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GRARYS † i need to talk with you!

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Cela faisait maintenant deux ou trois jours que tu avais fuis, que tu avais quittée l’anniversaire d’Emrys après lui avoir balancé que tu attendais un enfant de lui. Tu n’avais même pas pu voir sa réaction et aujourd’hui tu pensais vraiment que tu avais gâché son anniversaire. Tu n’étais pas vraiment dans ton assiette depuis deux jours et tu savais très bien qu’il fallait que tu affrontes Emrys une bonne fois pour toute. Ne prenant même pas la peine de te préparer correctement, tu enfilais juste un jogging sarouel et un d’un débardeur noir. Tu prenais juste ton téléphone portable et tes cigarettes et tu sortais le plus rapidement possible de la mather house pour aller chez Emrys, dans son appartement. Une fois ta voiture garée, tu allais à l’étage d’Emrys et tu frappais à sa porte. N’ayant pas reçu de réponse du premier coup, tu continuais de frapper. « Emrys… » Tu frappais encore plus voir. « Emrys Alexander Zacharias, tu as le droit de me détester mais tu dois m’écouter… On doit en parler sinon j’avorte seule ! » Tu frappais encore quelques instants espérant qu’il ouvre.
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Comment pouvais-je aller bien ? Expliquez moi. J'avais déjà fait une connerie, enfin je crois ... non maintenant c'est certain en recouchant avec mon ex copine m'ayant brisé le coeur en me préférant la drogue et maintenant, je découvrais que je l'avais mise en cloque. Je ne sais pas ce qui est le pire ; l'avoir mis en cloque, ma culpabilité ou le fait que je me rend compte qu'elle ne l'a pas dit parce que clairement, ça s'éclaircit et je crois que c'est pour ça que Charlie me regardait mal ces derniers temps ! Je suis sous le choc depuis deux jours, depuis ma soirée d'anniversaire, ma nuit devrais-je dire où elle me l'a balancé histoire de m'offrir un second cadeau moins réjouissant que sa monte. Je grimace rien qu'en y pensant regardant les cadavres des bouteilles laissées à l'abandon après avoir consommé depuis ces deux derniers jours. Je dois pas déconner de nouveau, je dois me reprendre et surement assumer mais c'est dur. Comme si, ça ne me prenait pas assez le cerveau, voilà que ça frappe : qui vient me faire chier encore ? Je ne veux pas répondre mais là, une voix, la sienne, celle de la jolie Grace, celle de ... oh mon dieu, je ne veux pas dire. Je m'accroche presque au tissu du canapé ne voulant bouger, ne voulant affronter mais elle réplique justement et insiste. Renfrogné, je tire la gueule et me traine torse nu, vêtu d'un simple bas de jogging à la porte et ouvre en soufflant. Je ne parle pas et retourne m'affaler dans mon canapé la laissant vaquer à ses occupations. Si tu viens m'annoncer qu'on va avoir des jumeaux, laisse moi boire un coup avant ... je serais là mais d'abord, je dois boire ! Dis-je en attrapant la bouteille à mes pieds.
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Tu ne comptais pas quitter le pas de sa porte jusqu’à ce qu’il t’a ouvert même si tu devais t’endormir d’épuisement. Enfin bref, Emrys arrivait jusqu’à la porte et en une inspiration tu venais de te prendre trois grammes d’alcool dans le sang. Tu repris tes esprits alors qu’Emrys était déjà reparti vers son canapé. Tu entrais dans l’appartement ou plutôt dans la porcherie dans laquelle il vivait. Tu ne disais rien, tu l’écoutais et le regardais se bourrer à la gueule comme un gland. Attrapant la bouteille au vol tu secouais négativement la tête. « Non arrête ça tout de suite ! » Tu partais vider cette bouteille dans l’évier, prenant quelques cadavres vides que tu mettais à la poubelle. « Engueule moi si tu veux j’en ai rien à foutre. » Revenant dans le salon, tu venais t’asseoir dans le canapé mais pour ça il fallait que tu décales un peu Emrys qui prenait pas mal de place. « Il faut qu’on parle… » Tu le regardais un instant avant de reprendre la parole. « Je te dis pas que j’ai sautée au plafond en apprenant la nouvelle mais je ne suis pas sûre d’être capable d’avorter. Il n’a rien demandé à personne ce gosse alors je pensais que je pourrais aller jusqu’au terme de la grossesse même si je prends vingt kilos et puis je le fais adopter à la naissance. J’accouche sous X mais je ne peux pas faire ça sans ton accord. » Tu baissais doucement les yeux attendant sa réponse.
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Je ne comprenais pas qu'elle ose si vite se pointer car après tout, j'avais rien dit, rien eu le temps de lui dire et elle n'avait guère a venir en mode je t'engueule alors que je comptais bien sur me remettre avant la naissance et faire un truc c'est certain, je ne suis plus à l'age où on assume pas mais je suis humain et j'ai besoin de digérer clairement. Je me posais sur le canapé à nouveau comme un gros lourd prenant mon aise avant de parler sur un ton sarcastique à la belle qui venait m’arracher des mains la bouteille sous mes yeux ronds d'étonnement et d'incompréhension. Elle prit des bouteilles pour ranger, jeter, comme effacer ce moment de folie depuis l'annonce. Là, je ne me décidais guère à parler plus. Mais c'est elle qui se mit à converser avec moi. Elle voulait parler, que j’arrête ma connerie mais surtout qu'on parle. A son tour, la belle fit un nouveau aller retour pour me rejoindre dans le canapé et s'y assoir. Je ne la regardais meme pas alors que ça me démangeait de rencontrer à nouveau son regard envoutant que j'aimais tant. Elle commença alors à parler d'avorter, de naissance sous x, d'accord et de je ne sais plus quoi. Qui a dit que tu allais avorter ou que je voulais que tu trouves la force de le faire ? Dis-je sur un ton très fort dès le début. Je levais les yeux définitivement contrarié de ces mots et de ce qu'elle voyait de mes idées, mes valeurs. Je recommençais alors à lui expliquer ma vision des choses mais je m'y prenais très mal, le ton montait : Tu crois vraiment que je suis un connard, que je ne t'aime pas, que je ne veux rien, que je ne suis un con et que je te laisserais accoucher d'un enfant de moi sous x ou le faire adopter ? Tu me prends pour qui ? Dis-je décidément vexè oubliant soudainement la belle et son avis, ses pensées ou sa peur mais là, pour une fois, je prenais le droit parce que j'avais toujours été pas du tout égoïste vis à vis d'elle.
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Après avoir fini ton monologue assez long, Emrys décidait d’enfin prendre la parole mais ce n’étais pas du tout pour te rassurer ou je ne sais quoi. C’était plutôt pour te montrer qu’il était vexé que tu le penses aussi égoïste que ton idée d’accouchement sous x lui faisait paraître. L’écoutant t’enguirlander comme je ne sais pas quoi, tu décidais de te lever d’un bond pour prendre un peu de supériorité mais tu ne comptais pas te rabaisser à toutes ses paroles. « Je n’ai jamais dit ça ! Ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit surtout pas ! » Tu reprenais quelques peu ta respiration. « Mais je peux comprendre que ça te fasse peur. On n’est pas ensemble, on a pas voulu cet enfant donc j’aurais compris que tu n’en veuilles pas. » Te retournant pour t’en aller, tu tombais sur un magasine qui n’était très certainement pas lu par Emrys. Le prenant dans les mains tu venais lui lancer sur les genoux. « Peut-être que tu veux l’élever avec ta nouvelle conquête. » Ouais, tu étais jalouse mais c’était tellement étrange tout ce qu’il se passait entre vous en ce moment que tu ne savais vraiment plus quoi penser du tout. Faisant cette fois-ci réellement demi-tour, tu comptais prendre la porte d’entrée et la claquer le plus fort possible Emrys te rappellerais quand il aura pris sa décision.
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Je ne voulais pas me montrer faux-culs ou pas honnête, non j'étais quelqu'un de franc et je le resterais ; la peur ne me ferait pas succomber aux mensonges sur ce sujet. Néanmoins, j'étais surement parti un peu trop dans ma violence, dans ma folie que provoquait la fameuse peur dont je ne pouvais surement pas avoir honte mais la belle ne pouvait que se méprendre ou partir à son tour en furie avec ça. Je ne pouvais lui en vouloir en la voyant se lever à son tour énervée. Je m'étais donc mépris apparemment, elle ne voyait pas cela de moi mais clairement, elle voulait me comprendre alors ouais surement avais-je tord mais je réagissais ainsi, c'est tout. Je l'avais réellement bien énervé car la demoiselle avançait vers la sortie en me balançant ce qu'elle pensait réellement qu'elle aurait compris que par la peur, je ne veuille pas de cet enfant si imprévu. Je grimaçais en disant : Tu ne sais pas ce que je veux alors avant de parler des choses possibles, demande ce que je veux car je suis pas débile, je sais ce qui existe ! Elle allait partir mais quelque chose la retenait alors qu'elle comptait surement ne plus m'écouter. Elle bloqua directement regardant vers une petite table dans l'entrée, sur un magasine et me balança directement en gros que je voulais surement l'élever avec ma meuf ... je levais les yeux, agacé et me levais pour attraper son bras et me rappelant qu'elle était enceinte, plus doucement, je fis en sorte de la bloquer contre la porte de manière à ce qu'elle reste : Tu ne veux pas que je te fasses dire ce que tu n'as pas dire ? Alors ne conclue pas quand tu ne sais guère ... Dis-je comme pour lancer un message subliminale car clairement, depuis que je l'avais rencontré, j'avais presque pas cherché à parler à Charlie et j'avais bien souvent pensé à elle donc non, la fille était ma colocataire ; Elizabeth. Je la regardais malheureusement si bien que plongé dans ses yeux, je caressais son visage mais je secouais ma tete et me reculais ; C'est à ma colocataire et petite sœur de cœur, Elizabeth ... Vice présidente de la Lowell et y a jamais rien eu entre nous ! Pourquoi étais-je entrain de me justifier en fait ? Merde.
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La réaction d’Emrys avait été bien au dessus de ton imagination jamais tu n’aurais pensée que cela partirait aussi loin et que ta jalousie viendrait prendre le dessus sur tout. Tu étais énervée, saoulée et tu comptais bien partir avant que cela ne se termine vraiment mal. Mais Emrys venait attraper ton bras pour te bloquer avec douceur contre la porte. Tu faisais face à son regard et tu l’écoutais pendant un long moment et même quand il venait te caresser la joue tu le regardais, tu n’en perdais pas une miette. Mais Emrys reculait bien vite pour se justifier sur sa relation avec la fille qui vivait chez lui. « Tu.. tu n’as pas à te justifier et je.. je n’ai pas a être jalouse. » Tu avais beaucoup de mal à sortir cette phrase mais tu savais que la conclusion que tu voulais n’en étais vraiment pas là. Attrapant alors la main d’Emrys, tu le rapprochais doucement de toi pour lui déposer un baiser sur les lèvres assez tendrement mais tu reculais un peu ton visage et ton corps en le regardant. « Je suis désolée, ce n’était pas la bonne solution. » Tu ne savais plus quoi faire et tu étais légèrement bloquée pour le coup, tu n’avais aucun échappatoire à pars affronter Emrys et son regard.
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Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il se passait, ce que je disais clairement mais je tentais au maximum de montrer ma sincérité pour qu'elle ne croit en rien que j'étais faux ou que je lui disais n'importe quoi. Je la regardais surement troublé par cette fameuse honnêteté. Elle semblait réellement stressé tout comme moi. Ainsi, elle ne voulait aucune justification, enfin inconsciemment on voulait tout les deux des justifications enfin j'avais espoir qu'elle montrait par ses remarques me le faisaient voir. Je n'osais trop rien dire et restais muet. Je caressais le visage de la demoiselle tout en la regardant sans pouvoir m'en décoller clairement. Elle m'embrassa doucement, un baiser chaste et je restais choqué, sur le cul, c'est bien le mot. Des excuses arrivèrent, excuses que je ne comprenais pas. Je grimaçais ne sachant comment réagir et je répondais ; Je ne sais pas non plus ... Je baissais le regard, presque honteux. Là, je repris la demoiselle entre mes bras et la serra dans mes bras trs fort passant ma tete sur son épaule profitant de serrer ce corps si fin entre mes bras musclés. Je me montrerais présent pour l'élever mais resteras-tu Grace ? J'avais toujours su et je crois qu'elle le savait que contrairement à ce qu'on pensait, Ouais, elle n’assumerait peut être pas.
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Ta vie semblait être le même chaos que d’habitude mais bizarrement c’était un chaos qui montrait un signe d’espoir pour le futur. Peut-être que ce bébé te ferait devenir quelqu’un d’autre ? Quelqu’un de responsable. Quelqu’un d’appréciable. Quelqu’un que les autres apprécierait vraiment pour ce qu’elle est et non pour ce qu’elle veut paraître. Tu n’en savais rien, tu étais perdue mais réellement tu ne savais vraiment pas quelle direction prendre et pour couronner le tout tu embrassais Emrys qui semblait tout aussi gêné que toi sur la fin. Essayant de fuir son regard, il finit tout de même par te prendre dans ses bras. Tu te laissais faire, tu te laissais aller de toute manière tu n’avais rien d’autre à faire. Et ce fût là le moment de la question fatidique, celle que tu ne voulais pas entendre pour le moment. T’écartant doucement d’Emrys, tu venais coller ton dos à la porte. « Je ne suis pas faite pour être mère Emrys, je ne sais même pas ce que ça veut dire. Mais tout ce que je sais c’est que je ne mettrais pas ce bébé en danger par mes actes que ça soit au niveau de l’alcool ou autre. Par contre, pour ce qui est de l’accepter, je n’en sais rien. Je ne l’accepte déjà pas à l’heure actuelle. » Tu remuais frénétiquement tes doigts tout en les regardant, ne voulant pas affronter le regard d’Emrys une nouvelle fois. « Et puis, si je le garde c’est que je sais que s’il n’a pas une bonne mère il aura au moins un père, un vrai. Pas un toxicomane ou un alcoolique ou je ne sais quoi d’autre. » Tu souriais faiblement sans pour autant regarder le jeune homme.
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Palpitant, mon cœur ne comprenait guère les sensations qui l'animaient. Je sentis ses lèvres sur les miennes puis comme attiré fondamentalement par elle, je ne pus que la prendre dans mes bras pour éviter de ne plus pouvoir stopper le baiser mais tout de meme ne pas me séparer d'elle. Un sourire gêné, elle, elle se contentait de reculer, se collant contre la porte d'entrée avec un air perturbée ; ma question l'a gênée, je crois. La belle m'avouait alors qu'elle ne se sentait pas capable d'assumer l'enfant, enfin elle ne savait guère et je la comprenais mais meme si je ne me sentais pas prêt, je ne me sentais encore moins de ne pas l'accepter ou de dire que je ne serais pas là d'où ma réaction. Je sentais alors qu'elle ne pouvait finir ainsi et que sa voix s'élèverait enciore alors je ne pipa pas un mot l'écoutant poursuivre en me flattant mais m'inquiétant par ses mots prouvant que peut être elle n'en voudrait pas, n'y arriverait pas et que si je me voyais convaincant, je serais surement seul pour élever alors je reculais m'appuyant sur le canapé me sentant mal, comme un douleur à la tete ; mes crises revenaient elles à cause du choc ? ces crises enfantines, ses crises de panique que je n'avais pas eu depuis la mort de mon frère ... Je me prenais la tete essayant de ne pas trop laisser paraitre mais c'était impossible et souffrant doucement, je dis d'une voix faible : Ne dis pas ce que tu ne sais pas, je serais peut être atroce en père et encore plus qu'un toxicomane, j'en sais rien ... Je suis un bâtard au final alors comment cet enfant pourrait avoir un bon père en ma personne ! Je suis une merde et pleins l'ont dit, je suis auto destructeur à mes heures perdus et tu trouves que je suis meilleur que toi pour l'élever ? Je me laissais doucement tomber contre le dossier du canapé jusqu’à sol, m'asseyant en tenant toujours ma tete douloureuse entre mes mains.
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