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GRARYS † i need to talk with you!

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Ta tête était complètement chamboulée, les images de votre première rencontre ressurgissaient et tu ne savais pas comment tu avais pu en arriver là aujourd’hui. Peut-être que si tu avais continué à être une putain de camé à la con, vous en seriez pas là aujourd’hui et tu ne viendrais pas perturber sa vie qui semblait si paisible avant tout ceci. Mais rien à foutre, tu comptais sur Emrys et tu lui disais très clairement que tu savais que ça saurait un bon père pour cet enfant quoiqu’il arrive entre vous. C’était son bébé, tu portais son bébé c’était vraiment ce que tu avais envie de te dire pour te rassurer mais en même temps c’était votre bébé et cette image était quand même magnifique à tes yeux. Le regardant un instant tu le voyais partir près du canapé pour se tenir la tête et là il venait te sortir des choses que tu n’aurais jamais pensait de lui. T’approchant tout doucement, tu venais t’accroupir devant lui, pour prendre doucement ses mains et les poser sur ses cuisses. Relevant doucement le visage du jeune homme vers le tien tu le regardais. « Ne dis pas ça. Oui, tu es meilleur que moi pour élever un enfant. Tu es beaucoup plus mature et tu sais ce que tu veux dans la vie. Moi je n’en sais rien, je n’ai aucune ambition à pars me mettre à quatre pattes et prendre des rails de coke. » Tu lui souriais faiblement. « Ne te tracasse pas. On y arrivera ensemble, ça ne sera pas facile mais on sera ensemble. » Tu le regardais avant de réfléchir un instant. « Enfin ensemble je… enfin tu m’as comprise. » Tu baissais doucement le regard, lâchant la main de ton ami pour t’asseoir sur le sol face à lui.
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J'étais là, assis comme un malpropre au sol, dans mon appartement presque saccagé, presque honteux. Je ne savais pas ce que je pensais réellement de tout ça, si je serais réellement capable d'assumer en fait je crois que si je faisais ça sans elle, sans savoir que la mère de l'enfant et là, je n'étais aucunement sur d'assurer parfaitement et je crois que je la voulais aussi en package avec l'enfant. Je rougissais à cette pensée imaginant bien que déjà, elle ne comprendrait pas mes rougeurs sur les joues. Elle vint vers moi tentant de relever mon regard, de le soutenir, donnant alors sa main, la posant dans la mienne. Elle commença un monologue court, intelligent, mature me disant que je l'étais plus qu'elle, que je serais meilleur pour l'enfant, que j'avais des ambitions et pas elle. Je la trouvais violente dans ses mots et pas très cool avec sa personne. Je touchais son doux visage, montrant presque dans la lueur de mes yeux que j'étais là pour elle, que je ne voulais pas qu'elle pense ça et elle me demanda de ne pas me tracasser, que tout irait bien, je crois. Ensemble ? Oh mon dieu, elle l'avait dit ... Je susurrais alors : ensemble ... D'un air, bête, débile je dirais. Là, elle se rétracta, gênée à mon gros désespoir, mais je ne disais rien de plus. Sa main me lâcha et elle s’essaya en face, me regardant avant de baisser le regard. Je me remettais sur les genoux pour m'approcher d'elle. Je vins me placer face à elle à mon tour : Tu crois vraiment qu'on arrivera plus tous les deux ? Dis-je timidement mais en montrant clairement que ce n'était pas du tout un aveux, juste une question que je me posais. Mes mains encadraient doucement son visage pale.
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La situation entre Emrys et toi était vraiment quelque chose de très étrange, de très gênée. Mais votre relation était encore pire que ça, votre relation était une vraie corde à nœud. Vous ne saviez pas que penser de l’autre, quoi faire avec l’autre. Et lorsque l’un s’avançait, il se reculait aussi sec et inversement. Jamais vous n’y arrivez. Enfin bref, tu venais t’asseoir en face de lui tentant de lui faire comprendre qu’il n’avait aucun souci à se faire sur lui et sa future paternité. Et puis tu faisais le pas en avant en lui parlant de vous, ensemble mais bien vite tu te rétractais pour retomber sur le sol, plus éloigné d’Emrys qu’avant. Le jeune homme se redressait quelque peu pour venir caresser ton visage. Tes yeux se redressait doucement vers le visage du beau blond. Prenant doucement sa main, tu la rebaissais pour la garder dans ta main. « Je n’ai pas envie de te faire souffrir à nouveau Emrys. » C’était peut-être la seule raison qui faisait que tu ne te jeter pas dans ses bras comme tu aurais pu le faire.
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Et je touche son visage, si beau, si éclatant. Ses cheveux bruns que je caresse surement, au fond, amoureusement mais je tente qu'il n'en paraisse pas tant. Je suis hypnotisé par la belle mais pourtant, je nous en veux, je m'en veux, je m'en veux de ne pas savoir, d’être irrévocablement pommé. Et je nous sens en communion mais je la brise de peur qu'on se brule à force de trop communier, de trop se lier alors comme une poussée d'aile, mes cordes vocales semblent créer sa propre musique demandant à la jolie verte si un jour tout ira mieux, c'est une traduction comme une autre. je sens alors son trouble mais aussi, sa peur ; on n'est mal, bouleversé, apeuré. Je ne sais comment nous faire sortir de cet état mais un enfant alors que déjà toute l'histoire était compliqué, c'est juste ... je ne sais pas. Je ne sais rien, je ne serais jamais rien, je n'ai jamais rien su, je crois. Je suis partagé entre la peur, le manque d'envie que mon enfant soit un bâtard comme je le suis devenu, la peur d'avoir peur. Et elle me dit qu'elle ne veut pas me faire de mal... Je lâche prise, me recule, tombant presque contre le canapé puis je reprend : Je ne sais plus si on se fait pas déjà du mal, si on ne s'en referait pas si on tentait, si je veux, si tu veux, si ... trop de si et si peu de choses qu'on se sent capable de faire ! Une voix lasse, lente, si mal, comme un malaise qu'on ressent dans mon regard vide parce que ouais, je semble mourir à petit feu de l'intérieur face à cette situation : se mettre dans de tels états pour un enfant ? Non, c'est un tout ... la maladie de l'amour, la maladie de l'incertitude, la maladie de la mémoire d'un passé qui fait mal qu'on a peur de reproduire car on se croit si pourri jusqu'à la moelle.
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Pourquoi ? Pourquoi se torturer autant alors que tout pourrait être si simple. Tu n’avais qu’à l’embrasser parce que de toute façon tu en mourrais d’envie mais non il fallait que tu penses, que tu réfléchisses. Depuis quand tu vis avec ta tête ! Cet enfant avait chamboulé ta vie et il continuerait à le faire jusqu’à ce que tu en meurs c’était certain. Mais là logiquement vous ne parliez pas d’enfant, vous parliez de vous et de ce que vous ressentez l’un pour l’autre. Que ton enfant soit un bâtard tu n’en avais rien à foutre, car pour toi cela ne signifier rien tu voulais juste que ton enfant ai un père et c’était là le plus important. Alors pourquoi réfléchir ? Si tu voulais être avec Emrys, il suffisait de lui en faire part. Tu l’écoutais alors monologuer sur son incompréhension totale et puis sans même le prévenir tu venais l’embrasser tendrement pour voir, voir ce qu’il se passerait, voir comment il réagirait. Comment toi-même à l’intérieur de toi ça réagirait. Et puis quelques minutes après tu décollais tes lèvres, regardant Emrys dans les yeux.
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Et je ne savais plus quoi faire ; rester ainsi ou fuir ? Qu’est-ce que la vie pouvait se montrer compliquée. Elle semblait tout aussi pensive que moi comme accroché à des pensées, incapable de les trier. Je cherchais mais rien ne venait à moi, aucune solution ne semblait se présenter et je m'en rendais fou, fou de tout ça, fou de ne pas savoir quoi faire. Et ses lèvres vinrent alors s'unir aux miennes, comme un baiser magnifique, comme un voile doux sur mes lèvres, tendre, fin. Je caressais l’espoir que jamais cela ne se stopperait et que l'infini serait à nous. Je sentais la perplexité de nos sentiments, de nos pensées, je n'étais certain de rien et c'est surement ce qui me faisait penser que je n'étais pas prêt, que nous ne l'étions pas alors je me laissais tomber en arrière. Je la regardais fixement alors qu'elle avait eu la bonté de nous séparer pour ne plus nous affliger notre perte. Je murmurais alors proche d'elle malgré ma position retirée : Je crois que tu devrais partir ... Grace ... Appelle moi si tu as besoin d'argent pour les rendez-vous ou si tu veux que je viennes surtout, ce serait un plaisir ! Je me relevais lui tendant alors la main comme lui disant en fond "acceptes tu de faire cette aventure partiellement avec moi en attendant qu'on soit assez fort pour savoir si on s'aime ?".
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Cela était un réel supplice pour toi. Ton cerveau ne comprenait plus rien et finalement tu n’avais plus envie de comprendre, tu te jetais limite sur lui pour l’embrasser tendrement. Ce baiser était juste magique et doux mais la suite était moins belle. Alors que tu te reculais, Emrys te proposait de partir en te proposant de l’argent. Tu le regardais pendant un long moment. « Je n’ai pas besoin de sous Emrys et je n’en ai surtout pas envie. Je ne suis pas venue là pour ça. » Tu prenais doucement la main qu’il te proposait. Te relevant doucement, tu te laissais guider jusqu’à la porte. « A la prochaine. » Tu déposais un baiser sur la joue de ton ami, amant tu ne savais pas tellement. Enfin bref, tu ouvrais la porte pour ensuite sortir de l’appartement d’Emrys.
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Je l'aurais presque senti offensé de ma proposition de sous et je sens à sa réponse que clairement, elle n'a jamais pensé à ça ou quoi mais je ne le voyais pas en mal quand je l'ai dit plus pour montrer que ce que je disais ne signifie en rien que je ne veux rien assumer au contraire. Elle ne rejette pas ma main et accepte se laissant tirer pour ensuite déposer un baiser tendre sur ma joue. Je souris très finement, timidement aussi, j'imagine. Elle ouvre la porte en me disant un simple mot comme un espoir de la revoir mais je la rattrape alors qu'elle passe la porte et la fait faire volte-face l'attrapant dans mes bras sur le pas de la porte, ne pouvant résister à cette femme, ce parfum, ses yeux, ce corps, ces lèvres ... Je dépose un baiser puis je la regarde, attristé : Oui, c'est ça ... à très vite ! Je recule doucement, très doucement puis je ferme la porte en me collant contre celle-ci et je me laisse tomber au sol, tete dans les mains.
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A quoi rimait cette situation si compliqué ? Pourquoi vous mettre dans de tel draps ? Vous ne pouviez pas faire comme à tous ces gens à qui ça arrive ? Soit vous vous engueulez à n’en plus pouvoir, soit vous vous mettez d’accord mais chacun reste de son côté, soit vous vous aimez mais pas un mélange des trois parce que ton cerveau et ton cœur ne tiendront jamais le rythme de cette relation en grand huit. Un coup vous étiez enlacés dans les bras de l’autre et deux minutes après tu quittais l’appartement d’Emrys sous le choix de monsieur. Marchant tel un condamné à mort vers la porte, tu l’ouvris et t’apprêtais à sortir quand Emrys te rattrapais pour te serrer dans ses bras et te déposer un doux baiser. Délaissant peu à peu son étreinte, il t’écartait de lui pour te laisser partir. Faisant mine de marcher jusqu’à l’ascenseur, tu te laissais tomber contre le mur une fois la porte refermée. Et voilà que tu te remettais à pleurer. Ah les hormones c’était pas gaie tout ça ! Tu restais là quelques minutes avant de daigner peut être te relever pour reprendre ton chemin.
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