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Retour à la case hôpital (PANKIRA)

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Il semblait avoir du mal à prendre une réelle décision, mais pour le moment je devais me contenter de ça, je m’étais attendue à pire donc quelque part au fond j’étais heureuse, je sais, ça fait égoïste, mais peut-être qu’avec le temps tout ça changerait. Que tout ça ne sera plus qu’un mauvais souvenir et qu’on arrivera peut-être à être heureux. Je voulais le garder auprès de moi, à ne pas avoir à lui dire de partir, ne plus me prendre la tête aussi violemment avec lui. Parce que ça le faisait souffrir et ça me faisait souffrir aussi. Je serais patiente, j’attendrais qu’il change de lui-même sans que je n’aie à le lui imposer.

Et il me rendait mon baiser, mais c’était étrange, j’avais l’impression qu’il se forçait presque, mais c’était peut-être mon imagination qui me jouait des tours. Je fermais les yeux tout en l’embrassant, lorsqu’une infirmière entra dans la pièce.

« L’heure des visites est dépassée jeune homme. Vous pourrez revenir demain, mademoiselle Howard doit se reposer. » Dit-elle plus ou moins froidement avant de me lancer un regard sévère. Je n’avais pas envie qu’il parte, je ne voulais pas rester seule et je m’agrippais au tee shirt d’Akira, lui murmurant à l’oreille « Emmène-moi avec toi… »
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Ces putains d'infirmières... Je décollai mes lèvres de celles de la jeune femme, posant doucement une main sur sa joue alors que l'autre réclamait mon départ. Fallait bien que je me résigne. De toutes façons, je reviendrai... Mais alors que je m'apprêtai à lui dire au revoir, Pandora s'agrippa à moi. L'emmener ? Ca paraissait fou. Assez fou pour que l'idée me plaise.

"J'arrive. Mais laissez-moi lui dire au revoir avec un minimum d'intimité..." fis-je plus ou moins exaspéré à l'aide-soignante, qui repartit dans le couloir pour quelques instants. Et je reposai mon regard sur la jeune femme, lui adressant mon plus beau sourire. "Allez, dépêche toi." Du coin de la chambre, je ramenai un fauteuil roulant pour qu'elle s'y installe -oui parce qu'on ne court pas avec des côtes cassées-. Et à peine eut-elle posé les fesses dessus, que déjà je lui donnai ses affaires en vrac sur ses genoux et pris de l'élan, poussant la chaise pour la faire avancer. On passa la porte en vitesse alors que je posai un pied entre les roues pour me laisser porter.

L'infirmière nous vit débouler mais eut juste le temps de nous gueuler dessus sans pouvoir nous rattraper. Je ne pu m'empêcher de sourire de plus belle. Après la dispute qu'on venait d'avoir, un peu d'aventure ne faisait pas de mal. Lorsqu'on approcha d'un virage, je me laissai retomber les pieds au sol pour reprendre un peu de vitesse. Et on entra dans l’ascenseur, direction le hall d'entrée... Que je m'empressai de traverser de la même manière, ignorant les réactions mitigées du personnel...
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J’lui avais demandé de me faire sortir d’ici, parce que je n’avais pas envie d’me retrouver enfermée dans cette chambre d’hôpital, parce que je ne voulais pas être seule alors qu’on venait de se rabibocher lui et moi.
Mais quand il sortit à l’infirmière qu’il voulait au moins me dire au revoir avec un minimum d’intimité je savais qu’il avait une idée farfelue derrière la tête, et j’me sentais rougir quand il m’adressa son plus beau sourire.

Mon dieu qu’il était encore plus beau lorsqu’il souriait ainsi, et surtout à moi. Il me disait d’me dépêcher et quelques secondes plus tard j’me retrouvais les fesses posées sur une chaise roulante, mes affaires posées en vrac sur mes genoux. Et le voilà qui courait dans les couloirs de l’hôpital en me poussant sur ma chaise roulante, que j’en riais aux éclats, ça faisait du bien tiens. Je lui faisais totalement confiance puis il semblait assez bien gérer la chose, et c’est sous les regards étonnés des autres patients qu’on quittait enfin l’hôpital.

« T’es dingue, j’aurais jamais cru que tu oserais faire ça ! Tu as vu un peu la tête de l’infirmière quand tu es sorti de la chambre en trombe ? »
Cette fois-ci je n’avais plus ce pincement au cœur, au contraire, il battait normalement, peut-être un peu plus rapidement depuis notre course dans cet hôpital que j’espérais ne plus devoir y mettre les pieds. Je voulais surtout profiter du fait que ça allait un peu mieux entre le jeune homme qui envers et contre tout faisait battre mon petit cœur à la chamade. Ouep j’étais bel et bien amoureuse de lui.
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