en face de moi, derrière le comptoir et derrière le barman. C’est dingue le nombre d’alcool différent qu’il pouvait y avoir, j’étais incapable de faire la différence entre les uns des autres. « Tu ne crois pas si bien dire… » Je baissais alors à nouveau le regard sur mon poignet donc la cicatrice devenait apparente lorsque mes pulls étaient trop courts. Je l’entendais dire qu’elle était perdue, et je l’étais tout autant. Alors que je posais mon regard sur elle, je comprenais qu’en faîte elle n’était qu’un reflet de ma personne et inversement. Nous avions tous les deux été maltraités par un homme méprisant qui n’avait apparemment aucune conscience. Dans un élan, je lui tendais alors la main pour qu’elle la saisisse et lui adressait un regard compatissant. « Je suis désolé, je ne suis pas très doué ce genre tu sais… aider les autres, me confier… »